L'évènement
Les Assises des usages numériques citoyens 2021 (AUNC) se tiendront le 12 octobre à l'hôtel de ville de Rennes et seront précédées la veille par la soirée des trophées au même endroit.
Le programme est disponible sur https://www.adcet.org/fr/assises/programme-aunc-2021; la liste des inscrits sera mise à jour sur https://www.adcet.org/fr/assises/inscrits-assises-2021.
Si vous n'êtes pas encore inscrits merci de le faire sans tarder sur https://www.adcet.org/fr/assises/preinscription-aunc-2021.
Les infos de la semaine
Mobilité
Transports collectifs : Jean Castex annonce 400 millions d’euros supplémentaires pour les collectivités
publicsenat.fr - Romain David
Publié le 10 septembre 2021
Fin 2020, le gouvernement a lancé un appel à projets en faveur de la mobilité durable en zone urbaine. Vendredi, à l’occasion d’un déplacement à Nantes aux journées nationales de France Urbaine, Jean Castex annonce une rallonge de 400 millions d’euros aux 450 millions initialement budgétés.
La séquence de l’exécutif sur la redynamisation des villes se poursuit. Mercredi, Emmanuel Macron a vanté les résultats du programme « Action cœur de ville », lancé en mars 2018 pour revitaliser les centres des villes moyennes. Le président de la République a notamment annoncé le déblocage de 350 millions d’euros issus des fonds européens, et qui doivent venir s’ajouter aux 5 milliards d’euros déjà mobilisés par ce programme sur cinq ans.
Vendredi, le Premier ministre Jean Castex prendra la relève du chef de l’État sur ce dossier. Lors d’un déplacement à Cenon, en Gironde, à l’occasion des assises de l’Association des petites villes de France, il détaillera la manière dont cette enveloppe supplémentaire se déclinera. Ces 350 millions gonfleront la dotation 2022 de soutien à l’investissement local (DSIL), un fonds destiné à favoriser des projets « très concrets », comme par exemple la (ré) ouverture d’un cinéma en centre-ville, explique-t-on à Matignon.
Appel à projets pour des transports collectifs durables
Lire la suite sur : https://www.publicsenat.fr/article/politique/appel-a-projets-pour-les-transports-collectifs-jean-castex-annonce-400-millions-d
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Grand Lyon. Reveal, le big data pour rationaliser les déplacements en ville
tribunedelyon.fr - David Gossart
Publié le 06 septembre 2021
Faut-il remplacer une trémie par une 2 × 2 voies ? Ce rond-point génère-t-il des bouchons et donc de la pollution ? L’IFP Énergies Nouvelles (IFPEN) de Solaize travaille à modéliser l’impact du style de conduite sur les émissions polluantes des voitures, mais au-delà, sur le rôle joué par les infrastructures elles-mêmes sur le style de conduite… et donc sur les émissions.
Pour cela, l’institut a créé en 2017 Geco Air, une appli grand public qui mêle suivi GPS des déplacements et connaissance intime de la voiture (motorisation, pneus, déplacement, vitesse, dénivelé, accélération…) pour en déduire ses émissions polluantes. Utile pour conseiller tout un chacun sur ses trajets au quotidien.
50 millions de kilomètres ont été enregistrés en France, dont 6,1 dans le Rhône. Grâce à la massification de ces données, l’IFP peut apporter un regard « satellite », utile pour arbitrer entre différentes options d’aménagement, par exemple à l’échelle du Grand Lyon. C’est le projet Reveal, lancé il y a deux ans, et qui s’achevait en août. « Nous avons récupéré tous nos enregistrements anonymisés, et nous allons faire tourner nos modèles sur tous les “brins” routiers de la métropole, indique le chargé de projet Guillaume Sabiron ; nous avons aussi récupéré les données des 2 000 compteurs du Grand Lyon sur les plus petits axes. » Résultat : une cartographie des émissions au sein de la métropole qui peut être couplée aux débits en temps réel.
« L’outil opérationnel du Grand Lyon »
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En Ile-de-France, la carte bancaire pourrait bientôt servir de titre de transport
lesechos.fr - Roman Gueugneau, Edouard Lederer
Publié le 8 septembre 2021
La banque en ligne Manager.one, soutenue par la banque Wormser Frères, va développer de nouvelles cartes bancaires compatibles avec les bornes d'accès au réseau de transport francilien. En revanche, Crédit Mutuel n'offrira bientôt plus la possibilité de recharger son passe Navigo dans les distributeurs de billets.
La carte bancaire a encore de l'avenir. Surtout si elle se mue en titre de transport. La petite banque en ligne Manager.one travaille sur le développement d'une carte de paiement Visa qui incorpore le passe Navigo. L'idée est que les usagers des transports en Ile-de-France qui sont clients de Manager.one puissent à terme utiliser leur carte bancaire pour prendre le métro, le RER ou le bus. Il suffira de la passer devant les bornes d'accès disponibles dans tout le réseau francilien.
