Revue de Presse ADCET n° 27 - Lundi 6 Mai 2019
METROPOLE
La métropole de Lyon, un modèle « difficilement duplicable »
lagazettedescommunes.com - Emile Buono
Publié le 30 avril 2019
Un peu plus de quatre ans après la naissance de la Métropole de Lyon, les sénateurs Charles Guené et Claude Raynal ont examiné les conséquences financières et fiscales de la création de cette collectivité, issue de la fusion du département du Rhône et de la communauté urbaine de Lyon. Un modèle institutionnel financièrement sain mais "difficilement exportable".
« Une affaire d’hommes et de circonstances » : c’est par ces mots que les sénateurs Charles Guené (LR, Haute-Marne) et Claude Raynal (PS, Haute-Garonne) résument la naissance de la métropole de Lyon. A la demande de la commission des finances du Sénat, ils ont examiné les conséquences financières et fiscales de la création, au 1er janvier 2015, de cette collectivité à statut particulier, issue de la fusion du département du Rhône et de la communauté urbaine de Lyon, sur le périmètre de cette dernière (1). De fait, la Métropole exerce aujourd’hui les compétences d’une métropole de droit commun ainsi que celle du département.
« Effets variables sur la masse salariale »
« La création de la métropole de Lyon a eu, à court terme, des effets variables sur la masse salariale : celle de la métropole a augmenté moins rapidement que prévu », ce qui lui a permis « un gain immédiat de plus de 70 M€ par rapport à ses prévisions initiales », a expliqué Charles Guené à l’occasion de la présentation de leur rapport, mardi 30 avril.
TRANSPORTS
LISBONNE
Le Portugal à l’heure des transports en commun
lepetitjournal.com - Lucie Etchebers-Sola
Publié le 28 avril 2019
Dans la continuité de l’instauration du passe "Navigante" dans la région métropolitaine de Lisbonne, les transports publics dans le reste du pays vont également subir des modifications importantes au niveau tarifaire et des infrastructures.
A Lisbonne, comme ailleurs au Portugal, avril a marqué le début d’une nouvelle politique dans le secteur des transports publics avec pour objectif de baisser et simplifier les tarifs et d’inciter les Portugais à utiliser davantage leurs réseaux de transport en commun. Cette nouvelle politique fait suite à la publication alarmante d’une étude sur la mobilité réalisée par l'Institut National de Statistique du Portugal (INE) sur demande des régions métropolitaines de Lisbonne et de Porto. L’étude a été menée entre octobre et novembre 2017 et a montré que le nombre de véhicules individuels circulant dans les villes portugaises augmentait de manière exponentielle, alors que l'utilisation des transports en commun connaissait un "énorme déclin", principalement en raison du manque de qualité et de fiabilité du réseau.
Dans la région métropolitaine de Porto
Comme sa grande sœur du sud, la ville de Porto a également opté pour la mise en circulation d’un passe unique pour ses transports en commun. Les prix sont semblables à ceux pratiqués à Lisbonne : le passe coûte 30€ (valable pour tous les trajets effectués dans tous les services de transport public de passagers réguliers dans maximum trois zones autour de la région métropolitaine de Porto) ou 40€ (partout dans la région métropolitaine de Porto). Les étudiants bénéficient d’un tarif réduit et les jeunes de moins de 12 ans pourront voyager gratuitement. La ville souhaite même étendre la gratuité aux moins de 15 ans, mais cette mesure ne devrait pas être effective avant septembre 2019. Evidemment, l’achat de ce passe unique n’est pas obligatoire et les usagers occasionnels pourront toujours bénéficier des tarifs en vigueur sur les réseaux Andante, CP (Comboios de Portugal) ou STCP (Sociedade de Transportes Colectivos do Porto). Le président de la région métropolitaine de Porto, Eduardo Vítor Rodrigues, a déclaré fin mars que bien que peu de gens croyaient au passe unique, il ouvrait la voie à l'introduction d'un modèle de transport gratuit au Portugal.
Lire la suite : https://lepetitjournal.com/lisbonne/le-portugal-lere-des-transports-en-commun-255999
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Laval : les Tul restent fidèles au diesel
lecourrierdelamayenne.fr - G.P.
Publié le 30 avril 2019
Pour renouveler leur parc à Laval, les Transports urbains lavallois privilégient le diesel. Laval Agglomération avance la question du coût pour justifier ce choix.
Ils sont sagement garés sur le parking des Tul (Transports urbains lavallois) dans la zone des Alignés à Laval. Mais d’ici la fin du mois, les trois bus flambant neufs sillonneront les rues de Laval et de son agglomération. Et comme pour la large majorité de la flotte du délégataire de service public, ils carbureront au diesel. « L’acquisition de ces véhicules thermiques n’est pas synonyme d’un refus de nous engager dans l’hybride ou dans l’électrique. C’est une question de budget », précise d’emblée Denis Mouchel, vice-président en charge du transport à Laval Agglomération.
