MOBILITE
5 janvier 2022 – Présentation officielle des 5 futures lignes de BusTram de la métropole de Montpellier
Publié le 05 janvier 2022
Pour se démarquer des autres agglomérations françaises déjà équipées de lignes de bus à haut niveau de service (BHNS), les bus 100 % électriques devant opérer sur les 5 lignes de BusTram de la métropole de Montpellier seront dotés de portes sur chaque face latérale afin de faciliter les correspondances quai à quai avec les 5 lignes de tramway. Document et copyright : TaM Montpellier 3M et Montpellier Méditerranée Métropole (04 01 2022)
La présentation officielle des 5 futures lignes de BusTram de la métropole de Montpellier a eu lieu en conférence de presse le mardi 4 janvier 2022.
Rien de nouveau par rapport à la présentation officieuse faite par Tramwaydemontpellier.net le mardi 14 décembre 2021, ci ce n’est qu’un site officiel dédié à ces 5 futures lignes de BusTram a été lancé le mardi 4 janvier 2022 et que des réunions de concertation seront organisées à partir du mardi 15 février 2022 au cours desquelles il sera possible de discuter des horaires et des positionnements précis des futures stations, mais en aucune manière sur les tracés qui sont quasiment arrêtés.
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Les carnets de tickets de métro "papier" gagnent 6 mois de sursis
huffingtonpost.fr - Le HuffPost avec AFP
Publié le 07 janvier 2022
Il n'y a pas encore de pénurie de cartes Navigo, mais Île-de-France Mobilités préfère anticiper.
TRANSPORTS - La vente des carnets de tickets de métro “papier” a cessé mi-octobre dans une centaine de gares et stations du réseau des transports publics d’Île-de-France, et ne devait plus être proposée du tout en mars 2022, pour être remplacée par des cartes ou des solutions dématérialisées.
Mais c’était sans compter sur la pénurie mondiale qui frappe l’approvisionnement en puces électroniques, présentes notamment dans les cartes Navigo.
“Il y a une tension sur l’approvisionnement et les stocks de puces. Nous ne sommes pas dans une situation de pénurie pour les cartes Navigo, mais nous devons anticiper pour gérer les stocks”, explique ce jeudi 6 janvier Île-de-France Mobilités au Parisien.
Dans cette optique, le journal explique que l’échéance de mars 2022 a été reportée de six mois, ce qui amène la fin de la vente des carnets de tickets de métro “papier” au mois de septembre prochain.
Navigo Easy et Navigo Liberté+
Le “plan d’arrêt progressif” de leur vente, approuvé en avril 2021 par le conseil d’administration d’Île-de-France Mobilités, promeut le remplacement du carnet traditionnel par des titres de transport disponibles sur la carte Navigo Easy, les smartphones et le contrat Navigo Liberté+.
Le tramway bordelais évolue pour tomber moins en panne
bougerabordeaux.com - Fabien
Publié le 05 janvier 2022
Le réseau TBM test un nouveau produit sur un an avec pour ambition de réduire le nombre de pannes. Bientôt la fin des mauvaises surprises pour les usagers ?
Depuis 2001, le réseau de tramways TBM fonctionne grâce à l’électricité présente sur les rails dans le sol. Cette technique innovante à l’époque a permis de remplacer les lignes aériennes et d’éviter de défigurer le paysage bordelais. Pour réussir ce tour de bras, Bordeaux Métropole utilise des boîtiers APS, qui fournissent l’électricité du réseau TBM. Aujourd’hui, cette technologie est généralisée en France, mais aussi à l’international comme à Dubaï ou à Rio.
Actuellement, le réseau de trams bordelais fonctionne bien (environ 96 % de circulation), pourtant, il arrive que le tram soit obligé de s’arrêter. Les causes peuvent être multiples. En effet, la plupart du temps, les ralentissements et les pannes qui ont lieu viennent d’un événement extérieur (manifestation, intempérie, malaise, accident avec un usager…). Mais dans certains cas la faute revient au boîtier APS qui n’arrive pas à fournir assez d’électricité pour le réseau.
