L'Evènement
Les Assises des usages numériques citoyens 2021 (AUNC) se tiendront le 12 octobre à l'hôtel de ville de Rennes et seront précédées la veille par la soirée des trophées au même endroit.
Le programme est disponible sur https://www.adcet.org/fr/assises/programme-aunc-2021; la liste des inscrits sera mise à jour sur https://www.adcet.org/fr/assises/inscrits-assises-2021.
Si vous n'êtes pas encore inscrits merci de le faire sans tarder sur : https://www.adcet.org/fr/assises/preinscription-aunc-2021.
Les infos de la semaine
Mobilité
Compensations 2020 pour les autorités organisatrices de la mobilité
lagazettedescommunes.com - Léna Jabre
Publié le 27 septembre 2021
Un arrêté du 17 septembre fixe pour l'année 2020 fixe le montant définitif de la compensation, pour les autorités organisatrices de la mobilité, du versement mobilité. Deux tableaux répartissent cette somme entre les différentes autorités concernées.
Le montant définitif de la compensation pour l’exercice 2020, mentionnée à l’article 15 de la loi du 29 décembre 2015, s’élève à 48 020 650 euros.
Il s’agit d’un prélèvement sur recettes de l’Etat destiné à compenser les pertes de recettes résultant de la réduction du champ des employeurs assujettis au versement transport suite au relèvement du seuil de plus de 9 à au moins 11 salariés. Ce montant est réparti entre les autorités organisatrices de la mobilité au prorata des montants perçus au titre de cette compensation en 2019. La compensation est calculée et versée, pour le compte de l’Etat, par l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale et par la Caisse centrale de la mutualité sociale agricole.
Un arrêté du 17 septembre comprend donc en annexe deux tableaux, pour chacun des deux organismes, précisant les montants pour chaque autorité organisatrice de la mobilité.
Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/766028/compensations-2020-pour-les-autorites-organisatrices-de-la-mobilite/
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Transports parisiens : et si l'on s'inspirait de Lionel Messi ?
start.lesechos.fr - Joël Hazan (Directeur associé), Pierre-François Marteau (Principal), Benjamin Fassenot (Chef de projet) - Boston Consulting Group (BCG)
Publié le 28 septembre 2021
TRIBUNE// Quel rapport entre le métro, la voiture, le vélo et le transfert d'un joueur de foot au PSG ? Joël Hazan, Pierre-François Marteau et Benjamin Fassenot du Boston Consulting Group (BCG) expliquent comment la mise en place de placements financiers « gamifiés » au PSG pourrait être un exemple pour aider les Franciliens à adopter des modes de transport plus responsables.
Et si l'arrivée ultra-médiatisée de Lionel Messi au PSG inspirait la politique des transports en Ile-de-France ? Cette question n'est pas si farfelue qu'elle n'y paraît. Elle permet d'ouvrir un débat de fond sur deux choses qui font cruellement défaut aujourd'hui à la mobilité francilienne : les sources de financement originales et l'alignement des intérêts individuels sur l'intérêt du collectif. Expliquons-nous.
Lors de son arrivée à Paris, un élément du contrat de la star argentine vous a peut-être échappé : une partie non négligeable de son salaire est payée en « token PSG », la cryptomonnaie récemment lancée par le club parisien. Cette première pour un contrat sportif de cette ampleur a un double avantage : il a permis au PSG de s'offrir le sextuple ballon d'or en restant dans les clous du fair-play financier et il lie de façon durable l'intérêt du joueur à l'intérêt de la communauté PSG.
Un token « mobilité Ile-de-France »
Plus Messi et le PSG sont performants, plus les fans sont engagés, plus la valeur du token augmente et avec elle la rémunération de Messi. L'alignement des intérêts va bien au-delà d'un système de prime classique. Les fans du club peuvent se procurer des tokens qui, en plus d'être un placement financier, sont aussi un moyen de contribuer à la vie du club via des droits de vote pour certaines décisions. Le token permet d'engager une large communauté d'intérêt, le tout avec une approche originale.
