Mobilité
Rouen. Le réseau Astuce lance son programme de fidélité : gagnez des points à chaque validation
paris.normandie.fr - Par la rédaction
Publié le 20 Février 2024
Pour inciter à prendre les transports en commun et inciter les voyageurs à valider leur titre, le réseau Astuce lance le Club Astuce, mercredi 21 février 2024. À la clé, des avantages et des réductions.
Pour gagner des points, il suffit de valider son titre de transport dans le bus ou le métro, ou directement aux bornes présentes à l’arrêt - Archives Paris Normandie
Pour promouvoir les transports en commun et inciter ses voyageurs à valider leur titre, le réseau Astuce de la Métropole Rouen Normandie lance, mercredi 21 février 2024, son programme de fidélité appelé Club Astuce. « À chaque déplacement en transport en commun sur le réseau Astuce, les voyageurs détenteurs d’une carte Astuce valident leur titre de transport sur les valideurs à bord ou à quais. Ainsi, ils cumulent des points, et ces points leur permettent ensuite de profiter d’offres chez des partenaires majoritairement locaux », communique le Réseau Astuce, géré par Transdev Rouen.
Pour promouvoir les transports en commun et inciter ses voyageurs à valider leur titre, le réseau Astuce de la Métropole Rouen Normandie lance, mercredi 21 février 2024, son programme de fidélité appelé Club Astuce. « À chaque déplacement en transport en commun sur le réseau Astuce, les voyageurs détenteurs d’une carte Astuce valident leur titre de transport sur les valideurs à bord ou à quais. Ainsi, ils cumulent des points, et ces points leur permettent ensuite de profiter d’offres chez des partenaires majoritairement locaux », communique le Réseau Astuce, géré par Transdev Rouen.Le Club Astuce est ouvert à tous les détendeurs d’une carte Astuce, que l’on soit abonné ou non. Il suffit de s’inscrire gratuitement en se connectant sur le site clubastuce.reseau-astuce.fr à l’aide du numéro de sa carte Astuce.
1 validation = 10 points
Lire la suite : https://www.paris-normandie.fr/id495886/article/2024-02-20/rouen-le-reseau-astuce-lance-son-programme-de-fidelite-gagnez-des-points-chaque
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Métropole Européenne de Lille: vers une extension et une amélioration du réseau de pistes cyclables
bfmtv.com - Par Charlotte Lesage et Hamza Ouarb
Publié le 22 Février 2024
La Métropole de Lille prévoit une extension et une amélioration du réseau de pistes cyclables, avec un chantier qui débutera cette année et une livraison finale pour 2035.
La métropole européenne de Lille projette d’étendre son réseau Vélo Plus sur l’ensemble de son territoire et vise 12 nouvelles liaisons d’ici 2035.
En multipliant les aménagements, elle entend, à terme, relier les cœurs d’agglomération et les principales villes grâce à la création de 12 liaisons. Trois arcades compléteront la carte finale: la petite couronne lilloise, la grande couronne et la ceinture tourquennoise.
Une liaison doit relier Roubaix Hem et Villeneuve d'Ascq, une autre entre Lille et Lesquin. Une liaison entre Halluin, Wattrelos et Hem est également prévue.
Un premier tronçon inauguré en 2023
Un premier tronçon du réseau Vélo Plus, situé sur la piste du Grand Boulevard, a été inauguré en juin dernier. Il constitue la première des 12 branches du futur réseau.
Sur cet axe, qui relie Lille, Roubaix et Tourcoing, les cyclistes profitent d’une signalétique particulière, d’une aire de service, d’un banc ou même d’une pompe de gonflage.
Ces équipements s’inscrivent dans le souhait de la métropole européenne de Lille d’assurer plus de sécurité, de confort de lisibilité, d’efficacité et de capacité aux cyclistes sur son réseau Vélo Plus.
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Un nouveau Plan des Mobilités pour préparer l'avenir des transports jusqu'en 2030
iledefrance-mobilites.fr - Communiqué
Publié le 12 février 2024
Connaître le futur de vos déplacements en Île-de-France, ça vous tente ? On décrypte le Plan des Mobilités 2030 qu'Île-de-France Mobilités vient juste de dévoiler. Un plan en 14 axes d'action pour répondre aux enjeux de mobilité durable.
Le saviez-vous ? C’est Île-de-France Mobilités qui est chargée d’imaginer et de planifier le futur des mobilités en Île-de-France.
Et justement, le Plan des Mobilités 2030 vient de sortir. De grandes ambitions pour une Île-de-France mobile et durable pour tous, qu'on vous propose de décrypter ensembl.
Le Plan des Mobilités en Île-de-France, en quoi ça vous concerne ?