Coût d'un bus électrique : 600 000 €
Actuellement un bus thermique neuf coûte 240 000 €, un véhicule hybride 400 000 € et l’équivalent électrique 600 000 €. « Nous ne sommes qu’au début de l’électrique. Il faut se montrer prudent. Il y a quelques années, nous avions investi dans des véhicules GPL. Aujourd’hui, nous nous retrouvons avec des coûts d’entretien onéreux. Nous n’arrivons plus à trouver des pièces de remplacement », tempère le maire de Changé.
Lire la suite : https://www.lecourrierdelamayenne.fr/actualite-31955-laval-les-tul-restent-fideles-au-diesel.html
GRATUITE DES TRANSPORTS
Grenoble (aussi) étudie la gratuité des transports en commun
lagazettedescommunes.com - Cyrille PAC • Club : Club Techni.Cités
Publié le 30 avril 2019
Sujet récurrent dans l’agglomération grenobloise, la question de la gratuité des transports revient sur le devant de la scène : le Syndicat mixte des transports en commun (SMTC) attend en effet pour juin les résultats d’une étude de faisabilité.
Engagement de campagne du maire écologiste Eric Piolle, la gratuité des transports en commun n’est toujours pas en vigueur à Grenoble. Mais alors que l’édile l’avait seulement envisagée pour les jeunes de 18 à 25 ans, le Syndicat mixte des transports en commun (SMTC) de l’agglomération a relancé le débat en commandant une étude pour évaluer la faisabilité d’une gratuité partielle ou complète. « Ce sujet rythme notre territoire depuis longtemps, confirme Yann Mongaburu,
Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/619712/grenoble-aussi-etudie-la-gratuite-des-transports-en-commun/
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Amiens: les règles de la gratuité du bus à partir du 11 mai
courrier-picard.fr - David Vandevoorde
Publié le 01 mai 2019
Le Bus à haut niveau de service (BHNS) sera lancé le 11 mai avec cinq semaines de gratuité. Ensuite, il ne sera plus libre d’accès que les samedis. Voici les modalités de l’opération.
Nemo, le réseau de proximité, la navette Cœur de Ville, la ligne Tempo (anciennement S) : tous ces bus seront gratuits du 11 mai au 16 juin inclus. Les valideurs (boîtiers jaunes) seront en effet inopérants pour installer le nouveau matériel. Le retard de cette nouvelle billétique est l’une des raisons – avec celle des problèmes de charge rapide via les potences en bout de ligne – du report du lancement du Bus à haut niveau de service, initialement planifié le 30 mars. Ces cinq semaines gratuites passées, Ametis laissera aussi un accès libre à l’ensemble des lignes tous les samedis. Seule Cœur de Ville, revue et corrigée, restera gratuite tous les jours.
1. Ticket rechargeable
Lire la suite : http://www.courrier-picard.fr/180602/article/2019-05-01/amiens-les-regles-de-la-gratuite-du-bus-partir-du-11-mai
MOBILITE
La filière pour le recyclage des batteries de vélo électrique s'installe
actu-environnement.com - Nathan Clodic
Publié le 30 avril 2019
Créée par l'éco-organisme Corepile et l'Union Sport et Cycle, le syndicat des professionnels du cycle, la filière « hors-agrément » de collecte et de recyclage des batteries de vélo à assistance électrique dresse son premier bilan.
En 2017, le marché du vélo électrique franchissait un cap. En début d'année, l'État mettait en place une aide à l'achat plafonnée à 200 euros pour l'acquisition d'un vélo à assistance électrique (VAE). Au total, 255.000 VAE ont été vendus cette année-là, soit presque le double des 134.000 de l'année précédente.
Les batteries de VAE sont des produits industriels, ce qui imposent à tous ceux qui en mettent sur le marché d'en organiser la collecte et le recyclage. Jusque-là, le volume de batteries de VAE à recycler était faible et pris en charge par des circuits professionnels (La Poste par exemple) qui géraient eux-mêmes le recyclage.
Mais en 2017, avec des ventes de vélo électrique d'une ampleur nouvelle et la possibilité d'une recrudescence du volume de batteries, l'Union Sport et Cycle s'est penchée sur la création d'une filière consacrée spécialement à ces produits.
Lire la suite : https://www.actu-environnement.com/ae/news/Filiere-velo-electrique-recyclage-batterie-corepile-33365.php4#xtor=EPR-1
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ROYAUME-UNI
Si vous les construisez, ils les utiliseront : année record pour les statistiques d’utilisation du vélo en ville
Année record pour l’utilisation des pistes cyclables. Au Royaume-Uni, de nouvelles piste cyclables et de meilleurs réseaux contribuent à l'essor de leur utilisation.