Mais alors quel lien avec la mobilité parisienne ? C'est très simple. Imaginez un instant un token « mobilité Ile-de-France » qui serait utilisé pour récompenser les Franciliens qui utilisent les modes de transport les plus vertueux : un automobiliste qui covoiture, un usager qui évite les transports en commun aux heures de pointe, etc. Si le système est bien géré, la valeur de ce token augmenterait à mesure que les comportements s'alignent sur l'intérêt collectif, créant ainsi un cercle vertueux au bénéfice de la lutte contre la congestion et la pollution.
Les avantages de ce token seraient multiples. Tout d'abord, il récompenserait les bons comportements sans nécessiter de subventions publiques additionnelles, permettant à l'argent public de continuer à se concentrer sur le développement de l'offre de transports.
« Gamifier » pour inciter
Lire la suite : https://start.lesechos.fr/societe/environnement/transports-parisiens-et-si-lon-sinspirait-de-lionel-messi-1349900
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Ce qu'il faut savoir sur le projet de téléphérique à Bordeaux
actu.fr - Nicolas Gosselin
Publié le 1 Octobre 2021
Dans le schéma des mobilités 2020-2030 de Bordeaux Métropole, le téléphérique est une solution très sérieusement envisagée pour relier les deux rives de la Garonne. Explications.
Un téléphérique pour traverser la Garonne et relier les deux rives de Bordeaux, c’est envisageable dès 2026 selon Alain Anziani.
Le président de la Métropole est un partisan du transport câblé : « Cela permettrait de décharger la ligne A du tramway », projette-t-il.
Quel tracé ?
L’élu métropolitain imagine un téléphérique entre le quartier Achard à Bordeaux (près de la Cité du vin) et la Buttinière à Lormont, avec un arrêt intermédiaire à la gare de Cenon.
Les trois stations du téléphérique permettraient ainsi l’intermodalité avec une correspondance entre les lignes A et B du tramway, mais aussi avec le RER.
Et le parc-relais de la Buttinière aurait vocation à encourager les habitants des communes de la rive-droite à y garer leur véhicule et continuer en téléphérique lorsqu’ils souhaitent rejoindre le centre de Bordeaux.
Quelle capacité ?
Par rapport à un pont ou un tunnel, le téléphérique peut gérer un flux de voyageurs quotidiens moindre.
La ligne, longue d’environ deux kilomètres, permettrait de déplacer « 10 000 à 13 000 usagers par jour », avance Alain Anziani.
Un chiffre pourtant difficilement atteignable si l’on compare aux 8 000 voyageurs par jour annoncés pour le téléphérique flambant neuf de Toulouse, dont la mise en service est prévue en décembre 2021.
Lire la suite : https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/bordeaux_33063/ce-qu-il-faut-savoir-sur-le-projet-de-telepherique-a-bordeaux_45237111.html
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Citroën nous dévoile sa vision de mobilité urbaine autonome
caradisiac.com - Olivier Pagès
Publié le 29 Septembre 2021
D'un traditionnel constructeur automobile, Citroën est en train de devenir un acteur de la mobilité urbaine. Après l'Ami disponible à l'achat mais également à la location, la marque aux chevrons nous propose aujourd'hui sa solution de mobilité urbaine.
"The urban collectif" voici le nom de l'association entre Citroën, JC Decaux et le groupe hotelier Accor. Ce partenariat entre ces trois entreprises françaises d'envergure internationales a donné naissance à une vision inédite de la mobilité urbaine.
Ce thème est loin d'être une première car Renault en 2018 avait dévoilé les concepts EZ PRO et EZ GO, des véhicules électriques autonomes à multiples utilisations et c'est justement cette thématique que Citroën et ses associés explorent aujourd'hui.
Le coeur de ce concept est ce skate électrique et autonome.
La clé de voûte de ce dispositif réside dans le Citroën skate, une plateforme électrique 100 % autonome qui se distingue par ses moteurs implantés dans chacune des quatre roues, une technologie développée par le manufacturier américain Goodyear. Citroën s'est occupé de la partie technique tandis qu'Accor et JC Decaux ont créé des modules spécifiques.
Ainsi, Accor a en inventé deux. Le premier dénommé "Sofitel en Voyage "reprend bien évidemment le nom des hôtels de luxe du groupe. C'est justement cette notion qui est mise en avant ici. Il s'agit d'un parallélépipède architectural de verre et de marqueterie. Deux portes coulissantes permettent à deux ou trois passagers d'accéder à un intérieur recours intégralement de velours orange sanguine. Un bandeau lumineux diffuse des informations tandis que les occupants peuvent savourer une coupe de champagne grâce au bar intégré.
