Revue de Presse ADCET n° 36 - Lundi 8 juillet 2019

Revue de Presse ADCET n° 36 - Lundi 8 juillet 2019

Note : La revue de presse part en vacances, elle reparaîtra le 12 aoûts 2019. Bonnes vacances.

Nouvelle rubrique : Nouvelles Technologies (Biométrie, Internet des Objets, Intelligence Artificielle, 5G, Cybercriminalité

Les titres auxquels vous ne pouvez échapper

• Transports

- Transpolis : le laboratoire des transports du futur

-Les Hauts-de-France se mettent aux transports urbains électriques

-Jeunes : comment bénéficier de transports moins chers ?

- Aix-en-Provence : Keolis rempile pour neuf ans

-Le téléphérique urbain de Toulouse enfin « sur les rails »

Mobilité

-Mobilité : ce qui change aujourd'hui dans la Métropole Aix-Marseille

-Rennes: Tarifs en baisse, inscription en ligne, réseau élargi… Avec Citiz, la Métropole veut développer l’autopartage

-Nantes combine covoiturage avec transports publics avec Klaxit

-MyBus : une application pour prendre le bus à Limoges avec son smartphone

• Billettique

- Chambery : les tarifs de bus changent à partir du 1er juillet

• RGPD

- Un an après l’entrée en vigueur du RGPD, Iron Mountain publie son Guide des bonnes pratiques regroupant toutes les recettes pour une Gouvernance de l’information conforme au texte européen

- 82% des Français ne savent pas que leur voix est une donnée personnelle protégée par le RGPD !

- RGPD / GDPR : les mobiles, maillon faible d'une politique de sécurité

• Transports gratuits

- Angers. Transports urbains : une étude sur les enjeux de la gratuité

 

Nouvelles technologies

• Biométrie

- Le Pentagone est désormais capable d'identifier une personne grâce à son rythme cardiaque

- Les mots de passe ne remplissent plus leur rôle

- Pour 61% des Français, la biométrie est l'avenir des paiements

• Internet des Objets

- IoT : l’Internet des objets s’inscrit dans la feuille de route des DSI (infographie)

• Intelligence Artificielle

- Comment l’intelligence artificielle améliore la sécurité, sur le web et en vrai

• 5G

-Voitures connectées : L'UE rejette le WiFi et choisit la 5G

• Cybercriminalité

-Orange lance une campagne inédite de sensibilisation aux cyber-attaques

 

Les articles à lire

 

TRANSPORTS

Transpolis : le laboratoire des transports du futur

lci.fr

C'EST POUR BIENTÔT - Comment allons-nous nous déplacer dans les années à venir ? Pour le savoir, voici une visite guidée de Transpolis, un laboratoire urbain où l'on croise de curieux véhicules. Ceux du futur.

Transpolis est une ville virtuelle, un laboratoire conçu pour tester les technologies et les équipements urbains du futur. Vingt millions d'euros ont été investis dans cette ancienne base militaire de 80 hectares. Actuellement, 320 kilomètres de fibre optique et des centaines de capteurs y sont installés. 
Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 01/04/2019 présenté par Gilles Bouleau sur TF1. Vous retrouverez au programme du JT de 20H du 1er avril 2019 des reportages sur l'actualité politique économique, internationale et culturelle, des analyses et rebonds sur les principaux thèmes du jour, des sujets en régions ainsi que des enquêtes sur les sujets qui concernent le quotidien des Français.

Visionnez la video de LCI : https://www.lci.fr/high-tech/transpolis-le-laboratoire-des-transports-du-futur-2117191.html

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Les Hauts-de-France se mettent aux transports urbains électriques

Après la capitale de Picardie, Amiens, et son réseau de 43 bus électriques lancé en mai, la région vient d'ouvrir dans le Pas-de-Calais la première ligne de bus dit « à haut niveau de service » (BHNS), roulant à l'hydrogène. Du jamais vu en France.

Les Hauts-de-France veulent faire la course en tête dans le domaine des transports urbains verts. Le Syndicat mixte des transports Artois-Gohelle (Pas-de-Calais) a ainsi doublé la ville de Pau, en présentant, il y a quelques jours, la première ligne de bus à haut niveau de service (BHNS) roulant à  l'hydrogène de l'Hexagone. Reliant les communes d'Auchel et de Bruay-la-Buissière, le service sur ce circuit d'une longueur de 13 kilomètres est assuré par six véhicules Businova H2, conçus par la société albigeoise Safra.

