Revue de presse ADCET n° 79 du 15 Juin 2020

 

En Bref

Mobilité Un déficit total des transports publics de 4 milliards d’euros, voilà de quoi lancer un appel à l’Etat pour qu’il soutienne le secteur. Valérie Pécresse ne s’est pas faite prier pour le faire dans une tribune du Parisien.

Du côté covoiturage, c’est fait : le décret d’application de la LOM (Loi d’orientation sur les mobilités) est paru : il autorise les AOC de subventionner le covoiturage et défit des règles pour un domaine peu encadré.

Quoi de plus naturel que ses jambes pour parcourir un trajet ? Le confinement aurait incité les Français à privilégier la marche en privilégiant les trajets de proximité. C’est JC Ducaux qui le dit.

La mobilité à l’heure africaine. 90 millions d’euros pour la mobilité urbaine pour construire une ligne de Bus Rapid Transit.

Un observatoire pour mesurer l’intensité du trafic piéton et véhicule. Ca se passe à Paris, 5ème ville européenne en termes de mobilité.

Finances. Le troisième projet de loi de finances rectificative pour 2020 intègre le plan de soutien aux collectivités de 4,5 milliards d’euros.

Cloud. Enfin, si tout se passe bien, un « cloud européen » à l’initiative du duo de choc franc-allemand Dénommée Gaia-X l’ambition de ce nouveau cloud est de concurrencer les géants déjà fortement implantés au niveau international.

Monnaie électronique. C’es la fin du paiement cash. C’est du moins ce que prétend et espère David Marcus, co-fondateur de Libra, projet de monnaie électronique de Facebook qui a pris, récemment, le nom de Novi.

RGPD. 27 % de plaintes supplémentaires enregistrées par la CNIL. Dans son quarantième rapport, l’institution a recensé 14 137 plaintes en 2019. Son site web a enregistré 8 millions de visites et 17 302 requêtes ont été formulées par voie électronique.

 

Mobilité

Valérie Pécresse Demande À L’Etat Un Plan De Soutien Des Transports Publics

sortiraparis.com - Manon C.

Publié le 7 juin 2020

Dans une tribune publiée dans le Parisien, ce jour, Valérie Pécresse appelle l'Etat à prendre des mesures pour soutenir le secteur des transports publics.

La crise sanitaire aura creusé un trou dans le porte-monnaie des transports publics avec un déficit global sur l'année 2020 évalué à 4 milliards d'euros, dont 2,6 milliards de déficit uniquement pour Île-de-France Mobilités.

Dans une tribune publiée, ce jour, dans le journal Le Parisien, la présidente de la région île-de-France, Valérie Pécresse, et le président du Groupement des autorités responsables de transport, Louis Nègre, ont appelé l'Etat à soutenir les transports publics : "Les transports du quotidien ne doivent pas être les grands oubliés des plans de sauvetage."

Selon Valérie Pécresse et Louis Nègre, "les acteurs du transport subissent un terrible effet ciseau pris par la nécessité de devoir maintenir un niveau d’offre le plus élevé possible avec des surcoûts liés aux mesures sanitaires, alors même que les recettes s’effondrent dramatiquement."

Ils demandent donc au gouvernement d'offrir "une compensation des pertes de versement mobilité et de recettes tarifaires subies par les autorités organisatrices de la mobilité" et d'établir un plan du relance du secteur des transports publics. Sans cela, ils "ne pourront plus payer la RATP, la SNCF, et toutes les autres entreprises de transport dès cet été", ce qui "conduira ces dernières, pour éviter la faillite, à couper dans les investissements et surtout à réduire fortement l’offre de transport."

Et de rappeler, ensemble, que le secteur "contribue au développement des territoires, au droit à la mobilité des populations et constitue l’un des atouts majeurs en termes d’attractivité pour notre pays."

