Revue de presse ADCET n° 124 du 31 mai 2021

Mobilité

Fougères. Le pass KorriGo arrive : on vous dit comment il fonctionne

ouest-france.fr - Paul Grisot

Publié le 25 mai 2021

À partir du 1er juin 2021, la carte KorriGo remplacera les titres de transports papiers sur le réseau de transport Surf, à Fougères. Ce pass rechargeable à distance a pour objectif de simplifier le quotidien des usagers.

Changement en vue à bord des bus du réseau Surf, à Fougères et dans les communes alentour. À partir du 1er juin, la carte KorriGo remplacera les titres papiers pour monter à bord des véhicules. Qu’est-ce ça change ? Voici ce qu’il faut retenir.

KorriGo, qu’est-ce que c’est ?

Ce nouveau système de billetterie sans contact est déjà utilisé ailleurs en Bretagne, notamment à Rennes, sur le réseau Star. L’usager reçoit gratuitement une carte par courrier, sur laquelle il peut charger des titres de transport. En montant à bord d’un bus, le contrôle ne se fait plus visuellement par le conducteur : il suffit de « bipper » sa carte devant un valideur, situé à l’entrée du véhicule. Pour Patrick Manceau, président de Fougères agglomération, c’est une « phase importante d’évolution pour le réseau de bus à Fougères ».

Lire la suite : https://www.ouest-france.fr/bretagne/fougeres-35300/fougeres-le-pass-korrigo-arrive-on-vous-dit-comment-il-fonctionne-1c7c2944-bd40-11eb-9d87-eb28e77a8992

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Le CNPA zoome sur les Français et la mobilité en régions

decisionatelier.com - Alexande Guillet

Publié le 26 mai 2021

A un an des présidentielles et alors que les élections régionales se profilent, le CNPA publie les résultats d’un sondage mené avec l’Institut Harris Interactive sur « Les Français et la mobilité en Région » et remet aux candidats un manuel des mobilités. Une bonne piqure de réel…

De la nuance avant toute chose

« Si les objectifs de transition écologique et énergétique sont bien compris et partagés par les Français, la plupart d’entre eux n’adhérent pas aux politiques restrictives qui concernent leur mobilité au quotidien, signe que l’acceptabilité de ces mesures constitue aujourd’hui un enjeu majeur. En effet, 75% des Français sont favorables à des mesures pour diminuer la pollution des véhicules, mais 45% d’entre eux sont opposés à la suppression des véhicules diesel dans les agglomérations et 71% considèrent que c’est une mesure excessive voire tout à fait excessive », fait encore apparaître l’enquête.

La fée électricité mène encore trop grand train

67% des Français se déclarent désormais informés par rapport aux choix des motorisations alternatives (+14% par rapport à l’étude de 2020 !). Sondés sur leurs intentions d’achat à un horizon 5 ans, 58% des Français opteraient pour un véhicule hybride, 53% pour un véhicule essence, 36% pour un véhicule électrique, et 28% pour un véhicule diesel. S’agissant des 36% de Français qui choisiraient un véhicule électrique, 90% d’entre eux habitent en centre-ville ou en périphérie d’une grande ville.

Consulter l’iconographie : https://www.decisionatelier.com/IMG/pdf/cnpa_infographie_harris_2021.pdf

Lire la suite : https://www.decisionatelier.com/Le-CNPA-zoome-sur-les-Francais-et-la-mobilite-en-regions,16020

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Opinion | LOM : vers un Google de la mobilité ?

lesechos.fr - Stéphane Buonanno et Chhoenarith Phlek (CGI Business Consulting)

Publié le 28 mai 2021

En offrant la possibilité pour les acteurs numériques de vendre des services de transports, la LOM pourrait favoriser l'émergence d'un géant de la mobilité. Ou peut-être que les autorités organisatrices des transports, comme Ile-de-France Mobilités, tireront leur épingle du jeu, écriventStéphane Buonanno et Chhoeunarith Phlek deCGI Business Consulting.

