Revue de Presse ADCET N° 270 du 24 juin 2024

Mobilité

"Faisons des mobilités du quotidien, une priorité nationale" : l'appel du Gart aux candidats aux législatives

banquedesterritoirs.fr - Par Anne Lenormand, Localtis

Publié le 17 juin 2024

Transport et mobilité décarbonée

Le Gart a lancé ce 17 juin un appel à tous les candidats aux élections législatives pour qu'ils portent une "vision nationale ambitieuse en matière de mobilité".

"Faisons des mobilités du quotidien, une priorité nationale" : dans un communiqué diffusé ce 17 juin, les élus du Gart lancent un appel aux candidats aux élections législatives. Ils leur rappellent d'emblée que les chantiers engagés en matière de mobilité durable "restent plus que jamais d'actualité : concrétisation du titre unique de transport et du Pass Rail, mise en œuvre de la conférence nationale de financement des services express régionaux métropolitains (Serm), travaux sur le modèle économique du transport public…" "Nos concitoyens continuent d’exprimer une attente forte envers des solutions de transport performantes et accessibles, qui améliorent le quotidien de tous tout en réduisant l’empreinte carbone, affirme le Gart. Ce besoin souligne l'importance de politiques publiques de mobilité pérennes et continues." Dans ce contexte, les élus du Gart "appellent tous les candidats à une prise en considération des enjeux de mobilité au sein du débat public qui s’ouvre". "La prochaine mandature législative aura pour responsabilité d’apporter des réponses concrètes à la hauteur des graves défis écologiques, sociaux et économiques qui nous font face", préviennent-ils.

Pour "une vision nationale ambitieuse en matière de mobilité"

Le Gart assure qu'il poursuivra "son action et sa capacité à être force de proposition". "Nos prises de positions répétées témoignent de notre volonté de faire avancer résolument les mobilités du quotidien", assure-t-il en détaillant ses propositions : "création d’un titre unique de transport pour simplifier l’accès des usagers aux services de mobilité ; appel à une conférence nationale de financement de la mobilité et des infrastructures ; mise en œuvre d’un modèle économique efficace à disposition des autorités organisatrices pour financer les mobilités du quotidien et leur permettre de faire face au mur d’investissement nécessaire au choc d’offres, qui permettra de favoriser le report modal de l’autosolisme vers des solutions de mobilité plus durables".

Selon les élus, "l’action de l’État ne peut se limiter à des ajustements techniques". Ils appellent donc "à une vision nationale ambitieuse en matière de mobilité, où chaque citoyen peut accéder équitablement aux infrastructures et aux politiques de mobilités mises en place dans son territoire. En engageant des moyens financiers, en encourageant la concertation et en soutenant l’innovation, nous pouvons collectivement construire un modèle de transport public performant".

Lire la suite : https://www.banquedesterritoires.fr/faisons-des-mobilites-du-quotidien-une-priorite-nationale-lappel-du-gart-aux-candidats-aux?pk_campaign=newsletter_quotidienne&pk_kwd=2024-06-17&pk_source=Actualit%C3%A9s_Localtis&pk_medium=newsletter_quotidienne

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Les Régions Centre-Val de Loire et Ile-de-France annoncent un partenariat inédit et créent ensemble le titre unique NAVIGO RÉMI.

centre-valdeloire.fr - Par la Rédaction

Publié le 21 juin 2024

Alors que plus de 7 000 abonnés doivent se munir de 2 titres pour leurs trajets quotidiens domicile-travail entre le Centre-Val de Loire et l’Ile de France, les deux Régions annoncent un partenariat inédit pour la création dès 2025 d’un titre de transport unique : le NAVIGO RÉMI.

Un partenariat inédit pour simplifier le quotidien des usagers et faire préférer le train !