Ces bus, opérés par Transdev sous le nom de Tadao, sont équipés de batteries lithium-ion et de piles à combustible de 30 kW développées par  Symbio , une filiale du groupe Michelin. Leur approvisionnement sera assuré grâce à une station d'hydrogène de 70 kW, réalisée par Engie et McPhy. De quoi permettre aux bus de parcourir 420.000 km par an en ne rejetant que de l'eau. Selon les responsables du projet, l'économie annuelle de CO2 avoisinera 530 tonnes.

« L'ex-Bassin minier est passé du charbon et de la première révolution industrielle à l'H2 et la troisième révolution industrielle », se félicite le président du Syndicat mixte, Laurent Duporge. Ce projet de bus à hydrogène a coûté près de 13 millions d'euros sur les 405 millions investis pour la réorganisation du réseau local de transports. Après d'importants travaux de voirie, 41 bus hybrides de 18 mètres de long avaient déjà été mis en service en avril.

43 bus électriques à Amiens

Lire la suite : https://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/les-hauts-de-france-se-met-aux-transports-urbains-electriques-1034992

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Jeunes : comment bénéficier de transports moins chers ?

services-publics.fr - Direction de l’information légale et administrative
Publié le 1 juillet 2019

Carte jeune, TGVMAX, Forfait étudiant, Carte imagineR, Ticket Jeunes, Carte scolaire, abonnement... Service-public.fr vous explique, région par région et selon votre situation, comment profiter des offres tarifaires destinées aux élèves, étudiants ou apprentis pour les déplacements quotidiens en train.

Dispositifs nationaux gérés par la SNCF, abonnements à tarif réduit ou prises en charge financières par les régions, les départements ou les communes : des tarifs spécifiques sont prévus pour les jeunes afin de leur permettre de voyager moins cher avec les transports en commun.

La fiche « Transports : quelles réductions pour les jeunes et les étudiants ? » fait le point sur ces aides dans 12 régions : Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne Franche-Comté, Bretagne, Centre-Val de Loire, Grand Est, Hauts-de-France, Île-de-France, Normandie, Nouvelle-Aquitaine, Occitanie, Pays de la Loire, Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Lire la suite : https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13477

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Aix-en-Provence : Keolis rempile pour neuf ans

tpbm-presse.com - William Allaire
Publié le 4 juillet 2019

La métropole Aix-Marseille-Provence vient de prolonger de neuf ans le contrat de délégation de service public (DSP) de Keolis pour l'exploitation du réseau Aix En Bus.

A quelques mois du terme du contrat, la métropole Aix-Marseille-Provence vient de proroger la délégation de service public (DSP) de Keolis pour la gestion du réseau de transport urbain d'Aix-en-Provence et de trois communes périphériques (Le Tholonet, Saint-Marc-Jaumegarde et Venelles). Cette nouvelle DSP qui court sur neuf années à compter du 4 novembre 2019 représente un chiffre d'affaires prévisionnel de 47 millions d'euros. Un montant qui inclut également la gestion de sept parkings-relais, contre trois dans l'actuel contrat.

La filiale de la SNCF s'engage à faire progresser la fréquentation du réseau Aix en Bus de 31% et les recettes de 40%. Un réseau appelé à vivre une petite révolution dès le mois de septembre prochain avec la mise en service de l'Aixpress, la première ligne aixoise de bus à haut niveau de service (BHNS). Si l'exploitation (maintenance et conduite) de ce nouveau mode sera assurée par la Régie des transports de la Métropole (RDT), Keolis prendra en charge sa gestion commerciale et son intégration au réseau Aix en Bus.

La flotte va passer à l'électrique

Lire la suite : https://www.tpbm-presse.com/aix-en-provence-keolis-rempile-pour-neuf-ans-3038.html

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Le téléphérique urbain de Toulouse enfin « sur les rails »

lepoint.fr - De notre correspondant à Toulouse, Stéphane Thépot
Publié le 5 juillet 2019

Le « coup d'envoi » symbolique à la construction d'un téléphérique à Toulouse est donné ce vendredi. La ligne devrait entrer en service dès la fin 2020.