Le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030 est le successeur du Plan de déplacements urbains d'Île-de-France (PDUIF) : un plan stratégique qui organisait les mobilités dans la région et en fixait les grandes lignes directrices pour la période de 2010 à 2020.
La nouvelle version, présentée le 6 février 2024 au conseil d'administration d'Île-de-France Mobilités, renouvelle et renforce pour cinq ans, les ambitions en matière d'utilisation des transports en commun et de solutions de mobilité plus durables.
L'objectif ? Répondre efficacement aux enjeux environnementaux et sanitaires actuels (qualité de l'air, sécurité routière, etc).
Avec le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030, la Région Île-de-France sera la première région de France sur le chemin de la neutralité carbone en 2050 !
Un projet à plusieurs mains : qui participe à l'élaboration du Plan des Mobilités en Île-de-France ?
La mise en œuvre du Plan des Mobilités en Île-de-France engage tous les acteurs régionaux de la mobilité : Île-de-France Mobilités,la région Île-de-France, les départements, les intercommunalités, les communes, l'État, mais aussi les opérateurs de transports et de mobilités ou les acteurs du transport de marchandise, par exemple.
Des ateliers de travail et des consultations en ligne ont également permis des échanges avec les associations et les acteurs économiques du territoire, leur donnant la parole, sur leurs attentes.
Au total, ce sont près de 120 organismes qui se sont exprimés pour l'élaboration du Plan des Mobilités en Île-de-France 2030.
Le Plan des Mobilités en Île-de-France 2030 : 14 axes d'action pour répondre aux enjeux de mobilité durable
Lire la suite : https://www.iledefrance-mobilites.fr/actualites/plan-des-mobilites-ile-de-france-2030
Numérique
« Notre territoire a besoin d’un numérique choisi, pas d’un numérique subi »
itforbusiness.fr - Par Laurent Delattre
Publié le 23 février 2024
Parmi les premières métropoles créées avec des objectifs de mutualisation des services ambitieux, Bordeaux Métropole se distingue par sa vision en matière de numérique. Elle veut en effet imposer des choix technologiques réellement bénéfiques pour sa population et limités dans leurs impacts négatifs.
Entretien avec Jean-Noël Olivier, Directeur général du numérique et des systèmes d’information de Bordeaux Métropole
Comment définir simplement une métropole et, surtout, une métropole numérique ?
Les métropoles sont des établissements de coopération pour les villes d’un territoire. Elles ont succédé en 2015 aux anciennes communautés urbaines les plus importantes en taille. Bordeaux Métropole a été créée parmi les premières et regroupe 28 communes. Comme toute métropole, elle a une compétence d’aménagement numérique sur son territoire, avec la charge notamment du déploiement d’antennes pour les réseaux mobiles ou de la fibre optique. Mais nous sommes allés plus loin en mutualisant le domaine du numérique. Je suis donc le DSIN de Bordeaux Métropole, celui de la ville de Bordeaux et de 18 autres communes qui ont choisi cette mutualisation. Ce rapprochement a été encouragé par l’État, mais il est surtout le fruit de la volonté des élus. Ce sont eux qui développent cette vision territoriale pour le numérique.
Qu’est-ce qu’une métropole ?
Selon l’article L5217-1 du code général des collectivités territoriales, une métropole est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui regroupe plusieurs communes « d’un seul tenant et sans enclave » qui s’associent au sein « d’un espace de solidarité pour élaborer et conduire ensemble un projet d’aménagement et de développement économique, écologique, éducatif, culturel et social de leur territoire afin d’en améliorer la compétitivité et la cohésion ». La création des métropoles fait suite à la loi Maptam (loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles) de 2014.
Y a-t-il des informatiques différentes ou au contraire une seule cible pour le SI ?
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/notre-territoire-a-besoin-dun-numerique-choisi-pas-dun-numerique-subi-73835
Identité
Auto : le permis de conduire dématérialisé, un moyen simple pour lutter contre la fraude
rte.fr - Par Christophe Bourroux
Publié le 18 février 2024
Depuis le 14 février, il est possible d'avoir son permis de conduire dématérialisé sur l'application France Identité. Une première !
Une petite révolution pour un document centenaire ! Fini le permis de conduire qui traîne dans les poches. Depuis le 14 février, il est possible de le dématérialiser sur son téléphone portable. La mesure a été annoncée par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin.
Comment ça fonctionne ? D'abord, l'utilisateur doit disposer d'un téléphone Android ou Iphone récent, ainsi que d'une carte d'identité physique nouvelle génération avec puce intégrée (mise en circulation en 2021 en France). Il faut ensuite télécharger l'application France Identité pour importer votre permis directement sur votre smartphone (trois millions de connexions ont été enregistrés le premier jour).
