Revue de presse ADCET n° 89 du 21 Septembre 2020

Mobilité

[Le saviez-vous ?] Ce boîtier orange sert à payer votre ticket Fil Bleu… au smartphone

info-tours.fr

Publié le 14 Septembre 2020
Et c’est moins cher.

C’est le genre d’outil qui peut vous faire gagner un peu de temps si le tram arrive et qu’il y a la queue à la borne automatique… Pratique aussi pour limiter les contacts en ces temps de crise sanitaire si vous devez acheter un ticket directement dans le bus. Depuis le 1er septembre, le réseau Fil Bleu de Tours Métropole a installé des boitiers orange dans tous ses véhicules, juste au-dessus des machines qui servent déjà pour valider tickets et abonnements.

A quoi ça sert ? A valider son titre de transport… avec un smartphone. Il s’agit du service M-Ticket. Pour l’utiliser, il faut avoir un smartphone récent (qu’il fonctionne sous iOS ou Android) disposant de la technologie NFC. Si c’est le cas, vous devez télécharger l’application gratuite Seamless Transportation et y créer votre compte (là-encore sans payer).

Une fois que c’est fait, il suffit de passer votre smartphone devant la fameuse boîte orange en montant dans le bus ou dans le tram. Votre voyage sera enregistré, et vous payerez 1€40 par trajet au lieu d’1,60 € (prix classique du ticket occasionnel). La somme correspondante sera prélevée directement sur votre compte en banque. Par ailleurs, si vous croisez une équipe de contrôle, il suffit de montrer votre téléphone avec l’appli Seamless ouverte.

Lire la suite : https://www.info-tours.fr/articles/tours/2020/09/14/13742/le-saviez-vous-ce-boitier-orange-sert-a-payer-votre-ticket-fil-bleu-au-smartphone/

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CENTRE-VAL DE LOIRE - La région primée pour les transports Rémi

intensite.net

Publié le 18 septembre 2020

La Région Centre-Val de Loire primée pour son offre intermodale de car et train Rémi. La rédaction de Ville, Rail & Transports, a distinguée pour la seconde fois le Centre-Val de Loire après avoir déjà attribué en 2019 de prix de l'innovation, pour son système de billettique numérique scolaire. Le 5 septembre, c'est donc le «  réseau multimodal unique (...) qui rassemble les trains, les lignes régulières de car, les transports à la demande et les transports scolaires » qui a été salué.

Lire la suite : https://intensite.net/2009/actu2020/centre-val-de-loire-la-region-primee-pour-les-transports-remi-319965

 

Monétique

L’Apple Card bientôt dispo en Europe ?

fredzone.org - David

Publié le 14 septembre 2020

L’Apple Card serait sur le point de s’internationaliser si l’on en croit les découvertes réalisées par MacRumors. L’Europe ferait partie des marchés visés par la marque à pomme.

L’Apple Card a été officialisée en grande pompe en mars de l’année dernière, mais elle n’est disponible aux États-Unis que depuis le mois d’août 2019. Elle vient donc de souffler sa première bougie, et le temps serait désormais venu pour Apple de s’étendre à l’étranger.

C’est du moins ce que l’on peut déduire de l’un des derniers articles publiés par le très bien informé MacRumors.

L’Apple Card bientôt dispo en Australie ?

Nos confrères indiquent en effet s’être longuement entretenus avec une source proche d’une société bancaire australienne, une société bancaire qui serait actuellement en train de travailler sur le lancement de l’Apple Card sur ses terres.

Plus intéressant encore, toujours selon cette même source, l’Australie ne devrait pas être le seul pays à bénéficier de la carte cette année et Apple travaillerait ainsi sur plusieurs lancements similaires à travers le monde.

Il y a plus cependant. En fouillant sur le site d’Apple, nos confrères ont également découvert que la firme cherchait à recruter de nouveaux chefs produits pour l’Apple Card, des chefs produits qui devront voyager et travailler avec des partenaires externes comme des réseaux e paiement, des émetteurs bancaires ou encore d’autres acteurs non nommés.

Des recrutements qui en disent long

Lire la suite : https://www.fredzone.org/lapple-card-bientot-dispo-en-europe-285

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La Métropole de Brest, Bibus, Mastercard et CIC lancent l’open payment dans les transports urbains

finyear.com - Source Mastercard

Publié le 17 septembre 2020

À partir du 16 septembre, les usagers du réseau de transport urbain Bibus de la Métropole de Brest peuvent payer leur trajet à bord des bus, tramway et téléphérique (fonction Multimodale) grâce à leur carte de paiement sans contact MASTERCARD ou VISA et ce, quelle que soit leur banque. La carte de paiement sans contact se substitue ainsi au titre de transport.