Lire la suite : https://www.bougerabordeaux.com/sinformer/le-tramway-bordelais-evolue-pour-tomber-moins-en-panne/
EXCLUSIF. Ile-de-France : dès lundi, le passe Navigo offrira des avantages dans 300 lieux culturels
lejdd.fr - Bertrand Greco
Publié le 8 janvier 2022
Dès lundi, le titre de transport Navigo s'enrichit d'un nouveau service disponible dans plus de 300 musées, théâtres ou cinémas. Les 4 millions d'abonnés bénéficieront de tarifs réduits, visites gratuites et autres cadeaux de bienvenue.
La carte Orange d'antan (1975-2009) est définitivement reléguée au rang des objets antiques. À partir de lundi, le passe Navigo ne se contentera plus d'être un simple titre de transport, comme son ancêtre, mais rendra de nouveaux services. Ainsi que le révèle le JDD, la fameuse carte à puce sans contact émise par Île-de-France Mobilités (IDFM) va se muer en "passeport pour la culture". Les près de 4 millions d'abonnés des transports en commun franciliens (abonnement mensuel, annuel, Liberté+, Senior, Imagine R…) pourront dorénavant bénéficier de divers avantages dans plus de 300 lieux culturels de la Région - pour commencer, car le dispositif a vocation à s'étoffer.
Les usagers n'auront qu'à présenter au guichet des établissements partenaires leur passe Navigo en cours de validité (hors Navigo Jour, Easy et Découverte), lequel sera scanné comme un passe sanitaire. Ils se verront alors proposer toutes sortes d'avantages, plus ou moins attrayants, à la discrétion des sites visités : tarifs réduits, pour eux et la personne qui les accompagne, entrées gratuites (une place achetée, une place offerte, par exemple), ristournes sur la restauration, cadeaux de bienvenue (boisson chaude, sac en toile type "tote bag", documentation…), invitations aux vernissages ou aux avant-premières, ateliers, rencontres, etc.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.lejdd.fr/JDD-Paris/exclusif-ile-de-france-le-passe-navigo-devient-passe-culturel-4086685
Cybersécurité
Google s'offre la pépite israélienne Siemplify pour muscler son offre de détection des cybermenaces
usine-digitale.fr - Alice Vitard
Publié le 05 janvier 2022
Google Cloud a mis la main sur la start-up Siemplify pour un montant estimé à 500 millions de dollars. Cette jeune pousse, fondée en Israël et dont le siège social se trouve à New York City, a développé une plateforme permettant aux entreprises d'observer, décider et de réagir face aux incidents de sécurité de façon automatisée. Un gain de temps et d'argent pour les entreprises. Ce rachat s'inscrit dans un contexte d'augmentation des cyberattaques.
Ce rachat faisait l'objet de nombreuses rumeurs dans la presse depuis quelque temps. C'est désormais officiel : Google Cloud a acquis Siemplify. Cette start-up israélienne est à l'origine d'une plateforme SOAR (Security Orchestration, Automation and Response) capable de surveiller les flux d'informations sur les menaces et de déclencher des réponses automatisées afin de limiter les incidents de sécurité. Un outil particulièrement utile dans un contexte d'explosion des cyberattaques, en particulier des ransomwares.
UN RACHAT À 500 MILLIONS DE DOLLARS
Le montant de l'acquisition s'élèverait à 500 millions de dollars, d'après des sources citées par Techcrunch. Les parties à la vente n'ont ni infirmé ni confirmé cette enveloppe. Les équipes de cette jeune pousse vont rejoindre les rangs de l'équipe de sécurité de Google Cloud, apprend-on dans le billet de blog annonçant le rachat.
« Fournir une capacité SOAR éprouvée et unifiée avec l'approche innovante de Chronicle (plateforme de télémétrie et d'analyse de sécurité native dans Google Cloud, ndlr) en matière d'analyse et de sécurité est une étape importante dans notre vision », a déclaré Sunil Potti, general manager and vice president of cloud security au sein de Google Cloud.
MIEUX GÉRER LES RISQUES EN RÉDUISANT LES COÛTS
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Cybersécurité : les tendances qui auront un impact sur vos applications en 2022
journaldunet.com - Chronique de Nabil Bousselham Veracode
Publié le 07 janvier 2022
Quelles technologies génèreront les risques cyber les plus importants en 2022 ? Et surtout, comment se prémunir de ces risques ? Le point.