On en parle depuis plus de dix ans, mais cette fois, c'est certain : Toulouse ajoutera un téléphérique dès la fin 2020 à son offre de transports urbains. Les travaux ne seront lancés qu'à la rentrée, mais les élus de la métropole ont tenu à donner dès ce vendredi le « coup d'envoi » symbolique de ce projet qui commençait à ressembler à une Arlésienne sur les bords de la Garonne.

lire la suite : https://www.lepoint.fr/economie/le-telepherique-urbain-de-toulouse-enfin-sur-les-rails-05-07-2019-2322849_28.php

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Ile-de-France: le soir, les passagers peuvent désormais descendre à la demande dans 60 lignes de bus

bfmtv.com - Cyrielle Cabot
Publié le 1 juillet 2019

Ce service était expérimenté depuis mars 2018 sur onze lignes de bus en Seine-et-Marne et Seine-Saint-Denis. Après des "résultats positifs" des tests, Ile-de-France Mobilités a annoncé ce jeudi étendre le dispositif.

Depuis ce lundi, 60 lignes de bus circulant en banlieue parisienne proposent un service d'arrêt à la demande. La nuit, à partir de 22 heures, les passagers pourront demander au chauffeur de s'arrêter entre deux arrêts, au plus près de leur domicile. Il leur suffira de le signaler au conducteur dès leur entrée dans le bus. 

Ce service était expérimenté depuis mars 2018 sur onze lignes de bus en Seine-et-Marne et Seine-Saint-Denis. Après des "résultats positifs" des tests, Ile-de-France Mobilités a annoncé ce jeudi étendre le dispositif.

Lire la suite : https://www.bfmtv.com/societe/les-passagers-peuvent-desormais-descendre-a-la-demande-dans-60-lignes-de-bus-en-banlieue-parisienne-1723646.html

 

MOBILITE

Mobilité : ce qui change aujourd'hui dans la Métropole Aix-Marseille

Nouveaux tarifs RTM, fermeture du parking relais de La Rose et déplacements de lignes de bus sont actés ce lundi

laprovence.com - Laurence Mildonian

Avant la livraison du nouveau pour 15 M€, le parking aux 400 places sera démoli et des fouilles entreprises durant trois mois.

C'est une petite révolution que vont connaître les lignes historiques de bus du centre-ville de Marseille et à laquelle des agents de la RTM tentent de préparer les usagers en allant à leur rencontre depuis une semaine. Conséquence immédiate de la requalification du centre-ville et la piétonnisation d'une partie de l'hypercentre, plusieurs lignes de bus vont être bouleversées, voire... disparaître. Dès aujourd'hui, avec la fermeture à la circulation de La Canebière entre le Vieux-Port et la rue Paradis, les arrêts de bus Canebière Vieux-Port, Canebière Saint-Ferréol et Noailles sont supprimés définitivement. Les horaires et itinéraires de certaines lignes de bus seront en outre modifiés.

Lire la suite : https://www.laprovence.com/article/edition-marseille/5573147/mobilite-ce-qui-change-aujourdhui.html

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Rennes: Tarifs en baisse, inscription en ligne, réseau élargi… Avec Citiz, la Métropole veut développer l’autopartage

MOBILITÉ Le service d’autopartage City Roul’ devient Citiz, avec de nouveaux véhicules et une nouvelle application

20minutes.fr - Manuel Pavard 
Publié le 1 juillet 2019

• Le service de véhicules en autopartage de Rennes Métropole intègre le réseau national Citiz à partir du lundi 1er juillet.

• L’adhésion à Citiz permettra aux Rennais d’avoir accès à des voitures dans toute la France et de bénéficier de nouveaux services et de nouveaux véhicules.

• L’un des objectifs affichés est d’offrir une alternative à la voiture individuelle, avec un service complémentaire des transports en commun.

Plus qu’un simple lifting, un passage à la vitesse supérieure. Lancé en 2002, City Roul’, le service de voitures en autopartage de Rennes Métropole devient Citiz à partir de ce lundi. Mais au-delà du changement de nom, l’intégration au réseau coopératif Citiz s’accompagne de plusieurs nouveautés, témoins d’une politique ambitieuse : accroître le nombre d’utilisateurs actifs à Rennes, estimé à environ 1500 aujourd’hui – un chiffre en progression constante ces dernières années.