Les pistes cyclables font partie, pour les cyclistes, de l’un des moyens les plus efficaces et les plus sécurisés pour se déplacer en ville. Une seule piste cyclable permet à plus de personnes de circuler cinq fois plus vite que sur une une voie de circulation d’engins motorisés, et ce sans pollution atmosphérique et sonore. C'est une bonne nouvelle pour tous, que vous conduisiez, marchiez, montiez à vélo ou respiriez.
Cependant, ce qui ressort clairement des données - malgré quelques affirmations qui affirment le contraire, ainsi que des tentatives de suppression de voies de circulation -, c’est que pour profiter des avantages du vélo, il faut construire une infrastructure appropriée. Mais si vous la construisez, ils viendront - et les statistiques d’utilisation du vélo le prouvent.
L'année 2018 a été une année record pour l'utilisation des pistes cyclables au Royaume-Uni, grâce à la construction de nouvelles pistes cyclables de haute qualité, à la popularité croissante des itinéraires existants et aux bons réseaux qui les alimentent.
Lire la suite (en anglais) : https://www.theguardian.com/environment/bike-blog/2019/apr/26/if-you-build-them-they-will-come-record-year-for-cycle-counters
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« Une seule appli pour tous les déplacements »
leparisien.fr - en partenariat avec MACIF
Publié le 29 avril 2019
Pouvoir se déplacer avec tous les moyens existants (bus, vélo, autopartage, etc) dans une métropole et les payer depuis une seule application numérique, c’est possible grâce aux outils MaaS.
ARTICLE EN PARTENARIAT AVEC MACIF :
Le rendez-vous des Nouvelles Mobilités avec MACIF : chaque semaine retrouvez des solutions innovantes pour faciliter votre quotidien.
Depuis juin 2018 et le lancement de la préparation de la Loi Mobilités, un nouveau mot anglais est apparu dans les conversations des habitués des transports urbains : MaaS, pour « Mobility as a Service ». Que permettent ces outils ? Anne Meyer, directrice du département des affaires économiques et techniques de l’Union des Transports publiques et ferroviaires (UTP), nous l’explique.
Photo : Anne Meyer, directrice du département des affaires économiques et techniques de l’Union des Transports publiques et ferroviaires (UTP)
On parle de plus en plus de la mise en place d’outils MaaS pour se déplacer. Qu’est-ce que ce terme veut dire ?
Il signifie concevoir la mobilité comme un service. L’idée, c’est de faciliter par un système simple pour le voyageur - grâce au numérique et à une coopération entre les acteurs de la mobilité - l’usage des différents modes de transport existants dans les agglomérations pour proposer des alternatives crédibles à « l’auto-solisme », l’utilisation de la voiture par une seule personne.
Comment se matérialisent les outils « MaaS » ?
Lire la suite : http://www.leparisien.fr/economie/nouvelles-mobilites/une-seule-appli-pour-tous-les-deplacements-29-04-2019-8062611.php
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Un programme pour le développement des bus urbains électriques
environnement-magazine.fr - E.G
Publié le 30 avril 2019
Le 25 avril dernier, la société de conseil en efficacité énergétique Vertigo, a lancé un programme de soutien à la mobilité propre adressé aux organisateurs de transports collectifs pour le développement des bus électriques.
Le programme « Moébus » lancé par la société de conseil Vertigo dans le cadre des certificats d’économies d’énergie (CEE) a pour but de couvrir une partie du coût pour l’acquisition de bus électriques ou à mener des travaux d’électrification des dépôts. « Il s’agit de la première aide financière CEE privée à destination des organisateurs de transports collectifs. Le programme est en effet financé par des fonds privés de fournisseurs d’énergie notamment Total Direct Energie », précise Vertigo dans un communiqué. Un premier appel de fonds a permis de lever 16 millions d’euros début 2019 sur les 36 millions prévus d’ici 2020.
Adressé aux collectivités locales, aux entreprises, et aux opérateurs exploitants de transports collectifs, le programme « Moébus » vise à la mise en circulation de 500 bus électriques et à l’électrification de 50 dépôts.
Lire la suite : https://www.environnement-magazine.fr/mobilite/article/2019/04/30/124221/programme-pour-developpement-des-bus-urbains-electriques
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[Étude] Une enquête sur la mobilité des seniors menée par AG2R La Mondiale en partenariat avec Wimoov
silvereco.fr - rédaction
Publié le 30 avril 2019
AG2R LA MONDIALE et l’association Wimoov se sont engagées depuis 2015 en faveur d’une meilleure mobilité et inclusion des seniors dans la société. Ce partenariat permet désormais aux seniors les plus isolés d’être accueillis et accompagnés grâce à une offre de services adaptée à leurs besoins.