Lire la suite : https://www.caradisiac.com/citroen-nous-devoile-sa-vision-de-mobilite-urbaine-autonome-192244.htm
Intelligence artificielle
Une intelligence artificielle plus sûre via le projet SPATIAL
zataz.com - Damien Bancal
Publié le 30 septembre 2021
Le nouveau projet SPATIAL, financé par la Commission européenne, vise à définir des pratiques claires, pour créer une approche plus fiable de l’intelligence artificielle en matière de cybersécurité. SPATIAL réunit des leaders du monde universitaire et du secteur industriel.
F-Secure, partenaire de ZATAZ.COM, s’apprête à mener des recherches avancées sur l’intelligence artificielle (IA) dans le cadre de SPATIAL (Security and Privacy Accountable Technology Innovations, Algorithms, and Machine Learning), un nouveau projet financé par le programme Horizon 2020 de la Commission européenne. Cet effort de collaboration unit le monde universitaire et industriel pour accroître la fiabilité et la sécurité de l’intelligence artificielle, et pour mieux sécuriser la gestion des données dans les applications de cybersécurité.
« Une IA fiable, c’est une IA sécurisée », a déclaré Matti Aksela, Vice President of Artificial Intelligence chez F-Secure. « Nous sommes honorés d’être un partenaire-clé de ce projet. Ce travail de collaboration constitue une opportunité fantastique de concevoir, développer et évaluer des méthodes visant à améliorer la résilience de l’intelligence artificielle en cybersécurité. »
Les systèmes F-Secure dotés de l’IA analysent en moyenne 7 milliards de requêtes en ligne, 6 milliards d’événements comportementaux et plusieurs millions d’échantillons de fichiers et d’URL suspects chaque jour. Assurer de telles performances suppose des progrès constants en matière de machine learning. F-Secure utilise cette technologie depuis 2006 et demeure à la pointe du secteur avec le projet Blackfin, une initiative primée visant à développer des méthodes innovantes basées sur le Machine Learning, afin de relever les défis de la cybersécurité.
« Les objectifs de SPATIAL en matière de confidentialité des données, de résilience et de responsabilité sont en totale adéquation avec nos efforts en matière d’IA », explique Matti Aksela. « Nous sommes fiers de participer à cette initiative visant à sécuriser l’IA grâce à une plus grande transparence, à une meilleure préparation aux attaques et au respect de la confidentialité des données clients. »
SPATIAL rassemble F-Secure et les plus grands spécialistes européens de l’IA du monde universitaire et du secteur de la cybersécurité. Cette initiative réunit notamment l’Université de technologie de Delft (Pays-Bas), Montimage (France), Mainflux Labs (Serbie), Telefonica Investigacion y Desarrollo (Espagne), Fraunhofer Society (Allemagne), University College Dublin (Irlande), l’Université de Tartu (Estonie), NEC Laboratories Europe GmbH (Allemagne), Université Erasmus de Rotterdam (Pays-Bas), Australo Interinnov Marketing Lab SL (Espagne) et Reaktor (Finlande).
Pour de plus amples informations sur SPATIAL, rendez-vous sur spatial-h2020.eu.
SPATIAL a reçu un financement du programme de recherche et d’innovation Horizon 2020 de l’Union européenne dans le cadre de la convention de subvention n° 101021808.
Lire la suite : https://www.zataz.com/une-intelligence-artificielle-plus-sure-via-le-projet-spatial/
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Au fil de l'eau. L'intelligence artificielle au service de la prévention des inondations
francetvinfo.fr - Catherine Pottier
Publié le 02 octobre 2021
écouter (153min) - Temps de lecture : 2 min.
Philippe Mauzet, fondateur du bureau d'études Hydratis est l'invité du "Fil de l'eau". Un an après le passage de la tempête Alex qui a balayé une grande partie de la France et causé la mort de 19 personnes, ingénieurs et chercheurs tentent de trouver des solutions pour agir très rapidement pour protéger les populations.