– Brest compte parmi les premières villes françaises à mettre en place la fonction multimodale qui permet à l’usager d’emprunter les correspondances entre les différents moyens de transport public avec sa carte de paiement sans coût additionnel.

– Ce nouveau service offrira également la multi validation : il sera possible de voyager en groupe jusqu’à 6 passagers grâce à une unique carte de paiement.

– Cette solution sera compatible avec toutes les banques et les cartes de paiement sans contact affiliées aux réseaux MASTERCARD et VISA.

– Ce nouvel usage favorisera l’accès au réseau de transport en commun Bibus, contribuera à l’amélioration du service pour l’usager, à la ponctualité du réseau et accompagne la démarche nationale de transition énergétique.

Avec l’essor du paiement sans contact en France, les enjeux de ce nouveau service résident notamment dans l’amélioration de la vitesse ainsi que dans une ponctualité accrue aux arrêts du réseau de transport public Bibus. Ainsi, grâce à la réduction du nombre de ventes par les conducteurs, de l’impression des tickets et de la manipulation de monnaie, le temps d’attente à chaque arrêt diminue au bénéfice du temps de conduite.

“Aujourd’hui, nos retours terrains* montrent que cela prend 1 seconde pour payer par carte versus 15 secondes pour payer au conducteur.” indique Laurent Bréchon-Cornery, Directeur Smart Mobility chez Mastercard.

Cette solution permet un parcours usager simple, sécurisé et intuitif :

Lire la suite : https://www.finyear.com/La-Metropole-de-Brest-Bibus-Mastercard-et-CIC-lancent-l-open-payment-dans-les-transports-urbains_a42856.html 

5G

Pour le pdg d'orange, l'hostilité à la 5g est surtout un « problème francophone »

bfmtv.com Frédéric Bergé

Publié le 19 septembre 2020 

Pour Stéphane Richard, "quand on regarde la carte, il y a des foyers de contestation en Belgique, en Suisse et en France". S'exprimant sur France Inter, le PDG d'Orange critique une partie des politiques: "ce sont certains écolos français qui ont un problème avec la 5G."

Alors que la 5G se heurte à l'hostilité d'une partie de l'opinion et de plusieurs responsables et élus politiques en France, le PDG d'Orange a relancé le débat.

S'exprimant ce samedi sur l'antenne de France Inter, Stéphane Richard a déclaré: "je suis frappé de voir que dans la plupart des pays ou des régions qui sont les plus avancés en matière de conscience et de politique environnementales, il n’y a pas de débat sur la 5G".

"Quand on dit les écolos n'aiment pas la 5G..."

"C’est un problème francophone : quand on regarde la carte, il y a des foyers de contestation en Belgique, en Suisse et en France. Quand on dit 'les écolos n’aiment pas la 5G', c’est pas vrai : les écolos californiens ou scandinaves aiment la 5G, ce sont certains écolos français qui ont un problème avec la 5G ! Parlons-en, mettons-les autour de la table, et apportons des réponses." s'est-il étonné.

Répondant aux critiques sur la mise au rebut à venir des smartphones 4G actuels lorsque la 5G sera déployée, le PDG d'Orange précise qu'il misera sur l'accélération du recyclage des téléphones.

Orange promet d'accélérer le recyclage des smartphones

Lire la suite : chrome-extension://klbibkeccnjlkjkiokjodocebajanakg/suspended.html#ttl=10%20outils%20de%20visioconf%C3%A9rence%20gratuits%20pour%20vos%20r%C3%A9unions%20%C3%A0%20distance&pos=8649&uri=https://www.codeur.com/blog/outils-videoconference-reunion-distance-teletravail/

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Qu’est-ce que la 5G va changer pour les particuliers ?

lemonde.fr - Mathilde Damgé

Publié le 19 septembre 2020

La 5e génération de réseaux mobiles devrait permettre d’éviter la saturation dans des échanges de plus en plus gourmands en données, mais elle suscite aussi de nombreuses questions pratiques.

Par Mathilde Damgé

Où en est la 5G ? La seule partie visible, pour l’instant, ce sont les centaines de stations expérimentales qui sont apparues sur le territoire métropolitain. Mais le processus va s’accélérer d’ici à l’automne avec les enchères, qui doivent commencer le 29 septembre, pour une ouverture commerciale à partir de la fin de l’année ou au début de l’année 2021.