Freefloating, covoiturage, autopartage… les modes de déplacement évoluent et leurs usages aussi. Promulguée en 2019, la loi d'orientation des mobilités (LOM) cherche à les encadrer tout en considérant l'urgence environnementale. L'idée est notamment de mieux adresser le premier et le dernier kilomètre, qui peuvent représenter 40 à 50 % du temps de trajet moyen en transports collectifs, et qui incitent donc souvent à l'utilisation de la voiture individuelle (autosolisme).

L'article 28, qui entrera en vigueur le 1er juillet prochain, cible une pratique qui existe déjà : la possibilité pour les acteurs numériques de vendre des services de mobilité. Aujourd'hui, lorsque l'on veut aller d'un endroit à un autre en utilisant plusieurs modes de transport, on doit jongler entre différentes applications. L'idée de l'article 28 est de remédier à cela, en faisant en sorte que n'importe quel acteur puisse vendre des tickets de bus, des trajets en train ou des trajets en trottinette. On pourra alors se rendre de Lyon au XVe arrondissement de Paris en passant par une seule application et une seule transaction, bref, en un minimum de clics.

Deux rôles pour une expérience usager simplifiée

D'un côté, les gestionnaires de service, qui offrent des solutions de mobilité (Île-de-France Mobilités, Lime, Uber etc). De l'autre, les services numériques multimodaux (SNM, terme introduit par la loi) désignant les acteurs numériques qui vendent les titres de transport d'un ou de plusieurs gestionnaires de services. Ces derniers peuvent aussi devenir des SNM.

Lire la suite : https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-lom-vers-un-google-de-la-mobilite-1318846

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Le «RER savoyard», un projet sur la bonne voie

lessorsavoyard.fr - Florent Pecchio

Publié le 26 mai 2021

Et si c’était le projet qui permettait de résoudre les embouteillages du territoire ? S’il n’est pas encore finalisé, loin de là, les planètes semblent alignées pour que le RER savoyard voie le jour.

Le terme n’est peut-être pas le mieux choisi, mais il exprime bien le concept. L’idée, elle, fait son chemin et semble taillée pour le bassin aixois et chambérien, confrontés à des embouteillages très fréquents. Sans parler de la paralysie que provoquent régulièrement les accidents sur la VRU chambérienne…

S’appuyer sur le réseau existant

Le projet de «RER savoyard», donc, sorte de train express qui s’appuierait très largement sur l’infrastructure ferroviaire existante, pour dynamiser cet axe Aix-les-Bains – Chambéry – Montmélian et inciter les habitants à laisser leur voiture au garage, ou sur un parking relais, semble en ce printemps 2021 bien parti pour voir le jour.

Il faut dire que le contexte s’y prête à merveille. Selon l’expression consacrée : les planètes semblent s’aligner. Ce genre d’infrastructures relève de la compétence régionale et cela tombe bien, les élections approchent, les 20 et 27 juin prochains. Beaucoup de candidats sont favorables au projet.

« Mieux respirer dans nos vallées »

Laurent Wauquiez, d’abord. Candidat à sa réélection, il a lancé, au cours de son mandat, une étude, financée aussi par le Département et l’État, pour avancer sur l’idée, de concert avec la SNCF. Il est un partisan de cette petite révolution… et difficile de trouver une liste candidate qui y soit défavorable.