Lire la suite : https://www.20minutes.fr/rennes/2553251-20190701-rennes-tarifs-baisse-inscription-ligne-reseau-elargi-citiz-metropole-veut-developper-autopartage

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Nantes combine covoiturage avec transports publics avec Klaxit

business.lesechos.fr - Emmanuel Guimard
Publié le 2 juillet 2019

C'est une première française. La start-up parisienne Klaxit va installer à Nantes un système d'information et de facturation combiné, qui permettra aux usagers d'accéder indifféremment au covoiturage et au réseau de bus et tramways de la Semitan, avec la même carte d'abonnement. Ce nouveau service sera lancé fin 2019.

Covoiturer avec son abonnement de transport en commun. C'est la proposition faite par la start-up parisienne Klaxit, conceptrice d'une application de covoiturage courte distance, à la Semitan, société exploitant le réseau Tan des transports publics nantais. L'innovation majeure liée à ce marché public tient donc à la mise en place d'une tarification du covoiturage intégrée et combinée aux formules d'abonnement. Par exemple, un habitant de la périphérie nantaise pourra, avec sa carte d'abonnement, commencer son trajet quotidien en covoiturage puis le terminer en bus, tramway, busway ou navette fluviale. Ce nouveau service doit être lancé à la fin 2019.

La plate-forme assurera aussi la rémunération de l'automobiliste embarquant des passagers selon un tarif qui reste à fixer. D'ici à octobre, Klaxit doit donc travailler sur les interfaces nécessaires entre son système informatique et celui de la Semitan. L'enjeu est de réussir ce système d'information et de facturation combiné : « Cette intégration complète est une première en France et Nantes deviendra une référence pour d'autres villes », assure Julien Honnart, président et cofondateur de Klaxit. La start-up collabore déjà avec une dizaine de villes, dont Toulouse, Clermont-Ferrand, Lannion et Lunéville. Mais, à la différence de Nantes, ces systèmes urbains fonctionnent encore indépendamment des transports publics.

Lire la suite : https://business.lesechos.fr/entrepreneurs/idees-de-business/0601491058704-nantes-combine-covoiturage-avec-transports-publics-avec-klaxit-330320.php

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MyBus : une application pour prendre le bus à Limoges avec son smartphone

lepopulaire.fr -
Publié le 2 juillet 2019

Depuis ce lundi, il est possible d’utiliser son smartphone pour différentes formules de billet de transport en commun, sur le réseau de Limoges Métropole.

L’offre de la Société de transport en commun de Limoges Métropole (STCLM) s’enrichit cette semaine d’un nouveau service sur smartphone. La communauté urbaine rejoint en effet une grandissante liste d’agglomérations françaises déployant l’application MyBus développée par la société française Monkey Factory.

« Nous avons commencé en 2016 en fournissant de l’information aux voyageurs (itinéraires, horaires, correspondances…) et, depuis 2017, nous proposons une solution de ticket de bus dématérialisé le m-ticket », retrace Frédéric Pacotte, cofondateur de l’entreprise.

Comment ça marche ?

Après avoir téléchargé l’application sur Google Play ou l’Apple Store, l’utilisateur peut acheter un billet pour un voyage à 1,40 €, le titre, 10 voyages à 10,60 €, ou les titres journées pour une et cinq personnes aux prix respectifs de 3,90 € et 6 €. « Les transactions par carte bancaire sont gérées et sécurisées par la Caisse d’Épargne, aucun numéro de client n’est enregistré sur le serveur de Limoges Métropole ou de MyBus », précise, question sécurité, Frédéric Pacotte.

Lire la suite : https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/actualites/mybus-une-application-pour-prendre-le-bus-a-limoges-avec-son-smartphone_13597408/

 

BILLETTIQUE

Chambery : les tarifs de bus changent à partir du 1er juillet

ledauphine.com
Publié le 29, Juin 2019

A Chambéry, le conseil communautaire a voté les nouveaux tarifs du réseau Synchro bus, à partir du 1er juillet. Le voyage ne coûtera plus 1,40 € mais 1,20 € avec le “ticket liberté post paiement” (souscription en agence avec une carte OùRA !).

Le réseau veut limiter la vente à bord des bus, d’où leur prix élevé : 1,70 € le voyage sans correspondance, 2,60 € les deux voyages et 4,50 € pour 24 h. Dès lundi, des agents de Keolis conseilleront les usagers sur la formule la mieux adaptée à leurs besoins.

