Mobilité
Transfert de la compétence mobilité : une France coupée en deux
lagazettedescommunes.com - Nathalie Arensonas, dans A la une, France
Publié le 10/08/2021
Les communautés de communes avaient jusqu’au 1er juillet pour prendre en main les transports publics sur leurs territoires ruraux et périurbains. Une sur deux a jeté l’éponge faute d’expertise, faute de réponse claire pour financer la mobilité dans ces zones blanches, mais aussi sous la pression de certaines régions.
Qui a dit oui, qui a dit non ? La réponse s’affiche sur la carte du Cerema (Centre d’étude sur l’environnement, les mobilités et l’aménagement) publiée mi-juillet et qui montre une ligne Nord-Sud de l’Hexagone, en contournant le Centre-Val de Loire. En vert, les Hauts-de-France, le Grand Est, la Normandie, et la Bretagne où les communautés de communes (CC) ont voté massivement en faveur du transfert de la compétence mobilité, stratégique dans le contexte de la transition énergétique. En jaune, toutes celles qui y ont renoncé.
Match nul
Un an et demi de tractations et de pression pour arriver à un match nul : une communauté de communes sur deux a renoncé à devenir autorité organisatrice de mobilité (AOM). Et là où il existait des syndicats mixtes de mobilité (5% à ce jour), la question ne se posait pas.
La décentralisation de la compétence transport est l’une des dispositions de la loi d’orientation des mobilités (LOM) votée fin 2019 pour tenter de rayer de la carte de France les zones où la voiture individuelle règne sans partage et qui nourrissent des fractures territoriales et sociales, comme l’a montré la crise des gilets jaunes. Les CC avaient donc jusqu’au 30 juin 2021 pour décider de prendre leurs déplacements en main et organiser des solutions adaptées à leurs territoires ruraux ou périurbains : autopartage, autostop et covoiturage organisés, location de vélos et trottinettes électriques, transport partagé et à la demande, etc.
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Belgique. Le métro 3, «meilleure option» pour la mobilité du nord de Bruxelles: c’est l’étude d’incidence qui le dit
lavenir.net - Belga
Publié le 12 Août 2021
Le métro 3 entre Albert et Bordet est le mode de transport le plus adapté. C’est ce que conclut l’étude d’incidence indépendante relayée par Beliris.
Le projet de création de la nouvelle ligne 3 du métro, pour relier le nord (Evere) au sud (Forest) de la capitale, est le mode de transport le plus adapté pour répondre aux besoins de mobilité du nord de Bruxelles, ressort-il des conclusions d’une étude d’incidences indépendante, indique jeudi Beliris. La technique, l’emplacement des stations et le tracé sont également approuvés, précise le maître d’ouvrage public.
Longue de 10,3 kilomètres, la nouvelle ligne doit être réalisée en deux phases. La première, déjà en cours, transformera le prémétro en métro entre Albert et la Gare du Nord et verra pousser une nouvelle station baptisée du nom du jazzman belge Toots Thielemans entre la Gare du Midi et Lemonnier. Un tunnel de jonction doit également être creusé sous les voies de la Gare du Nord. La deuxième phase prévoit le creusement d’un tunnel, la création de sept stations et d’un dépôt pour le remisage et l’entretien des métros. «Plus de 1.100 recommandations ont été compilées dans l’étude d’incidences […] et une majorité sera mise en œuvre, ou a déjà été prise en compte dans le projet», pointe Beliris. D’autres recommandations feront l’objet d’une analyse plus approfondie avant la réintroduction des plans dans le délai réglementaire de six mois, ajoute-t-il.
Le tram 55 renforcé? Pas suffisant
Parmi les alternatives au métro 3, le renforcement du tram 55 (augmentation de sa capacité ou passage en site propre) ne sera pas suffisant pour répondre aux besoins croissants en termes de mobilité au nord de Bruxelles, concluent les bureaux d’études indépendants et agréés Aries et Tractabel. Toutefois, le tram aussi aura un rôle à jouer dans les futurs plans de mobilité, axés sur l’intermodalité, pointe Brieuc de Meeûs, CEO de la Société des transports intercommunaux de Bruxelles (STIB).