« L’enjeu principal, c’est qu’on puisse mieux respirer dans nos vallées, glisse Marina Ferrari, candidate sur la liste de la majorité présidentielle. C’est une bonne solution car il n’y a pas de travaux d’infrastructures lourdes à faire. »

Lire la suite : https://www.lessorsavoyard.fr/25810/article/2021-05-26/le-rer-savoyard-un-projet-sur-la-bonne-voie

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La start-up Urbanloop peut-elle réussir son pari et nous faire voyager en capsules ?

lexpress.fr - Sébastien Julian

Publié le 29 mais 2021

Prenant à contrepied les projets d'Hyperloop, la société propose une solution propre accessible et économique. Mais il lui reste à convaincre les usagers

Des capsules à deux places automatisées, propulsées par un moteur électrique, peuvent-elles bouleverser les transports urbains et nous inciter à mettre de côté l'automobile ? Difficile à croire tant nous semblons prisonniers de nos habitudes. Pourtant, la start-up française Urbanloop veut nous convaincre qu'une autre façon de se déplacer - propre, accessible et économique - est possible. Elle a même un argument massue pour convaincre les villes de la mettre en oeuvre : le coût énergétique nécessaire pour déplacer l'une de ses capsules sur une distance d'un 1 km est inférieur à ... 1 centime d'euro ! Plus précisément, l'un de ses prototypes a parcouru - à vide - 1000 m pour un coût en électricité estimé de 47 centimes, à l'occasion d'un test réalisé ce vendredi. "C'est le record du monde dans la catégorie transport autonome sur rail", se réjouit Jean-Philippe Mangeot, directeur et fondateur de la société. 

LIRE AUSSI >> On a testé la voiture sans chauffeur dans Paris

Et pour lui, cette sobriété change tout. Jusqu'ici l'idée de voyager dans des capsules était plutôt portée par Hyperloop TT, Hyperloop One et Transpod, trois acteurs inspirés par une publication d'Elon Musk sortie en 2013. Mais en dépit de plusieurs années de développement, leurs projets de transport à grande vitesse (environ 1200 km/h) utilisant la sustentation magnétique ne sont toujours pas mûrs. Aucune démonstration probante avec passagers n'a eu lieu. Trop cher, trop compliqué à mettre en oeuvre.  

Lire la suite : https://www.lexpress.fr/actualite/la-start-up-urbanloop-peut-elle-reussir-son-pari-et-nous-faire-voyager-en-capsules_2151766.html

Services publics

Le dispositif France services Itinérance opérationnel le 31 mai

letelegramme.fr

Publié le 23 mai 2021

Six communes rurales de Morlaix Co viennent d’être labellisées « France services Itinérance ». Un dispositif qui permet d’aider les habitants dans leurs démarches administratives via des permanences.

Depuis plusieurs mois, six communes rurales de Morlaix Co (Pleyber-Christ, Plourin les Morlaix, Plougonven, Plounéour-Ménez, Lannéanou, Le Cloître Saint-Thégonnec) comptant 13 506 habitants ont travaillé de concert afin d‘être labellisé « France Services Itinérance » par le ministère de la Cohésion des Territoires et des Relations avec les collectivités territoriales. En accord avec la préfecture, ce dispositif, innovant dans les zones rurales, a été retenu.

Les communes concernées ont souhaité s’appuyer sur les ressources et l’expérience de l’association « Vivre la Ville » à Brest et qui est en capacité de déployer rapidement une offre adaptée aux besoins du territoire.

En présence d’Elisabeth Sévenier-Muller, sous-préfète de Morlaix, Véfa Kerguillec, Thypaine Grall et Gaëlle Trudet de PIMMS Médiation (« Vivre la ville ») ont présenté le dispositif aux maires concernés lundi 17 mai 2021.

Deux médiatrices pour couvrir six communes

Lire la suite : https://www.letelegramme.fr/finistere/pleyber-christ/le-dispositif-france-services-itinerance-operationnel-le-31-mai-23-05-2021-12754970.php

Cybersécurité

Cybersécurité. À l'occasion de la Toulouse Hacking Convention, un chercheur lance un appel

actu.fr - Hugues Olivier-Dumez

Publié le 23 mai 2021

La Toulouse Hacking Convention aura lieu le 11 juin 2021. Cette journée de conférences est l'occasion de sensibiliser l'opinion publique sur les enjeux de sécurité informatique.