Source : https://www.sortiraparis.com/actualites/a-paris/articles/220453-valerie-pecresse-demande-a-l-etat-un-plan-de-soutien-des-transports-publics

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Subvention du covoiturage par les collectivités : le décret est paru

maire-info.com - Franck Lemarc

Publié le 8 juin 2020

Un important décret d’application de la loi d’orientation sur les mobilités (LOM) est paru samedi au Journal officiel : il concerne la possibilité pour les autorités organisatrices de la mobilité de subventionner le covoiturage.

La loi d’orientation sur les mobilités (LOM) du 24 décembre 2019 a enfin défini clairement les règles en matière de covoiturage – notion qui restait jusque-là assez peu encadrée. D’abord en lui donnant une définition (article 35) : « Le covoiturage se définit comme l'utilisation en commun d'un véhicule terrestre à moteur par un conducteur et un ou plusieurs passagers, effectuée à titre non onéreux, excepté le partage des frais, dans le cadre d'un déplacement que le conducteur effectue pour son propre compte. »
Par ailleurs, la LOM donne aux autorités organisatrices de la mobilité (AOM), qu’elles soient régionales ou pas, de nouveaux outils pour développer le covoiturage. Elles ont à présent une compétence spécifique de développement du covoiturage. Ainsi, les autorités organisatrices peuvent, « seules ou conjointement avec d'autres collectivités territoriales ou groupements de collectivités intéressés », établir un schéma de développement des aires de covoiturage. Si l’offre privée est insuffisante, elles peuvent également développer elles-mêmes des solutions de covoiturage.

Nature des frais

Lire la suite : https://www.maire-info.com/mobilite-durable/subvention-du-covoiturage-par-les-collectivites-le-decret-est-paru-article-24279

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Mobilité post-Covid : les Français disposés à marcher

automobile-entreprise.com - Clotilde Gaillard

Publié le 8 juin 2020

Pas de doute : la crise sanitaire et le confinement qui en a découlé ont refaçonné notre façon de penser la mobilité. Moins d’avion et de transports collectifs, plus de mobilités douces et de véhicules individuels… Le Nouvel Observatoire des risques routiers et de la mobilité, publié au début du mois de juin par l’Association Prévention Routière, a étudié la nouvelle typologie de nos déplacements. Une enquête riche d’enseignements.

La crise du Covid-19 a eu de nombreux impacts, d’abord sur notre économie globale, mais aussi sur notre mobilité. Les restrictions de déplacement ont en effet obligé la population française à repenser ses trajets et parfois même à changer de modes de transport. Un fait avéré mais dorénavant souligné par une étude réalisée en ligne par l’Association Prévention Routière, entre le 8 et le 10 mai 2020, auprès d’un échantillon de 1 129 Français âgés de 18 ans et plus. Pour étoffer ses résultats, cet Observatoire des risques routiers et de la mobilité les a également couplés avec les données enregistrées sur les déplacements, les vitesses ou encore les comportements du panel « les éclaireurs », regroupant des usagers de la route connectés à une application dédiée

De cette dissection des habitudes de mobilités quotidiennes il ressort que l’effet confinement a eu pour incidence première une chute considérable de la distance parcourue. Le nombre de kilomètres effectués lors d’un trajet a ainsi été divisé par cinq. Par conséquent, les trajets de proximité sont presque devenus la norme puisque 42 % des kilomètres parcourus l’ont été sur les routes départementales, alors qu’ils ne correspondaient qu’à 34 % à la même période en 2019. Ceux réalisés en ville sont demeurés à peu près stables (28 % contre 26 %), tandis que les trajets sur autoroutes ont pâti de cette nouvelle mobilité locale (environ 30 % contre 39 % en 2019). Cependant, l’approche des vacances d’été, pour l’essentiel prises en France, devrait voir les grands axes nationaux à nouveau pris d’assaut.