L'entité détenue par la Banque Wormser Frères et la fintech SaGa Corp, et spécialisée dans la clientèle professionnelle, a annoncé ce mercredi avoir obtenu une aide financière de 210.000 euros de la région avec le soutien de Bpifrance pour lancer le projet. Les premières cartes pourraient être disponibles d'ici quelques mois afin d'effectuer les premiers tests. Elles pourraient embarquer la technologie Calypso, utilisée dans les cartes Navigo.
Déjà dans d'autres villes
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Le premier bus à hydrogène sera mis en service ce jeudi 9 septembre 2021 à Auxerre
Publié le 08 septembre 2021
Après une phase d'expérimentation sans transport de passagers, le premier des cinq bus à hydrogène commandés par l'agglomération auxerroise entrera en service ce jeudi 9 septembre 2021 sur le réseau de transports urbains. Il circulera à Auxerre sur la ligne 1 reliant la gare SNCF à la zone commerciale des Clairions.
En attendant l'arrivée des trains à hydrogène entre Laroche-Migennes et Auxerre, commandés par la région Bourgogne Franche-Comté auprès du constructeur Alstom (mise en service prévue en 2024), les Auxerrois vont pouvoir expérimenter, dès ce jeudi 9 septembre 2021, le premier bus roulant à l'hydrogène.
L'un des cinq modèles acquis par l'Agglomération de l'Auxerrois va transporter ses premiers passagers, à Auxerre, sur la ligne 1 du réseau de transports urbains reliant la gare SNCF à la zone des Clairions. L'information a été confirmée par l'exploitant Transdev. La mise en service intervient après une phase de tests à vide opérée depuis le 1er septembre.
Mise en circulation progressive
A lire aussi : Création d'un écosystème "hydrogène" à Auxerre
Lire la suite : https://www.lyonne.fr/auxerre-89000/actualites/le-premier-bus-a-hydrogene-sera-mis-en-service-ce-jeudi-9-septembre-2021-a-auxerre_14009008/
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Mobilité : employeurs et salariés unis pour relever le Challenge
auvergnerhonealpes.fr - Communiqué
Publié le 03 septembre 2021
Mardi 21 septembre, la Région et ses nombreux partenaires, publics ou privés, organisent la 11e édition du Challenge Mobilité. Objectif : tester et adopter des solutions alternatives à la voiture individuelle dans les déplacements domicile-travail. Zoom sur 4 bonnes raisons de relever le défi et 3 bons plans pour faire des économies !
Transport collectif, marche, vélo, covoiturage, trottinette, télétravail, tous les moyens sont bons, dans le cadre du Challenge Mobilité, pour trouver des solutions alternatives à l’emploi de la voiture individuelle.
Cet événement, organisé sous la houlette de la Région sur l’ensemble du territoire Auvergne-Rhône-Alpes, réunit chaque année un nombre de participants toujours plus nombreux, près de 60 000 salariés et 2000 établissements inscrits.
Animé dans un esprit festif, il vise à sensibiliser et initier au changement de comportement par l’expérimentation, mais aussi valoriser les bonnes pratiques en matière de mobilité, qu’elles soient le fait des salariés eux-mêmes ou des employeurs qui en facilitent l’usage.
Pourquoi faut-il réduire les déplacements en voiture individuelle ?
1. Pour lutter contre le réchauffement climatique : les transports, en général, représentent à eux seuls 30 % des émissions nationales de gaz à effet de serre, plus de 30 % des consommations énergétiques et plus de 50 % d'oxydes d’azote (Nox ).
2. Pour améliorer la qualité de l’air que nous respirons : en France, l’exposition aux seules particules fines (PM2,5) est à l’origine d’environ 48 000 décès prématurés chaque année.
Lire la suite : https://www.auvergnerhonealpes.fr/actualite/1011/23-mobilite-employeurs-et-salaries-unis-pour-relever-le-challenge.htm
COVID-19 - Innovation
Valeo a créé une borne qui détecte le Covid et voici comment elle marche
biienpublic.com - L.G.
Publié le 09 septembre 2021
L'équipementier automobile français a présenté mardi un appareil capable de déterminer si une personne est positive au Covid-19 ou pas. Le dispositif, qui fait appel à des caméras, un radar et à l'intelligence artificielle, serait fiable à 94%.
L'écouvillon nasal sera-t-il bientôt de l'histoire ancienne ? Une borne capable de détecter le Covid-19 et presque aussi fiable qu'un test PCR a été présentée mardi au IAA Mobility de Munich. Et ce n'est pas par hasard que l'appareil a été exposé dans un salon automobile : la société qui l'a développé n'est autre que Valeo, un équipementier automobile français. On vous explique comment fonctionne cette innovation.
L'écouvillon nasal sera-t-il bientôt de l'histoire ancienne ? Une borne capable de détecter le Covid-19 et presque aussi fiable qu'un test PCR a été présentée mardi au IAA Mobility de Munich. Et ce n'est pas par hasard que l'appareil a été exposé dans un salon automobile : la société qui l'a développé n'est autre que Valeo, un équipementier automobile français. On vous explique comment fonctionne cette innovation.