Les métiers liés à la cybersécurité sont très divers et souvent mal connus. (©Illustration Adobe Stock)

Quand la réalité rattrape la fiction. Comme dans la série « Le Bureau des légendes », les hôpitaux se retrouvent désormais à la merci des hackers. 

Dans la nuit du 8 au 9 février 2021, le centre hospitalier de Dax (Landes) avait fait l’objet d’une cyberattaque. Quelques jours après, c’est l’hôpital de Villefranche-sur-Saône (Rhône) qui était victime d’une attaque au « rançongiciel » (ou ransomware) : les pirates réclament le paiement d’une rançon pour débloquer les ordinateurs.

Attaque de type rançongiciel

À l’heure de la numérisation des dossiers médicaux, faut-il s’inquiéter ? Interrogé au Sénat lors des questions au gouvernement, le secrétaire d’État à la transition numérique Cédric O avait fait état de « 27 attaques majeures d’hôpitaux en 2020 » et une par semaine depuis 2021. 

Les hôpitaux ne sont pas les seuls à faire l’objet de ce type d’attaque informatique. Des entreprises connaissent le même sort. En novembre dernier, le journal Ouest France, avait lui aussi fait l’objet d’une attaque de type rançongiciel. Une attaque qui avait impacté également d’autres titres du groupe, dont Actu.fr.

Des organisations criminelles

Selon une étude révélée par Europe 1, pour six entreprises françaises sur dix, le budget alloué à la cybersécurité ne dépasse guère 1 000 euros par an. Une somme insuffisante, face à un phénomène de professionnalisation des hackers regroupés comme des organisations criminelles. 

Les entreprises sont-elles suffisamment sensibilisées à ces enjeux ? Les particuliers ont-ils pris conscience des dangers ? Des formations sont-elles proposées pour répondre à ces défis ? 

Un événement à Toulouse

Lire la suite : https://actu.fr/occitanie/toulouse_31555/cybersecurite-a-l-occasion-de-la-toulouse-hacking-convention-un-chercheur-lance-un-appel_41910399.html

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Cyber-criminalité. Le parquet européen, nouvelle instance antifraude, sera opérationnel le 1er juin

paris.normandie.fr -

Publié le 26 mai 2021

Le parquet européen, nouvelle instance de lutte contre la fraude dans l’UE, commencera ses travaux le 1er juin 2021, après plusieurs mois de retard, a confirmé mercredi la vice-présidente de la Commission européenne Vera Jourova.

«Nous sommes sur le point de lancer le premier bureau européen (de procureurs, NDLR) indépendant chargé d’enquêter et poursuivre les infractions affectant le budget de l’UE», s’est félicitée la responsable, soulignant l’importance de cette instance pour protéger l’utilisation des 750 milliards du plan de relance européen.

«L’une des missions essentielles du parquet européen au début de ses travaux sera de s’assurer que ces fonds seront entièrement dédiés à aider nos économies et nos citoyens à se remettre de la crise provoquée par le Covid-19», a-t-elle dit.

Le parquet européen «va aussi changer la donne dans la lutte contre la fraude à la TVA transfrontalière», a-t-elle souligné.

 Une instance supplémentaire

Ce parquet dirigé par la Roumaine Laura Kövesi et dont le siège est à Luxembourg, devait initialement débuter ses travaux en fin d’année 2020, mais des délais dans la désignation par les Etats de leurs procureurs délégués a retardé l’échéance.

Deux Etats sur les 22 participants, la Slovénie et la Finlande, n’ont toujours pas désigné ces procureurs délégués, et la Commission a appelé ces pays à le faire «rapidement».

Le Premier ministre slovène Janez Jansa, dont le pays prendra la présidence tournante de l’UE le 1er juillet, a indiqué mercredi qu’une décision serait «prise demain», lors d’une visioconférence avec le président du Parlement européen David Sassoli.