A l’occasion de deux points presse, à Dreux et Montargis, organisés ce jeudi 20 juin 2024, François BONNEAU, Président de la Région Centre-Val de Loire et Valérie PÉCRESSE, Présidente de la Région Ile-de-France et de Ile-de-France Mobilités ont annoncé un partenariat inédit entre leurs deux Régions, permettant la simplification et l’unification des titres de transports pour les abonnés des lignes Paris-Dreux, Paris-Montargis-Gien-Briare, et Paris – Chartres – Nogent le Rotrou.

Plus de 7 000 abonnés utilisent chaque jour ces lignes ferroviaires entre les régions Centre-Val de Loire et Ile de France et font face à une situation complexe les obligeant à se munir de deux titres de transports pour leurs déplacements quotidiens domicile-travail : le Pass Navigo en Ile de France et l’abonnement Rémi Zen en Centre-Val de Loire.

Face à cette situation et dans l’objectif de faciliter l’utilisation du train et de réduire l’usage de la voiture, François Bonneau, Président de la Région Centre-Val de Loire et Valérie Pécresse, Présidente de la Région Ile-de-France et de Ile de France Mobilités, ont décidé de porter une vision unifiée et de lancer le titre unique NAVIGO RÉMI pour résoudre les difficultés quotidiennes des voyageurs.

Les milliers d’abonnés utilisant ces lignes pour leurs déplacements quotidiens entre leur domicile et leur lieu de travail, qu’ils soient en région Parisienne ou en Centre-Val de Loire, vont pouvoir ainsi bénéficier à partir de 2025 d’un titre unique, d’un tarif unifié et d’une démarche de commercialisation simplifiée.

Lire la suite : https://www.centre-valdeloire.fr/lactualite-de-la-region-centre-valdeloire/les-regions-centre-val-de-loire-et-ile-de-france

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Qu'est-ce que le prêt à taux zéro mobilité ?

autoplus.fr - Par La rédaction Auto Plus avec Saïda Djerrada, Pascal Charles et François Tarrain

Publé le 20 juin 2024

Le Gouvernement a mis en place un prêt à taux zéro mobilité, également appelé PTZ-m, pour venir en aide aux foyers les plus modestes qui souhaitent renouveler leur véhicule.

Que devient le prêt à taux zéro mobilité ?

Officiellement, le PTZ-m permet, depuis quelques mois, aux personnes justifiant d'un revenu fiscal de référence par part inférieur à 14.089 € et habitant dans l'une des onze ZFE (Zones à Faibles Émissions : Paris, Lyon, Aix-Marseille, Toulouse, Nice, Montpellier, Strasbourg, Grenoble, Rouen, Reims ou encore Saint-Étienne) de bénéficier d'un crédit avantageux pour l'achat d'un véhicule électrique ou hybride rechargeable. C'est le "prêt à taux zéro mobilité".
L'aide s'adresse également aux entreprises dont le chiffre d'affaires annuel ou le total du bilan annuel est inférieur ou égal à 2 millions d'euros. Le véhicule doit quant à lui être inférieur à 47.000 euros TTC pour une voiture particulière, et à 60.000 euros TTC pour une camionnette.
Ce prêt sans intérêt peut être accordé sur sept ans pour un montant de 30.000 € (ou 10.000 € pour une location longue durée). Une aubaine, vu les taux d'intérêt actuels ! Sauf que, pour l'heure, la liste des établissements de crédit habilités à le proposer n'a pas encore été diffusée... Mais elle devrait l'être prochainement.

Une aide pour se conformer aux règles des ZFE

Le Gouvernement a mis en place un prêt à taux zéro mobilité, également appelé PTZ-m, pour venir en aide aux foyers les plus modestes qui souhaitent renouveler leur véhicule.

Que devient le prêt à taux zéro mobilité ?

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Une nouvelle application pour recharger sa carte OPUS avec un téléphone intelligent

rtcquebec.ca

Publié le 19 juin 2024

Faciliter l’achat de titres de transports

Dès aujourd’hui, les utilisateurs du Réseau de transport de la Capitale (RTC) et de la Société de transport de Lévis (STLévis) pourront, via une application mobile, acheter et ajouter des titres de transport sur leur carte OPUS à l’aide d’un téléphone intelligent. Cette technologie, développée en collaboration avec l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), permet également de lire le contenu de la carte OPUS et d’une carte Occasionnelle en l’appuyant tout simplement à l’arrière d’un téléphone intelligent.