29 septembre 2021. Dans la vallée de la Roya, un an après le passage de la tempête Alex, les routes d'accès à la vallée de la Roya sont en travaux pour rétablir l'axe vers le col de Tende et le tunnel de Tende. (FRANCK DUBRAY / MAXPPP)
Il y a un an, jour pour jour, le 2 Octobre 2020, la tempête Alex a balayé une grande partie de la France. Après la Bretagne, elle a dévasté les Alpes-Maritimes en tuant 19 personnes à Saint-Martin-Vésubie et en faisant des dégâts considérables.
650 millions de tonnes d'eau en quelques heures, il y a un an, dans les vallées de la Roya et de la Vésubie
Saint-Dalmas-de-Tende, le 29 septembre 2021. Reportage dans la vallée de la Roya ,un an après le passage de la tempête Alex, qui après des pluies diluviennes a causé de nombreux dégâts et provoqué la mort de 18 personnes. Le cimetière de Saint-Dalmas-de-Tende emporté par les chutes de rochers. (FRANCK DUBRAY / MAXPPP)
Des villages ont été engloutis, des maisons se sont effondrées, un pont a été emporté par les flots au-dessus de la commune de Saint-Martin-Vésubie, 9 personnes ont été tuées et 9 portées disparues. En quelques heures, il est tombé l'équivalent de 650 millions de tonnes d'eau sur la vallée de la Roya et celle de la Vésubie. Face à la multiplication des crues et des inondations, l'intelligence artificielle est devenue aujourd'hui un outil précieux pour anticiper les catastrophes.
« L’intelligence artificielle permet d'anticiper avec précision. »
Philippe Mauzet à franceinfo. En 2020, Philippe Mauzet a créé le bureau d'études Hydratis, du côté d'Aix-en-Provence. Grâce à l'intelligence artificielle, la société a mis au point un système innovant de reconstitution du débit de l'eau, ce qui permet de définir à l'avance l'évolution des crues dans les zones inondables.
"Nous pouvons évaluer la réaction d'un bassin versant sur 20 minutes", explique Philippe Mauzet. Actuellement, les modélisations classiques ne peuvent pas apporter de réponses sur des temps de réactions inférieurs à 4 heures."
Philippe Mauzet estime que l'intelligence artificielle est un complément aux prévisions météorologiques classiques qui vont annoncer les conditions à venir, alors que le rôle d'Hydratis est de mesurer les conséquences de ces prévisions.
« L’objectif est d'anticiper et de faire en sorte que les gens ne se trouvent pas au mauvais endroit au mauvais moment », dit-il. La stratégie est donc basée sur des mesures réelles de la pluie, du vent et des cours d'eau, auxquelles l'intelligence artificielle ajoute d'autres facteurs, comme le relief, l'inclinaison de la pente, la capacité d'infiltration dans les sols, les types de cultures, l'état des nappes phréatiques mais aussi la présence ou non de gel ou de neige.
Actuellement, c'est cette diversité de données qui empêche de prédire avec exactitude les zones qui seront inondées et dans quelle mesure.
Paiement électronique
Apple Pay : ces hackers ont réussi à dérober n’importe quel montant sur un iPhone verrouillé
01net.com - Gilbert Kallenborn
Publié le 01 octobre 2021
Le mode « transport express » d’Apple Pay est vulnérable et permet d’effectuer des paiements non authentifiés et sans aucun plafond. Aucun correctif n’est disponible à l’heure actuelle.
Mauvaise nouvelle pour certains utilisateurs d’Apple Pay. Des chercheurs des universités britanniques de Birmingham et Surrey ont montré qu’il était possible de dérober n’importe quel montant d’une carte Visa depuis un iPhone verrouillé, en raison de failles dans le protocole Apple Pay et dans l’infrastructure de paiement de Visa.
Cette attaque peut être réalisée sur un iPhone volé à condition qu’il ne soit pas éteint. Elle pourrait également se faire dans n’importe quel espace public, si l’attaquant peut être à proximité de l’appareil ciblé (métro, train, restaurant, etc.).
Elle nécessite toutefois que la carte Visa soit configurée en mode « Carte de transport express », qui permet à des utilisateurs de réaliser des micropaiements sans authentification sur les bornes d’un opérateur de transports en commun.
Ce type d’usage n’est pas disponible en France, mais il existe dans plus d’une douzaine de villes dans le monde, comme Londres, Sydney, Singapore, Vancouver ou New York.