Des moteurs aux visières de protection
D’habitude, lorsqu'on entend parler de la société Valeo, c'est plutôt pour ses innovations relatives aux moteurs électriques, à l'amélioration de la conduite ou pour ses capteurs environnementaux. Elle a ainsi développé une technologie de pointe en matière de traitement thermique de l’habitacle, via des caméras, des radars et autres algorithmes.
Comme le note Le Figaro, Valeo a aussi inventé des filtres efficaces contre les germes, les virus et les allergènes présents dans les véhicules, ainsi que des purificateurs à UVC pour stériliser les bus. Et la crise sanitaire a poussé l'entreprise à étendre davantage ce type d'activités. Elle a ainsi fabriqué des visières de protection et des respirateurs de réanimation en partenariat avec PSA, Air Liquide et Schneider Electric, rappelle Le Parisien.
Lire la suite : https://www.bienpublic.com/sante/2021/09/09/valeo-a-cree-une-borne-qui-detecte-le-covid-et-voici-comment-elle-marche
Services Publics
Le gouvernement accélère sur les services publics en ligne
lesechos.fr - Renaud Honoré
Publié le 06 septembre 2021
Selon Amélie de Montchalin, 212 démarches administratives sont désormais réalisables en ligne, sur un objectif de 250 démarches jugées essentielles. Il reste encore de fortes disparités entre ministères, même si un mauvais élève comme la Justice commence à faire des progrès.
Désormais en Macronie, on évoque bien plus souvent l'importance de la présence dans les territoires que l'esprit « start-up nation », si célébré durant la campagne de 2017. Mais l'exécutif n'a pas complètement déserté cette thématique, comme en témoigne l'état d'avancement du grand chantier de la numérisation des services publics, volontiers cité comme un des principaux axes de la réforme de l'Etat .
Amélie de Montchalin a annoncé ce lundi que 212 démarches administratives sur les 250 considérées comme « essentielles à la vie quotidienne des Français » étaient désormais accessibles en ligne. Cela représente une augmentation de trente unités par rapport à octobre 2020. « Il y a un an, nous n'en étions pas du tout là. Cela témoigne d'efforts massifs, suivis et méthodiques », s'est félicité la ministre de la Transformation et de la fonction publiques.
A l'approche du terme du quinquennat, le gouvernement peut donc encore espérer atteindre l'objectif des 250 démarches numérisées qu'il s'était assigné , avec une étape intermédiaire à environ 220 fin 2021. Un horizon moins ambitieux que celui évoqué par le candidat Emmanuel Macron, qui promettait durant sa campagne que « 100 % des démarches administratives pourront être effectuées depuis internet d'ici à 2022 ». Mais cela s'est vite révélé impossible au vu des retards accumulés dans certains pans de l'action publique, dont les stigmates persistent.
Fortes disparités
Il existe encore de fortes disparités entre les ministères . Si huit d'entre eux (notamment Bercy, l'agriculture, la Santé, l'Ecologie et le Travail) peuvent se targuer d'avoir déjà dépassé le taux de 90 % du nombre de démarches en lignes qui leur était assigné, d'autres restent à la traîne. C'est le cas de la Justice (56 %) et, dans une moindre mesure, de l'Education nationale (70 %). « Il y a eu un effort très important du ministère de la Justice, que je veux saluer », a toutefois tempéré Amélie de Montchalin, alors que le taux de l'an dernier était bien plus bas (24 %).
Lire la suite : https://www.lesechos.fr/economie-france/social/le-gouvernement-accelere-sur-les-services-publics-en-ligne-1343674
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La France va ouvrir le code source de FranceConnect, qui sert à se connecter aux services publics
numerama.com - Julien Lausson
Publié le 09 septembre 2021
Le gouvernement ouvrira dans quelques semaines le code de FranceConnect, le dispositif qui permet de se connecter à des centaines de services publics grâce à des codes uniques.
FranceConnect, le service qui permet de se connecter avec un identifiant et mot de passe uniques à des centaines de services publics, sera bientôt rendu beaucoup plus transparent qu’il ne l’est aujourd’hui. Amélie de Montchalin, qui officie en tant que ministre de la transformation et de la fonction publiques, a indiqué dans un message publié sur Twitter le 8 septembre, que le code sera rendu open source en novembre 2021.
« J’ouvrirai en novembre le code source de FranceConnect », écrit-elle. Il s’agit d’un engagement fait en marge d’un commentaire élogieux sur la place qu’occuperait la France en matière d’open source. L’intéressée promet par ailleurs un « plan de renforcement de l’open source dans les administrations », sans plus de précision. Le détail de l’ouverture du code source de FranceConnect reste à connaître.
Ouverture du code source de Franceconnect
L’ouverture du code source de FranceConnect ne sera pas une première du genre. Au fil des ans, les administrations ont partagé les entrailles de plusieurs composants, comme le code source et l’algorithme de la taxe d’habitation (impôt qui est en voie de disparition), ceux de l’impôt sur le revenu ou encore son calculateur. Dans un autre genre, des éléments liés à l’application TousAntiCovid avaient aussi été partagés.