Lire la suite : https://www.paris-normandie.fr/id196474/article/2021-05-26/cyber-criminalite-le-parquet-europeen-nouvelle-instance-antifraude-sera

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L’ANSSI lance un appel pour recenser les prestataires de service en cybersécurité

itsocial.fr - Mourad Krim

Publié le 26 mai 2021

L’ANSSI lance un appel à manifestation d’intérêt pour recenser les prestataires de service en cybersécurité qui souhaitent contribuer à la mise en œuvre des Parcours de cybersécurité proposés dans le cadre de France Relance. L’ANSSI bénéficie d’une enveloppe de 136 millions d’euros pour renforcer la cybersécurité de l’État et des territoires sur la période 2021-2022.

L’agence de sécurité déploie notamment des Parcours de cybersécurité auprès de bénéficiaires volontaires. Ces parcours permettent d’établir un diagnostic cyber et une feuille de route des actions de sécurisation à réaliser. L’appel lancé a pour but de recenser les prestataires de service en cybersécurité qui souhaitent contribuer à la mise en œuvre des Parcours de cybersécurité.

Assurer une protection durable de l’État

Les Parcours de cybersécurité proposent un prédiagnostic et un accompagnement, de la maîtrise d’ouvrage jusqu’à la mise en œuvre. Ils sont adaptés aux enjeux et besoins de sécurité de chaque organisation et possèdent plusieurs niveaux : Fondation, Intermédiaire, Avancé et Renforcé.

Ces actions de sécurisation sont mises en œuvre par des prestataires de service en cybersécurité appelés « prestataires terrain ». Ils sont choisis par les bénéficiaires pour travailler à leur profit. La contractualisation s’effectue directement entre le bénéficiaire et le prestataire identifié.

« France Relance est une belle opportunité pour les prestataires de service en cybersécurité. Leur rôle est déterminant pour assurer la protection durable de l’État, des collectivités territoriales, des établissements de santé et des organismes au service des citoyens » explique Guillaume Poupard, directeur général de l’ANSSI.

Lire la suite : https://itsocial.fr/actualites/cybersecurite-actualites/lanssi-lance-un-appel-pour-recenser-les-prestataires-de-service-en-cybersecurite/

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Cybersécurité : les infiltrés se cachent en moyenne plus de 250 heures sans être détectés

itsocial.fr - Mourad Krim

Publié le 27 mai 2021

La cybersécurité est devenue un jeu de cache-cache entre les attaquants et les services de cybersécurité. Alors que la durée moyenne d’infiltration d’un SI est de 250 heures, les défenseurs de leur côté doivent désormais s’efforcer de détecter les signaux faibles de présence suspecte.

Les récentes affaires de cybersécurité les plus retentissantes ont démontré que les attaquants peuvent se cacher dans les systèmes infiltrés pendant des années avant d’être débusqués. L’enjeu pour les services de sécurité est alors de détecter les signaux faibles d’activité malveillante le plus précocement possible. Les attaquants de leur côté font évoluer en permanence leurs outils et leurs activités afin d’échapper à la détection et garder une longueur d’avance sur les équipes de sécurité. Il peut être difficile pour une organisation de suivre les dernières approches utilisées par les adversaires, en particulier lorsqu’il s’agit d’attaques ciblées, actives et orchestrées par des opérateurs humains.

De fait, les tactiques de détection précoce sont de la plus haute valeur pour les défenseurs, car si elles sont bloquées, elles peuvent neutraliser et contenir une attaque avant qu’elle n’ait la possibilité de se déployer pleinement et de causer des dommages ou des perturbations. Dans son étude Active AdversaryPlaybook 2020, Sophos révèle que le temps d’exposition moyen d’une attaque atteint 11 jours, soit 264 heures, le record étant de 15 mois. Le rançongiciel figure dans 81 % des incidents, tandis que 69 % des attaques ont eu recours au protocole RDP (Remote Desktop Protocol) pour opérer des mouvements latéraux à l’intérieur du réseau.

