Revue de Presse ADCET N°292 du 16 Décembre 2024
- Charles Copin
- Catégorie : Revue de Presse
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Mobilité
Mobilité du quotidien : l’indispensable révision du modèle économique des transports publics (2)
lagradeconversation.com - par Jean Coldefy, Directeur des programmes ATEC ITS France et président du Think Tank de l’URF
Publié le 11 décembre 2024
La mobilité repose aujourd’hui pour l’essentiel sur l’usage de la voiture, sauf dans les centres villes où son usage a été limité. La nécessité de décarboner les mobilités remet en cause cet équilibre. Car l’essentiel des émissions de gaz à effet de serre (GES) liées aux mobilités du quotidien sont le fait des kilomètres parcourus entre le périurbain et les agglomérations par des ménages qui n’ont pas accès aux transports publics. Dans une précédente note, Jean Coldefy recommandait de privilégier les solutions qui maximisent les économies de CO2 en mobilisant au minimum les budgets publics. Il mettait en lumière les coûts très importants du ferroviaire en France ainsi que la flexibilité et l’efficience de solutions de transports publics par la route. La présente note met en lumière la faible performance globale des transports publics en France et l’impasse dans laquelle nous nous trouvons pour assurer un report de la voiture vers les transports en commun en demandant toujours plus à la collectivité nationale. C’est pourtant indispensable pour décarboner les mobilités mais cela suppose de revoir les équilibres de financement de notre modèle de mobilité.
Introduction
Malgré des dizaines de milliards dépensés depuis 20 ans dans le ferroviaire, la part de la voiture dans le mix de mobilité n’a que très peu bougé et pèse 80% des kilomètres parcourus depuis 20 ans. Le hasard de l’actualité fait qu’alors que le gouvernement vient d’approuver un plan de 100 Mds€ pour le train, un tout récent rapport de la Cour des comptes allemande qualifie la Deutsche Bahn, la SNCF allemande, de « puits sans fonds budgétaire » avec « une dette en croissance de 5 M€/j malgré une reprise de 35 milliards en 1994 ». La cour écrit qu’« il n’a pas été possible de transférer une partie importante du trafic d’autres modes de transport vers le rail » et ajoute : « les objectifs de doublement de trafic passagers sont irréalistes », du fait « des goulots d’étranglement au niveau des capacités du réseau qui perdureront pendant des années ». Cela ne vous rappelle rien ? Certes la France est loin derrière l’Allemagne en matière de TER, mais est-on sûr que les moyens colossaux alloués au ferroviaire produiront le report modal attendu ou devrons-nous faire en 2043 le même constat que celui de la cour des comptes allemande en 2023 ?
Lire la suite : https://www.lagrandeconversation.com/economie/mobilite-du-quotidien-lindispensable-revision-du-modele-economique-des-transports-publics-2/
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Le téléphérique doit relier l’aéroport et la gare de Vitrolles en 2029
madeinmarseille.net - par Loïs Elziere
Publié le 11 décembre 2024
Le projet de téléphérique entre l’aéroport Marseille-Provence et la gare de Vitrolles entre dans le plan Marseille en Grand. Il bénéficie donc d’un soutien de l’État pour entrer en service en 2029.
Cela fait presque 10 ans que le sujet est dans les tuyaux. En 2023, la Métropole Aix-Marseille-Provence avait présenté le projet affiné d’un téléphérique entre la gare Vitrolles Aéroport Marseille-Provence (VAMP) et l’aéroport Marseille-Provence (AMP) de Marignane.
Le projet devrait bien se concrétiser mais d’ici 2029, au lieu de 2027 annoncé précédemment. Il vient d’entrer dans la liste des projets de transports du plan Marseille en Grand. Il rejoint ainsi les 15 programmes soutenus par l’État pour améliorer la mobilité du territoire.
En effet, le Groupement d’intérêt public (GIP), réunissant la Métropole, la Ville et la Préfecture, s’est réuni ce mardi 10 décembre pour acter ce seizième projet du plan.
Six minutes pour relier la gare de Vitrolles et l’aéroport par les airs
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/172528-le-telepherique-doit-relier-laeroport-et-la-gare-de-vitrolles-en-2029/
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La nouvelle signalisation routière française se modernise avec un panneau dédié aux mobilités partagées
actuateur.fr - par Laurence Jardin
Publié le 09 décembre 2024
Ce que vous devez retenir
- Dans une démarche ambitieuse de transformation de la mobilité urbaine, la France déploie progressivement une nouvelle signalisation routière destinée à favoriser le covoiturage et les véhicules propres.
- Cette sanction vise à garantir le respect des nouvelles règles de partage de la route, essentielles pour la fluidification du trafic dans les zones urbaines denses.
- environnemental, en favorisant les modes de transport moins polluants, social, en encourageant le partage des trajets et la réduction des coûts pour les usagers, et économique, en optimisant l’utilisation des infrastructures existantes sans nécessiter de lourds travaux d’élargissement.