Les applications RTC Recharge OPUS et STLévis Recharge OPUS s’ajoutent à l’éventail de solutions de paiement déjà accessibles à la clientèle, dont RTC Nomade paiement, solution de paiement partagée entre les deux sociétés de transport depuis 2020. Ainsi, les détenteurs d’une carte OPUS pourront choisir de la recharger sur leur téléphone mobile, plutôt que d’avoir à se déplacer dans un point de vente. 

« La carte OPUS reste, à ce jour, le moyen de paiement le plus utilisé par les usagers, c’est pourquoi nous sommes heureux d’annoncer qu’il sera encore plus simple de se procurer des titres de transport. Il est important pour nous de faciliter l’accès au transport collectif et la vie des utilisateurs, c’est pourquoi leur permettre de remplir leur carte OPUS et même celles de toute la famille, à l’endroit et au moment de leur choix représente un grand bénéfice », a ajouté Maude Mercier Larouche, présidente du RTC.

Lire la suite : https://www.rtcquebec.ca/medias/communiques/une-nouvelle-application-pour-recharger-sa-carte-opus-avec-un-telephone

Désinformation

Comment la Fondation Descartes s’arme contre la désinformation

challenges.fr - Par Antoine Izambard

Publié le 19 juin 2024

Climat, santé, conflits, IA… La Fondation Descartes, qui s’est spécialisée dans la lutte contre la désinformation, entend se transformer en fondation reconnue d’utilité publique et de créer un institut de veille des récits inauthentiques.

Quel est l’impact réel des narratifs russes, israéliens ou palestiniens sur la société française ? Cette question majeure, qui n’a encore fait l’objet d’aucune étude scientifi­que approfondie, sera le sujet principal d’une publication de la Fondation Descartes en novembre prochain. En collaboration avec le centre Geode de l’université Paris 8 et l’Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire (Irsem), le think tank français va soumettre un questionnaire détaillé à 4 000 Français. Créée en septembre 2019 par Jean-Philippe Hecketsweiler, ex-vice-président chez JP Morgan, la Fondation Descartes s’est spécialisée dans la lutte contre la désinformation.

« La lecture du rapport "Les manipulations de l’information, un défi pour nos démocraties", publié en 2018 par le Quai d’Orsay et l’Irsem, qui montrait que les Russes nous menaient une guerre hybride, m’a convaincu d’agir contre ce fléau », indique Jean-Philippe Hecketsweiler.

La qualité de l’information sur TikTok

Le think tank, qui est financé par quelques mécènes privés, envisage de se transformer prochainement en fondation reconnue d’utilité publique et de créer un institut de veille des récits inauthentiques. Il s’appuie à ce jour sur une équipe de quatre chercheurs dirigée par Laurent Cordonier et regroupe plusieurs spécialistes du sujet comme le sociologue Gérald Bronner ou le diplomate Jean-Baptiste Jeangène Vilmer.

Lire la suite : https://www.challenges.fr/entreprise/defense/comment-la-fondation-descartes-s-arme-contre-la-desinformation_896858

Intelligence artificielle

IA et lutte contre la haine : les recommandations du panel de citoyens à la Commission européenne

actuia.com - par Thierry Maubant.

Publié le 17 juin 2024

Le mois dernier, lors de la session finale du panel de citoyens européens sur la lutte contre la haine dans la société, 150 citoyens européens ont adressé 21 recommandations à la Commission européenne et aux autorités nationales afin de lutter contre la haine sous toutes ses formes et de favoriser le respect mutuel. La modération de l’IA pour les plateformes en ligne en fait partie.

Pour la Commission :

“Toutes les formes de haine et d’intolérance sont incompatibles avec les valeurs de dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’état de droit et de respect des droits de l’homme, consacrées par le traité sur l’Union européenne”.