L’AG2R La Mondiale et Wimoov sont aller plus loin en interrogeant des seniors dans leurs pratiques de mobilité, afin de mieux comprendre les freins qui peuvent les conduire à les limiter, voire à y renoncer. Cette enquête a été réalisée de juin à novembre 2018 auprès d’un panel de 1 053 seniors âgés de 55 ans et plus sous la forme de questionnaires en ligne et papier distribués directement
Principaux enseignements de l’étude :
• 42 % des répondants circulent principalement à pied, 41% utilisent leur voiture en tant que conducteur comme mode de transport principal et 6% utilisent principalement les transports en commun.
• Seuls 41% des plus de 75 ans se déplacent quotidiennement contre 74% chez les 55-64 ans.
• Le coût des déplacements (36% des sondés) et les problèmes de santé ou de handicap (31%) constituent les deux principaux freins à la mobilité des seniors. D’autres facteurs comme l’inadaptation du lieu de vie (18%) et la peur des transports, de se perdre ou de la chute (14%) sont également évoqués.
Lire la suite : https://www.silvereco.fr/etude-une-enquete-sur-la-mobilite-des-seniors-menee-par-ag2r-la-mondiale-en-partenariat-avec-wimoov/31108029
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[Tribune] L'expérience client prend le pas sur la mobilité du futur
relationclientmag.fr - Géraldine Nion, directrice opérationnelle chez Bip&Go
Publié le 30 avril 2019
Désormais plus fluide, plus flexible et plus rapide, la mobilité a aussi rendu le consommateur plus volatil. Dans un écosystème numérisé qui a changé la donne, comment l'engager et le fidéliser?
16%. C'est la part que représentent les transports, selon une étude PwC, dans le PIB français. Poumon de l'économie française, il faut dire que depuis dix ans, le secteur a pris un nouveau virage et un nouveau visage de la mobilité des individus se dessine. Si la voiture est toujours aussi prisée (7 salariés français sur 10 vont au travail en voiture, INSEE) , elle a pourtant bien changé. Elle est devenue hybride, autonome, électrique, partagée. En parallèle, aucun moyen de transport n'a échappé à la vague de transformation digitale. Les signes de cette émulation sont là. Des start-up comme Drivy, Blablacar ou Uber ont investi le créneau. L'offre s'est démultipliée, se déplacer s'est considérablement démocratisé, et les usages se sont métamorphosés.
Désormais plus fluide, plus flexible et plus rapide, la mobilité a aussi rendu le consommateur plus volatil. Dans un écosystème numérisé qui a changé la donne, comment l'engager et le fidéliser?
Les usages se déplacent
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BRUXELLES
La Stib pourrait mettre en place " un package de mobilité, comme pour les télécoms "
rtbf.be
Publié le 1 mai 2019
À l’occasion des 150 ans du tram ce 1er mai, le patron de la Stib Brieuc De Meeûs a évoqué le passé mais aussi le futur de ce moyen de transport encore privilégié par les Bruxellois. Des hippomobiles du XIXe siècle aux trams électriques, le tram est depuis un siècle et demi emblématique de la capitale, même si ses rails l’empêchent d’être aussi flexible que le bus. « Il est moins flexible, mais plus capacitaire, puisqu’on peut mettre jusqu’à 200 personnes dans tout un tram, note Brieuc De Meeûs. Et il permet d’aller dans beaucoup d’endroits. » Pour le CEO, il n’y a pas lieu d’opposer tram, bus et métro, dans un système où « chaque mode a sa place ».
Le patron du service de transports va même plus loin, en rappelant que la mobilité devient « partagée et multimodale », c’est-à-dire que les Bruxellois utilisent régulièrement plusieurs modes de transport. Pour cela, la Stib doit développer des plateformes digitales, afin de permettre aux habitants de mieux passer de l’un à l’autre, estime Brieuc De Meeûs. « Quelqu’un pourra acheter un abonnement de mobilité qui sera aussi bien du vélo que du transport public que de la voiture partagée », propose-t-il. Une sorte de « package de mobilité, comme ça se passe aujourd’hui en télécoms », avec plusieurs services (télévision, téléphone, Internet) en un seul abonnement.
Lire la suite : https://www.rtbf.be/info/societe/detail_la-stib-pourrait-mettre-en-place-un-package-de-mobilite-comme-pour-les-telecoms?id=10209468
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BELGIQUE
Deloitte veut un budget mobilité pour tous
lecho.be
Publié le 02 mai 2019
Dans la panoplie de mesures nécessaires pour résoudre la congestion belge, Deloitte place le budget mobilité pour tous, les hubs multimodaux ou les infrastructures vélos au centre de ses solutions.
Le Belge perd, en moyenne, 39 heures dans les embouteillages par an. Seul le Royaume-Uni connaît pire en Europe. Le problème, c’est que la voiture reste très attractive pour beaucoup, car elle reste considérée comme le moyen de transport le plus sûr, le plus fiable et le plus facile à utiliser.