Source : https://www.ledauphine.com/savoie/2019/06/29/chambery-les-tarifs-de-bus-changent-a-partir-du-1er-juillet-transport-prix-synchro-bus

 

RGPD

Un an après l’entrée en vigueur du RGPD, Iron Mountain publie son Guide des bonnes pratiques regroupant toutes les recettes pour une Gouvernance de l’information conforme au texte européen

decideo.fr - Communiqué de Iron Mountain
Publié le 2 Juillet 2019

Le constat est unanime et irrévocable : nous vivons dans un monde qui change. La montée de l’innovation, l’importance de la confidentialité et la croissance du volume de données, sont autant d’éléments qui accompagnent la gouvernance de l’information dans une entreprise. A l’occasion du premier anniversaire du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), Iron Mountain France, filiale du groupe mondial dédié à la conservation, à la protection et à la gestion de l’information, livre sa recette inratable pour assurer une gouvernance de l’information conforme aux nouveaux enjeux des entreprises dans le plus grand respect de la législation.

Les ustensiles indispensables aux durées légales de conservation 

A travers ce guide de bonnes pratiques, Iron Mountain présente une compilation des ingrédients incontournables pour réaliser sa mise en conformité dans les règles de l’art du RGPD. Comment réaliser sa mise en place ? Quels outils choisir ? Quels sont les défis que le RGPD représente ? En abordant la question de la protection des données, des droits des personnes mais aussi de la confidentialité et du consentement, ce guide balaye les grands enjeux du texte européen. 

Grâce à des fiches thématiques, retrouvez les objectifs et les points clés du RGPD ainsi que ses conséquences pour l’entreprise. Simples, rapides et faciles à appliquer, Iron Mountain dévoile les recettes qui aideront les entreprises à entrer en conformité avec les textes du règlement. 

Afin de satisfaire les exigences du RGPD et mettre en place une gouvernance qui codifie la protection des données, Iron Mountain propose dans ce guide : 

- des leçons, pas à pas, pour établir une méthodologie qui permettra le bon traitement des données 

- et des fiches pratiques pour éviter les sanctions encourues en cas de non-conformité avec le RGPD. 

Le RGPD, une opportunité pour l’entreprise 

Lire la suite : https://www.decideo.fr/Un-an-apres-l-entree-en-vigueur-du-RGPD-Iron-Mountain-publie-son-Guide-des-bonnes-pratiques-regroupant-toutes-les_a11182.html

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82% des Français ne savent pas que leur voix est une donnée personnelle protégée par le RGPD !

globalsecuritymag - Mediartis
Publié par Mediartis le 1 juillet 2019

A l’heure des « Deepfakes », la capacité des technologies à manipuler des vidéos ou des enregistrements audios inquiètent. Rien que pour la voix, de nombreux logiciels peuvent faire dire n’importe quelle phrase à quelqu’un, simplement à partir d’un échantillon audio de quelques secondes ! Or, notre voix est une donnée personnelle protégée, au même titre que notre image, notre adresse mail ou notre numéro de téléphone…une information toutefois ignorée par une majorité de Français selon le sondage réalisé par Mediartis.com, plateforme conforme au RGPD pour la gestion des « datas-voix » des comédiens.

Les Français et leur voix

Des usages « digitaux » qui se démocratisent : 30% des Français utilisent la saisie vocale de texte (dictée SMS, mails..) tandis que 24% enregistrent des messages vocaux via les réseaux sociaux

Plus de 8 Français sur 10 ne savent pas que leur voix est une donnée personnelle

Uniquement 4 Français sur 10 ont conscience que leur voix peut être reproduite

Les usages « vocaux » de plus en plus présents dans le quotidien des Français

Lire la suite : http://www.globalsecuritymag.fr/82-des-Francais-ne-savent-pas-que,20190702,88694.html

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RGPD / GDPR : les mobiles, maillon faible d'une politique de sécurité

zdnet.fr - Xavier Biseul
Publié le 4 juillet 2019

Technologie : Les smartphones, tablettes et autres portables sont davantage exposés aux fuites de données que les postes fixes, notamment en cas de vol ou de perte. Etat des lieux des mesures que doit prendre un gestionnaire d'une flotte de terminaux mobiles.

Avec le développement du télétravail ou du coworking, la mobilité devient un enjeu d'entreprise avec les risques de sécurité associés mais aussi les exigences nouvelles introduites par le RGPD (GDPR - General Data Protection Regulation). Les ordinateurs portables, les smartphones et autres tablettes ne profitent pas du même niveau de protection que les postes de travail fixes, bien sagement retranchés derrière le firewall et le proxy de l’entreprise.