Prendre le temps d’évaluer la sécurité des logiciels au sein d’une entreprise est primordial et pourrait figurer parmi les bonnes résolutions pour l’année à venir. De nombreuses technologies ont émergé ces dernières années, accompagnées de défis en matière de cybersécurité. En voici quelques-unes qui devraient faire partie de notre quotidien au cours des années à venir :
La connectivité omniprésente
Nous évoluons vers un monde où tout est connecté : périphériques, logiciels, objets... A mesure que les données circulent entre les applications d'entreprise, les logiciels connectés au cloud ou en SaaS, et les appareils IoT, le risque de cyberattaque augmente de manière exponentielle pour les entreprises. Un modèle de responsabilité partagée entre les fournisseurs cloud et les entreprises permettra d’y faire face, en parallèle d’une approche zero trust.
L’abstraction et la componentisation
Les logiciels et la technologie continuent d'être au cœur du développement des entreprises. Par conséquent, les entreprises sont constamment à la recherche de méthodes pour innover et créer des logiciels plus rapidement. Pour aller plus vite, de nombreuses équipes de développement se tournent non seulement vers le cloud mais aussi vers les microservices. Ceux-ci permettent de décomposer des applications complètes en blocs réutilisables aussi petits que possible, afin de les assembler en processus ou flux de travail.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/solutions/dsi/1507951-cybersecurite-les-principales-tendances-qui-auront-un-impact-sur-vos-applications-en-2022/
5G
Plus de 31 600 sites 5G en 2021 selon l'ANFR
lemondeinformatique.fr - Jacques Cheminat
Publié le 04 janvier 2022
L'agence nationale des fréquences (ANFR) a publié son observatoire sur le déploiement des réseaux mobiles qui synthétise notamment les efforts des opérateurs sur la 5G pendant l'année 2021. Les sites exploitant la bande 3,5 GHz sont en pleine expansion notamment chez SFR.
De manière régulière, l’ANFR publie son observatoire sur le déploiement des réseaux mobiles. La dernière édition de janvier 2022 qui vient d’être publiée dresse une synthèse sur l’année écoulée des différents sites en fonction des opérateurs, des types de fréquences et de technologies cellulaires. Bien évidemment, l’actualité porte à se concentrer sur la 5G pour avoir une idée de l’état d’avancement des installations et d’activation des sites et de la stratégie des opérateurs en terme de fréquences.
Au global, la métropole comptait 31 645 sites 5G autorisés au 1er janvier 2022. L’Agence précise que la quasi-totalité de ces implantations 5G sont autorisées sur des sites existants déjà utilisés par la technologie 2G, 3G ou 4G. A noter que le nombre de sites autorisés en 4G est de 58 797 en métropole.
Graphique
https://img1.lemondeinformatique.fr/fichiers/telechargement/anfr-5g-2.png
Le nombre de sites 5G par bande de fréquence. (Crédit Photo : ANFR)
Les opérateurs ont accéléré en 2021 sur les sites en 3,5 GHz
Dans le détail, on constate que les sites compatibles avec la bande de fréquence 3,5 GHz, considéré comme la bande cœur de la 5G ont fortement progressé pendant l’année 2021 (pour atteindre 15 208 sites autorisés dont 9 185 sont déclarés techniquement opérationnels). Sur ce dernier critère, l’ANFR constate que c’est SFR qui a pris la première place en nombre de sites en 3,5 GHz en ce début d’année. Sur le graphique, l’opérateur a clairement donné un coup d’accélérateur de son déploiement sur les deux derniers mois.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-plus-de-31-600-sites-5g-en-2021-selon-l-anfr-85319.html
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Pourquoi la 5G pourrait perturber le trafic aérien
geeko.lesoir.be - Anaëlle Lucina
Publié le 08 Janvier 2022
Les représentants de l’industrie de l’aviation demandent l’arrêt du déploiement du nouveau service sans fil 5G autour de nombreux aéroports.
Fin décembre, les principaux transporteurs aériens américains alertaient face aux potentielles conséquences des nouvelles fréquences de la 5G. Selon les compagnies aériennes américaines, celles-ci pourraient entraîner l’annulation d’environ 4 % des vols quotidiens. Elles demandent donc le retardement du déploiement de la 5G.
Le lundi 3 janvier, les représentants de l’industrie, qui menaçaient de poursuivre en justice AT&T et Verizon, ont obtenu une entente de principe. Prévu au début du mois, le déploiement des nouvelles fréquences 5G est reporté au 19 janvier.
La 5G, un danger pour l’aviation ?