Dans une démarche ambitieuse de transformation de la mobilité urbaine, la France déploie progressivement une nouvelle signalisation routière destinée à favoriser le covoiturage et les véhicules propres. Cette initiative s’inscrit dans la stratégie nationale de décarbonation des transports, avec l’introduction d’un panneau distinctif en forme de losange qui bouleverse les habitudes des automobilistes.
Une révolution dans la signalisation française
Lire la suite : https://www.actumoteur.fr/la-nouvelle-signalisation-routiere-francaise-se-modernise-avec-un-panneau-dedie-aux-mobilites-partagees-15646/
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Stationnement indexé sur le salaire : 4 villes concernées ?
automobiliste.fr - Par Theo Rodriguez
Publié le 11 décembre 2024
Le stationnement n’est plus simplement une affaire de places libres, mais aussi de justice sociale. Certaines villes françaises adaptent désormais le prix du parking au revenu de leurs habitants. Cette nouvelle approche surprend, questionne et intrigue. Prêts à découvrir comment l’équité s’invite dans la rue ?
Le stationnement urbain fait l’objet d’une nouvelle approche dans certaines villes françaises. Désormais, le prix du parking n’est plus uniforme pour tous les résidents, mais s’adapte aux revenus des ménages. Cette innovation sociale vise à rendre le stationnement plus équitable et accessible à tous les citoyens, quelle que soit leur situation financière.
Une tarification solidaire pour le stationnement résidentiel
Depuis le 1er avril 2023, Nantes a mis en place un système novateur de tarification du stationnement indexée sur les revenus. Cette initiative, rapidement suivie par d’autres villes comme Lille, Rennes et Chambéry, propose des réductions allant de 30% à 90% sur l’abonnement annuel de stationnement pour les résidents. Le principe est simple : plus le quotient familial est bas, plus la réduction est importante.
Lire la suite : https://lautomobiliste.fr/11/12/2024/stationnement-indexe-salaire-comment-certaines-villes-adaptent-prix-parking/
Services publics
NO REPLY » : la communisation sans relations des services publics
jean-saures.org - par Thierry Libaert
Publié le 13 décembre 2024
Chacun de nous a pu en faire l’expérience, il est de plus en plus difficile d’entrer en contact avec l’administration. La disparition physique des services publics de proximité s’est accompagnée d’une dématéralisation qui a entraîné une focalisation quasi exclusive de la relation sur des supports numériques inadaptés aux attentes des usagers. Dans le cadre des travaux de l’Observatoire Marques, imaginaires de consommation et politique de la Fondation, Thierry Libaert, conseiller au Comité économique et social européen, analyse les conséquences socio-politiques de cette « communication sans relation » de l’administration publique et formule plusieurs propositions pour y remédier.
« C’est que de la com’ », entend-on souvent. Rien n’est plus faux, efforçons-nous de montrer au sein de l’Observatoire Marques, imaginaires de consommation et politique. Les services publics constituent un cas d’école, dans la mesure où la communication permet de nouer un lien de confiance entre le citoyen et son administration. Mais que se passe-t-il lorsque sa communication défaille ? Dans cette note, Thierry Libaert explore les conséquences socio-politiques de ce qu’il appelle la « communication sans relation » de l’administration publique : éclairant une nouvelle facette de la montée du populisme, il propose plusieurs pistes pour y remédier.
Raphaël LLorca, co-directeur de l’Observatoire Marques, imaginaires de consommation et politique de la Fondation Jean-Jaurès
Introduction : service public et cohésion sociale
Lire la suite : https://www.jean-jaures.org/publication/no-reply-la-communication-sans-relation-des-services-publics/
Usurpation d’identité
Usurpation d’identité en ligne : une menace croissante MAIS des solutions pour les entreprises et les particuliers
globalsecuritymag.fr - par Jessie Boyer, Head of Legal & DPO chez Signaturit Group
Publié en décembre 2024
L’usurpation d’identité en ligne est devenue l’un des fléaux majeurs de l’ère numérique. Avec l’essor du digital et la transformation des interactions, les individus et les entreprises sont de plus en plus vulnérables aux cyberattaques, notamment celles impliquant le vol d’identité. En France, 34% (source PWC) des citoyens ont déjà été victimes de ce type de fraude, souvent sans même s’en rendre compte. Les conséquences sont multiples : pertes financières, détérioration de la réputation des entreprises, et impacts sur la vie privée des particuliers. Pourtant, des solutions existent pour se prémunir contre ces risques croissants. Il est essentiel de comprendre les mécanismes de l’usurpation d’identité et d’explorer les solutions technologiques qui peuvent y répondre efficacement.
Quels risques et conséquences pour ce phénomène en forte progression ?
Entre 2020 et 2021, les fraudes à l’identité en ligne ont bondi de 112% en France (source : PWC), un phénomène largement amplifié par la digitalisation accélérée des entreprises pendant la crise du Covid-19. À l’échelle mondiale, les pertes financières dues à l’usurpation d’identité pourraient atteindre 206 milliards de dollars d’ici 2025 (source : Juniper). L’absence de renforcement adéquat des systèmes de sécurité pendant cette période a ainsi offert aux fraudeurs des opportunités sans précédent.