Il suffit de laisser trainer son smartphone sur une table de restaurant ou se connecter à un wifi public pour s'exposer à un vol de données ou d'identifiants (code IMEI d'un smartphone). Une fuite qui peut ensuite donner lieu à une ransomware ou à une attaque ciblée par ingénierie sociale.

Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/rgpd-gdpr-les-mobiles-maillon-faible-d-une-politique-de-securite-39887145.htm

 

TRANSPORTS GRATUITS

Angers. Transports urbains : une étude sur les enjeux de la gratuité

Le document commandé par Angers Loire métropole nourrira les débats au conseil communautaire lundi 8 juillet.

Le débat de la gratuité des transports urbains est récurrent au conseil communautaire. Il sera plus que jamais d’actualité lundi 8 juillet. Les élus d’Angers Loire métropole (ALM) débattront autour d’une étude commandée par la collectivité.“« À la demande de Frédéric Béatse »”, chef de file de l’opposition angevine (PS), précise Christophe Béchu, président d’ALM (divers droite).

Lire la suite (pour abonnés) https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/angers-transports-urbains-une-etude-sur-les-enjeux-de-la-gratuite-6433704

 

NOUVELLES TECHNOLOGIES

BIOMETRIE

Le Pentagone est désormais capable d'identifier une personne grâce à son rythme cardiaque

usbeketrica.com - Lucile Meunier
Publié le 29 juin 2019

Les États-Unis se sont dotés d’une technologie laser capable d’identifier une personne grâce aux battements de son cœur, à une distance maximum de 200 mètres.

Après avoir déployé en février dernier une technologie capable d’analyser notre démarche, le Pentagone s’attaque à notre rythme cardiaque. Le Département de la Défense des États-Unis peut désormais identifier un individu grâce à un laser qui identifie les battements du cœur à une distance maximum de 200 mètres, a révélé le Massachussets Institute of Technology (MIT) le 27 juin. Cette technologie intitulée Jentson a été créée par l'entreprise américaine Ideal Innovations Incorporated, comme le montrent ces documents officiels du Pentagone publiés en 2017. Elle est en développement depuis au moins deux ans, à la demande des Forces spéciales américaines pour le Pentagone.

Pourquoi privilégier le rythme cardiaque à la reconnaissance faciale, déjà bien développée aux États-Unis ? Car il y a beaucoup d’obstacles à l’identification d’un visage, répond le MIT. L'individu doit être filmé de face, ce qui pose problème aux drones. Sans compter les lunettes, les barbes et les couvres-chefs qui peuvent altérer le fonctionnement du dispositif. Contrairement au rythme cardiaque, qui est unique, constant et ne peut être ni alteré, ni dissimulé. Selon Steward Remaly, qui travaille sur le contre-terrorisme au Pentagone, les résultats peuvent atteindre une précision de 95% si de bonnes conditions sont réunies.

Lire la suite : https://usbeketrica.com/article/le-pentagone-est-desormais-capable-d-identifier-une-personne-grace-a-son-rythme-cardiaque

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Les mots de passe ne remplissent plus leur rôle

lemondeinformatique.fr  - Bastien Lion
Publié le 1 Juillet 2019

Selon une étude commandée par Okta, les enjeux de sécurité liés à l'utilisation de mots de passe en entreprise agiraient négativement sur le moral des employés. La plupart d'entre eux seraient même prêts à adopter des méthodes d'authentification sans mot de passe.

Commandée par l’éditeur Okta, spécialisé dans les solutions de gestion des identités, l’étude « The Passwordless Future Report » montre clairement « que les employés peuvent éprouver des émotions négatives et du stress en raison de l’oubli de mots de passe et que cela peut avoir une incidence non seulement sur leur carrière, mais également sur leur santé émotionnelle ». C’est en tout cas le commentaire qu’en a tiré de Dr Maria Bada, associée de recherche à l’université de Cambridge. Menée par l’institut Opinium auprès de 4 000 employés travaillant au Royaume-Uni, en France et aux Pays-Bas, cette consultation dresse en effet un constat inquiétant sur le rapport entre ceux-ci et leurs mots de passe, en phase avec des études déjà menées ces derniers mois.