Cybersécurité
Un nouveau dispositif d'alerte de cybersécurité pour les petites entreprises
Publié le 09 Août 2021
Les cyberattaques ciblant des entreprises sont en hausse sensible. Une situation qui a déterminé le Gouvernement à lancer un nouveau dispositif d'alerte à destination des petites entreprises. Des alertes conçues afin d'être comprises facilement par tous et de permettre d'appliquer rapidement les mesures nécessaires.
Diffusion de notices d'alerte auprès des entreprises
La part croissante du numérique dans l’économie induit aussi des risques cyber en forte hausse eux aussi. De fait, les cyberattaques visant des entreprises ont augmenté de manière très sensible ces derniers mois et n’épargnent pas les petites structures.
Face à ce constat, le Gouvernement a annoncé fin juillet le lancement d’un nouveau dispositif d’alerte à destination des plus petites entreprises, souvent isolées face à la menace cyber.
Désormais, lorsqu’une vulnérabilité ou une campagne d’attaques ciblant ce type d’entreprises sera identifiée, une notice succincte et compréhensible pour des dirigeants d’entreprises non spécialistes en matière de cybersécurité sera éditée par le dispositif national d'assistance aux victimes Cybermalveillance.gouv.fr et l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). En quelques lignes, elle précisera la nature du risque, les systèmes informatiques concernés et les mesures à prendre (voir l'exemple ci-contre).
La notice sera communiquée aux organisations interprofessionnelles (MEDEF, CPME et U2P), aux Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI), aux Chambres de Métiers et de l’Artisanat (CMA) et au dispositif public France Num, qui accompagne la transformation numérique des petites entreprises, qui seront chargés de la diffuser le plus largement possible aux entreprises avec lesquelles elles sont en relation. D’autres acteurs économiques en mesure d’assurer la diffusion des notices auprès des entreprises pourront être ultérieurement intégrés au dispositif.
Lire la suite : https://www.lechorepublicain.fr/france-monde/actualites/un-nouveau-dispositif-d-alerte-de-cybersecurite-pour-les-petites-entreprises_13995675/
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Microsoft renforce la détection des ransomwares dans Azure
usine-digitale.fr - Alice Vitard
Publié le 10 août 2021
Azure Sentinent, la plateforme SIEM de Microsoft, est désormais capable de détecter une activité potentielle liée à un ransomware à l'aide d'un système d'apprentissage automatique. L'objectif est de réduire la durée de détection et de réponse dans un contexte d'explosion des cyberattaques.
Microsoft a annoncé dans un billet de blog que les utilisateurs d'Azure, son service de cloud computing, allaient bénéficier d'un nouveau service dédié à la détection des ransomwares. Ce malware chiffre l'intégralité des données se trouvant dans un système d'information puis propose une clé de déchiffrement aux victimes en échange d'une rançon payable en bitcoins, donc impossible à annuler une fois payée.
Détecter les signaux faibles
Ce nouveau dispositif, baptisé "Fusion detection for ransomware", est capable grâce à l'intelligence artificielle de détecter des signaux faibles associés à "des activités de ransomware", détaille Sylvie Liu, autrice du billet de blog et security program manager au sein de Microsoft.
L'alerte apparaîtra dans l'espace de travail Azure Sentinel, une solution cloud de type SIEM (Security Information and Event Management) qui offre une vue d'ensemble de l'organisation et des menaces potentielles à travers des sources disparates. Le système fournit également des informations sur le mode opératoire des cybercriminels.
En pratique, le système "Fusion detection for ransomware" mettra en corrélation les données provenant d'Azure Defender (Azure Security Center), de Microsoft Defender for Endpoint, de Microsoft Defender for Identity ainsi que de Microsoft Cloud App Security.
Réduire le délai de détection et de réaction
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/microsoft-renforce-la-detection-des-ransomwares-dans-azure.N1131914
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Impôts : attention aux faux remboursements !
mieuxvivre-votreargent.fr - Rédactioen de Mieux-Vivre
Publié le 12 août 2021
Une nouvelle tentative d’escroquerie est utilisée par les cybercriminels : un faux remboursement du vaccin contre le Covid-19. Attention aux arnaques.