Lire la suite : https://www.globalsecuritymag.fr/usurpation-d-identite-en-ligne-une-menace-croissante-mais-des-solutions-pour.html
Sécurité publique
Améliorer l’efficacité dans la sécurité publique grâce à l’IoT et les solutions haut-débit MCX
capgemini.com - par Patrice Crutel
Publié le 13 décembre 2017
Faire un pas de plus dans les communications de sécurité publique
À mesure que les crises environnementales, politiques et socio-économiques s’intensifient, le besoin d’une interopérabilité renforcée entre les organisations de sécurité publique devient encore plus important. La communication est primordiale en cas d’urgence, que ce soit au niveau international et national mais aussi pour les utilisateurs et les premiers intervenants.
Pour faire face à des événements de plus en plus complexes et médiatisés, l’amélioration de la connaissance de la situation et de la sécurité est une exigence importante. Les services de communication vocale traditionnels, actuellement fournis par les technologies PMR telles que TETRA et P25, ne sont plus adéquats pour échanger des informations situationnelles avancées en cas d’urgence. Plus les utilisateurs de la sécurité publique reçoivent d’informations multimédias, mieux ils peuvent coordonner leurs actions pour protéger les personnes et les biens, accélérer les efforts de sauvetage et améliorer la précision, la sûreté et la sécurité.
Aujourd’hui, les technologies à haut débit comme le 4G/5G MCX offrent la possibilité de surpasser les capacités actuelles des PMR et d’améliorer l’efficacité avec des données et des vidéos ultra-fiables. En parallèle, l’intégration de drones, de robots, de dispositifs portables connectés, de dispositifs IoT et d’innovations émergentes comme le metaverse et l’IA générative améliore d’autant plus la connaissance situationnelle.
Lire la suite : https://www.capgemini.com/fr-fr/perspectives/blog/intelligent-industry-securite-publique-iot-haut-debit-mcx/
Désinformation
Avec Grok, Elon Musk se sert de l’IA pour transformer X en robinet à fake news
telerama.fr - par Thomas Bécard
Publié le 13 décembre 2024
Désormais, tous les utilisateurs du réseau social racheté par le milliardaire ultra-conservateur peuvent générer de fausses images et les partager en quelques clics, sans contrôle a priori de la plateforme. Le cynisme à son apogée.
Breaking news : Emmanuel Macron a envisagé de nommer Cyril Hanouna Premier ministre ! Rien d’officiel n’a été annoncé, une image de la poignée de main entre les deux hommes, sur le perron de l’Élysée, a juste fuité. Bon, on vous rassure, l’info est complètement fausse, pourtant la photo existe bien… Car c’est nous qui l’avons créée en quelques secondes grâce à Grok, l’« intelligence artificielle » (IA) intégrée dans X (ex-Twitter). Un clic de plus, et on pouvait la partager avec nos abonnés sur ce réseau social, sans forcément expliquer qu’elle était « fake » – seule une mention ultra discrète, en bas à droite de l’image, permet de comprendre son origine.
Bien sûr, Grok n’est pas le premier outil boosté à l’IA qui permette de produire des images à partir d’un texte de quelques lignes. On se souvient, par exemple, de la fausse photo du pape François en doudoune, qui avait beaucoup circulé en mars 2023 (et qui avait même fait la une de Télérama à l’occasion d’un dossier sur l’intelligence artificielle). Mais depuis le 6 décembre, une nouvelle étape a été franchie puisque Grok, un an après son lancement, est désormais disponible gratuitement pour tous les utilisateurs de X, et plus seulement les comptes payants.
Lire la suite : https://www.telerama.fr/debats-reportages/avec-grok-elon-musk-se-sert-de-l-ia-pour-transformer-x-en-robinet-a-fake-news-7023461.php
Paiement
Face à la menace russe et aux cyberattaques, la Suède comme la Norvège reviennent vers les paiements en espèces
franceinfo - Par Ottilia Ferey
Publié le 12 décembre 2024
En Suède, payer par carte ou via mobile est la norme. Mais avec le risque de guerre et de cyberattaques venues de l’Est, la Banque de Suède souhaite faire marche arrière en réintégrant l’argent en espèce dans le quotidien des Suédois.
La Suède est un eldorado de l’argent dématérialisé et pour trouver un distributeur, il faut s'armer de patience. On peut tout payer digitalement, sans minimum d’achat, que ce soit un paquet de chewing-gum, un ticket de bus ou même pour verser son obole à l’église. Quatre transactions sur cinq se font de façon électronique. Et la carte bleue est presque devenue "has been". Les Suédois utilisent Swish depuis 2012, un service de paiement instantané électronique mis en place par les banques du pays.
Le pays compte 10 millions d'habitants, technophiles et connectés pour la plupart, à l’image d’Anika qui fait ses courses au supermarché. "Je ne sais pas la dernière fois que j’ai eu de l’espèce sur moi, s'exclame-t-elle. J’y suis si peu familière que je ne sais même plus à quoi certaines pièces ressemblent." Même si on arrive à mettre la main sur des billets, encore faut-il pouvoir s’en servir, parce qu’en Suède, de nombreux commerces n’acceptent tout simplement pas le liquide. Même dans des cafés, bars, restaurants et magasins du centre de Stockholm, les commerçants répondent le plus souvent : "Swish ou carte, personne ne prend de l’espèce ici."