AT&T et Verizon prévoient de déployer de nouvelles fréquences 5G dans la « bande C » le 5 janvier prochain. Pour cela, ils comptent utiliser des fréquences approuvées par la Commission fédérale des communications en 2020. La bande C correspond aux services satellite fixes (FSS). Elle représente la partie du spectre électromagnétique définie par les fréquences de 3,4 à 4,2 GHz en réception et de 5,725 et 7,075 GHz en émission.
Dans ce même contexte, les représentants de l’industrie de l’aviation et le régulateur américain de l’aviation (FAA) ont réagi. Ils se disent inquiets quant aux interférences potentielles du spectre sans fil 5G avec les composants électroniques sensibles des avions. Le groupe industriel Airlines for America a, lui, lancé une pétition visant à obtenir un nouveau délai de déploiement.
1/2 million de vols potentiellement perturbés
Lire la suite : https://geeko.lesoir.be/2022/01/08/pourquoi-la-5g-pourrait-perturber-le-trafic-aerien/
Internet des Objets
CES : 5 objets connectés français à découvrir
journaldunet.com - Célia Garcia-Montero
Publié le 06 janvier 2022
Le Consumer Electronics Show de Las Vegas est chaque année l'occasion pour les fabricants IoT de présenter leurs innovations pour tout type d'usages.
Le dog collar d'Invoxia
La santé connectée est un sujet phare au Consumer Electronics Show. Les particuliers ne se soucient pas que de leur propre bien-être, ils s'inquiètent aussi de celle de leurs animaux de compagnie. C'est ce qui a poussé l'entreprise française de traceurs GPS Invoxia à concevoir un dispositif qui se fixe au collier du chien. Via l'application Invoxia, le propriétaire d'un chien pourra suivre la localisation de ce dernier et surveiller ses fonctions respiratoires et cardiaques. L'objectif : permettre une détection précoce des maladies avant même que les premiers symptômes n'apparaissent. Fonctionnant sur les réseaux basse consommation LTE-M, le collier est capable, grâce à son buzzer intégré, d'aider le propriétaire à retrouver son animal s'il se cache sous une voiture, ou s'est retrouvé piégé dans un garage.
Le système de visioconférence de La Vitre
L'écran de La Vitre permet une traduction en 60 langues. © La Vitre
Avec la généralisation du télétravail, la start-up La Vitre met en avant son concept d'open space des équipes à distance. Elle fait tester au CES son écran numérique à taille humaine qui permet d'échanger à distance tout en donnant l'impression d'être en face de ses interlocuteurs. Pour parler avec un collègue, il suffit à l'utilisateur de tapoter sur l'écran tactile, comme s'il frappait à la porte du bureau voisin. Ce dernier apparaîtra en taille réelle sur l'écran. Les équipes de La Vitre ont travaillé sur le traitement du son et de l'image pour garantir une impression de contact et de proximité entre les interlocuteur. L'écran offre par ailleurs un service de traduction instantanée dans plus de 60 langues et permet de partager instantanément des contenus depuis un ordinateur, une tablette ou un téléphone, sans interrompre la conversation en cours.
Les appareils qui se rechargent sans fil d'Archos
Au CES, le fabricant Archos met en avant ses nouveaux objets connectés qui se rechargent sans fil. Dans le cadre de son partenariat avec Ossia Inc, la société à l'origine de la technologie brevetée Cota Real Wireless Power, qui délivre de l'énergie par voie hertzienne à distance, Archos présente quatre objets récupérant chacun de l'énergie par les ondes RF : une caméra sans fil d'intérieur, une station pour mesurer la qualité de l'air et la température chez soi, un traqueur et une montre connectée.
Lire la suite : https://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/1507793-ces-5-objets-connectes-francais-a-decouvrir/
RGPD
En 2021, le total des sanctions infligées par la Cnil avoisine 3,5 millions d'euros
usine-digitale.fr - Alice Vitard
Publié le 03 janvier 2022
En 2021, la Cnil a infligé une série de sanctions pécuniaires pour un total d'environ 3,5 millions d'euros. C'est l'AG2R La Mondiale qui a écopé de l'amende la plus élevée, de 1,75 million d'euros. Le ministère de l'Intérieur s'est vu infliger deux rappels à la loi, l'un sur les drones de surveillance et l'autre sur le fichier des empreintes digitales. L'année 2022 sera sûrement placée sous le signe de la protection des données de santé, de la gestion du télétravail et de la légalité du recours à des services américains.