Un « remboursement d’impôt Vaccin contre le coronavirus ». C’est la nouvelle tentative d’escroquerie qui est pointée du doigt par la Direction générale des Finances publiques (DGFiP). Le message commence ainsi : « Après les derniers calculs annuels de l’exercice de votre activité, nous avons déterminé que vous êtes admissible à recevoir un remboursement d’impôt Vaccins contre le coronavirus (COVID-19) de 375,39 euros », envoyé le mercredi 11 août à un citoyen français, raconte Le Figaro. L’e-mail est à entête de la DGFiP, un lien invite même le contribuable à cliquer dessus pour être redirigé vers un faux site du fisc. Ensuite, il doit remplir ses identifiants, et c’est ainsi que les données bancaires sont récoltées par les cybercriminels. Ils transfèrent ensuite de l’argent sur un autre compte.
Face à la recrudescence de ce type de message, la DGFiP a publié sur sa page d’accueil un message, intitulé « Attention aux arnaques ! ». Il y a plusieurs moyens de savoir si un message de ce type provient réellement du fisc ou s’il s’agit d’une tentative d’escroquerie. Il faut d’abord vérifier l’adresse e-mail d’expédition : ils doivent avoir comme nom de domaine @dgfip.finances.gouv.fr. D’autres types d’arnaques continuent de sévir, notamment au numéro surtaxé. Certains sites renvoient vers ces numéros, faisant croire qu’il s’agit du numéro des centres des finances publiques. Or, les vrais numéros commencent ou par 01, 02, 03, 04 ou 05 en fonction du lieu, ou bien il s’agit du numéro unique non surtaxé 0 809 401 401.
Lire la suite : https://www.mieuxvivre-votreargent.fr/impots/2021/08/12/impots-attention-aux-faux-remboursements/
Internet des objets
SpaceX s'offre la start-up Swarm Technologies spécialisée dans les picosatellites dédiés à l'IoT
usine-digitale.fr - Alice Vitard
Publié le 09 Août 2021
SpaceX a racheté Swarm Technologies pour un montant inconnu. Cette start-up californienne exploite un réseau de 120 picosatellites placés en orbite basse dédiés à l'internet des objets. Cette acquisition semble marquer un tournant dans la stratégie de l'entreprise américaine qui a toujours fabriqué elle-même son matériel, lanceurs comme satellites.
SpaceX, à l'origine de la constellation de satellites Starlink, a racheté l'opérateur de satellites de communication Swarm Technologies, d'après une demande déposée devant la Federal Communications Commission (FCC), l'agence fédérale américaine chargée de la certification des équipements électroniques et de télécommunications.
UNE FILIALE À 100% DE SPACEX
Un accord, dont les termes financiers restent confidentiels, a été signé entre les deux sociétés le 16 juillet 2021 et prévoit que Swarm Technologies devient une filiale à 100% de SpaceX en lui transférant l'ensemble de ses licences et brevets. Les 30 salariés de la jeune pousse rejoindront ainsi les équipes de l'entreprise américaine.
Fondée en 2016 par Sara Spangelo, ancienne lead systems engineer à la NASA et Google X et actuelle CEO, cette jeune pousse basée à Palo Alto en Californie a conçu le picosatellite "Tile Swarm". Son objectif, qui est le même que SpaceX, est de fournir des services de communication par satellite abordables dédiés aux régions reculées.
UNE CONSTELLATION DE 120 SATELLITES
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Une défaillance des générateurs de nombres aléatoires affecte les dispositifs IoT
objetconnecte.com - Kevunie R.
Publié le 10 août 2021
La détection d’une faille critique dans les générateurs de nombres aléatoires (RNG) matériels qui équipent une multitude de systèmes IoT a été révélée. Cette défaillance empêche la génération correcte de nombres aléatoires.
Les chiffres « choisis au hasard » se révèlent moins aléatoires dans le cas des technologies IoT. En réalité, ces dispositifs optent le plus souvent pour un chiffrement équivalent à 0, voire pire. Ce phénomène peut mettre ainsi en péril la sécurité de ces derniers et les exposer à des attaques.
Des milliards de dispositifs IoT font face à une importante vulnérabilité du RNG
La mise en œuvre d’un générateur de nombre aléatoire constitue une étape cruciale. Elle sous-tend différentes activités cryptographiques, y compris le traitement des données, des codes d’accès et du salage. En ce qui concerne plus précisément le système d’exploitation classique, il dérive d’un CSPRNG ou générateur de nombres pseudo-aléatoires à sécurité cryptographique. Celui-ci exploite en effet une source d’entropie issue d’une matrice de qualité supérieure.