Une force transformée en talon d'Achille
Intelligence artificielle
« Nous avons déjà atteint l’AGI » : cet employé d’OpenAI avoue enfin la vérité !
Publié le 10 décembre 2024
Quelques jours après la sortie officielle du modèle o1 d’OpenAI, une déclaration inattendue a enflammé les réseaux sociaux. Apparemment, un employé de l’entreprise a déclaré sur X que l’intelligence artificielle générale (AGI) serait déjà une réalité. Mais que cache réellement cette affirmation ? L’article vous décortique tout ça !
L’intelligence artificielle générale, ou AGI, représente depuis longtemps un objectif presque mythique dans le domaine de l’IA. Cette technologie-là sera capable de rivaliser avec l’intellect humain dans n’importe quel domaine, une prouesse qui semblait impossible… jusqu’à aujourd’hui.
Le 5 décembre, OpenAI a dévoilé son modèle o1. Mais c’est cette déclaration de Vahid Kazemi, un membre de son équipe technique, a déclenché une avalanche de débats. « À mon avis, nous avons déjà réalisé l’AGI » a-t-il publié sur X. Une affirmation audacieuse, certes, mais nuancée par des réserves.
L’AGI est déjà parmi nous d’après cet employé d’OpenAI
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Google entre dans l'« ère de l’agentique »
lapresse.ca - par ALAIN MCKENN
Publié le 11 décembre 2024
Le géant numérique californien a lancé mercredi la deuxième génération de son intelligence artificielle (IA) générative Gemini. Gemini 2.0 est conçue pour mieux vous convaincre d’utiliser l’IA, par l’intermédiaire des agents et des assistants plus autonomes, plus factuels, bref, plus fiables que l’IA générative actuelle.
Concrètement, Google a mis en ligne une version expérimentale de Gemini 2.0 Flash, la version allégée de son IA générative. Elle est accessible immédiatement par l’intermédiaire de ses interfaces de programmation et d’entraînement de modèles de langage AI Studio et Vertex AI. Elle sera graduellement intégrée à l’application Gemini en version mobile et pour ordinateur personnel.
Ce sera aussi cette nouvelle version de Gemini qui sera intégrée au moteur de recherche de Google, et qui produira les résumés fournis en en-tête des résultats de recherche.
Quelle est la promesse de Gemini 2.0 ?
Malgré tout l’engouement pour les applications comme ChatGPT, d’OpenAI, et Copilot, de Microsoft, il reste que l’IA générative est globalement très imparfaite. Que ce soit dans sa façon de générer du texte ou des images, il lui manque encore une bonne dose de jugement qui lui éviterait par moments d’écrire ou de dessiner un peu n’importe quoi. Ces écarts, élégamment qualifiés jusqu’ici d’« hallucinations », ont limité une adoption plus formelle et plus répandue des outils d’IA, que ce soit pour le travail ou pour les loisirs.
Lire la suite : https://www.lapresse.ca/affaires/techno/2024-12-11/gemini-2-0/google-entre-dans-l-ere-de-l-agentique.php
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La plupart des gens ne réaliseront pas l’arrivée de l’Intelligence Artificielle Générale
Publié le 08 décembre 2024
- Certains estiment que les modèles o1 d’OpenAI se rapprochent d’une intelligence générale artificielle.
- o1 surpasse les humains dans certaines tâches, notamment en science, en mathématiques ou en programmation.
- Selon certains experts en IA, la plupart des gens ne réaliseront pas immédiatement l’arrivée de l’AGI.
- AI-driven smart home security systems
L’intelligence artificielle progresse rapidement, mais son impact sur la vie quotidienne des individus pourrait passer inaperçu.
Récemment, OpenAI a dévoilé ses derniers modèles o1 dans le cadre de leur campagne Shipmas. La société affirme que ces modèles sont “conçus pour passer plus de temps à réfléchir avant de répondre”.
Pour certains, o1 représente une étape vers l’atteinte d’une intelligence générale artificielle — une forme théorique d’IA capable d’égaler ou de dépasser l’intelligence humaine — sans que nous en soyons vraiment conscients.
Le professeur de Wharton et expert en IA, Ethan Mollick, a partagé sur X : “Des modèles comme o1 suggèrent que la plupart des gens ne remarqueront généralement pas les systèmes d’AGI qui surpassent les humains dans la majorité des tâches intellectuelles, tout en n’étant pas autonomes ou auto-dirigés. La plupart des personnes n’ont pas beaucoup de tâches qui confrontent les limites de l’intelligence humaine, donc elles ne le verront pas.”