En 2021, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a infligé près de 3,5 millions d'euros d'amendes pour la violation des législations sur la protection des données. C'est un montant beaucoup moins important qu'en 2020, année durant laquelle elle avait distribué 11 amendes pour un total d'environ 138 millions d'euros.
UNE AMENDE RECORD DE 1,75 MILLION D'EUROS
L'amende la plus haute a été infligée à l'AG2R La Mondiale, qui a écopé d'une sanction de 1,75 million d'euros. Le groupe a violé deux obligations du Règlement général sur la protection des données (RGPD) : la limitation des durées de conservation des données et la transmission d'informations à ses adhérents. Vient ensuite la sanction de 500 000 euros infligée à Brico Privé, éditeur d'un site de ventes privées de bricolage, de jardinage et d'aménagement de la maison.
Monsanto et la Régie autonome des transports parisiens (RAPT) ont tous les deux été condamnés à des amendes de 400 000 euros. Le premier pour avoir illégalement fiché plus de 200 personnalités publiques et journalistes susceptibles d'influencer le débat sur le renouvellement de l'autorisation du glyphosate (un herbicide controversé) en Europe. Le second a intégré le nombre de jours de grève des agents dans des fichiers d'évaluation qui servaient à préparer les choix de promotion.
Plus récemment, c'est la start-up Slimpay, qui propose des solutions de gestion des abonnements et des paiements récurrents, qui a écopé une amende de 180 000 euros pour avoir manqué à ses obligations. Elle a insuffisamment protégé les données personnelles de ses utilisateurs et ne les a pas informé d'une violation de données qui a concerné 12 millions de personnes.
LE MINISTÈRE ENJOINT DE NE PLUS UTILISER DE DRONES
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/editorial/en-2021-le-total-des-sanctions-inflige-par-la-cnil-depasse-les-trois-millions-d-euros.N1172692
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RGPD : Free Mobile sanctionné pour avoir ignoré les demandes de ses clients
Publié le 04 janvier 2022
L’opérateur télécoms Free Mobile devra s’acquitter d’une amende de 300 000 € pour ne pas avoir respecté les droits des personnes dans le cadre du RGPD et la sécurité des données de ses utilisateurs. Free Mobile apparaît surtout sanctionné pour son absence de réponse face aux demandes de ses clients quand il s’agit de stopper des sollicitations commerciales ou d’accéder à ses données.
Plusieurs plaintes reçues par la Cnil de la part d’utilisateurs
Tout est parti de plusieurs plaintes reçues par la Cnil concernant les difficultés rencontrées par des personnes dans la prise en compte par Free Mobile de leurs demandes d’opposition à recevoir des messages de prospection commerciale et la difficulté d’accès à leurs données.
La Cnil a effectué un contrôle sur place et un contrôle sur pièces qui ont servi à constater des manquements aux droits des personnes concernées, dont le droit d’accès et le droit d’opposition. La Cnil observe 4 manquements de la part de Free Mobile. Il y a un manquement à l’obligation de respecter le droit d’accès des personnes aux données les concernant (articles 12 et 15 du RGPD), car l’opérateur n’a pas donné suite aux demandes formulées par les plaignants dans les délais.
Free Mobile a ignoré les demandes de ne plus recevoir de messages commerciaux
Lire la suite : https://www.larevuedudigital.com/rgpd-free-mobile-sanctionne-pour-avoir-ignore-les-demandes-de-ses-clients/
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Cookies : sanction de 60 millions d’euros à l’encontre de FACEBOOK IRELAND LIMITED
Publié le 06 janvier 2022
Le 30 décembre 2021, la formation restreinte de la CNIL a sanctionné la société FACEBOOK IRELAND LIMITED d’une amende d’un montant de 60 millions d’euros parce qu’il n’est pas permis aux utilisateurs du réseau social facebook.com résidant en France de refuser les cookies aussi facilement que de les accepter.
Le manquement à la loi Informatique et Libertés
La CNIL a reçu plusieurs plaintes dénonçant les modalités de refus des cookies sur le site web facebook.com.