Si le constat est connu, Deloitte y ajoute des chiffres. 74% des kilomètres parcours en Belgique le sont encore en voiture personnelle. Il est donc grand temps que notre pays prenne le problème de la mobilité à bras-le-corps et instaure, de manière globale, une sorte de "new deal" pour la mobilité, conclut Deloitte une étude consacrée à ce thème.
Deloitte a identifié deux grands axes de travaux pour la Belgique: l'infrastructure et la législation/fiscalité.
Au niveau de l’infrastructure, Deloitte préconise de concentrer les investissements là où la congestion est la plus forte, à savoir dans le "diamant flamand" (Anvers, Gand, Louvain, Bruxelles) et le "triangle wallon" (Charleroi, Namur, Liège).
Lire la suite : https://www.lecho.be/dossier/mobilite/deloitte-veut-un-budget-mobilite-pour-tous/10122497.html
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La mobilité en Belgique : la situation est "déplorable" pour 80% des sondés !
lalibre.be - François Mathieu
Publié le samedi 04 mai 2019
Ca-ta-stro-phique. Quatre syllabes, trois Régions, deux minutes de silence pour UN problème de classe mondiale : la mobilité en Belgique. La première version de notre Baromètre de mobilité réalisé en collaboration avec l’Union des classes moyennes (UCM), sur lequel nous ferons régulièrement un état des lieux, ne laisse planer aucun doute. La mobilité, qui alimente les discussions de tout un chacun tous les jours, représente une perte de temps et d’argent qui, aujourd’hui, dépasse pour beaucoup l’entendement. Quatre sondés sur cinq jugent la situation "déplorable", en somme.
1. D’où vient le problème ?
Lasagne institutionnelle, manque de communication entre les différents acteurs concernés, spécialement au sein du comité de concertation, déresponsabilisation des usagers, qui continuent de voir (parfois légitimement mais pas toujours) la voiture comme le seul mode de transport valable, déficit d’offre d’alternatives valables à la voiture, précisément… "Les raisons ne manquent pas pour expliquer l’état de délabrement de notre ‘mobilité’au sens large", résumé Clarisse Ramakers, cheffe du service d’études de l’UCM.
De fait, c’est ce que montrent aussi les résultats du baromètre, et le manque d’investissements chroniques dans notre réseau d’infrastructures n’a évidemment pas contribué à changer la donne. "La Belgique investit en moyenne 0,6 % de son PIB, contre 1 % en moyenne au sein des 28 membres de l’UE, selon Eurostat", rappelle-t-on du côté du côté du cabinet du ministre François Bellot (MR). Le problème de la mobilité, à l’instar de la population belge et du nombre d’usagers, n’a eu cesse de prendre de la hauteur.
Lire la suite : https://www.lalibre.be/economie/auto/la-mobilite-en-belgique-la-situation-est-deplorable-pour-80-des-sondes-5ccad74a7b50a602948410d8
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Seurre et Louhans : comment la fermeture des guichets SNCF impacte la mobilité des usagers
france3-regions.francetvinfo.fr - Antoine Compte
Diffusée le 2 mai 2019
La SNCF a annoncé la fermeture de 17 guichets dans la région Bourgogne-Franche-Comté d’ici 2025. A l’heure où la mobilité est devenue un enjeu majeur, les villes de Seurre et Louhans sont directement impactées par cette mesure.
Si à la date du 1er juillet 2019 Frédéric Bouchet, maire deLouhans, en Saône-et-Loire, n’a pas mis son veto à la fermeture du guichet SNCF de la ville, celui-ci fermera définitivement.Comme 16 autres dans la région, la gare louhannaise se verra amputée de son guichet, par décision de la SNCF mais aussi du conseil régional.
Une double pression qui ne laisse pas beaucoup d’illusions à Frédéric Bouchet : "Je peux opposer mon veto, mais encore faut-il savoir ce qu’il va se passer derrière (…) Petit à petit, la personne qui s’occupe du guichet verra ses horaires diminuer et on n’aura plus que quelques heures de guichets par semaine."
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Prime mobilité Bientôt une prime de 400 euros pour financer vos trajets domicile-travail
lavdn.lavoixdunord.fr - B.T.
Publié le 2 mai 2019
Le JDD annonce que le gouvernement devrait rendre obligatoire, ce lundi, la mise en place et le versement d’une prime mobilité par les entreprises.
Prime mobilité Bientôt une prime de 400 euros pour financer vos trajets domicile-travail
Le gouvernement a-t-il enfin trouvé une solution pour mettre fin à la crise des Gilets jaunes ? Une nouvelle mesure pourrait renforcer ses propositions. Selon des informations du Journal du Dimanche, le gouvernement veut rendre obligatoire la mise en œuvre d’une prime mobilité. La ministre des Transports Élisabeth Borne avait déjà, dans une interview sur RMC, souhaité que la prime soit obligatoirement versée aux salariés qui effectuent les trajets domicile-travail en covoiturage ou à vélo. Celle-ci concernera les trajets domicile-travail et sera fixée à 400 euros par an et par salarié.