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/la-plupart-des-gens-ne-realiseront-pas-larrivee-de-lintelligence-artificielle-generale/
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Détection précoce des épidémies : l'OMS mise sur l'intelligence artificielle
news.aniamey.com - par Autre presse par DR
Publié le 11 décembre 2024
En Afrique, 39 des 47 pays couverts par l’OMS utilisent déjà le système d’Intelligence Épidémique à partir de Sources Ouvertes (EIOS) permettant de détecter 50 % des événements sanitaires en moins de sept jours grâce à l’intelligence artificielle, une avancée majeure pour anticiper et gérer les épidémies, se félicite l’organisme onusien en charge de la santé mondiale.
Peut-on prédire la prochaine épidémie ? Face à des menaces sanitaires globales de plus en plus fréquentes et complexes, l’intelligence artificielle (IA) s’impose comme un outil essentiel pour révolutionner la santé publique.
A l’ouverture, ce mardi 10 décembre 2024 à Dakar, de la 5e réunion technique mondiale du système EIOS (Intelligence Épidémique à partir de Sources Ouvertes), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis en avant le potentiel de ces technologies dans la détection précoce des épidémies.
L’objectif est de permettre une anticipation accrue et une réponse rapide aux crises sanitaires, grâce à une analyse en temps réel des données issues de sources ouvertes telles que les réseaux sociaux, les médias et les bases de données publiques.
« Grâce à ces outils, nous avons réussi à réduire considérablement le temps nécessaire pour détecter des événements sanitaires majeurs. Aujourd’hui, la majorité des alertes détectées via EIOS apparaissent en moins de sept jours, ce qui sauve littéralement des vies », a affirmé Dr Abdoul Salam Guèye, Directeur régional des urgences en Afrique.
Lire la suite : http://news.aniamey.com/h/122031.html
Désinformation
Présidentielle annulée en Roumanie : au-delà de TikTok, la campagne de désinformation a également été active sur Facebook.
frantvinfo.fr - par Armêl Balogog Radio France
Publié le 11 décembre 2024
L'entreprise finlandaire CheckFirst affirme qu'une campagne de désinformation a été menée depuis le mois d'août sur Facebook pour influencer l'élection présidentielle roumaine.
C'est une décision extrêmement rare. La Cour constitutionnelle roumaine a décidé, vendredi 6 décembre, d'annuler le premier tour de l'élection présidentielle en Roumanie, car elle soupçonne des ingérences russes via le réseau social TikTok d'avoir œuvré pour influencer l'issue du scrutin en faveur du candidat d'extrême droite Câlin Georgescu.
Mais un rapport de CheckFirst, une entreprise finlandaise spécialisée dans la lutte contre la désinformation, montre que la désinformation autour de cette élection a aussi été propagée sur le réseau social Facebook.
Plus de 3 600 contenus politiques, théories complotistes et fausses informations
Cette désinformation passe par 24 pages qui se présentent comme des médias indépendants, mais qui ont diffusé de façon coordonnée, depuis le mois d'août, 3 640 contenus politiques, théories conspirationnistes et fausses informations pour attaquer la candidate pro-européenne et pour plaider en faveur des candidats d'extrême droite. Ces publications se sont accélérées et amplifiées à l'approche du premier tour de la présidentielle.
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Australie : après l'abandon d'un ambitieux projet de loi contre la désinformation, RSF appelle à une régulation des plateformes en ligne
RSF.org/fr
Publié le 11 décembre 2024
À la suite de la décision du gouvernement australien d'abandonner sa proposition de loi visant à lutter contre la désinformation diffusée par les plateformes numériques, Reporters sans frontières (RSF) appelle les forces politiques australiennes à travailler ensemble à l'élaboration d'une loi appropriée pour répondre à ce problème croissant. Alors que les plateformes telles que X posent de nouveaux défis aux démocraties et l'accès à l'information journalistique, les gouvernements démocratiques ne doivent plus s'empêcher de réguler les géants de la tech.
Le 24 novembre, la ministre australienne des Communications, Michelle Rowland, a annoncé le retrait d'un projet de loi sur la désinformation et la mésinformation, en raison d'un manque de soutien au Sénat.
Ce projet de loi visait à obliger les plateformes numériques à gérer les risques de désinformation et à améliorer la transparence dans le traitement de ces contenus. Il proposait une série de sanctions, notamment des amendes, pouvant aller jusqu'à 5 % du chiffre d'affaires global des plateformes en ligne, si elles ne parvenaient pas à endiguer la diffusion de fausses informations. Le projet de loi avait fait l'objet de critiques de la part des partis d'opposition australiens qui le considéraient comme une menace potentielle pour la liberté d'expression en ouvrant lavoie vers la censure.
“L'abandon d'une loi visant à freiner la prolifération de contenus faux et trompeurs, en particulier à l'approche des élections fédérales australiennes, est une décision regrettable. La lutte contre la désinformation et les fausses informations sur les plateformes en ligne est une question cruciale qui doit transcender les clivages politiques. Nous demandons que ce projet de loi soit relancé avec des mesures appropriées pour freiner la désinformation et la mésinformation tout en garantissant la liberté de la presse et l'accès à l'information. Les démocraties comme l'Australie doivent prendre leurs responsabilités en régulant les plateformes pour s'assurer qu'elles servent le droit du public à l'information et qu'elles respectent la liberté de la presse.”