Lire la suite : https://www.numerama.com/tech/737966-la-france-va-ouvrir-le-code-source-de-franceconnect-qui-sert-a-se-connecter-aux-services-publics.html
Cybersécurité
Forum International de la cybersécurité
acteurspublics.fr - Gwladys Eyherachar-Pasnon
Publié le 9 septembre 2021
NDLR : le site acteurs publics a réalisé une série d’interviews sur les personnalités de la cybersécurité réunis à l’occasion du FIC à Lille.
Parmi celles-ci :
Guillaume Poupard : « Nous avançons vers la souveraineté numérique »
Plan de relance « cyber », révision de la directive Nis, mise en place d’un cadre de cybersécurité des institutions européennes, installation du Campus Cyber : le directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi) détaille la feuille de route de son organisation, en première ligne pour porter les enjeux “cyber” en France et en Europe. Un échange organisé le 9 septembre dans le cadre du FIC 2021.
Autre intervention : Colonel Julien Burlet : “Les transports intelligents portent de fortes potentialités”
Le chef de l’observatoire central des systèmes de transport intelligents (au sein du service central de renseignement criminel de la gendarmerie nationale) détaille sa feuille de route et les enjeux des transports intelligents au service de l’intérêt général. Un échange organisé sur le plateau du CyberGovLounge d’Acteurs publics, le 9 septembre, installé au cœur du Forum international de la cybersécurité.
Autre intervention : “Protéger services publics et collectivités : pourquoi il y a urgence”
Frédéric Basroger, DSI du département du Nord, et Benjamin Leroux, directeur marketing d’Advens, soulignent la nécessité d’agir vite pour développer et optimiser les dispositifs “cyber” dans les territoires et les collectivités, mais avec un process et un accompagnement calibrés. Un échange organisé au Forum international de la cybersécurité (FIC) dans le cadre d’une série d’émissions réalisées en partenariat avec Advens.
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Un questionnaire pour sensibiliser les élus à la cybersécurité
lagazettedescommunes.com - Gabriel Thierry
Publié le 06 septembre 2021
L’AMF, cybermalveillance.gouv.fr et la Gendarmerie préparent une nouvelle campagne pour sensibiliser et former les élus à leur cybersécurité, reposant sur une autoévaluation des élus.
Cela devrait être l’une des annonces du ministère de l’intérieur à l’occasion du Forum international de la cybersécurité, qui s’ouvre mardi 8 septembre, à Lille. L’Association des maires de France, la Gendarmerie et le groupement d’intérêt public cybermalveillance.gouv.fr viennent de finaliser un nouvel outil d’autoévaluation de la sécurité numérique à destination des élus.
Un dispositif de sensibilisation très court, en neuf points, mis au point par la division de la proximité du nouveau commandement de la gendarmerie dans le cyberespace.
Le questionnaire, appelé « Immunité cyber », brasse large, des antivirus à la solidité des mots de passe en passant par l’équipement en matériel sécurisé pour le télétravail. Les élus sont également questionnés sur la fréquence des mises à jour des systèmes numériques et des sauvegardes de leurs données, une manière de tester la défense des collectivités contre les rançongiciels, l’une des plus grandes menaces informatiques actuelles.
Une initiative saluée par Benjamin Desbrun, adjoint au maire en charge du numérique de Pont-Saint-Esprit (Gard, 10000 hab.), une commune victime d’une attaque informatique par rançongiciel en juin dernier. Mais, prévient-il, outre les élus, il faut également « sensibiliser les agents et les prestataires ».
Etat des lieux mené par les gendarmes
Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/761904/un-questionnaire-pour-sensibiliser-les-elus-a-la-cybersecurite/
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Le ministère des Armées va recruter 800 cybercombattants de plus que prévu
clubic.com - Alexandre Boero
Publié le 10 septembre 2021
Au Forum international de la cybersécurité (FIC) à Lille, la ministre des Armées Florence Parly a annoncé l'intensification des recrutements en matière de cyberdéfense.
« La guerre cyber a commencé et la France doit être prête à y combattre », déclarait-elle solennellement en janvier 2019, au moment de dévoiler la doctrine offensive de l'armée française en ce qui concerne la cybersécurité. Près de trois ans plus tard, les enjeux sont toujours les mêmes (faire de la France un champion de la sécurité informatique), et les menaces, plurielles (ransomware ,déstabilisation, espionnage, guerre informationnelle…). Mercredi 8 septembre au FIC 2021 à Lille, la ministre des Armées a annoncé le recrutement de cybercombattants supplémentaires pour continuer à maîtriser le champ numérique face aux attaquants.
Une armée de 5 000 cybercombattants d'ici 2025
Dans le cadre de la loi de programmation militaire, l'État consacre 1,6 milliard d'euros à la cyberdéfense de la France, sur la période de 2019-2025. Initialement, cette loi était censée permettre de recruter 1 100 cybercombattants pour doter l'État d'une armée d'environ 4 000 cybersoldats à horizon 2025.