Une fois importé, il suffira de le montrer lors d'un contrôle routier. Au-delà du gain de temps pour les forces de l'ordre, c'est surtout un moyen de lutter contre la fraude pour le ministère de l'Intérieur, alors que plus de trois millions de faux permis sont en circulation.
Lire la suite : https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/auto-le-permis-de-conduire-dematerialise-un-moyen-simple-pour-lutter-contre-la-fraude-7900354056
Intelligence artificielle
Les 7 grandes tendances de l’IA en 2024 et au-delà…
itforbusiness.fr - Par Laurent Delattre,
Publié le 22 février 2024
Deux rapports récents respectivement publiés par IBM et Microsoft tracent les grandes tendances qui doivent marquer l’IA dans les entreprises en 2024 et un peu au-delà. Voici ce qu’il faut en retenir…
ChatGPT a profondément et définitivement transformé notre vision de l’intelligence artificielle. En démontrant magistralement à quel point les IA pouvaient comprendre le langage et engager des conversations avec l’humain tout en se montrant créatives (bien plus créative d’ailleurs que ce que les mauvais esprits ne veulent l’admettre), l’IA conversationnelle générative d’OpenAI a – mieux que toute autre tentative préalable – su populariser les concepts IA et favoriser l’adoption de l’IA. À tel point qu’elle a aussi, mécaniquement, forcément et inévitablement, engendré des peurs, des inquiétudes et une infinité de débats sur l’avenir de l’être humain dans un monde envahi, voire régi, par l’IA…
La sortie de ChatGPT et son adoption instantanée par les internautes puis par les entreprises a libéré l’innovation en la matière. En moins d’un an, on a vu les IA capables d’interpréter des images et des vidéos, créer des images et photos terriblement réalistes à partir de vague description textuelle, écrire des livres, composer des musiques originales, transcrire des réunions, produire des résumés, suggérer des réponses aux emails, imiter l’humain dans ses tâches les plus créatives et les plus « intelligentes ». Et ce n’est pas fini. Les IA ne sont encore que balbutiantes. Et si l’AGI, cette intelligence artificielle générale supérieure à l’humain n’est pas encore là, l’IA ne cesse de progresser et de se diversifier dans ses capacités avec par exemple SORA d’OpenAI et sa génération vidéo qui en met plein la vue, Gemini 1.5 et sa fenêtre contextuelle d’un million de Tokens qui lui permet de rédiger des romans d’une traite ou encore le nouveau Mistral Next qui – outre sa maîtrise extraordinaire du français – pense en européen (et non en américain).
Néanmoins, selon Dave Bergmann, si les grands modèles IA capturent toute l’attention des médias, « les développements les plus impactants seraient plutôt à chercher du côté des innovations en matière de gouvernance, de middleware, de techniques d’apprentissage et de pipelines de données qui cherchent à rendre l’IA générative plus fiable, plus durable, plus accessible ».
Ainsi, des réflexions des chercheurs d’IBM et de Microsoft publiées récemment se dégagent quelques grandes tendances autour de l’IA que tout DSI doit garder en ligne de mire :
1. Les SLM : Small Language Models
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/les-7-grandes-tendances-de-lia-en-2024-et-au-dela-73798
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ChatGPT débloque pendant plusieurs heures et rappelle que son intelligence n’est qu’artificielle
liberation.fr - Par Libération et AFP
Publié le 21 février 2024
Intelligence artificielle : de la fascination à l'inquiétude
Le programme conversationnel a rencontré un dysfonctionnement de plusieurs heures, donnant des réponses sans queue ni tête, allant même jusqu’à inventer des mots. OpenAI a assuré ce mercredi 21 février que ChatGPT refonctionnait «normalement».
En dépit de toutes ses avancées, l’IA n’a toujours pas de conscience ni de compréhension de ce qu’elle «dit». ChatGPT, la très populaire interface d’intelligence artificielle, a débloqué pendant plusieurs heures mardi, répondant aux questions des utilisateurs avec des phrases sans aucun sens. De nombreux utilisateurs ont mis en ligne des captures d’écran montrant des réponses erratiques ou incompréhensibles du modèle d’IA générative. Cette technologie de pointe permet de produire toutes sortes de contenus (textes, sons, vidéos), d’ordinaire de qualité bluffante, sur simple requête en langage courant. Mais ces systèmes sont encore balbutiants
Sur le forum des développeurs qui utilisent les outils d’OpenAI, un utilisateur baptisé «IYAnepo» a ainsi relevé le comportement «étrange» de ChatGPT. «Il génère des mots totalement inexistants, omet des mots et produit des séquences de petits mots-clés qui me sont inintelligibles, entre autres anomalies», a-t-il relaté. «On pourrait penser que j’ai spécifié de telles instructions, mais ce n’est pas le cas. J’ai l’impression que mon GPT est hanté», a-t-il ajouté.