Des octets magiques pour contourner le verrouillage
Pour siphonner de telles cartes, les pirates n’ont pas besoin d’un équipement très sophistiqué. Comme on peut le voir dans une vidéo de démonstration, il suffit d’avoir un émulateur de lecteur de cartes (Proxmark), un smartphone Android pour émuler une carte de paiement sans contact, et enfin un PC portable pour initier l’attaque et relayer les messages entre les deux émulateurs.
En combinant ces différents éléments, il est possible de réaliser à distance un paiement avec n’importe quel terminal de point de vente, sans aucune authentification et sans plafond de paiement.
Voir la video : https://youtu.be/tk14RxXklsM
Lire la suite : https://www.01net.com/actualites/apple-pay-ces-hackers-ont-reussi-a-derober-n-importe-quel-montant-sur-un-iphone-verrouille-2049167.html
Blockchain
La blockchain est capable de transformer les services gouvernementaux
Publié le 26 Septembre 2021 - Thomas Poirier
Les gouvernements utiliseront la blockchain non seulement pour des services fondamentaux tels que l’identification et le vote, mais comme programme-cadre de croissance économique.
Les gouvernements sont chargés d’offrir des services équitables et efficaces au public. Malheureusement, le fait d’assurer la transparence et la responsabilité entraîne souvent une réduction de l’efficience et de l’efficacité ou vice versa. Les gouvernements sont généralement obligés de choisir d’améliorer l’un au détriment de l’autre. Dans de rares occasions, la technologie arrive et permet aux gouvernements d’améliorer l’équité et l’efficacité.
Le passage des dossiers sur papier à des bases de données informatiques était l’une de ces technologies. Internet en était un autre et la blockchain est le prochain changement. Comme auparavant Internet, la blockchain améliorera non seulement la façon dont le public interagit avec les services gouvernementaux, mais elle aura de vastes implications économiques et sociales.
Comment le gouvernement peut utiliser la blockchain
La blockchain aura un impact large et varié sur les services gouvernementaux. Nous présentons quelques exemples prometteurs.
Identification
L’identification est la pierre angulaire de l’interaction avec les services gouvernementaux, mais les systèmes actuels sont défectueux à bien des égards.
Abordons seulement deux exemples. Premièrement, l’identification nécessite une infrastructure étendue et coûteuse. Alors que les pays développés bénéficient des avantages d’une identification nationale solide, de nombreux pays en développement ont du mal à fournir une identification solide. La Banque mondiale estime qu’environ 1 milliard de personnes n’ont pas de preuve officielle d’identité.
Deuxièmement, les systèmes d’identité actuels ne sont pas sécurisés. Par exemple, le système d’authentification biométrique de l’Inde, connu comme Aadhaar, est vulnérable à un large éventail de fraudes, y compris celles impliquant des transferts de terres, l’acquisition de passeports, l’obtention de prêts, le vote et d’autres.
Les capacités de Blockchain s’alignent remarquablement bien pour atténuer les inconvénients susmentionnés. La conception décentralisée de la Blockchain rend son déploiement et sa coordination beaucoup moins coûteux que les conceptions centralisées. Sa nature trustless la rend plus sûre.
Approvisionnement
Lire la suite : https://www.cointribune.com/blockchain/gouvernance/la-blockchain-est-capable-de-transformer-les-services-gouvernementaux/
Open Data
Open data : une feuille de route pour fluidifier la circulation des données publiques entre l'État et les collectivités
maire-info.com - Ludovic Galtier
Publié le 28 septembre 2021
La ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Amélie de Montchalin, a présenté, hier, les 15 feuilles de route ministérielles en matière de données, algorithmes et codes sources, chantier clé de la modernisation de l'État. L'une de ses ambitions concourt à « simplifier les démarches administratives des Français ».
« L'année 2021 doit poser les fondements d'une politique ambitieuse de la donnée, des algorithmes et des codes sources dans chacun de vos ministères ». L’injonction du Premier ministre datée du printemps dernier (lire Maire info du 3 mai) s’est concrétisée, hier, par la publication des « 15 feuilles de route ministérielles en matière d’ouverture, de circulation et de valorisation des données publiques ».