Elle a mis en place en 2016 un code de conduite visant à lutter contre les discours de haine
illégaux en ligne auquel ont adhéré dans un premier temps Facebook, Microsoft, Twitter et YouTube puis Instagram, Google, Snapchat, Dailymotion et Jeuxvideo.com. L’évaluation des discours haineux qui leur sont notifiés par les internautes et une suppression rapide des contenus illégaux figurent parmi leurs engagements.

Věra Jourová, vice-présidente chargée des valeurs et de la transparence déclarait en 2020 lors d’une évaluation de cet instrument :

“Le code de conduite reste un exemple de réussite pour lutter contre les discours de haine illégaux en ligne. Il a permis des améliorations qui étaient urgentes tout en respectant pleinement les droits fondamentaux. Il a créé de précieux partenariats entre les organisations de la société civile, les autorités nationales et les plateformes informatiques”.

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/ia-et-lutte-contre-la-haine-les-recommandations-du-panel-de-citoyens-a-la-commission-europeenne/?mc_cid=0e6fc0a9f6&mc_eid=1b5f52f4fd

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Réinventer les services publics : le défi de l'IA générative

journaldunet.com - Chronique de Laurent Daudet

Publié le 17 juiin 2024

Depuis les années 90, le numérique transforme les services publics. L'IA générative promet une grande avancée, mais son adoption demande des ajustements, des formations et une adaptation progressive.

Lourdeur bureaucratique, manque de réactivité, de transparence ou de cohérence, les services publics ont souvent été critiqués. Pourtant, depuis les années 90, ils n’ont cessé de se transformer avec les évolutions du numérique, les attentes des usagers et des priorités politiques, comme la collecte de l’impôt aujourd’hui numérisée. En quelques années, de nombreuses démarches en ligne ont permis une meilleure personnalisation de la relation avec les usagers et favorisent la collaboration entre les différentes administrations. Mais nous sommes aujourd’hui un peu au milieu du gué, et chacun ressent la nécessité d’une nouvelle phase de simplification, d’une relation plus fluide, plus intuitive entre les citoyens et l’administration. Au moment où le gouvernement annonce une nouvelle phase de simplification (la presse en parlait déjà en 1976…), l’arrivée de l’IA Générative en 2023 nous a conduit, État, collectivités locales et entreprises, à nous interroger sur son pouvoir de transformation des services publics. L’IA générative n’est-elle qu’une lubie technologique de plus ou va-t-elle durablement transformer le fonctionnement même des services publics, leur offrant l’opportunité de revisiter leurs outils, leurs process et leurs métiers? 

Une intégration progressive de l'IA générative

Soucieux d’éviter de reproduire le “shadow IT” par du “shadow IA” avec un usage non contrôlé de ChatGPT, certains services interdisent à leurs agents l’utilisation d’IA, préférant se donner le temps de la réflexion. D’autres, en revanche, optent pour des expérimentations avec l’IA générative. Cette dernière démarche nous paraît utile pour inciter les agents à se saisir de cet outil, à mieux en comprendre le potentiel et ses limites, et à identifier les cas d’usage les plus adaptés aux services publics. On ne peut que saluer l’expérimentation lancée par le gouvernement auprès de 1 000 agents volontaires d’un outil utilisant l’IA générative pour les accompagner dans la rédaction des réponses en ligne aux avis et commentaires des usagers.

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/intelligence-artificielle/1530997-reinventer-les-services-publics-le-defi-de-l-ia-generative/ 

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L'intelligence artificielle se démocratise avec l'arrivée sur le marché de «PC à l'IA»

lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP

Publié le 19 juin 2024

Une nouvelle gamme d'ordinateurs spécialement conçus pour exécuter des programmes d'intelligence artificielle est arrivée sur le marché mardi, marquant une innovation trop prématurée pour certains experts et la «renaissance du PC» pour d'autres. Microsoft a présenté en mai les très attendus «PC à l'IA», des ordinateurs où des outils d'intelligence artificielle générative sont intégrés directement dans son système d'exploitation Windows, pour aider l'utilisateur dans toutes ses tâches.