Un autre utilisateur, «scott.eskridge», s’est plaint sur ce même forum que toutes ses conversations avec le modèle de langage «se transforment rapidement en grand n’importe quoi depuis trois heures». Pour le prouver, il a copié un extrait d’une des réponses de l’interface : «L’argent pour le bit et la liste est l’un des étrangers et l’internet où la monnaie et la personne du coût est l’un des amis et la monnaie. La prochaine fois que vous regarderez le système, l’échange et le fait, n’oubliez pas de donner.»
Internet des Objets
Quel réseau demain pour les objets connectés?
zoner.fr - Par Frédéric Charles pour Green SI
Publié le 18 février 2024
Green SI : La croissance de déploiement des objets connectés n'a pas fléchi depuis 2019. Le besoin en réseaux IoT est donc là, se renforce, et de nouveaux réseaux émergents.
Comme vous le savez, GreenSI est un blog sur lequel on suit les sujets sur le moyen terme. On revient donc régulièrement sur des sujets identifiés quelques années avant, pour apprécier la vitesse de développement et les courbures, voire les changements de trajectoires.
En 2019, Amazon annonçait Sidewalk, un réseau pour les objets connectés, quand la 5G était promise à un beau développement. Où en est-on aujourd'hui et qui sont les candidats pour les réseaux des objets connectés de demain ?
Sans réseau, un objet ne peut être connecté, et la croissance de déploiement des objets connectés n'a pas fléchi depuis 2019. Le besoin en réseaux IoT est donc là, se renforce, et de nouveaux réseaux émergents.
En 2010, on atteignait le 1ᵉʳ milliard d'objets connectés, et en 2017, Cisco en prévoyait 30 milliards en 2022.
En 2023, Strategy Analytics estimait dans une étude leur nombre à 22 milliards dans le monde (smartphones, enceintes, téléviseurs, montres, tablettes, ordinateurs portables/bureaux, etc.) ce qui est moins qu'attendu, mais qui confirme cependant une croissance à deux chiffres qui ne fléchi pas. Les secteurs professionnels et la maison connectée ont les plus fortes croissances, ce dernier étant le territoire d'Amazon.
Aujourd'hui, on annonce 38 milliards d'objets connectés en 2025 et 50 milliards en 2030.
Lire la suite : https://www.zdnet.fr/blogs/green-si/quel-reseau-demain-pour-les-objets-connectes-39964316.htm
RGPD
Dans quelles conditions peut-on céder une base de données sans le consentement des intéressés ?
usine-digitale.fr - Par Alice Vitard
Publié le 23 février 2024
Comment concilier le droit de la propriété d'une société créancière et le droit à la protection des données personnelles ? Voici la question sur laquelle doit se pencher la Cour de justice de l'Union européenne, à la demande d'une juridiction polonaise. L'avocat général a rendu ses conclusions : une base de données personnelles peut être vendue dans le cadre d'une procédure d'exécution forcée même si les personnes concernées par ces données n'y ont pas consenti. Des conditions doivent en revanche être respectées pour que ce transfert se fasse dans le respect du RGPD.
osition sur la légalité d'un transfert forcée d'une base contenant des données personnelles sans avoir reçu le consentement des personnes concernées par ces données. Le litige s'inscrit dans le cadre d'une procédure civile d'exécution, laquelle permet d'obtenir le recouvrement d'une somme d'argent pour satisfaire le créancier lorsque le débiteur ne s'exécute pas spontanément.
L'avocat général à la Cour, Priit Pikamäe, a rendu le 22 février ses conclusions. Celles-ci ne lient pas la Cour mais fournissent une orientation possible que pourront prendre les juges lorsqu'ils trancheront l'affaire d'ici quelques semaines.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.usine-digitale.fr/article/dans-quelles-conditions-peut-on-transferer-une-base-de-donnees-sans-le-consentement-des-interesses.N2208659
Désinformation
PODCAST. Face à la désinformation russe, « éduquons les jeunes aux médias » selon Cécile Vaissié
ouest-francs.fr Par Fabien Cazenave
Publié le 20 Février 2024
La Russie de Vladimir Poutine a mis en place une politique de désinformation pour déstabiliser les démocraties occidentales. Dans l’émission Europe du Mur des Podcasts, Cécile Vaissié, professeure à Rennes 2, revient sur cette stratégie du Kremlin.