Pour les terminaux IoT, cette technologie repose sur une puce électronique (SoC). De cette façon, le SoC accueille un composant RNG matérialisé nommé générateur de nombre aléatoire réel (TRNG). Au fait, il est employé pour déterminer la nature aléatoire de certains processus ou mécanismes.
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Intelligence artificielle
Le Pentagone veut anticiper des événements à l’aide d’une intelligence artificielle
sciencepost.fr - Yohan Demeure, rédacteur scientifique
Publié le 09 août 2021
Dernièrement, un haut responsable américain a fait une étonnante déclaration. L’armée des États-Unis dispose d’une intelligence artificielle capable d’anticiper plusieurs jours à l’avance certains événements. Il peut par exemple s’agir de mouvements de troupes ou encore de lancements de missiles.
Une intelligence artificielle qui prévoit les mouvements ennemis
Les États-Unis ont mené un imposant exercice lors de la 3e édition du programme Global Information Dominance Experiments (GIDE). Plus d’une dizaine de commandements de l’armée américaine étaient présents pour assister à la présentation de solutions pour dominer le secteur de l’information et rendre plus faciles les prises de décision face à une crise. Comme l’explique un communiqué publié par le département de la Défense (DoD) le 28 juillet 2021, une intelligence artificielle (IA) est capable d’anticiper des événements à venir sur plusieurs jours.
Cette révélation est celle du général Glen D. VanHerck, commandant du North American Aerospace Defense Command (NORAD) et de l’U.S. Northern Command. L’intéressé rappelle que le programme GIDE a pour but d’exploiter les différentes données des radars, des satellites, des services de renseignement et de nombreux capteurs à l’aide d’une IA. En utilisant ces données, l’IA est capable de prévenir des mouvements de troupes, des lancements de missiles ou encore le déplacement d’avions et de sous-marins.
Un grand changement dans la façon d’utiliser les données
Les données en question sont si nombreuses que des analystes seraient incapables de les prendre compte, même en cas de solide expérience. Le général Glen D. VanHerck affirme que l’intervention de l’IA représente ici un changement fondamental dans la manière d’utiliser les données pour permettre une plus grande capacité de décision en matière de stratégie et de tactique. Toutefois, il estime qu’il ne s’agit pas d’une nouvelle technologie en soi.
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Moyens de Paiement
Tout savoir sur Paypal
lebigdata.fr - Elina S.
Publié le 09 août 2021
PayPal a été l’un des premiers systèmes de paiement en ligne. Plus de 20 ans après son lancement (1998), l’entreprise s’impose sur le marché. Elle est aussi considérée comme l’un des plus fiables. En chiffres, Paypal c’est 360 millions d’utilisateurs actifs dans plus de 200 pays. C’est aussi quatre milliards de transactions de paiement au troisième trimestre de 2020.
Paypal : de quoi s’agit-il exactement ?
Lancé en 1998, PayPal proposait à la base un service de paiement en ligne. Plus tard, il était également possible d’utiliser Paypal pour envoyer ou recevoir de l’argent en ligne et en toute sécurité. Alors comment ça marche ? Il suffit d’associer le compte Paypal avec un compte bancaire ou une carte de crédit. Pour les achats en ligne, PayPal sert d’intermédiaire entre la banque et les commerçants en sécurisant les informations de paiement.
Paypal est-il gratuit ou payant ?
La création d’un compte PayPal est gratuite. Les achats en ligne et la plupart des transactions personnelles sont également gratuits. Cela rend presque les chèques et les coûteux virements bancaires obsolètes. PayPal applique cependant des frais pour certains types de transactions. Il n’y a pas de frais pour effectuer des achats en ligne auprès de détaillants qui acceptent PayPal tant qu’il n’y a pas de conversion de devise impliquée. Par contre, Paypal perçoit des frais de transaction étrangère de l’ordre de 3 % ou 4 % pour les achats effectués dans une devise étrangère.
Envoyer ou recevoir de l’argent de la famille ou des amis est considéré comme une transaction personnelle. Et elle est généralement gratuite. Mais selon le pays d’où l’argent est envoyé ou reçu, cela peut entraîner des frais. En somme, il n’y a aucuns frais pour une transaction personnelle nationale et il faut compter près de 5 % (entre 0,99 et 4,99 dollars) pour une transaction internationale.