Jean Castex avait « demandé à l’ensemble des membres du gouvernement de faire de la politique de la donnée une de leurs priorités dans leurs relations avec tous ses partenaires, notamment les collectivités territoriales, les acteurs privés et la société civile », rappelait, hier dans les locaux de l’Institut national de l’information géographique et forestière à Saint-Mandé (Val-de-Marne), Amélie de Montchalin.
Chargée du chantier « ouverture des données publiques », piloté depuis l'été dans chaque ministère par un administrateur ministériel des données, la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques a assuré, hier, que « les données publiques sont un moteur pour l'économie, un vecteur d'innovations et de nouveaux usages pour notre quotidien, et une condition de préservation de notre souveraineté ».
« Dites-le nous une fois »
Internet des Objets
La présidente de la Commission annonce une loi sur la cybersécurité pour les appareils connectés
euractiv.fr - Luca Bertuzzi - Translated by Ambrine Dumas
Publié le 16 septembre 2021
Ursula von de Leyen, la présidente de la Commission européenne, a annoncé mercredi 15 septembre une loi sur la cyber-résilience visant à établir des règles communes en matière de cybersécurité pour les appareils connectés.
« Nous ne pouvons pas parler de défense sans mentionner la cybersécurité », a annoncé Mme Von der Leyen lors son discours annuel sur l’état de l’Union au Parlement européen.
« Si tout est connecté, tout peut être piraté », a-t-elle ajouté, en notant que le nombre grandissant d’appareils connectés accentue également la vulnérabilité face aux cyberattaques.
Selon Mme Von der Layen, la diffusion rapide des cyberattaques a été « un grand égalisateur dans la façon dont le pouvoir peut être utilisé aujourd’hui par les États voyous ou les groupes non-étatiques » dans l’objectif de perturber les infrastructures essentielles ; comme l’administration publique et les hôpitaux.
« Comme les ressources sont rares, nous devons regrouper nos forces, et nous ne devons pas simplement faire face à la cybermenace. Nous devons également nous efforcer de devenir un leader en matière de cybersécurité », a déclaré la présidente de la Commission.
L’initiative de la Commission s’ajoute à une proposition existante de directive sur la sécurité des réseaux et des systèmes d’information, plus connue sous le nom de directive NIS2. La directive NIS2 élargit le champ d’application de la directive précédente, en augmentant les exigences en matière de cybersécurité pour les services numériques employés dans les secteurs critiques de l’économie et de la société.
Bart Groothuis, le législateur en charge du dossier NIS2 au Parlement européen, souligne la complémentarité des deux lois européennes. Alors que NIS2 traite de la sécurité des chaînes d’approvisionnement essentielles, il affirme que les appareils connectés constituent un angle mort dans l’arsenal de cybersécurité de l’UE.
« L’internet des objets va engendrer un grand nombre de produits non sécurisés, car la sécurité n’est souvent pas une priorité pour les producteurs de ces machines, et il n’y a pas encore de norme européenne à respecter. C’est bien d’avoir une machine pour porc effiloché dans sa cuisine, ou une machine à café intelligente, mais c’est aussi un moyen pour les pirates de pénétrer dans les systèmes informatiques de votre maison », a expliqué M. Groothuis à EURACTIV.
Industrie
Atos : sélectionné par l'UGAP pour optimiser les data-centers
boursorama.com - Information fournie par CERCLE FINANCE
Publié le 27 septembre 2021
(CercleFinance.com) - Atos et APL Data Center, expert-conseil en data-centers, annoncent avoir été retenus par l'Union des groupements d'achats publics (UGAP) dans le cadre du nouveau marché de 'prestations relatives aux centres de données', pour les trois prochaines années.
Ce marché propose aux acheteurs publics des prestations d'audit, d'étude et accompagnements pouroptimiser la performance technique de leurs centres de données et en réduire la consommation énergétique.
'Nous sommes fiers de mettre nos expertises technologiques et de conseil au service d'une institution publique comme l'UGAP, pour soutenir la transition du secteur public vers une économie plus durable', a commentéIsabelle Rouland,vice-présidente senior chargée des marchés publics et défense chez Atos.
Lire la suite : https://www.boursorama.com/bourse/actualites/atos-selectionne-par-l-ugap-pour-optimiser-les-data-centers-fe91e7ec018ba4bb4818d17ec79d6de1