« Compte-tenu de la multiplication et de la gravité des cyberattaques, j'ai décidé d'intensifier les recrutements durant la période 2019-2025 », a indiqué Florence Parly au FIC, ce mercredi. Après avoir actualisé sa stratégie, le ministère des Armées a annoncé le recrutement prochain de 770 cybersoldats, en plus des 1 100 prévus.
Ces recrutements supplémentaires gonfleront les rangs de l'armée de combattants cyber à hauteur de 1 900 personnes, pour un total de 5 000 âmes d'ici 2025.
Des connaissances en codage requises, mais pas uniquement
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Rançongiciels : comment la gendarmerie lutte contre ce fléau ?
Par Nicolas Cailleaud
Publié le 08 septembre 2021
Ils se nomment Darkside, Sodinokibi, CryptoLocker ou encore REvil... Leurs noms ne vous disent sûrement rien et pourtant, ces rançongiciels célèbres font trembler les entreprises qui payent parfois plusieurs millions d'euros pour retrouver leurs précieuses données.
Alors que se tient cette semaine le FIC (Forum international de la cybersécurité) à Lille, les acteurs de ce salon poursuivent leur travail de prévention et de conseils pour tenter d'enrayer la cybermenace que représentent les ransomwares. Les représentants du CyberComGend, la nouvelle division de la gendarmerie nationale en charge de la lutte contre la cybercriminalité, ont souligné l'explosion de l'usage des rançongiciels depuis 2016.
Un nombre d'attaques en constante augmentation
Rien qu'entre janvier et août dernier, 346 dossiers liés à des attaques par rançongiciels ont été ouverts, contre 243 pour l'ensemble de l'année 2020, explique le parquet de Paris, qui est désormais en charge des dossiers de ce type sur le plan national. «Les rançongiciels ne représentent aujourd'hui que 0,4 % des cyberattaques constatées en France, mais ils causent plusieurs millions d'euros de dommages au sein des entreprises», explique le major Florent, spécialiste de la question au sein du C3N (Centre de lutte contre les criminalités numériques) de la gendarmerie nationale. D'autant que de nombreuses affaires ne sont pas recensées, puisque certaines entreprises préfèrent payer les rançons demandées sans porter plainte ou faire part de ce fléau auprès des autorités.
Blockchain
La blockchain pourrait bien être l’avenir de l’identité numérique
euractiv.fr - Mathieu Pollet
Publié le 07 septembre 2021
La Commission européenne a proposé, avant l’été, la mise en place d’un cadre européen pour permettre à tous les citoyens de l’UE de disposer d’un portefeuille d’identité numérique. Si Bruxelles n’exhorte pas les États membres à passer par la blockchain, cette technologie pourrait bien trouver sa place.
« Il y a une opportunité pour déployer en Europe un système basé sur ce concept d’identité auto-souveraine et de profiter de cette réglementation formidable pour remettre de la confiance numérique au centre des échanges », se réjouit Hervé Bonazzi, à la tête du consortium fondé par le groupe Caisse des Dépôts, La Poste, EDF et Engie, et spécialisé dans l’identité numérique.
Au-delà de l’identité « pivot » (nom, prénom, date et lieu de naissance, sexe ou nationalité), ce nouveau « e-wallet » devrait permettre aux Européens de pouvoir s’identifier en ligne, mais aussi de stocker, à terme, une batterie de documents administratifs en tout genre, reconnu et utilisable à travers le bloc pour des démarches.
« L’identité numérique européenne nous permettra d’agir dans n’importe quel État membre comme nous le ferions chez nous, sans frais supplémentaires et plus facilement, que ce soit pour louer un appartement ou pour ouvrir un compte bancaire en dehors de notre pays d’origine », avait indiqué Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive pour une Europe adaptée à l’ère du numérique.
L’objectif affiché de la proposition, qui vient réviser le règlement eIDAS, adopté en 2014 mais jugé pas suffisamment adapté aux « nouvelles demandes du marché », est de permettre à au moins « 80 % des citoyens d’utiliser une solution d’identification numérique pour accéder à des services publics essentiels d’ici à 2030 ».
À ce jour, seuls 14 États membres ont notifié à Bruxelles un schéma d’identification électronique, couvrant ainsi 59 % des résidents de l’UE.
Blockchain
La proposition de réforme laisse une certaine marge de manœuvre aux États afin de mettre en place, techniquement, ces solutions — même si elle compte sur des normes communes afin de garantir leur pleine interopérabilité. Néanmoins, sa rédaction laisse la porte ouverte à un système décentralisé.
Lire la suite : https://www.euractiv.fr/section/economie/news/la-blockchain-pourrait-bien-etre-lavenir-de-lidentite-numerique/
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Qu’est-ce qu’une attaque des 51% ?
futura-sciences.com - Gaétan Lajeune
Publié le 05 septembre 2021
L'attaque des 51 % est courante dans le monde des cryptomonnaies. Elle produit des conséquences désastreuses. Concrètement, de quoi s'agit-il ?
ll existe diverses solutions pour obtenir des cryptomonnaies. L'une d'entre elles consiste à faire du mining afin d'obtenir des récompenses. Et pour mieux tirer parti de ces récompenses, il n'est pas rare que les mineurs se mettent ensemble et forment un pool. Mais ce concept, qui contribue au développement de la blockchain, peut aussi en devenir le plus grand cauchemar. C'est le cas lorsque se produit une attaque 51 %. De quoi s'agit-il ? Quelles sont les chances pour qu'elle se réalise ? Voici nos réponses.