Les PC «Copilot+» doivent permettre aux utilisateurs d'accéder aux capacités de l'IA sur leurs appareils sans dépendre du cloud, qui nécessite plus d'énergie, prend plus de temps et rend l'expérience plus poussive. Les PC sont dotés d'une puce «NPU», la puce spécialisée pour les tâches d'IA, qui permet d'améliorer la qualité des retouches photo, de la transcription et de la traduction en direct, ainsi que de la fonction «Recall» permettant notamment à l'utilisateur de remonter dans le temps sur son PC et de voir toutes les fenêtres qu'il a ouvertes. Toutefois, Microsoft a décidé de supprimer cette fonction pour ne la garder qu'à titre de test, en raison des inquiétudes liées à la protection de la vie privée.

Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/flash-eco/l-intelligence-artificielle-se-democratise-avec-l-arrivee-sur-le-marche-de-pc-a-l-ia-20240619

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[JDEF] Intelligence artificielle : les armées accélèrent

defense.gouv.fr  - Direction : Ministère des Armées

Publié le 17 juin 2024

En 2024, le tournant de l'intelligence artificielle est bel et bien amorcé dans l'hexagone. L’ambition de la France : devenir la première puissance militaire de l’IA en Europe et dans le top 3 mondial. Découvrez les nouveaux usages de cette technologie et plusieurs projets en cours de développement dans ce Journal de la Défense inédit.

Regarder « Intelligence artificielle : les armées accélèrent »

Voir ou revoir : Les reportages "Journal de la Défense"sur notre chaine Youtube

Lire sur : https://www.defense.gouv.fr/actualites/jdef-intelligence-artificielle-armees-accelerent

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Intelligence artificielle : face au risque de suppressions d’emplois, le FMI demande plus de protection sociale

sudouest.fr/sciences-et-technologie - Par SudOuest.fr avec AFP

Publié le 17 juin 2024

Sans régulation, l’intelligence artificielle générative pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, redoute le FMI dans une note.

Des mesures fiscales de protection sociale ont un « rôle majeur à jouer » pour contrebalancer les risques posés par l’IA, et notamment une hausse des inégalités, a estimé le Fonds monétaire international (FMI) lundi. Sans régulation, l’intelligence artificielle générative, popularisée par ChatGPT et d’autres outils similaires, pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, estime le FMI dans une note.

Pour faire face à cela, les gouvernements devraient envisager de mettre en place de nouvelles recettes pour financer un filet de protection sociale destiné à ceux qui perdent leur emploi, recommandent les auteurs.

Sans régulation, l’intelligence artificielle générative pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, redoute le FMI dans une note

Des mesures fiscales de protection sociale ont un « rôle majeur à jouer » pour contrebalancer les risques posés par l’IA, et notamment une hausse des inégalités, a estimé le Fonds monétaire international (FMI) lundi. Sans régulation, l’intelligence artificielle générative, popularisée par ChatGPT et d’autres outils similaires, pourrait provoquer des suppressions d’emplois chez les professions diplômées, estime le FMI dans une note.

Pour faire face à cela, les gouvernements devraient envisager de mettre en place de nouvelles recettes pour financer un filet de protection sociale destiné à ceux qui perdent leur emploi, recommandent les auteurs.