Cette technologie, permettant d’obtenir un meilleur débit et d’augmenter les performances des appareils connectés, suscite toutefois de nombreuses controverses. Si son utilité semble acquise pour les entreprises, les particuliers s’interrogent, et de nombreuses théories ou hypothèses fantaisistes fleurissent sur les réseaux sociaux. Le point sur six questions majeures pour le consommateur, et sur ce qui peut ou pas légitimement inquiéter le citoyen.

1. « Je ne peux pas refuser la 5G »

FAUX

Tant que vous utilisez un téléphone non compatible et que vous n’avez pas de forfait 5G, vous ne passerez pas par ce type de connexion très haut débit. Vous pourrez continuer d’utiliser les autres réseaux (Edge, 2G, 3G, 4G) selon votre type d’appareil, votre forfait, et le réseau disponible localement. « Les réseaux préexistants ne vont pas disparaître. Plusieurs flux vont se superposer », confirme l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep).

Lire la suite : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/09/19/qu-est-ce-que-la-5g-va-changer-pour-les-particuliers_6052813_4355770.html

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5G : le gouvernement veut aller de l'avant

lesechos.fr - Sébastien Dumoulin

Publié le 15 septembre 2020

Emmanuel Macron veut clore le débat sur la 5G. Une étude sur son impact sanitaire, effectuée cet été par quatre inspections générales, a été rendue publique mardi. Le gouvernement y voit un feu vert au déploiement de la technologie.

Trêve de palabres, la France doit avancer sur la 5G. Lundi soir, devant les patrons de la French Tech réunis à l'Elysée, Emmanuel Macron en personne a fermé le ban. « On va expliquer, débattre, lever les doutes, tordre le cou à toutes les fausses idées mais oui, la France va prendre le tournant de la 5G », a commencé le président, avant de se lancer dans une tirade féroce à l'égard des opposants à la nouvelle technologie. « J'entends beaucoup de voix qui s'élèvent pour expliquer qu'il nous faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant à la lampe à huile. Je ne crois pas au modèle Amish. »

Quelques heures plus tard, le gouvernement présentait à plusieurs associations d'élus les résultats d' une étude de 190 pages sur les aspects sanitaires du déploiement de la 5G. Si la formulation est moins brutale, le message est similaire.

Risques non avérés

En résumé, les risques pour la santé humaine de l'exposition aux fréquences radioélectriques, l'un des arguments des opposants à la 5G, ne sont pas avérés en l'état actuel des connaissances scientifiques. Et aucun des nombreux pays qui ont déjà lancé la 5G n'a constaté de problème d'ordre sanitaire.

Lire la suite : https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/5g-le-gouvernement-veut-aller-de-lavant-1242631#utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=nl_lec_18h-20200915

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5G : ce que dit le rapport remis au gouvernement

europe1.fr - Clément Lesaffre

Publié lle 15 septembre 2020 

Le gouvernement a reçu et publié mardi un rapport très attendu sur la 5G, réalisé par l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et l'Inspection générale des finances (IGF). Ce premier texte, qu'Europe 1 s'est procuré, doit servir de référence pour le développement de cette technologie en France. Il souligne le retard de la France et les risques quasi-nuls pour la santé.

DÉCRYPTAGE

Le timing est presque parfait : alors que le débat sur le 5G fait rage en France, que des élus réclament un moratoire sur son développement, le gouvernement a reçu mardi matin un rapport de référence sur cette technologie qui doit booster les flux de données dans les prochaines années. Réalisé par plusieurs services de l'État, il s'agit d'une synthèse des expériences menées à l'étranger, où des pays sont bien plus avancés que la France. Intérêt de la 5G pour les particuliers et les professionnels, retard de la France et surtout éventuels risques pour la santé : le rapport apporte des réponses aux nombreuses questions qui se posent.

La 5G, une nécessité technologique

Le rapport rappelle d'abord l'intérêt de la 5G, technologie qui permettra de bénéficier d'un débit 10 fois supérieur à celui de la 4G. Elle servira aux particuliers, pour naviguer sur Internet toujours plus vite ou pour regarder des films en streaming en HD sur son téléphone par exemple, et pour utiliser des objets connectés de plus en plus nombreux autour de nous. La 5G "pourrait permettre de faire fonctionner un million d’objets connectés au kilomètre carré", souligne le rapport. Elle servira au développement des industries du futur : usines 4.0, voitures autonomes, etc.