78 % des sondés admettent ainsi utiliser une méthode non sécurisée pour mémoriser leurs identifiants, un chiffre qui atteint même 86 % du côté des 18-34 ans. Parmi eux, 34 % se servent d’un même mot de passe pour différents comptes, 26 % les écrivent sur papier, 17 % les enregistrent dans leur smartphone ou leur ordinateur, et 6 % se content d’exemples connus (les fameux 123456, admin ou motdepasse). Seuls 14 % se sont tournés vers un gestionnaire de mots de passe.

Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-les-mots-de-passe-ne-remplissent-plus-leur-role-75790.html

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Pour 61% des Français, la biométrie est l'avenir des paiements

ecommercemag.fr - Salomé Kourdouli 
Publié le 2 juillet 2019 

La moitié des Français affirme avoir déjà consulté son smartphone en magasin, principalement pour se renseigner davantage sur un produit, selon le baromètre « Optimiser le parcours d'achat omnicanal : usages et innovations », réalisé par l'EBG et ses partenaires, Wide et Harris Interactive.

Le baromètre "Optimiser le parcours d'achat omnicanal: usages et innovations" 2019, mené par l'EBG et ses partenaires, Wide et Harris Interactive, révèle la transformation du parcours d'achat des Français avec le numérique. Au cours des 12 derniers mois, les Français ont presque autant acheté en magasin physique (98%) qu'en e-shop (81%). Le type de produit influence le canal d'achat, les voyages et les logiciels sont majoritairement achetés sur Internet (pour respectivement 71% et 67% des sondés), quand les produits du quotidien, comme le prêt-à-porter, les cosmétiques, l'alimentaire l'hygiène et l'entretien sont majoritairement achetés en magasin physique. Pour la prise d'information sur les produits, c'est toutefois le digital qui est préféré.

Lire la suite : https://www.ecommercemag.fr/Thematique/techno-ux-1226/Breves/Pour-Fran-ais-biometrie-est-avenir-paiements-340878.htm

 

INTERNET DES OBJETS

IoT : l’Internet des objets s’inscrit dans la feuille de route des DSI (infographie)

silicon.fr - Ariane Beky
Publié le 1 juillet 2019

Les DSI français inscrivent l’Internet des objets (IoT) dans leur feuille de route. Mais l’heure n’est pas encore aux déploiements à grande échelle.

Les directions des systèmes d’information (DSI) affûtent leur approche de l’Internet des objets (IoT) pour améliorer l’expérience client, la performance opérationnelle et la productivité.

C’est ce que montrent les résultats d’une enquête* menée en France, en partenariat avec Mitel et Orange Business Services, auprès de la communauté Atout DSI.

En 2019, 26% des directions générales et des directions des systèmes d’information interrogées considèrent l’IoT comme une priorité de développement. Tandis que 35% ont déclaré avoir « quelques projets » dans ce domaine.

Ces projets visent surtout à améliorer :

– la satisfaction client (pour 95% des répondants)
– la performance opérationnelle (94%)
– le travail des collaborateurs (87%)
– l’image de l’entreprise (85%)

La possibilité d’obtenir de nouveaux revenus (65%) et de réduire les coûts (63%) suivent. C’est surtout le cas dans l’IoT industriel.

Aussi, les DSI font des processus industriel et des opérations les domaines d’application prioritaires de déploiement de capteurs et d’autres objets connectés.

Pour ce faire, ils mettent l’accent sur la collaboration interne et externe.

IoT industriel et sécurité

84% des répondants pensent que l’IoT augmente la nécessité d’une collaboration entre les équipes IT et les directions métiers.

Lire la suite : https://www.silicon.fr/iot-internet-objets-dsi-infographie-254741.html

 

INTELLIGENCE ARTICIELLE

Comment l’intelligence artificielle améliore la sécurité, sur le web et en vrai
lebigdata.fr - Bastien L 

Publié le 2 juillet 2019

Grâce à l’IA, il est désormais possible de prédire et de détecter les menaces afin de les combattre de façon proactive. Découvrez comment l’intelligence artificielle permet de renforcer la cybersécurité, mais aussi la sécurité dans le monde réel.

L’intelligence artificielle est une technologie au potentiel révolutionnaire pour une multitude de secteurs. Cependant, l’un de ses principaux cas d’usage à l’heure actuelle est la sécurité. Découvrez comment l’IA renforce votre sécurité, aussi bien sur le web que dans le monde réel.