Mobilité durable
Pour l’instant, cette disposition est comprise dans le projet d’orientation des mobilités (LOM), actuellement examiné par le Sénat. Concrètement les salariés qui utilisent un vélo pour aller au travail ou qui sont covoitureurs pourront bénéficier d’un chèque allant jusqu’à 400 euros. Selon Public Sénat, ce dispositif serait largement inspiré du modèle de l’indemnité kilométrique vélo. Il s’agit de « montrer l’exemple », en termes de mobilité durable.
La colère de la CPME
Lire la suite : https://lavdn.lavoixdunord.fr/576882/article/2019-05-02/bientot-une-prime-de-400-euros-pour-financer-vos-trajets-domicile-travail
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COTE D’IVOIRE
En Côte d’Ivoire, un système de transport intelligent d’ici fin 2019
cio-mag.com - Julie Beaudry
Publié le 2 mai 2019
Grâce à des technologies innovantes, le nouveau système de gestion de la circulation routière devrait aider le pays à mieux maîtriser la mobilité des personnes et des marchandises. Une étape indispensable pour renforcer la croissance économique et la rendre plus inclusive.
(CIO Mag) – « Que l’incivisme cesse et que les populations voyagent en toute tranquillité », voilà l’objectif poursuivi par le gouvernement ivoirien, qui vient d’annoncer la prochaine mise en place du Système intelligent de gestion de la circulation routière (STI). « Il y a de nouvelles motos, des véhicules qui sont là. Ces engins permettront de verbaliser les conducteurs imprudents comme cela se fait dans les pays développés », a expliqué mardi 2 avril le ministre ivoirien des Transports, Amadou Koné, lors d’une visite au Centre de gestion intégrée de la mobilité (CGIM).
Par « ces engins », le ministre entendait les panneaux électroniques, les caméras, les radars fixes et embarqués, l’internet mobile, les smartphones, l’open data, le big data et toutes les autres technologies innovantes qui permettront au STI de mieux maîtriser la mobilité des personnes et des marchandises sur l’ensemble du territoire national. « Ce projet consistera au déploiement de contrôle du trafic routier, au développement d’un système d’information des usagers en temps réel sur le trafic urbain, à la mise en place d’un système de gestion de stationnement et à la mise en œuvre de la vidéo-verbalisation associée à un système de gestion automatisée des amendes afin de rendre plus sûres les routes », a précisé M. Koné. Adopté le 6 février en conseil de ministres, le STI devrait être opérationnel « d’ici fin 2019 ».
Mobilité urbaine et croissance inclusive intimement liées
Lire la suite : https://cio-mag.com/en-cote-divoire-un-systeme-de-transport-intelligent-dici-fin-2019/
INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
Nevers : l'intelligence artificielle au service des habitants
lci.fr - JT 13H
Diffusé le 28 avril 2019
A Nevers, dans la Nièvre, la population vit la révolution numérique.
L'intelligence artificielle ne cesse de bouleverser la vie quotidienne. Une révolution numérique dont Nevers a su en profiter. En trois ans, près de deux millions d'euros ont été investis. La ville a été redynamisée par les nouvelles technologies.
Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 13h du 28/04/2019 présenté par Audrey Crespo-Mara sur TF1. Vous retrouverez au programme du JT de 13h du 28 avril 2019, des reportages sur l'actualité politique économique, internationale et culturelle, des analyses et rebonds sur les principaux thèmes du jour, des sujets en régions ainsi que des enquêtes sur les sujets qui concernent le quotidien des Français.
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Des chercheurs développent un système de prévision du trafic basé sur des réseaux de neurones
intelligenttransport.com
Publié le 23 avril 2019
Le nouveau système de prévision du trafic des réseaux neuronaux profonds utilise l'intelligence artificielle pour déterminer le moment opportun du trafic, permettant ainsi des prévisions 15 minutes à l'avance.