Blockchain
Lightchain AI : La Révolution de la Blockchain par l’IA
lesnews.ca - Par Faudel Tannouh
Publié le 08 décembre 2024
Alors que la technologie blockchain continue de mûrir, la compétition pour surmonter les défis liés à l’évolutivité, à l’efficacité et à la durabilité s’intensifie. Les analystes portent leur attention sur le Lightchain Protocol AI, une blockchain qui pourrait redéfinir la technologie décentralisée en 2025.
En intégrant l’intelligence artificielle (IA) au cœur de ses opérations, Lightchain AI promet de pallier les limitations des blockchains traditionnelles tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour les applications décentralisées (dApps). Pour ceux qui souhaitent participer à cette transformation, la prévente Lightchain permet d’obtenir les tokens Lightchain (LCAI), le moteur de cette plateforme de nouvelle génération.
Pourquoi Lightchain AI se distingue-t-elle ?
Le Lightchain Protocol AI se démarque par son approche novatrice qui fusionne blockchain et IA. Son mécanisme de consensus, nommé Proof of Intelligence (PoI), remplace le minage énergivore par des tâches computationnelles significatives. Plutôt que de s’appuyer sur des systèmes traditionnels de preuves de travail ou de participation, le PoI récompense les nœuds pour l’exécution de tâches liées à l’IA, telles que l’analyse de données et l’apprentissage automatique. Cette méthode assure non seulement la sécurité du réseau, mais contribue également à faire progresser la recherche et les applications en intelligence artificielle.
Une autre caractéristique majeure est la Machine Virtuelle d’Intelligence Artificielle (AIVM), une couche computationnelle conçue spécifiquement pour exécuter des opérations pilotées par IA. Cela permet aux dApps basées sur Lightchain AI d’intégrer des fonctionnalités d’IA en temps réel, allant de l’analyse prédictive à la prise de décision automatisée, rendant ainsi les systèmes décentralisés plus intelligents et efficaces.
Résoudre les grands défis de la blockchain
Lire la suite : https://lesnews.ca/intelligence-artificielle/lightchain-ai-la-revolution-de-la-blockchain-par-lia/
Cybersécurité
27 grosses plateformes d'attaques DDoS démantelées par Europol, aidée de la France
clubic.com - Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.
Publié le 11 décembre 2024 à 11h26
Europol et les forces de l'ordre de 15 pays annoncent avoir démantelé 27 plateformes proposant des services d'attaques DDoS à la demande, dans le cadre de l'opération PowerOFF. Un coup dur porté aux cybercriminels.
Les autorités du monde entier, parmi lesquelles la police nationale française, viennent de frapper un grand coup sur le terrain de la lutte contre la cybercriminalité. La période des fêtes approche et avec elle, son lot habituel de cyberattaques visant à perturber les services en ligne. Une vaste opération internationale coordonnée par Europol vient de neutraliser 27 sites proposant des services d'attaques DDoS, conduisant à l'arrestation de trois administrateurs en France et en Allemagne. Plus de 300 utilisateurs de ces plateformes ont également été identifiés, ce qui laisse présager d'autres interpellations dans les semaines à venir.
Un coup de filet majeur contre le vaste monde des attaques DDoS
Que s'est-il passé ? Les services connus sous le nom de « booter » ou « stresser » permettaient à leurs clients de lancer des attaques par déni de service distribué (DDoS) contre des cibles choisies, pour paralyser leur activité en ligne. Ces plateformes, dont certaines comme zdstresser.net ou orbitalstress.net étaient particulièrement populaires, offraient leurs services illégaux au plus grand nombre, sans considération pour les dommages causés aux entreprises et aux particuliers.
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-546794-grosses-plateformes-d-attaques-ddos-demantelees-par-europol-aidee-de-la-france.html
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La navigation sur internet d’un employé : l’angle mort de la cybersécurité
itsocial.fr Par Philippe Richard -
Publié le 13 décembre 2024
La combinaison des accès à privilèges et de certaines actions inquiétantes des employés accroît les risques de sécurité pour les entreprises. Les équipes de sécurité doivent repenser la manière dont les contrôles de sécurité des identités sont appliqués aux employés dans les nouveaux environnements de travail.
Pendant longtemps, les méthodes standard de sécurisation des accès du personnel se sont appuyées sur des fonctionnalités de base telles que l’authentification unique de type SSO. Or cette approche ne tient pas compte de la réalité des collaborateurs modernes et de la nature changeante des identités : un collaborateur lambda peut être un utilisateur occasionnel et, l’instant d’après, devenir un compte à privilèges.
Réalisée auprès de 14 003 employés occupant des fonctions majeures au sein d’entreprises, une enquête de CyberArk, spécialisé dans la sécurité des identités, souligne la nécessité d’évoluer vers un modèle où l’accès des employés n’est pas seulement géré, mais également sécurisé.
Travail hybride
Lire la suite ; https://itsocial.fr/metiers/metiers-articles/la-navigation-sur-internet-dun-employe-langle-mort-de-la-cybersecurite/
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iPhone et Android : n’envoyez plus du tout de messages ! Le FBI avertit en urgence
legidata.fr- par Ny Ando A.