Et le besoin de franchir un cap se fait sentir : le trafic de données a été multiplié par dix entre 2015 et 2019 et augmente désormais de 50% par an. Résultat, selon les opérateurs, il y a un risque de saturation des réseaux 4G actuels en 2022 en France. Pour autant, la 5G n'est pas une révolution, il n'y aura pas de rupture technologique. Le rapport parle ainsi d'une "4G++". Elle viendra d'ailleurs dans un premier temps se greffer sur les réseaux existants, sur des fréquences courantes (700GHz, celles de la 4G et 3,5 GHz, proches de celles utilisées par le Wifi) avant de bénéficier d'antennes spécifiques et de passer, en 2024, sur des fréquences plus hautes (26 GHz, utilisées par les réseaux fixes et les liaisons satellites).

La France est en retard sur ses voisins

Lire la suite : https://www.europe1.fr/technologies/necessite-technologique-inquietudes-pour-la-sante-que-retenir-du-rapport-sur-la-5g-remis-au-gouvernement-3992001

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Rennes : Etude d'impact lancée et déploiement suspendu… La ville freine sur la 5G

20minutes.fr - Camille Allain

Pubblié le 16 septembre 2020

La majorité de Nathalie Appéré souhaite « étudier les conséquences du déploiement éventuel des antennes à Rennes »

A Rennes, une étude d’impact va être menée pour connaître les effets du déploiement de la 5G.

L’annonce a été un peu précipitée par les débats nationaux autour du déploiement de cette nouvelle technologie.

• La majorité demande la suspension du déploiement de la 5G à Rennes, où une expérimentation est menée à la gare.

« Oui, la France va prendre le tournant de la 5G », a déclaré Emmanuel Macron. A Rennes , on n’est pas aussi catégoriques. Alors que le débat autour de la technologie mobile fait rage dans l’Hexagone, la capitale bretonne s’est positionnée en faveur de la création d’un comité de suivi chargé « d’étudier les conséquences du déploiement éventuel des antennes à Rennes ».

L’annonce a été faite sur Twitter par Pierre Jannin, chercheur en neurosciences et nouveau conseiller municipal dédié au numérique et à l’innovation. «Ce groupe de travail auditionnera divers spécialistes de la question afin d'étudier objectivement les avantages et inconvénients de cette technologie pour la ville et l'ensemble de ses habitants», précise la ville qui prévient : «l'implantation de la 5G nécessite de la prudence».

L’élu espère ainsi voir émerger « les avantages et les inconvénients de cette technologie pour la ville, ses acteurs et ses citoyens ». Au-delà des intentions, l’allié de Nathalie Appéré souhaite la suspension du déploiement de la 5G dans la ville « en attendant la fin de ce travail » d’étude. Ce choix n’est pas surprenant puisqu’il avait été acté lors des négociations d’entre deux tours entre la maire sortante et ses alliés écologistes. Mais on reconnaît que son annonce « a été précipitée » par la polémique nationale allumée par une tribune de maires écologistes.

Attente de l’étude de l’Anses

Lire la suite : https://www.20minutes.fr/economie/2863427-20200916-rennes-etude-impact-lancee-deploiement-suspendu-ville-freine-5g


Blockchain

La Corée du Sud va déployer des blockchains de vote dans des appartements

coin24.fr - Hassan Maishera

Publié le 17 septembre 2020

Le gouvernement sud-coréen travaille à l’intégration de la technologie blockchain au domicile des citoyens pour leur permettre de voter plus facilement et de bénéficier d’autres services

Alors que la frénésie des blockchains se poursuit en Corée du Sud, le gouvernement apporte la technologie au secteur du logement en s’engageant à verser 1,27 million de dollars à la cause. Ces fonds serviront à développer une plateforme basée sur la technologie blockchain qui s’adresse aux personnes vivant en appartement dans tout le pays.

ZDNet Korea a indiqué que le ministère sud-coréen des sciences a choisi une entreprise locale, Ksign, pour ce projet. Ksign développera une plateforme sans contact qui permettra aux résidents de s’engager dans le vote électronique tout en bénéficiant d’autres avantages, tels que la gestion des places de parking et quelques autres mesures liées au logement.

La nouvelle plateforme blockchain permettra aux gens de voter depuis leur domicile. Le gouvernement national semble prendre cette initiative alors que le pays a tenu ses dernières élections législatives le 15 avril 2020, à un moment où la pandémie de coronavirus continue d’avoir des répercussions sur le monde.

La plateforme sera conçue pour favoriser la distanciation sociale ; les créateurs de la plateforme estiment que cela stimulera la santé publique dans les appartements. La plateforme blockchain sera mise à la disposition des propriétaires, des résidents et des gestionnaires d’immeubles à appartements. En plus des fonctionnalités de vote électronique et de gestion des places de parking, la plateforme offrira également des solutions de vidéoconférence et de paiement électronique.