L’attaque des 51 %, c’est quoi ?
L'univers des cryptomonnaies repose sur plusieurs principes, dont celui de l'existence de la blockchain. Sans blockchain, une cryptomonnaie ne peut exister. Mais la blockchain peut devenir vulnérable et être prise d'assaut par une personne, un groupe de personnes ou une entité. Dans tous les cas, pour que l'attaque soit effective et pour qu'elle ait de vraies conséquences, il faut que ses initiateurs aient une puissance de mining supérieure à 50 %. Donc, 51 % au moins.
Lorsqu'ils disposent d'une majorité de la puissance de calcul du réseau, les hackers peuvent annuler les transactions effectuées par les autres utilisateurs. Ils peuvent également décider des transactions qui seront validées et de celles qui ne le seront pas.
Généralement, l'attaque des 51 % est dirigée contre les blockchains de type Proof of Work (PoW). Pourquoi ? Parce que dans ce type de gouvernance décentralisée, ce sont les transactions approuvées par la majorité qui sont enregistrées dans le registre de transactions.
Quel type de blockchains est vulnérable à une attaque ?
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/questions-reponses/cryptomonnaies-quest-ce-quune-attaque-51-16035/
5G
Réseau 5G à Paris : où en est-on dans la Ville Lumière ?
edcom.fr - Yoann
Publié le 03 septembre 2021
Capitale économique et politique de la France, commune la plus peuplée de l’Hexagone, mais également destination touristique de choix, Paris est forcément très attendue sur le plan de la 5G. Avec un flux de population massif tout au long de l’année, ce pôle attractif concentre énormément de personnes souhaitant accéder à la cinquième génération de réseaux mobiles. Comment se passe le déploiement de cette nouvelle technologie dans la Ville Lumière ? Où en sont concrètement Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free dans leurs stratégies parisiennes ? Décryptage de la situation.
Couverture 5G à Paris : un gros retard à l’allumage… puis une ascension fulgurante !
Vous pensez que l’arrivée de la 5G à Paris fut une formalité ? Eh bien, pas du tout ! Alors qu’en novembre 2020, Nice devenait officiellement la première commune française à lancer cette nouvelle technologie, la Ville Lumière a connu un gros retard à l’allumage. La cause ? Des réticences écologiques au niveau local qui ont conduit à un bras de fer entre la mairie et les opérateurs. Finalement, après des mois de débats et de discussions, les deux parties ont trouvé un accord en signant une charte de la téléphonie mobile.
Le 19 mars 2021, Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free ont ainsi pu ouvrir commercialement leurs antennes 5G dans la ville qui comprend le plus d’habitants en France. Résultat de cette arrivée tardive : Paris fut l’une des dernières capitales mondiales à basculer vers l’Ultra Haut Débit de l’Internet mobile. Ce n’est pas glorieux, mais tout s’est accéléré par la suite en matière de couverture. En effet, le déploiement parisien a été fulgurant au point de détrôner Marseille en tête du classement des municipalités françaises les mieux desservies en nombre de sites 5G actifs. Bref, une belle ascension express !
Quelles performances pour les réseaux 5G des opérateurs mobiles à Paris ?
Lire la suite : https://www.edcom.fr/operateur/38621-reseau-5g-a-paris-ou-en-est-on-dans-la-ville-lumiere.html
Du côté des adhérents de l’ADCET
Première partie. La deuxième partie sera publiée la semaine prochaine
AEP
AEP introduit la billettique en Poméranie
aep-italia.it - Alessandra Ricco
Marché attribué avec Asseco Data Systems (ADS)
Le système billettique pour les transports publics en Poméranie (Pologne) connaît une révolution. Et elle se fait grâce aussi aux solutions d’AEP Ticketing solutions, une entreprise basée à Signa (Florence – Italie), leader dans le secteur depuis des années. Plus précisément, l’appel d’offres, lancé par InnoBaltica, a été attribué au consortium temporaire composé d’Asseco Data Systems (ADS) et d’AEP, pour un montant de 105 millions de złotys (environ 23 millions d’euros). Le système billettique et d’information des passagers couvrira la province polonaise de Poméranie, qui comprend les trois grandes villes de Gdansk, Gdynia et Sopot, et sera prêt d’ici 2022. AEP fournira environ 6 000 validateurs EMV Futura 3ALX et Futura 3B, ainsi que des modèles nouvellement conçus pour les stations.
L’accord a été signé le 14 juin dans les locaux de la centrale ferroviaire PKM Jasień à Gdańsk. Des représentants des autorités locales de Poméranie ont assisté à la cérémonie : le maréchal de la voïvodie de Poméranie Mieczysław Struk, le vice-président de Gdansk Piotr Borawski, ainsi que Marcin Stefanski, président du conseil d’administration d’Innobaltica, Andrzej Dopierała président du conseil d’administration d’Asseco Data Systems et Saverio Bettini, PDG d’AEP Ticketing solutions.