Le président français Emmanuel Macron a dénoncé vendredi 16 février un « changement de posture » de la Russie qui « exige un sursaut collectif » de l’Europe comme de la communauté internationale, citant notamment les cyberattaques et les craintes sur un déploiement d’armes dans l’espace.
Mais cela fait déjà plusieurs années que le Kremlin a mis en place une politique de désinformation selon Cécile Vaissié, professeure des universités en études russes, soviétiques et post-soviétiques à l’Université Rennes 2. En amont d’une conférence sur ce thème, elle est revenue sur cette question dans l’émission Europe du Mur des Podcasts de Ouest-France.
Cybersécurité
JO de Paris 2024 : Plus de 4 milliards de cyberattaques prévues, comment les Jeux peuvent-ils résister au hacking ?
20minutes.fr - Par Laure Gamaury
Publié le 18 février 2024
CYBERFRONT • De 450 millions de cyberattaques durant les Jeux de Tokyo en 2021, les experts évaluent à huit à dix fois plus celles qui pourraient viser les Jeux de Paris cet été.
L'essentiel
• La cybermenace sera considérable lors des JO 2024 qui draineront tous les regards, et représentent le « jackpot » pour les cybercriminels : il serait question de 8 à 10 fois plus de cyberattaques enregistrées qu’en 2021 (soit plus de 4 milliards en 2024 contre 450 millions en 2021).
• Si les sous-traitants sont une vraie faiblesse dans le dispositif global, le comité d’organisation a développé une stratégie en trois points pour contrer les menaces : anticipation, coopération avec les prochains pays organisateurs, et expertise technique.
• Même si le risque zéro n’existe pas, le comité met tout en œuvre pour éviter de reproduire le scénario du pire qu’ont connu les Jeux de Pyeongchang en 2018, où le malware Olympic Destroyer avait failli empêcher le bon déroulement de la cérémonie d’ouverture.
JO de Paris 2024 : Plus de 4 milliards de cyberattaques prévues, comment les Jeux peuvent-ils résister au hacking ?
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L'utilisation de l'IA par les pirates informatiques a entraîné une hausse considérable de la cybercriminalité
Dont le coût pour les internautes devrait atteindre 9 220 milliards de dollars en 2024
intelligence-artificielle.developpez.com - Par Jade Emv
Publié le 23 février 2024
Selon un nouveau rapport de Techopedia, le marché de l'IA dans la cybersécurité devrait atteindre plus de 133 milliards de dollars d'ici 2030. Mais l'utilisation de l'IA par les pirates informatiques a entraîné une hausse considérable de la cybercriminalité, dont le coût pour les internautes devrait atteindre 9 220 milliards de dollars en 2024.
L'utilisation de l'IA a un impact à la fois positif et négatif. L'utilisation de l'IA par les pirates informatiques a entraîné une hausse considérable de la cybercriminalité, dont le coût pour les internautes devrait atteindre 9 220 milliards de dollars en 2024, la grande majorité (85 %) des professionnels de la cybersécurité blâmant l'IA. Cette hausse s'explique par les raisons suivantes L'IA augmente la vitesse et le volume des attaques, elle s'adapte à des défenses spécifiques et crée des attaques plus sophistiquées et personnalisées.
D'un autre côté, les entreprises affirment que l'IA renforce la cybersécurité en améliorant la détection des menaces et du phishing, en analysant rapidement les incidents et en trouvant des solutions, et en créant des simulations de menaces pour prédire d'éventuelles cyberattaques.
Les violations qui ont touché les entreprises dotées de solutions de sécurité entièrement intégrées par l'IA leur ont coûté en moyenne 1,8 million de dollars de moins que les entreprises qui n'en disposaient pas. 69 % des entreprises affirment que l'IA en matière de cybersécurité est une nécessité en raison de la quantité de menaces que les analystes humains ne sont pas en mesure de traiter.
Nick Francis, rédacteur en chef de Techopedia, déclare :
Essayez de regarder cette vidéo sur www.youtube.com, ou activez JavaScript dans votre navigateur si ce n'est pas déjà le cas.
Voici 10 principales statistiques de l'IA dans la cybersécurité, selon Techopedia :
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Gartner identifie les principales tendances en matière de cybersécurité pour 2024 :
les responsables de la sécurité doivent se préparer à l'évolution rapide de la GenAI
sécurité.developpez.com - Par Jade Emy
Publié le 23 février 2024
Gartner identifie les principales tendances en matière de cybersécurité pour 2024. L'IA générative suscite un scepticisme à court terme, mais de l'espoir à long terme. Le rôle de la gestion des identités et des accès (IAM) pour améliorer les résultats en matière de cybersécurité devrait s'étendre.
Les analystes exploreront les tendances en matière de cybersécurité lors du Gartner Security & Risk Management Summit, qui se tiendra les 18 et 19 mars à Sydney.