Publié le 9 décembre 2024
Le FBI et la CISA alerte tous les utilisateurs d’iPhone et d’Android d’opter pour des messages et des appels cryptés autant que possible. Pourquoi ? Les réseaux télécoms américains ont été attaqués. Et les pirates n’ont pas fait les choses à moitié : données volées, communications interceptées, tout y est passé.
C’est un véritable tremblement de terre numérique à en juger par la réaction des autorités américaines. Ils changent de discours et prônent le chiffrement des communications.
Le FBI évoque ici un « chiffrement géré de manière responsable », sous-entendant une possible forme d’accès légal. C’est surprenant.
D’habitude, ces institutions sont contre le chiffrement de bout en bout, qui les empêche d’accéder aux données, même avec une autorisation judiciaire.
Le FBI a l’air de paniquer, mais que se passe-t-il exactement ?
Cette attaque, ciblant les réseaux télécoms américains, est attribuée à une opération chinoise surnommée Typhon Salt. Et non, il ne s’agit pas d’un événement météorologique.
Les autorités ont averti qu’on est ici face à une campagne de cyberespionnage de grande ampleur. Les pirates ont volé d’importantes métadonnées notamment des lieux, horaires et contacts des communications.
Cependant, un responsable du FBI a tenu à préciser que dans la majorité des cas, ces informations ne contiennent ni texte ni contenu vocal. Il convient tout de même de noter que les hackers ont bel et bien pu accéder à certains contenus des appels et des messages.
Les autorités sont alors clairs : évitez les SMS standards et les RCS (Rich Communication Services) non entièrement sécurisés. Même la nouvelle option RCS d’Apple pour les utilisateurs Android n’offre pas de protection suffisante.
Comment faire alors ?
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Les bots malveillants s’humanisent de plus en plus
itsocial.fr - Par Philippe Richard -
Publié le 09 décembre 2024
Dans son dernier « Threat Report », les chercheurs de Barracuda ont constaté que les bots malveillants, des logiciels conçus pour automatiser des activités en ligne à grande échelle, s’humanisent de plus en plus pour faire face aux outils de détection automatique.
Il y a urgence. Les robots malveillants sont une menace nouvelle pour les entreprises. Ils peuvent voler des données, commettre des fraudes, exploiter des vulnérabilités, surcharger le trafic des sites web, diffuser des spams, fausser les analyses commerciales, perturber les services client légitimes et bien plus encore.
Les robots malveillants représentent aujourd’hui 24 % du trafic internet, contre 39 % en 2021. Par ailleurs, le nombre de « bad bots » a augmenté. Il représente désormais 44 % des détections contre 36 % il y a un an. Les bots simulent de mieux en mieux les comportements humains en ligne ! Près de la moitié (49 %) des bots ont été classés dans la catégorie des « bots avancés ».
Grey bots
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État des lieux de la cybersécurité mondiale
lesnews.ca - par Julien Macé
Publié le 08 décembre 2024
Quand les dirigeants technologiques mondiaux prennent du recul pour examiner les diverses cyberattaques, les risques technologiques et leur situation générale en matière de cybersécurité, de nombreuses similitudes émergent, quel que soit l’endroit où l’on se trouve internationalement.
La semaine prochaine, cette chronique « Lohrmann sur la cybersécurité » se penchera sur les principales actualités des États-Unis dans notre revue annuelle de la cybersécurité pour 2024, ainsi que sur de nombreux autres thèmes connexes liés aux incidents de cybersécurité « de second plan ».
Mais avant cela, je souhaite explorer deux nouveaux rapports internationaux et leurs implications pour l’avenir de la cybersécurité.
Ces deux rapports proviennent de l’Union européenne et d’Afrique du Sud, et offrent tous deux d’excellents aperçus des situations actuelles en matière de cybersécurité dans leurs régions respectives, avec des implications mondiales.
Le premier rapport de l’UE sur l’état de la cybersécurité
Comme décrit dans un communiqué de presse du 3 décembre 2024 provenant de l’Agence européenne pour la cybersécurité (ENISA), « ce rapport résulte d’une consultation approfondie avec les 27 États membres de l’UE et la Commission européenne. »
Le rapport complet peut être téléchargé ici au format PDF.
Lire la suite : https://lesnews.ca/tech/cybersecurite/etat-des-lieux-de-la-cybersecurite-mondiale/
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Détection proactive de la fraude par une analyse approfondie des comportements clients
informatiquenews.fr - par Luis Junes, Feedzai
Publié le 10 décembre 2024
Les avancées en intelligence artificielle redéfinissent la sécurité financière en détectant les schémas inhabituels dès leur apparition. Face à l’évolution constante des menaces, les systèmes de prévention s’appuient sur l’IA pour lutter contre la fraude, détecter les anomalies en temps réel tout en garantissant une expérience utilisateur fluide et sécurisée.