Un jeu de cache-cache sans fin

Lire la suite : https://itsocial.fr/enjeux-it/enjeux-securite/cybersecurite/cybersecurite-les-infiltres-se-cachent-en-moyenne-plus-de-250-heures-sans-etre-detectes/

Blockchain

The Blockchain Group lance The Blockchain Camp

boursedirect.fr

Publié le 25 mai 2021

Un campus hybride d'un nouveau genre, pour expérimenter, innover, se former et accélérer autour des Deep Tech Avec ce lancement, le spécialiste de...

The Blockchain Group lance The Blockchain Camp. Avec ce lancement, le spécialiste de la blockchain, The Blockchain Group, confirme sa volonté de contribuer à l'évangélisation de cette technologie, et plus largement d'acter le mariage de la Blockchain avec la transformation numérique, la Business Intelligence et la cybersécurité.
Porté par la conviction que les acteurs privés doivent activement participer à la recherche et à l'innovation mondiale dans ces domaines, ce campus hybride s'apprête à révolutionner la manière de défricher de nouveaux territoires tout en confortant le potentiel de nouvelles approches technologiques.

Depuis 2017, l'écosystème autour de la blockchain est particulièrement dynamique en France et dans le monde. Source de nombreuses disruptions dans différents secteurs, les projets autour de lui émergent avec des promesses technologiques immenses. Les champs d'application évoluent également à l'image des Non Fungible Token ou NFTs. Autour de ces Deep Tech s'élève toute une constellation de start-up qui gravitent dans cet univers et le font progresser.

Le lancement et la réalisation de projets blockchain est toutefois encore freiné par un phénomène de rareté, celle des développeurs et experts techniques qualifiés. À ce jour, il n'existe pas de formation spécifique et réellement solide autour de l'implémentation de ces sujets. Difficile donc, pour de jeunes entrepreneurs, de développer sereinement les cas d'usage ou de disruption. Conscient que l'heure doit être à l'accélération, Xavier Latil, fondateur et CEO de The Blockchain Group s'empare du sujet. En concertation avec ses équipes, il lance aujourd'hui The Blockchain Camp, un campus hybride, qui répond à cette double problématique de l'expertise et de l'accompagnement des initiatives dans les Deep Tech.

Un campus unique au croisement de plusieurs disciplines

The Blockchain Camp se présente comme un campus hybride, au carrefour de 3 disciplines :

Lire la suite : https://www.boursedirect.fr/fr/actualites/categorie/divers/the-blockchain-group-lance-the-blockchain-camp-boursier-77b7c45b342506937de8f7672b54e85e55c8cb59 
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Comment l’identité numérique rend la blockchain plus accessible pour les entreprises

news.chastin.com

Publié le 28 mai 2021
Au cours de la dernière semaine d’avril, alors que le prix du Bitcoin s’échangeait latéralement, Ethereum a reçu un coup de pouce bienvenu après l’annonce de la publication par la Banque européenne d’investissement de sa toute première obligation sur la plate-forme. Bras de prêt de l’Union européenne, la BEI a frappé des jetons Ethereum adossés à des obligations d’une valeur de 100 millions d’euros, qui arriveront à échéance en avril 2023.

Il ne fait aucun doute que l’action haussière des prix découle de l’enthousiasme suscité par l’approbation d’Ethereum par une grande institution financière comme la BEI. Mais cela indique-t-il une acceptation plus large potentielle des blockchains publiques des institutions financières? Peut-être, mais des obstacles importants subsistent.

Il convient de noter qu’Ethereum existe depuis près de six ans maintenant, et jusqu’à présent, son cas d’utilisation le plus étendu s’est avéré être DeFi. Au moins jusqu’à présent, l’adoption par les entreprises à grande échelle a échappé à la plate-forme. Il est facile de supposer que c’est parce qu’Ethereum n’est pas évolutif ou que les frais de transaction sont élevés et souvent imprévisibles.