IA et cybersécurité

L’intelligence artificielle et le Machine Learning sont de plus en plus utilisés dans le domaine de la cybersécurité. À l’heure où les cyberattaques sont de plus en plus nombreuses et complexes, l’IA peut être d’un précieux secours.

Elle s’avère particulièrement utile pour les entreprises qui n’ont pas forcément de garder une longueur d’avance sur les hackers. En effet, l’IA peut se baser sur les informations au sujet de toutes les cybermenaces connues à l’échelle mondialeafin de détecter instantanément toute tentative d’attaque. Ceci permet aux utilisateurs de réagir bien plus rapidement.

De plus, grâce au Machine Learning, l’intelligence artificielle peut continuer à s’améliorer au fil du temps et ainsi opposer une solide défense aux cybercriminels. Les IA les plus sophistiquées, à l’instar d’IBM Watson, peuvent même trouver des relations entre les fichiers ou les IP suspects en quelques secondes seulement.

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5G

Voitures connectées : L'UE rejette le WiFi et choisit la 5G

lemondeinformatique.fr - Bastien Lion
publié le 5 Juillet 2019

A l'inverse de ce que souhaitait la Commission européenne, qui militait pour un plan WiFi, les Etats de l'UE ont voté pour la mise en place d'une norme 5G pour les interactions entre voitures connectées.

Alors que la Commission européenne réclamait pour les voitures connectées une norme WiFi que portait notamment Volkswagen, les Etats de l’Union ont rejeté ce mode de fonctionnement pour privilégier la 5G. La France fait partie des 21 pays s’étant opposé à la proposition de la Commission, au côté d’autres nations disposant d’industries automobiles puissantes comme l’Allemagne ou l’Italie. Les législateurs de l’UE avaient pourtant approuvé la mise en place d’un plan WiFi plutôt qu’une norme 5G, rappelle Reuters. Le principal argument du parlement européen résidait dans la disponibilité immédiate du WiFi, contrairement à sa rivale dans ce dossier. Renault et Toyota faisait également partie des défenseurs d’un tel plan, à l’inverse de BMW, Qualcomm, Ford, Ericsson, Deutsche Telecom, Huawei ou encore Intel, partisans de la 5G.

La différence technique entre les deux systèmes est simple. Tandis que le WiFi est capable de connecter les véhicules entre eux, la 5G permet une connexion non seulement des voitures, mais aussi des équipements disponibles dans l’environnement proche. Selon ses défenseurs, cette dernière technologie offrirait un plus large éventail d’accès à des applications dans les domaines du divertissement ou des données de trafic et de navigation. Le vote a été bien accueilli par le groupe de lobbying dans les télécoms ETNO, dont les membres ont largement investi dans la 5G. Les ministres de l'UE doivent se réunir le 8 juillet, date à laquelle ils devraient officiellement rejeter la proposition WiFi.

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CYBERCRIMINALITE

Orange lance une campagne inédite de sensibilisation aux cyber-attaques

orange.com - Communiqué
Publié le 2 juillet 2019

En 2018, des millions de Français ont été touchés par la cybercriminalité, dans leur vie personnelle comme sur leur lieu de travail, avec une perte estimée à plusieurs dizaines de millions d’euros. Pourtant, « 123456 » ou « password » font encore partie des mots de passe les plus utilisés. C’est le « cyber paradoxe » : les menaces sont là mais les comportements digitaux changent peu.

C’est pourquoi Orange lance, du 2 au 9 juillet 2019, une opération citoyenne de sensibilisation au phishing, cyberattaque la plus répandue auprès des particuliers comme des entreprises. Cette technique frauduleuse, diffusée essentiellement par mail, est utilisée par des tiers malveillants usurpant l’identité d’une entreprise, d’un organisme financier ou d’une administration en se faisant passer pour eux dans le but de recueillir données personnelles et informations confidentielles.

Pendant 48 heures les 2 et 3 juillet, une fausse publicité, empruntant l’identité d’Orange, prétendra offrir un incroyable « FORFAIT ILIMITÉ 6G PENDANT 100 ANS » en échange des prénoms, noms et dates de naissance des clients potentiels. Tous les ingrédients du phishing seront réunis : imitation de logo, fautes d’orthographe, offre ultra-attractive à caractère urgent et, surtout, demande de données personnelles.

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