« Cet accord est un excellent résultat – a déclaré Saverio Bettini, Administrateur délégué d’AEP – qui renforce notre relation historique avec ADS, un des principaux partenaires d’AEP. Un nouveau défi qui confirme une fois de plus la qualité des produits de notre entreprise, surtout lorsqu’ils sont équipés de la technologie EMV, où nous pensons être à l’avant-garde ».
ADS, dont le siège est à Gdansk, est une entreprise du secteur des ITS qui emploie un millier de personnes. Elle fait partie du groupe Asseco, présent dans soixante pays à travers le monde. En collaboration avec ADS, AEP a déjà développé le système ŚKUP Card, qui est utilisé dans la région Silésie en Pologne.
InnoBaltica est basée à Gdansk et sa mission est de mettre en œuvre des solutions innovantes qui ont un impact direct sur la qualité de vie des habitants. Son projet le plus important est l’introduction du système Fala (plateformes de services de mobilité intégrée) dans toute la province de Poméranie, un système de paiement unique pour les transports publics et un système d’information des passagers à la pointe de la technologie.
Lire la suite : https://www.aep-italia.it/fr/2021/06/ticketing-aep-billettique-pomeranie/
LA BANQUE POSTALE
labanquepostale.com - Communiqué
La Banque Postale renforce ses ambitions en faveur de la biodiversité avec la signature du « Finance for Biodiversity Pledge »
Dans le cadre du Congrès mondial de la nature de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui s’ouvrira le 3 septembre à Marseille, La Banque Postale réaffirme son engagement en faveur de la biodiversité en signant le « Finance for Biodiversity Pledge ». Elle s’engage ainsi à développer une stratégie en faveur de la biodiversité et mesurera l’impact de son activité en la matière grâce à l’outil « Global Biodiversity Score » de CDC Biodiversité, une filiale de la Caisse des Dépôts.
Le « Finance for Biodiversity Pledge » : une initiative contribuant à la restauration de la biodiversité
Lancé en septembre 2020 à l’occasion du Sommet de l’Assemblée Générale des Nations Unies pour la biodiversité, le « Finance for Biodiversity Pledge » est une initiative mondiale regroupant 55 institutions financières et représentant 9 milliards d’euros d’actifs sous gestion. Cette alliance vise à restaurer et préserver la biodiversité dans les activités d’investissement et de financement, avec l’objectif d’interpeller les dirigeants mondiaux pendant la COP15.
De nouveaux engagements pour la protection de la biodiversité
En signant aujourd’hui le « Finance for Biodiversity Pledge », La Banque Postale, banque citoyenne et engagée pour la protection de la biodiversité, s’engage d’ici 2024 à :
- Collaborer et partager ses connaissances et méthodologies d’évaluation, métriques liées à la biodiversité, approches de financement avec les membres du Pledge,
- S’engager aux côtés des entreprises pour réduire leurs impacts négatifs,
- Evaluer l’impact positif et négatif des financements et investissements sur la biodiversité et identifier les facteurs clés de sa dégradation,
- Définir des objectifs pour augmenter les impacts positifs et réduire les impacts négatifs,
- Publier un reporting annuel.
Comme le précise Adrienne Horel-Pagès, Directrice de l’Engagement Citoyen de La Banque Postale : « Climat et biodiversité sont des enjeux qui doivent être traités de manière concomitante, car ils sont indissociables. Cette signature marque aujourd’hui une étape supplémentaire dans notre engagement pour une transition juste. Nous avons l’ambition, en effet, de proposer des services permettant à tous nos clients, particuliers, personnes morales et institutions, de contribuer, par leurs choix d’investissement et d’épargne, d’assurance et de consommation, à une société plus attentive à la planète et à tous ceux qui l’habitent ».
Des actions concrètes en faveur de la biodiversité …
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PARAGON ID
Keolis, opérateur du réseau de bus de Menton et de la Communauté d’Agglomération de la Riviera française, a choisi la solution Tap & Pay de Paragon ID
paragon-id.com - Communiqué
Paragon ID a le plaisir d’annoncer la mise en place du paiement par carte bancaire sur les valideurs dans les bus de la Communauté de la Riviera française, regroupant 15 communes situées à l’extrémité sud-est des Alpes-Maritimes.
Depuis le mois d’août 2021, le dispositif est en test sur la ligne n°1 du réseau Zest opéré par Keolis. Il est désormais possible pour les 70 000 habitants de ce territoire de voyager grâce à sa carte bancaire sans contact sur l’ensemble du réseau. Le dispositif sera testé pendant six mois et étendu à tous les bus du réseau début 2022. La ligne 1 représente un test représentatif puisqu’elle concentre 40% de la fréquentation.
Keolis Menton Riviera a choisi la solution Tap & Pay de Paragon ID, spécifiquement développée pour le transport public.