Mais le problème principal, en particulier pour les institutions financières, est plus fondamental. Ethereum et d’autres blockchains publiques ne disposent d’aucun mécanisme intégré pour effectuer des contrôles de conformité.

Dans le cas de l’obligation de la BEI, les ventes seront gérées par des banques d’investissement telles que Goldman Sachs, Banco Santander et Société Générale.

Lire la suite : https://news.chastin.com/comment-lidentite-numerique-rend-la-blockchain-plus-accessible-pour-les-entreprises/

5G

34 antennes 5G sont déjà déployées à Brest

france.bleu.fr - Nicolas Olivier - France Bleu Breizh Izel

Publié le 26 mai 2021

Six mois après l'activation de la 5G en France, le déploiement du réseau s'accélère dans les principales agglomérations du pays. Avec 34 antennes déjà opérationnelles, Brest se classe à la 34e place des grandes villes, d'après les données de l'Arcep, l'autorité de régulation des télécoms.

Au 30 avril 2021, Brest occupait la 34e place du classement des plus grandes villes françaises en nombre d'antennes 5G commercialisées pour 1.000 habitants (0,24), d'après l'état des lieux publié par le site spécialisé Lemon.fr à partir des données de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep). Rennes est 32e (0,25) et Nantes 14e (0,38) de ce classement dominé par Villeurbanne, Dijon et Nice.

Plus de 500 antennes 5G en Bretagne

A Brest, 34 antennes 5G sont activées, 22 gérées par Orange et 12 par Free. La ville compte également 107 antennes 4G. Dans toute la Bretagne, 506 antennes 5G sont déployées.

À lire aussi La 5G déployée à Brest ce vendredi par Orange

Source : https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/34-antennes-5g-sont-deja-deployees-a-brest-1622018049

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La Rochelle : la 5G d'Orange débarque dans 7 communes de l'agglomération

actu.fr Corentin Cousin

Publié le 26 Mai 2021

L'opérateur Orange ouvre à partir de ce mercredi 26 mai, son réseau 5G sur l'agglomération rochelaise et dans trois communes de l'Île de Ré.

Pour la première fois en Charente-Maritime, Orange a célébré l’ouverture de son réseau 5G dans la communauté d’agglomération de La Rochelle et sur l’Île de Ré, ce mercredi 26 mai. 

10 communes sont concernées, « nous avons choisi des lieux où le réseau 4G montre une saturation élevée du réseau », explique Éric Arduin, délégué régional Orange. Périgny, Saint-Rogatien, Aytré, l’Houmeau, Lagord, Puilboreau et La Rochelle sont désormais ouverte à la 5G ainsi que Les-Portes-en-Ré, Ars-en-Ré et Saint-Martin-de-Ré. 

50 % des connexions internet se font via un smartphone et les données mobiles sont en augmentation de 40 à 50 %. Des utilisateurs qui à force font saturer le réseau.

Au total ce sont 60 nouvelles antennes qui ont été installées sur une vingtaine de site déjà existant.

En deux étapes

Une des deux premières étapes a débuté ce 26 mai avec l’ouverture du réseau 5G sur 10 communes de La Rochelle et l’Île de Ré, mais une seconde devrait arriver courant 2021, « vers le milieu de l’année », précise Éric Arduin afin de compléter et d’étendre l’offre au-delà. 

« Nous avons voulu déployer ce réseau de façon utile et raisonnée en privilégiant des zones sensibles à la saturation ».

Si c’est la première mise en place de ce nouveau réseau dans le département c’est le 3e à l’échelle régionale après Pau en décembre 2020 et Bordeaux en février dernier.