Se réapproprier la marche

Lire la suite : https://www.automobile-entreprise.com/Mobilite-post-covid-les-Francais,9313

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Avec le déconfinement et son parfum de liberté retrouvée en France, les villes retrouvent leurs audiences à l’extérieur et en mobilité

jcdecaux.fr - Etudes

Publié le 11 juin 2020

Acteur de la ville et de la mobilité, JCDecaux suit avec intérêt le retour des français vers une vie « normale » depuis la fin progressive et encadrée du confinement le 11 mai dernier. Chacun aura pu constater dans son quotidien que la rue et l’espace public sont [re]devenus les lieux de vie et de convivialité. Et les français circulent à nouveau pour se rendre au travail, faire leurs courses, pratiquer leurs loisirs et rencontrer leurs proches et leurs amis.

L’indice Mob.index de Mobimétrie repose sur les données de densité de trafic fournies par HERE Technologies, puis retraitées et analysées par Ipsos. Elles sont collectées à partir de signaux GPS de véhicules individuels et de flottes commerciales en circulation.

Comprendre comment les choses évoluent par un bon usage de la donnée est l’objectif de cette publication « JCDecaux Mobility Tracker » qui sera régulièrement actualisée. Les équipes Data JCDecaux analysent différents types de données « ouvertes » et accessibles grâce aux initiatives des villes, ou privées par les partenariats noués par l’entreprise. A l’heure où le Covid-19 se fait plus discret dans le pays, après deux étapes importantes les 11 mai et 2 juin derniers, nous vous proposons une première lecture de la situation de la reprise de la mobilité.

Reprise des mobilités à un niveau de 87% au 7 juin selon l’indicateur « Mobility Tracker » de JCDecaux

Ce constat est lisible à travers les principales informations ci-dessous.

Lire la suite : https://www.jcdecaux.fr/actualites/avec-le-deconfinement-et-son-parfum-de-liberte-retrouvee-en-france-les-villes-retrouvent

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Côte d’Ivoire : l’AFD octroie 90 millions d’euros pour la modernisation de la mobilité urbaine à Abidjan

(Agence Ecofin) - L’Agence française de développement (AFD) prête €90 millions à la Côte d’Ivoire qui va construire une ligne de Bus Rapid Transit (BRT) reliant Yopougon et Bingerville dans le Grand Abidjan. La mise à niveau de la Société des transports abidjanais (SOTRA) et du transport artisanal est aussi prévue.

Le gouvernement ivoirien réuni en Conseil des ministres le 10 juin a adopté un décret portant ratification de la convention de crédit de 90 millions EUR, conclue le 28 mai 2020, entre l’AFD et la République de Côte d’Ivoire en vue du financement du Projet de mobilité urbaine d’Abidjan (PMUA).

Ce projet d’envergure, conçu pour améliorer l’offre de transport collectif dans le Grand Abidjan, consiste en la réalisation d’une ligne est-ouest de BRT de 20 km, équipée de bus articulés électriques, entre les communes de Yopougon et de Bingerville.

Dans le cadre de ce projet, la SOTRA bénéficiera également d’une restructuration et d’un renforcement de ses lignes. Le PMUA vise en outre la professionnalisation du transport artisanal pour améliorer la qualité du service.

Soulignons dans le cadre des efforts d’amélioration de l’offre de transport public à Abidjan, la Côte d’Ivoire va se doter d’un métro, dont la mise en service est prévue pour 2024/25, soit peu après la Coupe d’Afrique des nations de football que le pays abritera en 2023.

Source : https://www.agenceecofin.com/actualites-transport/1106-77426-cote-d-ivoire-l-afd-octroie-90-millions-pour-la-modernisation-de-la-mobilite-urbaine-a-abidjan

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Mobilité Urbaine: IMob, l’observatoire déjà en action à Paris

villesetcommunes.info - Manfred Essome

Publié le 12 Juin 2020

Lancée en mai 2020 par Extérion Média France, l’organisation a démarré ses activités, par l’analyse des comportements parisiens en termes de mobilité.