L'IA générative (GenAI), le comportement non sécurisé des employés, les risques liés aux tiers, l'exposition continue aux menaces, les lacunes en matière de communication au sein des conseils d'administration et les approches de sécurité fondées sur l'identité sont les forces motrices des principales tendances en matière de cybersécurité pour 2024, selon Gartner, Inc.
"La GenAI occupe une place importante dans l'esprit des responsables de la sécurité en tant que nouveau défi à gérer, mais elle offre également l'opportunité d'exploiter ses capacités pour renforcer la sécurité au niveau opérationnel", a déclaré Richard Addiscott, directeur principal de l'analyse chez Gartner. "Malgré la force inéluctable de la GenAI, les dirigeants continuent également à faire face à d'autres facteurs externes hors de leur contrôle qu'ils ne devraient pas ignorer cette année."
En 2024, les responsables de la sécurité répondront à l'impact combiné de ces forces en adoptant une série de pratiques, de capacités techniques et de réformes structurelles au sein de leurs programmes de sécurité, en vue d'améliorer la résilience de l'organisation et la performance de la fonction de cybersécurité.
Les six tendances suivantes auront un large impact dans tous ces domaines :
Tendance 1 : IA générative - Scepticisme à court terme, espoir à long terme
Les responsables de la sécurité doivent se préparer à l'évolution rapide de l'IA générative, car les applications à grand modèle de langage (LLM) telles que ChatGPT et Gemini ne sont que le début de sa perturbation. Simultanément, ces dirigeants sont inondés de promesses d'augmentation de la productivité, de réduction du déficit de compétences et d'autres nouveaux avantages pour la cybersécurité. Gartner recommande d'utiliser la GenAI par le biais d'une collaboration proactive avec les parties prenantes de l'entreprise afin de jeter les bases d'une utilisation éthique, sûre et sécurisée de cette technologie perturbatrice.
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Microsoft va investir 2 Md€ en IA et cybersécurité en Espagne
lemondeinformatique.fr - Par Irene Iglesias Alvarez, IDG NS (adapté par Dominique Filippone)
Publié le 23 Février 2024
L'offensive de charme européenne de Microsoft se poursuit, avec maintenant une collaboration avec le gouvernement espagnol. Objectif : mettre en oeuvre une IA qualifiée de responsable et sécuriser les infrastructures des administrations espagnoles.
Microsoft prévoit de quadrupler ses investissements dans l'IA et le cloud en Espagne, en y dépensant 1,95 Md€ au cours des deux prochaines années. Ceci fait suite à l'engagement du CEO de Microsoft Satya Nadella à promouvoir l'innovation numérique et l'utilisation responsable de l'IA. Brad Smith, président de Microsoft, a rencontré Pedro Sánchez, président du gouvernement espagnol, pour présenter ce qui est le plus grand investissement de l'entreprise en Espagne en près de quatre décennies de présence dans le pays. Brad Smith fait le tour des nations européennes pour parler des investissements de Microsoft sur le continent. La semaine dernière, il a annoncé un plan d'investissement de 3,2 Md€ en Allemagne dans l'IA et l'infrastructure des datacenters sur deux ans.
La firme de Redmond ouvrira bientôt une région cloud près de Madrid, et a annoncé son intention de construire un campus de datacenters en Aragon qui servira aux entreprises et aux entités publiques européennes. Ces deux infrastructures doivent permettre aux services cloud de Microsoft de garantir la sécurité, la confidentialité et la souveraineté - toute relative - des données, et de mettre à la disposition des entreprises et des administrations publiques toute la gamme de solutions d'intelligence artificielle de l'éditeur. Selon une analyse d'IDC, les datacenters de Microsoft en Espagne pourraient ajouter jusqu'à 8,4 Md€ au PIB du pays et contribuer à la création de 69 000 emplois indirects sur la période 2026-2030.
Une alliance stratégique
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-microsoft-va-investir-2-mdeteuro-en-ia-et-cybersecurite-en-espagne-93053.html
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8 attaques par jour : pourquoi les hackers raffolent des ampoules et autres objets connectés
Voici comment les protéger
numerama.com - Cet article a été réalisé en collaboration avec Bitdefender
Enceintes, ampoules, routeurs et même lave-linges, les objets connectés font désormais partie de notre quotidien. Grands collecteurs de données, ces appareils apprennent de vos habitudes de vie. À ce titre, ils méritent d’être sécurisés. On vous explique comment mieux protéger votre vie privée.
Destinés à faciliter le quotidien, les objets connectés gagnent progressivement nos habitations. Près de 30 % des Français sont déjà équipés et ce chiffre devrait continuer à s’accroître dans les années à venir.