En envoyant de l’argent avec une carte de débit ou de crédit, l’utilisateur est facturé 2,9% s’il s’agit d’un paiement national et 5% s’il s’agit d’une carte internationale. S’ajoutent à cela des frais fixes qui varient en fonction du pays (0,30 dollar pour les paiements provenant des États-Unis). Toujours dans le cadre d’une transaction personnelle, recevoir de l’argent via Paypal est aussi gratuit tant qu’il n’y a pas de conversion de devise impliquée. Une fois l’argent dans le compte Paypal, le transfert vers le compte bancaire est gratuit, à moins de ne vouloir un accès instantané aux fonds. Ce service est accessible moyennant des frais de 1%. Par ailleurs, tirer un chèque d’un compte PayPal entraîne des frais de 1,50 dollar par retrait. Pour un compte pro, les frais sont similaires.
Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/paypal-tout-savoir
Blockchain
Top 5 des projets Blockchain sur lesquels vous devriez garder un œil ⋆ Crypto nouveaux médias
Publié le 09 août 2021
Le trimestre dernier, les projets de blockchain ont levé un montant record de 4,4 milliards de dollars, et Statista appelle 2021 “l’année de la crypto-monnaie”. Tout ce capital frénétique repose sur une prémisse : que les réseaux décentralisés sont avantageux à plusieurs égards, notamment le manque de confiance, la transparence et une plus grande sécurité.
Explorons comment 5 projets de blockchain utilisent les avantages de la décentralisation pour une réelle valeur ajoutée, à travers les NFT, la finance décentralisée, les jeux et la charité.
Polygon se présente comme l’Internet des chaînes de blocs d’Ethereum. Tout le monde dans la blockchain connaît Ethereum – c’est la plate-forme de choix pour créer des applications décentralisées. Mais cela ne veut pas dire que c’est parfait, et la vitesse et le coût des transactions Ethereum laissent beaucoup à désirer.
Les blockchains compatibles avec Ethereum peuvent atténuer ces problèmes, et Polygon le rend sans effort. Des centaines d’applications décentralisées ont étendu leurs opérations avec Polygon, y compris des projets DeFi comme Easyfi et des projets NFT comme Neon District.
En fait, Polygon facilite si facilement la création de DApps évolutifs qu’un étudiant de 13 ans a créé un écosystème de gestion de crypto-monnaie, PolyGaj, qui gère désormais des millions de dollars.
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5G
Chiffre d'affaires des infrastructures 5G : un croissance de plus de 5 milliards de dollars en 2021
zdnet.fr - Jonathan Greig
Publié le 09 août 2021
Technologie : Gartner estime qu'un total de 19,1 milliards de dollars sera rapporté par les revenus des infrastructures de réseau 5G en 2021.
Un nouveau rapport de Gartner prévoit une croissance des revenus de 39 % pour le marché mondial des infrastructures de réseau 5G en 2021. Le chiffre d'affaires estimé à 19,1 milliards de dollars dépassera de loin le chiffre de 13,7 milliards de dollars de 2020, selon Gartner.
Michael Porowski, analyste principal de recherche senior chez Gartner, a déclaré que la pandémie de COVID-19 "a fait grimper en flèche la demande de connectivité haut débit optimisée et ultrarapide pour prendre en charge le travail à domicile et les applications gourmandes en bande passante, telles que le streaming vidéo, les jeux en ligne et les applications de médias sociaux."
"La demande des entreprises et des clients est un facteur d'influence de cette croissance. Lorsque les consommateurs retourneront au bureau, ils continueront à mettre à niveau ou à passer à un service de fibre optique gigabit à domicile, car la connectivité est devenue un service de travail à distance essentiel", a déclaré Porowski. "Les utilisateurs vont aussi de plus en plus scruter les Communications Service Provider (CSP) - en français fournisseurs de services de communication (FSC) - pour les besoins du bureau et du travail à distance."
Accélération du développement de la 5G en 2020 et 2021 sur les marchés matures
Ce changement correspond à une accélération du développement de la 5G en 2020 et 2021 grâce aux fournisseurs de services de communication sur les marchés matures. Le Gartner a constaté que la 5G représentait 39 % du total des revenus apportés par les infrastructures sans fil cette année.
Le rapport note également que les investissements dans les autres infrastructures sans fil diminuent "rapidement" dans "toutes les régions", car les FSC se tournent vers la technologie small cell de la 5G.
Europe : CA de près de 2 milliards de dollars en 2021
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