Avec des tactiques de fraude de plus en plus sophistiquées, une approche réactive traditionnelle qui identifie la fraude seulement après la réalisation des transactions est insuffisante. Les fraudeurs actuels utilisent les fuites de données et les identités volées pour contourner les systèmes, ce qui rend nécessaire un changement vers la prévention proactive de la fraude.
En analysant de grands ensembles de données et en utilisant des statistiques en temps réel, l’IA révolutionne la prévention de la fraude, permettant aux institutions d’identifier des schémas de fraude avant même que les transactions ne se produisent. Les approches basées sur l’IA ont permis aux entités financières de réduire considérablement le temps de détection de la fraude et d’améliorer les taux de réponse, ce qui démontre un changement fondamental vers un modèle prédictif et préventif.
1- L’IA comme outil de compréhension et d’identification
Lire la suite : https://www.informatiquenews.fr/detection-proactive-de-la-fraude-par-une-analyse-ia-des-comportements-clients-luis-junes-feedzai-102135
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Il n’y a jamais eu autant de cyberattaques qu’en 2024 : mais que font les entreprises ?
numerama.com - par
Publié le 12 décembre 2024
Elles attendent l'application de la directive NIS 2
Le nombre de cyberattaques dans le monde, mais aussi en France est en constante augmentation ces derniers mois. Au point qu’en France, une entreprise sur deux a subi au moins une cyberattaque complète et réussie en 2023. Un danger qu’elles ne peuvent plus ignorer, que ce soit pour leur propre avenir ou pour la sécurité de leurs clients.
Tous les acteurs de la cybersécurité s’accordent sur un point : il n’y a jamais eu autant de cyberattaques qu’en 2024. Microsoft parlait en octobre dernier d’« une augmentation de 20 % par rapport à l’année précédente » tandis que l’ANSSI constatait fin juillet une hausse de « +40 % d’atteintes numériques en 5 ans ». Les cyberattaques ne sont plus une menace « qui arrive aux autres », c’est une menace quotidienne.
Dans ce contexte, se protéger n’est plus suffisant. L’humain est souvent la première faille que cherchent à exploiter les attaquants. La prévention devient alors la première ligne de défense des organisations. La prévention, c’est justement le domaine de la société française Mailinblack. Avec sa solution U-Cyber 360°, elle est capable de protéger, sensibiliser, former le personnel de n’importe quelle organisation.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1863102-il-ny-a-jamais-eu-autant-de-cyberattaques-quen-2024-mais-que-font-les-entreprises.html
Thales
AVINOR sélectionne THALES pour déployer un système dernière génération de gestion du trafic des drones en Norvège.
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 09 décembre 2024
Thales et Avinor ont conclu un partenariat pour le déploiement d’un système de gestion du trafic des drones (UTM) nouvelle génération en Norvège, améliorant la gestion de l’espace aérien national pour les aéronefs pilotés et autonomes, tout en assurant une stricte conformité aux réglementations européennes.
- Le système Topsky - UAS, bénéficiant de la technologie AstraUTM, fournira une plateforme automatisée et adaptable pour la gestion en temps réel du trafic aérien. Il permettra de superviser la conformité et d'assurer la sécurité de l'intégration des drones, ouvrant ainsi la voie à des opérations de mobilité aérienne efficaces en Norvège.
- Le nouveau système UTM soutient la vision de la Norvège d’aéronefs sans pilotes, permettant des opérations sûres et évolutives, ainsi que, à l’avenir, le déploiement de solutions de mobilité aérienne avancée (AAM), opérant en parallèle de l’aviation traditionnelle.
Ce partenariat stratégique avec Avinor, le prestataire norvégien de services de navigation aérienne et opérateur d’aéroport, permettra de déployer le système de gestion du trafic des drones dernière génération dans le pays. Combinant innovation et stricte conformité aux réglementations en vigueur, cette collaboration constitue une avancée majeure dans la gestion de l’espace aérien norvégien. Elle marque également un jalon significatif pour Thales dans son intégration d’AstraUTM, un leader dans le développement des logiciels de gestion UTM, récemment acquis par le Groupe.
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ATOS
Le groupe NTT choisit Evidian Identity Governance & Administration comme pierre angulaire de son infrastructure de gestion des identités au Japon
Publié le 10 décembre 2024
Source : Atos International Communiqué de presse
Le groupe NTT choisit Evidian Identity Governance & Administration comme pierre angulaire de son infrastructure de gestion des identités au Japon
L'un des plus grands déploiements d'IGA au Japon, assurant la gouvernance et l'évolutivité de la gestion des identités et des droits pour 250 000 employés au sein du groupe NTT.
Paris, France - 10 décembre, 2024 - Eviden, la ligne d’activité du Groupe Atos leader dans les domaines du numérique, du cloud, du big data et de la sécurité, annonce aujourd'hui que le Groupe NTT a choisi sa solution Identity Governance and Administration (IGA) pour assurer la gouvernance et l'évolutivité de la gestion des identités et des droits de l'ensemble de ses quelque 250 000 employés au Japon. Cette mise en œuvre est l'un des plus grands projets IGA au monde renforcera la cybersécurité du groupe NTT tout en assurant la gouvernance de la gestion des identités et des droits pour l'ensemble de ses employés.