ExterionMedia France s’est appuyé sur son réseau d’écrans digitaux, Catch, situé sur les axes stratégiques de la capitale, pour mesurer l’intensité du trafic piéton et véhicule. IMob analyse le comportement des Français, et plus particulièrement des Parisiens.

Pour l’exercice, 120 capteurs mesurent quotidiennement, et par heure, la mobilité parisienne. Exterion Media s’appuie notamment sur l’expertise d’Admobilize, société spécialisée dans la mesure des déplacements routiers et de Datakalab. La mesure a enregistré le mardi 12 mai une activité piétonne à Paris qui était déjà à 60% de son niveau normal. Imob a par ailleurs mesuré une reprise de l’activité véhicules à plus de 90%.

Paris, 5ème ville européenne en termes de mobilité

Omio, une application et plateforme de réservation de courts et longs trajets en train, bus et vol, a réalisé une étude en décembre 2019 sur les différentes options de transport urbain proposées dans les destinations les plus réservées par son intermédiaire. Les résultats ont permis d’identifier les villes disposant des moyens de transport les plus pratiques et économiques. De nombreux facteurs tels que la vente et le prix des billets des transports en commun (tramways, bus et trains) ainsi que la disponibilité et les tarifs

Lire la suite :https://www.villesetcommunes.info/actu-monde/mobilite-urbaine-imob-lobservatoire-deja-action-a-paris/

 

Finances

Le plan d’urgence pour les collectivités sur la rampe de lancement

lagazettedescommunes.com - Romain Gaspar

Publié le 10 juin 2020

Le gouvernement a présenté, ce mercredi 10 juin, son troisième projet de loi de finances rectificative pour 2020. Ce nouveau budget de crise acte des prévisions macroéconomiques cauchemardesques pour l'économie française et intègre le plan de soutien aux collectivités de 4,5 milliards d'euros annoncé le 29 mai dernier.

Chute de 11% du PIB en 2020

Les prévisions budgétaires se sont encore dégradées. Pour le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, « ce choc n’a de comparaison que la crise de 1929 ». Dans le nouveau projet de loi de Finances rectificative (PLFR3) qui sera examiné la semaine du 29 juin en séance publique à l’Assemblée nationale, et celle du 15 juillet au Sénat, le gouvernement estime que la crise sanitaire entraînera dans l’économie une baisse de 11% du PIB en 2020, contre -8% dans le PLFR2, et devrait fortement creuser le déficit, à -11,4 % du PIB, contre -9,1 % dans le PLFR2. Il ressort à – 222,1 Mds€, en dégradation de 38,6 Mds€ par rapport à la prévision du PLFR2. La dette publique pourrait atteindre un nouveau record à 120,9% du PIB selon les estimations du gouvernement. L’exécutif prévoit aussi que les recettes fiscales baisseront de 27 Mds € supplémentaire par rapport au dernier budget rectificatif pour 2020. Le ratio de dépense publique serait en très forte hausse à 63,6% du PIB contre 54 % en 2019.

Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/682876/le-plan-durgence-pour-les-collectivites-sur-la-rampe-de-lancement/#utm_source=quotidien&utm_medium=Email&utm_campaign=2020-06-10-quotidien&email=Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.&xtor=EPR-2

 

Cloud

Gaia-X : lancement officiel du projet de “cloud européen” franco-allemand

L'Europe part à la conquête de sa souveraineté technologique.

siecledigital.fr - Valentin Cimino - @ciminix
Publié le 7 juin 2020

Le 4 juin 2020, les ministres de l’Économie français et allemand, Bruno Le Maire et Peter Altmaier ont dévoilé les contours du très attendu projet Gaia-X. Cette initiative franco-allemande permettra aux entreprises européennes de profiter de services cloud. L’Europe part officiellement à la conquête de sa souveraineté numérique.