Ces appareils sont devenus tellement communs, comme les smartTV et les aspirateurs-robot notamment, qu’il est facile d’oublier leur niveau de connectivité et les risques induits. Porte ouverte sur votre réseau domestique et sur vos données, ces dispositifs se doivent d’être sécurisés. Voici comment.
Pourquoi les objets connectés peuvent-ils être vulnérables ?
Très pratiques à l’usage, les objets connectés présentent l’avantage de pouvoir être paramétrés et commandés à distance, depuis votre smartphone.
C’est grâce à cette connectivité que vous pouvez allumer votre chauffage lorsque vous quittez votre travail, indiquer au facteur où laisser votre colis lorsqu’il sonne à votre porte, ou encore allumer les lumières depuis l’autre bout de la planète pour simuler votre présence. Mieux, vous pouvez interconnecter les objets connectés entre eux et définir des routines.
Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1624582-8-attaques-par-jour-pourquoi-les-hackers-raffolent-des-ampoules-et-autres-objets-connectes.html
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Arnaque à Bordeaux : de faux abonnements TBM vendus en ligne à des prix imbattables
Actu.fr - Bordeau - Par Anbelle Montagne
Publié le 18 février 2024
Un compte tente d'arnaquer les usagers TBM en promouvant des abonnements à prix imbattables, sur Facebook ou Instagram. TBM a donc mis en garde ses usagers.
Sur Facebook, la page « Carte de transport Bordeaux » affirme vendre « une carte de TMB transports (sic) valable un an dans Bordeaux, le tout pour seulement 2,35 euros ». Un prix imbattable qui, visiblement, a convaincu quelques Bordelais tombés dans le piège.
Sur X, TBM a décidé de prévenir les usagers des transports de la métropole en leur demandant de se méfier de cette arnaque.
Trois canaux légitimes
« Depuis plusieurs jours, une page illégitime fait la promotion sur Instagram et Facebook d’abonnements TBM à un prix excessivement bas et des liens de vente (tous différents) ne menant pas sur le site de TBM », souligne la compagnie.
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L'indispensable résilience pour garantir le fonctionnement de l'IT
lemondeinformatique.fr - Benoît Huet, dossier publié le 19 Février 2024
« 52 % des entreprises sondés estiment que la résilience opérationnelle fait partie des plus grands défis à surmonter en 2024 », explique Richard Ramos, General Manager France chez Insight. (Crédit Insight). Benoît Huet
Les entreprises tentent depuis des années de faire face à la fragilité de leurs systèmes hérités pour contrer les cybermenaces, car l’objectif est bien de garantir le fonctionnement du SI quel que soit l’origine de la menace, bref d’assurer cette fameuse résilience, ce mot devenu très tendance depuis ces derniers mois. Selon Richard Ramos, General Manager France chez Insight qui se base sur une étude menée par l’intégrateur en partenariat avec IDC, 52 % des sondés estiment que la résilience opérationnelle fait partie des plus grands défis que les entreprises auront à surmonter en 2024, aux côtés de la cybersécurité (56 %). Cette dernière étant totalement liée à la résilience, un point d’ailleurs confirmé par les experts du Cesin qui stipulent, dans leur baromètre annuel de la cybersécurité publié en janvier 2023, que la résilience des SI face aux cyberattaques reste un maillon important à améliorer dans la stratégie de défense. Cela dit, il ne faut pas limiter la résilience IT au seul sujet de la cybersécurité, il est important d’intégrer les autres risques comme la sécurité physique, la sécurité juridique, la sécurité fournisseurs et toutes les crises géopolitiques, pandémiques et climatiques qui peuvent avoir des conséquences irréversibles.
Un niveau de maturité assez faible des entreprises françaises…
La résilience est donc indispensable pour garantir le fonctionnement du SI. C’est d’autant plus important lorsque l’on observe le coût engendré par une interruption de services à en croire l'éditeur de solutions d'observabilité Splunk. En effet, l’éditeur s'est essayé à la mesurer dans une étude dédiée sur onze pays, dont la France. L'éditeur parvient au chiffre global de 10 jours d'arrêt imprévus par an, pour un coût moyen grimpant à 87 millions de dollars par an. Dans le détail, ce coût moyen des interruptions s'élève à 110 millions de dollars par an dans les entreprises qui démarrent tout juste leur stratégie de résilience, pour les plus avancées ce montant n'est plus que de 62 millions, ce qui représente une économie moyenne de 48 millions de dollars par an.
… Mais plus de budgets alloués, un marqueur pour la résilience
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Biométrie
Des chercheurs chinois découvrent comment reproduire l’empreinte digitale à partir du son de l’écran tactile
netcost-security.fr - par Charles A.