En avril 2021, elle a effectué un contrôle en ligne sur ce site et a constaté que, s’il propose un bouton permettant d’accepter immédiatement les cookies, il ne propose pas de solution équivalente (bouton ou autre) pour permettre à l’internaute de refuser aussi facilement le dépôt des cookies. Plusieurs clics sont nécessaires pour refuser tous les cookies, contre un seul pour les accepter. La CNIL a également constaté que le bouton permettant de refuser les cookies se situe en bas de la seconde fenêtre et s’intitule « Accepter les cookies ».
La formation restreinte, organe de la CNIL chargé de prononcer les sanctions, a relevé que rendre le mécanisme de refus plus complexe revient, en réalité, à décourager les utilisateurs de refuser les cookies et à les inciter à privilégier la facilité du bouton de consentement aux cookies figurant dans la première fenêtre. Elle a considéré qu’un tel procédé portait atteinte à la liberté du consentement des internautes.
Lire la suite : https://www.cnil.fr/fr/cookies-sanction-de-60-millions-deuros-lencontre-de-facebook-ireland-limited
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Droit d’accès des salariés à leurs données et aux courriels professionnels : les précisions de la CNIL
Publié le 7 janvier 2022
La CNIL a publié le 5 janvier 2022 sur son site une fiche pratique relative au droit d’accès des salariés à leurs données et aux courriels professionnels, en complément de sa fiche pratique du 18 novembre 2020 sur les réponses à une demande de droit d’accès.
La loi Informatique et Libertés permet à toute personne d’accéder aux données qui la concernent.
Ce droit est renforcé par le Règlement général sur la protection des données (RGPD) qui est entré en application en mai 2018.
Toute personne peut demander à un organisme la communication des données qu’il détient sur elle et en obtenir une copie.
Un salarié peut ainsi demander à son employeur l’accès et la communication dans un format compréhensible des données personnelles le concernant et qu’il a en sa possession afin notamment de contrôler l’exactitude des données et, au besoin, de les faire rectifier ou effacer.
L’employeur devra également être en mesure de lui fournir divers renseignements, par exemple les objectifs poursuivis par l’utilisation des données, les catégories de données traitées, les autres organismes ayant obtenu la communication des données, etc.
Lorsqu’un salarié demande à son employeur d’accéder ou obtenir la copie de courriels professionnels, ce dernier devra apprécier l’atteinte au droit des tiers que représenterait cette communication.
Un tri entre les messages communicables et ceux qui ne le sont pas devra alors être effectué en distinguant deux situations :
- - Selon que le salarié demandeur est l’expéditeur ou le destinataire des courriels
- - Uu seulement mentionné dans le contenu des courriels.
Lire la suite : https://www.lexplicite.fr/droit-dacces-des-salaries-a-leurs-donnees-et-aux-courriels-professionnels-les-precisions-de-la-cnil/
Blockchain
Samsung investit dans la reforestation par blockchain et promet de planter 2 millions d'arbres d'ici avril
cnetfrance.fr - Nawal Benali
Publié le 03 janvier 2022
Le géant de la technologie ambitionne de planter 2 millions d'arbres pour lutter contre le changement climatique. Pour parvenir à cet objectif, l'entreprise s'est associée à Veritree, le spécialiste de la reforestation par blockchain.
Samsung a déclaré ce lundi vouloir se tourner davantage vers les nouvelles technologies pour mener à bien son dernier projet de développement durable : la plantation de 2 millions de palétuviers à Madagascar au cours des trois prochains mois. Le géant coréen a indiqué qu'il s'associait à Veritree, société spécialisée en blockchain qui aidera à suivre la progression de chaque arbre planté.
Cette technologie permettra aux planteurs d'arbres de recevoir des mises à jour relatives la plantation à l'aide de leur téléphone. Un atout pratique, évitant de compter sur un audit des sites de projets. Bien que Samsung n'ait pas précisé le coût de ce projet, il semblerait que l'île de Madagascar ait été choisie en raison de sa mangrove, parmi les plus efficaces au monde pour convertir le dioxyde de carbone en oxygène.
Investir dans des innovations technologiques, telles que celles qui améliorent l'efficacité et réduisent les déchets, en combinaison avec des solutions naturelles, est essentiel dans la lutte contre le changement climatique", a déclaré Mark Newton, responsable du développement durable de Samsung Electronics America, dans un communiqué. "En nous appuyant sur notre historique de collaboration ouverte, nous nous associons à Veritree pour cette initiative de plantation d'arbres comme un moyen supplémentaire de contribuer à une meilleure société mondiale."
Article de Cnet.com adapté pour Cnet France