Des chercheurs de l'Université Miguel Hernández (UMH) d'Elche ont développé des solutions d'intelligence artificielle basées sur des réseaux de neurones profonds pour prédire les conditions de circulation à l'aide de données provenant de capteurs fixes (tels que des boucles) et de véhicules connectés. Ce nouveau système permet de prédire le trafic 15 minutes à l’avance. Pour mener à bien cette étude, les chercheurs du laboratoire UWICORE, qui fait partie du centre I3E pour la recherche en ingénierie de l'UMH, ont numérisé et implémenté sur la plate-forme de simulation de trafic SUMO un véritable paramètre de trafic correspondant à une distance de 97 km de l'A-7 en Espagne. autoroute, entre les villes d'Alicante et de Murcie. Ils ont travaillé avec la collaboration du Centre de gestion du trafic de Levante, qui a fourni des données sur tous ses capteurs de trafic à partir du tronçon choisi sur une période de 12 ans. Ce tronçon a été choisi pour son afflux important de trafic (intensité moyenne quotidienne de 100 000 voitures par endroits) et son grand nombre de capteurs de trafic (99 au total), qui permettent de mesurer avec précision le trafic toutes les minutes. Avec une sélection de ces données, les chercheurs ont mis au point un cadre de simulation numérique qui permet de générer avec une très grande précision le trafic subi par le tronçon A-7 pendant 10 jours. Pour ce faire, les chercheurs de l'UMH ont mis au point une nouvelle méthodologie d'étalonnage qui permet la génération précise et réaliste de paramètres de simulation de trafic numérique basés sur des données réelles.
BILLETTIQUE
ETATS-UNIS
Apple Pay va débarquer dans le métro New-Yorkais cet été
tom.travel.com - Julia Luczak-Rougeaux
Publié le 2 mai 2019
Tim Cook a annoncé que les passagers du métro New-Yorkais pourront, dès cet été, passer les tourniquets grâce à Apple Pay. Le réseau devrait également accepter les cartes bleues comme titres de transport.
Alors qu’en France Keolis collabore avec plusieurs agglomérations pour permettre aux usagers d’utiliser leur carte de paiement sans contact en guise de titre de transport, le métro de New-York envisage quant à lui d’installer Apple Pay. C’est Tim Cook en personne qui l’a annoncé lors de l’annonce des résultats du 2e trimestre. Il y a deux ans déjà, le réseau envisageait de moderniser ses bornes de validation. Elles devraient également accepter d’autres technologies similaires et le paiement par carte bleue sans contact.
Le dispositif sera disponible à la fin du mois de mai sur certaines lignes et certains titres de transport. Il sera pleinement opérationnel d’ici 2020.
Source : https://www.tom.travel/2019/05/02/apple-pay-va-debarquer-dans-le-metro-new-yorkais-cet-ete/
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DREUX - Vous pouvez payer les transports en commun avec votre carte sans contact
intensite.net - Radio Intensité
Publié le 29 avril 2019
Une nouveauté sur le réseau de bus drouais. Depuis ce matin, les utilisateurs du réseau de transport urbain de l’Agglo du Pays de Dreux peuvent payer leur trajet à bord des bus grâce à leur carte de paiement sans contact quelle que soit leur banque. Elle peut ainsi se substituer au titre de transport. Le prix payé est identique à celui du ticket vendu par le conducteur, soit 1,30 € permettant 40 minutes de correspondance gratuite. En cas de contrôle, la carte de paiement sert de justificatif.
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Une nouvelle billettique pour les transports publics de Bayonne
ville-rail-transports.com - Michel Garicoix
Publié le 3 mai 2019
Etre “plus moderne et écologique”. C’est ce qui a poussé le réseau de transports urbains Chronoplus et le Syndicat des mobilités Pays basque-Adour à lancer, le 29 avril, un nouveau système billettique dans l’agglomération bayonnaise forte de ses 150 000 habitants permanents : les titres occasionnels et les abonnements vont y être progressivement remplacés par des cartes réutilisables et nominatives, la validation s’effectuant directement dans les véhicules.
Les cartes sont vendues dans les agences Chronoplus et dans les points-relais. Péché de jeunesse, cette mutation s’accompagne début mai de quelques bugs et files d’attente. Par la suite, ce système permettra des paiements par smartphone, la post-facturation ou l’open-paiement à bord par carte sans contact. Il deviendra également compatible avec les cartes voisines : Modalis pour la région Nouvelle-Aquitaine et Mugi pour le Gipuzkoa (province de Saint-Sébastien).
Autre nouveauté, le Syndicat des mobilités et la Communauté d’agglomération Pays basque renforcent depuis le 15 avril leur dispositif en faveur du vélo. Ils proposent un service de location longue durée de vélos à assistance électrique (VAE). A l’approche de l’été, il est aussi prévu que le parc de bicyclettes en libre-service soit étendu à l’ensemble du littoral, de Tarnos (sud-Landes) jusqu’à Hendaye.
Source : https://www.ville-rail-transports.com/mobilite/nouvelle-billettique-transports/
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#MaaL, Mobility as a Law
us12.campaign-archive.com - Communiqué de la Fabrique des Mobilités
En ouvrant la « saison juridique » Mobility as a Law, l’ambition du cabinet d’avocats Metalaw, en partenariat avec Ouishare et La Fabrique des mobilités est de participer au débat sur les nouvelles mobilités et d’élaborer des solutions juridiques innovantes, adaptées aux changements en cours, en rassemblant les acteurs de la mobilité, qu’ils soient publics ou privés, nouveaux entrants ou acteurs traditionnels.