Gaia-X, pour concurrencer les géants technologiques

À ce jour, aucune entreprise européenne n’est capable de défier les géants américains ou chinois du cloud que sont Amazon Web Services (qui vient d’ouvrir son premier data center en Afrique), Azure de Microsoft, Alibaba ou encore Tencent. Ce projet lancé par Paris et Berlin vise à créer un géant européen capable de proposer des services respectant un certain nombre de critères de sécurité et de normes européennes. Selon les deux ministres, la souveraineté numérique et la performance économique sont les deux objectifs recherchés par Gaia-X.

Lire la suite : https://siecledigital.fr/2020/06/07/gaia-x-lancement-officiel-du-projet-de-cloud-europeen-franco-allemand/

 

Monnaie électronique

La fin du paiement cash : Pour David Marcus, « Des services vont se développer autour de l’argent programmable et de Libra »

lemonde.fr - Propos recueillis par Alexandre Piquard et Véronique Chocron

Publié le 07 juin 2020

Dans un entretien au « Monde », David Marcus, le cofondateur de Libra, le projet de monnaie numérique lancé par Facebook, prévoit que, d’ici à une vingtaine d’années, l’utilisation des espèces sera vraiment très limitée.

Entretien. David Marcus est actif dans les paiements en ligne depuis l’an 2000. Ex-PDG de l’entreprise de transfert d’argent Paypal, il a co-fondé Libra, le projet de monnaie numérique lancé par Facebook avec une vingtaine de partenaires. Il est directeur de Novi (ex-Calibra), le porte-monnaie virtuel que l’entreprise de Mark Zuckerberg veut créer pour populariser Libra et l’intégrer à ses réseaux WhatsApp et Messenger.

La pandémie du coronavirus peut-elle être un point de bascule dans le recul des paiements en liquide ?

Les crises renforcent les tendances déjà en cours. L’essor des transactions électroniques va fortement s’accélérer. Certains disent qu’il n’y aura plus de cash dans cinq ans : je pense que ça va mettre plus longtemps que ça. Mais à un horizon de vingt ans, l’utilisation des espèces sera vraiment très limitée. Dans les pays où la population aura accès à un smartphone et à des services sur l’Internet mobile, la grosse majorité – voire l’intégralité – des transactions sera numérique.

Les obstacles au déploiement des paiements en ligne sont-ils réglementaires, culturels ?

Lire la suite : https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/06/07/la-fin-du-paiement-cash-les-crises-renforcent-les-tendances-deja-en-cours_6042071_3234.html

 

RGPD

Boostée par le RGPD, la CNIL a enregistré 27% de plaintes en plus en 2019

clubic.com - Alexandre Boero

Publié le 10 juin 2020

Le gendarme français des données a publié, mardi, son rapport annuel en révélant avoir reçu plus de 14 000 plaintes l'an dernier, un chiffre en nette augmentation par rapport à 2018.

La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) aura été très sollicitée en 2019. L'autorité administrative indépendante indique avoir enregistré, dans son quarantième rapport annuel, un total de 14 137 plaintes l'année passée, ce qui représente justement une hausse de 27% sur un an. Cette augmentation est à mettre au crédit du Règlement général sur la protection des données (RGPD), qui a connu sa première année pleine en 2019.

Sécurisation des données, violations personnelles et surveillance sur le lieu de travail… Des tendances fortes

Pour sa deuxième année d'activité avec le RGPD, la CNIL a vécu une seconde campagne intense. Aux milliers de plaintes reçues, qui sont d'ailleurs en augmentation de 79% sur cinq ans, on peut ajouter les 8 millions de visites sur son site web, les 17 302 requêtes par voie électronique (+2,5%), et les 145 913 appels traités, soit 400 coups de fil quotidiens.

Lire la suite : https://www.clubic.com/pro/legislation-loi-internet/cnil/actualite-3407-booste-par-le-rgpd-la-cnil-a-enregistre-27-de-plaintes-en-plus-en-2019.htm