20 Février 2024
Un groupe de chercheurs de Chine et des États-Unis a développé une méthode pour reproduire partiellement et intégralement les empreintes digitales à partir du son généré par le frottement sur l’écran tactile
Une équipe de chercheurs composée de scientifiques chinois et américains a réussi à reproduire une empreinte digitale à partir du son produit en faisant glisser le doigt sur l’écran tactile. Cette méthode d’attaque biométrique novatrice est basée sur l’analyse acoustique des gestes tactiles effectués par les utilisateurs sur leurs appareils mobiles.
L’étude montre qu’il est possible de reconstruire partiellement les empreintes digitales des utilisateurs à partir des sons qu’ils génèrent en faisant glisser leurs doigts sur l’écran. La principale préoccupation que cela suscite est la possibilité de mener des attaques en utilisant cette méthode, remettant ainsi en question l’efficacité de la biométrie.
Metavers
À Nancy, l’opéra entre dans le métavers
lequotidien.lu - Par AFP
Publié le 18 février 2024
Présentée à la fois sur scène et en réalité virtuelle. Jusqu’à y inviter un robot chanteur !
Un opéra aussi visible dans le métavers, des «metahumains» et même un robot sur scène : avec l’oratorio La Création de Haydn, exceptionnellement mis en scène, l’Opéra national de Lorraine bouleverse les codes de l’art lyrique et transporte le spectateur dans un monde très contemporain. L’imposante salle de l’opéra, basée à Nancy, reste évidemment accessible aux spectateurs munis de billets, mais pas que : d’autres peuvent la rejoindre sur leur ordinateur ou depuis un casque de réalité virtuelle pour assister à cette représentation peu commune.
Je suis préoccupé par le scepticisme croissant à l’égard des sciences
En entrant virtuellement dans le bâtiment, le spectateur découvre différentes affiches de médiation, lui permettant de comprendre le spectacle qu’il va voir. Puis il prend place, toujours virtuellement, dans ce monde parallèle qu’est le métavers, au cœur de la salle. La représentation, jouée et filmée en direct, est donc entièrement retransmise à distance. Et les spectateurs du métavers peuvent se «demander en ami» et interagir entre eux. Ils peuvent aussi se déplacer dans la salle, ou sauter du balcon…
Robot humanoïde
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Le Cigref démystifie les métavers et les chemins concrets pour les apprivoiser
informatiquenews.fr - Par La rédaction
Publié le 23 février 2024
Les métavers ont plus de mal à s’imposer dans le paysage que l’IA générative. Néanmoins, petit à petit, ils trouvent leurs cas d’usage en entreprise à défaut de réellement séduire le grand public. De quoi interpeler le Cigref qui vient de leur dédier l’un de ses rapports.
Le premier rapport du Cigref sur l’univers naissant des métavers, « Les métavers : démystification et chemins à parcourir », cherche à tracer un état de l’art de cette technologie aux multiples visages, à clarifier ses concepts pour les DSI et à évaluer à la fois les opportunités et les défis que ces nouveaux espaces virtuels représentent pour les entreprises.
Combinant réalité virtuelle, réalité augmentée, intelligence artificielle et blockchain pour créer des mondes virtuels immersifs et interactifs, les métavers voulaient réinventer Internet. C’est tout au moins ce que Mark Zuckerberg espérait en y investissant des milliards et en renommant son entreprise Facebook en Meta. La sauce n’a pas pris à la célérité espérée et rien ne prouve qu’elle prendra un jour au point de fondamentalement transformer Internet. Peut-être parce que, justement, ces véritables cas d’usage sont ailleurs, non pas dans les toiles de l’Internet mais dans les murs des entreprises. Car ces environnements numériques peuvent littéralement transformer certains business, métamorphoser certains processus de conception, de formation, de maintenance mais aussi bouleverser les méthodes de travail et les interactions dans un monde du travail hybride. « Les métavers pourraient, à court terme, transformer divers secteurs tels que l’immobilier, la mode, l’éducation et la formation, en offrant des expériences immersives et collaboratives » expliquent notamment les rapporteurs.
Pour le Cigref, les métavers ont indéniablement un grand potentiel en entreprise et ce rapport cherche justement à aider DSI et chefs d’entreprise à en comprendre les tenants et aboutissants et leur potentiel pour rendre leur organisation plus compétitive. Il met en avant les diverses applications possibles, allant de l’éducation et la formation à la vente au détail et au divertissement. Et dévoile les bonnes pratiques pour opérationnaliser l’usage des métavers. Il déchiffre ainsi quelques approches stratégiques pour intégrer les métavers dans les activités commerciales, en tenant compte des aspects technologiques, éthiques et réglementaires.
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