Grâce au validateur P One développé par Paragon ID, les voyageurs peuvent payer leur titre de transport et voyager directement. Un dispositif de contrôle permet aux utilisateurs de voyager sur toutes les lignes pendant la durée de la correspondance. Toutes les validations sont localisées via une interface embarquée avec le Système d’Aide à l’Exploitation (SAE).
Ce dispositif vient compléter les canaux de vente mobile et internet de la solution billettique Open ABT de Paragon ID et airweb.
Lire la suite : https://www.paragon-id.com/fr/inspiration/keolis-choisi-la-solution-tap-pay-de-paragon-id
THALES
Thales Alenia Space crée un centre d’excellence numérique au Luxembourg et renforce sa présence en Europe
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 01 septembre 2021
Luxembourg, le 1er septembre 2021 – Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67 %) et Leonardo (33 %), ouvre son centre d’excellence numérique au Luxembourg. Soutenue par le ministère de l'Économie du Luxembourg et par l'Agence Spatiale Luxembourgeoise (ASL), cette initiative est alignée avec la stratégie spatiale et numérique luxembourgeoise et contribuera à dynamiser l’écosystème local.
Ce nouveau centre, Thales Alenia Space au Luxembourg, se concentrera sur le développement de solutions numériques très innovantes pour les produits spatiaux de télécommunication, d’observation et de navigation. Il s’appuiera sur les technologies du big data, de l'intelligence artificielle et de la cybersécurité pour relever les défis de systèmes satellitaires complexes, tout en recherchant l'excellence en termes d’expérience utilisateur.
L’une des premières missions de ce centre sera de contribuer au développement de la ligne de produits satellitaire Space Inspire de Thales Alenia Space, permettant la reconfiguration des missions de télécommunications en orbite dans le cadre du projet « Novacom II » qui s’inscrit dans le programme de recherche et développement ARTES de l’ESA. Les travaux du centre porteront également sur les jumeaux numériques, les solutions numériques pour une meilleure préparation et exploitation des données d'observation de la Terre, les moteurs de valorisation de données...
Le centre numérique de Thales Alenia Space est conçu et organisé selon le modèle, l’environnement de travail et les pratiques éprouvées de la Digital Factory de Thales, dédiée à l’accélération de la transformation digitale de Thales et de ses clients.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/espace/press-release/thales-alenia-space-cree-centre-dexcellence-numerique-luxembourg-et
WORLDINE
Worldline et Bitcoin Suisse lancent WL Crypto Payments en Suisse
fr.wordline.com - Communiqué
Publié le 01 septembre 2021
85 000 commerçants en Suisse peuvent désormais accepter le paiement par cryptomonnaies grâce à l’intégration fluide des fonctionnalités de Bitcoin Suisse dans l’infrastructure de paiement Worldline.
Zoug/Zurich, 1 september 2021 - Worldline [Euronext : WLN] et Bitcoin Suisse annoncent aujourd’hui le lancement de leur solution de paiement par cryptomonnaies omnicanale, utilisable par plus de 85 000 entreprises clientes de Worldline en Suisse. Désormais, tous les commerçants utilisant les services de paiement sur lieu de vente et en ligne de Worldline peuvent accepter les paiements en Bitcoin ou en Ether aussi facilement que toutes les autres options de paiement traditionnelles.
Le Bitcoin, la cryptomonnaie la plus répandue et la plus populaire au monde, fait, ces dernières années, l’objet d’un intérêt croissant. Grâce à la collaboration entre Worldline, leader européen des services de paiement et de transaction, et Bitcoin Suisse, leader suisse des services cryptofinanciers, le paiement en cryptomonnaies est désormais largement accessible aux commerçants et aux consommateurs en Suisse.
WL Crypto Payments est un service intégré proposé par Worldline et Bitcoin Suisse permettant aux commerçants d’accepter des paiements sur les points de vente et en ligne en Bitcoin et en Ether. Les commerçants peuvent facilement télécharger l’application mobile WL Crypto Payments, ou installer le plugin de paiement Worldline pour leur boutique en ligne. Les clients désireux de payer en cryptomonnaie utilisent simplement leur application mobile de cryptopaiement habituelle. Au choix du consommateur, les prix de la boutique en ligne en francs suisses s’affichent en temps réel en Bitcoin ou en Ether, les achats sont réglés en cryptomonnaies et le règlement est instantanément confirmé au commerçant. Avec Crypto Payments, les enseignes acceptent le paiement en cryptomonnaie sans s’exposer aux risques de volatilité, la transaction étant en toute sécurité convertie en francs suisses immédiatement après la confirmation du paiement. Les marchands bénéficient en outre du règlement en francs suisses et de la confirmation de la réception des fonds aussi en cas d’utilisation d’autres options de paiement telles que les cartes de crédit.
La collaboration entre Worldline et Bitcoin Suisse dans le paiement par cryptomonnaies avait été annoncée dès novembre 2019. Un programme pilote a précédé le déploiement à l’ensemble des enseignes utilisant les solutions Worldline en Suisse.
Lire la suite : https://fr.worldline.com/fr/home/newsroom/press-releases-general/2021/pr-2021_09_01_01.html