Plus économique et plus efficace

Lire la suite : https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/la-rochelle_17300/la-rochelle-la-5g-d-orange-debarque-dans-7-communes-de-l-agglomeration_42145300.html

Intelligence artificielle

Aix-Marseille Université veut aller plus loin dans l’intelligence artificielle

gomet.net - Julie Rampal-Guidicci

Publié le 25 mai 2021

Le premier forum international consacré à l’intelligence artificielle (IA) s’est tenu à Marseille, au sein de la Préfecture de région, vendredi 21 mai. Un événement co-organisé par Aix-Marseille Université, la Délégation ministérielle à l’intelligence artificielle (DMIA) du Ministère français de l’intérieur et l’Agence francophone de l’intelligence artificielle (AFRIA), destiné à enclencher une réflexion commune sur ce sujet majeur du 21e siècle. « La région Paca veut être au premier rang de ces réflexions en termes de recherche et de développement économique », a clairement affirmé le préfet de région Christophe Mirmand en introduction du forum. « Les universités ont un rôle essentiel dans la formation des générations futures en IA. Notre objectif est de placer Aix-Marseille Université comme un point d’ancrage de ces formations », a ajouté Eric Berton, président d’Aix-Marseille Université. Comme le souligne ce dernier, huit master existent déjà au sein d’AMU, consacrés directement ou indirectement à l’étude de l’IA.

Mais AMU veut aller plus loin : l’université vient de signer un protocole d’accord, le 12 février dernier, avec la Délégation ministérielle à l’intelligence artificielle pour une durée de trois ans, a rappelé Eric Berton. Plusieurs objectifs dans cet accord : la création d’un master de l’IA destiné aux services de sécurité de l’Etat, des entreprises, des collectivités locales ou de la sécurité privée, ou encore l’intégration de cadres et collaborateurs du Ministère de l’Intérieur français parmi les formateurs en IA d’Aix-Marseille Université.

Aix-Marseille Université et l’IA, une histoire débutée dès 1970

« Aix-Marseille Université (Aix-Marseille 2 à l’époque) a débuté la recherche dans l’IA en 1970, avec le professeur Alain Colmerauer », relate Odile Papini, professeur en informatique et chercheuse en intelligence artificielle, au cours d’une des tables-rondes. Sur le campus de Luminy, il met au point le premier langage de programmation informatique Prolog, qui permet aux machines de comprendre le langage humain. En 1973, Colmerauer créera le Groupement pour l’intelligence artificielle, puis le groupe de recherche et traitement des connaissances (GRTC). Du côté de la faculté de médecine, également, les travaux sur l’IA en matière de santé débutent dès 1975.

Lire la suite : https://gomet.net/aix-marseille-universite-intelligence-artificielle/

Big Data

Google annonce un ordinateur quantique commercial pour 2029

lebigdata.fr - Bastien L

Publié le 26 mai 2021

Lors de la conférence I/O 2021, Google a annoncé son premier ordinateur quantique pour 2029. Après IBM, c’est donc au tour de Big G de concrétiser ses ambitions pour le Quantum Computing…

L’informatique quantique est une technologie d’avenir, qui offrira bientôt une puissance de calcul et une précision d’une envergure inédite pour l’informatique. Les chercheurs seront en mesure d’effectuer des calculs extrêmement complexes en un temps record.

Cette technologie va bouleverser de nombreuses industries, dont la santé, l’économie, l’énergie, mais aussi l’intelligence artificielle ou le chiffrement de données. Les géants de la technologie se préparent pour cette révolution.

Lors de la conférence I/O 2021, les développeurs de Google ont annoncé être capables de construire un ordinateur quantique commercial pour 2029. La feuille de route a été dévoilée en live par le CEO de Google, Sundar Pichai.

En parallèle, l’ingénieur IA quantique en chef Erik Lucero a publié les ambitions de la firme dans un billet de blog. Selon lui, Google a pour objectif de “ construire un ordinateur quantique utile et sans erreurs ” d’ici la fin de la décennie.

Google ouvre un premier Data Center quantique en Californie

Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/google-ordinateur-quantique-commercial