Retrouvez toutes les dates des interventions
RGPD
Quelle stratégie de contrôle pour 2019 ?
cnil.fr - Communiqué
Publié le 19 avril 2019
En 2019, la CNIL concentrera son action de contrôle sur trois grandes thématiques, directement issues de l’entrée en application du RGPD : le respect des droits, le traitement des données des mineurs et la répartition des responsabilités entre responsable de traitements et sous-traitants.
En 2019, comme les années précédentes, l’action de la CNIL reposera sur deux axes :
- l’accompagnement des professionnels dans l’application du RGPD,
- le contrôle du respect de leurs obligations.
Cependant, en matière de contrôles et de politique répressive, l’année 2019 marque l’achèvement de la phase de transition entre l’ancienne législation et la nouvelle, que la CNIL avait annoncée début 2018. En s’abstenant jusqu’ici de sanctionner le non-respect des obligations nouvelles du RGPD, et en focalisant son action répressive sur les obligations s’inscrivant dans la continuité de la loi du 6 janvier 1978, la CNIL souhaitait permettre aux responsables de traitement de comprendre et d’assimiler progressivement les exigences du RGPD adopté en 2016.
Désormais, la CNIL vérifiera pleinement le respect des nouvelles obligations et nouveaux droits issus du cadre européen (analyse d’impact, portabilité des données, tenue d’un registre des traitements et des violations) et tirera, au besoin, toutes les conséquences en cas de constatation de manquements.
La CNIL continuera toutefois à faire preuve de discernement dans le choix des mesures correctrices (clôture assortie d’observations rappelant à l’organisme ses obligations, mise en demeure, sanction pécuniaire, injonction sous astreinte). Elle choisira au cas par cas les suites les plus appropriées, en fonction notamment de la gravité des manquements, de la bonne foi de l’organisme et de sa coopération.
S’agissant de son programme annuel des contrôles qui représente environ ¼ de ses investigations, la Commission a souhaité concentrer son action cette année sur trois grandes thématiques, directement issues de l’entrée en application du RGPD.
Le respect des droits des personnes
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SECURITE
Roanne : la sécurité dans les bus s'organise
lessor4.fr - Louis Pralus
Publié le 03 mai 2019
Après une convention de sécurité passée avec la police, une convention a également été signée entre le groupement de gendarmerie de la Loire, Roannais agglomération et Transdev Roanne qui exploite le réseau de transport Star.
Périodiquement, des incivilités voire des dégradations des bus et des actions violentes ont lieu sur les lignes de la Star. Une convention a été signée avec la gendarmerie avec l'objectif de renforcer l'échange d'informations avec les gendarmes, d'optimiser la coordination et de professionnaliser les pratiques et les compétences des acteurs de la sécurité dans les transports urbains de l'agglomération. Les buts poursuivis par la signature de cette convention sont aussi de lutter contre la délinquance, la fraude et les incivilités sur les lignes de la Star, urbaines et péri-urbaines.
Un dispositif d'alerte dans les bus
Cette convention a aussi pour but de lutter contre le sentiment d'insécurité ressenti par les salariés de la société de transport et de leurs passagers et de faciliter les échanges d'informations. Pour répondre au plus vite à toute agression, les bus sont désormais équipés d'un dispositif d'alerte discrète reliée au centre de supervision. Il s'agit aussi de faciliter le dépôt de plainte des agents de la Star par la mise en place de formulaires et de prises de rendez-vous spécifiques à l'hôtel de police.
Lire la suite : https://www.lessor42.fr/-securite-gendarmerie-dans-les-bus-23007.html
ENERGIE
Mobilité hydrogène: 11 projets sélectionnés dans toute la France
lefigaro.fr - Le Figaro avec AFP
Publié le 04 mai /2019
Le ministère de la Transition écologique et solidaire et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) ont sélectionné 11 projets de mobilité hydrogène pouvant bénéficier d'un soutien financier public. L'appel à projets «Ecosystèmes de mobilité hydrogène», lancé en octobre, connaît «un véritable succès» et traduit «un intérêt sans précédent pour le déploiement de l'hydrogène», se sont félicités le ministère et l'Ademe dans un communiqué commun publié vendredi soir.
Pour l'heure, 24 projets dans toutes les régions métropolitaines ont été déposés, représentant un investissement potentiel de 475 millions d'euros, parmi lesquels 11 ont été sélectionnés. Les projets retenus vont maintenant faire l'objet d'une évaluation approfondie pour déterminer les montants des soutiens publics qui leur seront accordés.
Lire la suite : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/mobilite-hydrogene-11-projets-selectionnes-dans-toute-la-france-20190504