Lire la suite : https://coin24.fr/actualites/la-coree-du-sud-va-deployer-des-blockchains-de-vote-dans-des-appartements/

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Renault teste un projet blockchain pour la certification de ses véhicules

clubic.com - Florent David

Publié le 15 septembre 2020 

Renault teste actuellement un projet blockchain pour certifier la conformité des composants de ses véhicules, de la conception à la production.

Le projet, baptisé XCEED, a été lancé en 2019 par Renault, avec plusieurs partenaires de l’industrie automobile tels que Continental, Saint-Gobain et Plastic Omnium.

Le projet XCEED en quelques mots

Le projet est testé en grandeur nature dans les usines situées à Douai, en région Hauts-de-France. Le système permet aux parties de suivre et de certifier la conformité des composants et des sous-composants. Jusqu’à présent, le projet a permis de stocker et suivre plus d’un million de documents.

La blockchain utilisée par Renault peut atteindre une vitesse de 500 transactions par seconde. Odile Panciatici, responsable blockchain du Groupe Renault, précise l'ambition du projet : « Nous sommes convaincus que la blockchain est un vecteur de la transformation de l’industrie automobile (…). Dans cette industrie, où nous échangeons avec de multiples acteurs extérieurs à l’entreprise. Les usages d’une telle technologie sont multiples. »

Lire la suite : https://www.clubic.com/antivirus-securite-informatique/cryptage-cryptographie/crypto-monnaie/actualite-12731-renault-va-tester-un-projet-blockchain-pour-la-certification-de-ses-vehicules.html

 

Cybersécurité

Employés dans des firmes de cybersécurité, leur mot de passe est «123456»

ictjournal.ch - Yannick Chavanne

Publié le 15 septembre 2020

Des brèches touchent la quasi-totalité des firmes de cybersécurité, selon une analyse du fournisseur genevois ImmuniWeb. Les identifiants qui circulent sur le dark web montrent que bien souvent, les employés de ces firmes utilisent des mots de passe très faibles, tels que «password» ou «123456».

Ne dit-on pas que les cordonniers sont les plus mal chaussés? L’expression semble pouvoir s’appliquer aux firmes de cybersécurité, du moins à certains de leurs employés. Selon une recherche d’ImmuniWeb, fournisseur genevois de solutions de sécurité IT, l’utilisation de mots de passe faibles n’est pas rare dans le milieu.

A l'aide de sa propre technologie dopée au machine learning, ImmuniWeb a scanné le dark web en quête de données volées auprès d’une sélection de 398 sociétés de cybersécurité basées dans 26 pays. De quoi constater que près de la moitié de leurs employés utilisent des mots de passe identiques sur différents systèmes. En outre, près d’un tiers de ces mots de passe ont un niveau de protection jugé faible (moins de 8 caractères, pas de majuscules, pas de chiffres ni de caractères spéciaux). Parmi ceux-ci, «password», «123456» et «aaron431» tiennent le haut du pavé, avec plus de 1000 occurrences. Les très faibles «1234» et «111111» sont également de la partie.

Des e-mails professionnels volés sur des sites porno

Lire la suite : https://www.ictjournal.ch/etudes/2020-09-15/employes-dans-des-firmes-de-cybersecurite-leur-mot-de-passe-est-123456

 

RGPD

[Avis d'expert] RGPD et blockchain, bonne ou mauvaise combinaison ?

decision-achats.fr - par Perrine Meunier, Consultante mc2i

Publié le 14 septembre 2020

La blockchain, protocole d'écriture et de lecture des données dans un registre décentralisé et distribué, est une technologie convoitée et réputée inviolable. Mais comment son application peut-elle se conformer au RGPD et à la nécessité d'identifier le responsable de traitement ?

L'intérêt pour la blockchain est grandissant et le concept est alléchant pour les entreprises, mais cette technologie est-elle compatible avec le RGPD qui a récemment durci la législation en matière de collecte et de traitement des données personnelles, ainsi que de consentement et de droit à l'oubli ?

Blockchain et RGPD, que dit la CNIL ?

Blockchain : de quoi parlons-nous ? Dans son rapport de septembre 2018, la CNIL apporte des éclaircissements et la définit comme "une base de données dans laquelle les données sont stockées et distribuées sur un grand nombre d'ordinateurs et dans laquelle toutes les écritures effectuées dans ce registre, appelées " transactions ", sont visibles de l'ensemble des utilisateurs, depuis sa création."

Plusieurs blockchains existent :

Lire la suite : https://www.decision-achats.fr/Thematique/it-digital-1233/Breves/Avis-expert-RGPD-blockchain-bonne-mauvaise-combinaison-352121.htm