Lire la suite : https://www.sudouest.fr/sciences-et-technologie/intelligence-artificielle-face-au-risque-de-suppressions-d-emplois-le-fmi-demande-plus-de-protection-sociale-20171184.php?csnt=1903b80a4d1

Blockchain

"Blockchain in Paris" : entre "pas si jeune" et "pas si vieux"

finyear.com - Par Anne-Laure Allain

Publié le 18 juin 2024

La semaine passée, les événements se sont bousculés dans le petit écosystème parisien WEB3. : de Proof of Talk aux Musée des Arts Décoratifs, en passant par la conférence SG Forge x Bitstamp pour se terminer par la célébration des 10 ans de Coinhouse (entre autres). L'occasion pour l'ensemble des acteurs de faire le point sur les cas d'usage et les nombreuses avancées attendues pour les années à venir notamment en matière de cadre réglementaire. Et force est de constater qu'au travers des rencontres qui ont émaillé ces différentes occasions, des pépites bien installées et depuis, peut-être plus longtemps qu'on ne l'imagine, se sont distinguées. Passage en revue.
La première rencontre a lieu au Musée des Arts Décoratifs. A l'occasion du workshop dédié à "la vague de la tokenisation dans les marchés financiers internationaux" organisé par Proof of Talk. Sur scène, Natacha Dezert, Manager Digital Assets and Blockchain au sein de BNP Paribas Securities Services.

Au cours des mois passés, la première banque d'Europe semblait bien discrète quant à ses déploiements sur la blockchain au profit, peut-être, des annonces faites jusqu'alors par SG-Forge. Pourtant, c'est bien depuis 2011 qu'elle a lancé ses expérimentations. Il y a un an, la banque s'associait au réseau Canton, un nouveau projet de blokchain privée dédiée aux marchés financiers réunissant d'autres institutions telles que Goldman Sachs. Quelques mois plus tard (en novembre), BNP Paribas toujours avec Goldman Sachs dévoilait un investissement de 96 millions de dollars dans l'entreprise blockchain Fnality, permettant de créer des versions tokenisés de certains actifs "fiat".

"Nous travaillons effectivement depuis de très nombreuses années sur le sujet. relate Natacha Dezert." La technologie est éprouvée. Nous avons des marques d'intérêt de la part de nos clients. Cependant, il y a un manque de maturité sur le secteur qui nous empêche de faire les volumes nécessaires." Parmi les autres points de blocages, la femme évoque notamment les soucis d'interopérabilité entre les blockchains et son besoin, en tant que banque faisant des échanges avec d'autres institutions financières de s'appuyer, pour la partie Wholesale donc, sur des Monnaies Numériques de banques centrales.

Internet des Objets

Les appareils connectés sont de plus en plus privilégiés par les attaquants

itsocial.fr - Par Philippe Richard

Publié le 18 juin 2024

Un rapport révèle que si les détections de malwares sur l’ensemble du réseau ont diminué de près de moitié au cours du trimestre par rapport au précédent, les détections de malwares ciblant les endpoints ont augmenté de 82 %.

Selon le dernier rapport de WatchGuard, le volume de ransomwares poursuit sa baisse alors que les attaques endpoints explosent. Les détections de ransomware ont diminué de 23 % par rapport au 4e trimestre 2023 alors qu’elles avaient déjà diminué de 20 % entre le 3e et le 4e trimestre 2023.

De la même manière, les détections de malwares de type « zero-day » ont enregistré une baisse de 36 %. Le volume moyen de détections de malwares par WatchGuard Firebox a chuté de près de moitié (49 %) au cours du premier trimestre, tandis que le nombre de malwares transmis par le biais d’une connexion chiffrée a augmenté de 14 points au cours du premier trimestre, pour atteindre 69 %.

Le tableau ci-dessous du Top 10 des logiciels malveillants comprend les familles de logiciels malveillants les plus détectées en fonction du volume total de détection des Firebox de reporting.

Lire la suite : https://itsocial.fr/cyberecurite/cyberecurite-articles/les-appareils-connectes-sont-de-plus-en-plus-privilegies-par-les-attaquants/ 

Détection

Détection spatiale des anomalies terrestres : une nouvelle technique révolutionnaire dévoile les premiers signes de tremblement de terre

issues.fr

Publié le 17 juin 2024

La recherche identifie des anomalies électromagnétiques évidentes à partir d'une variété de données satellite, ce qui pourrait contribuer au développement de systèmes d'alerte précoce en cas de tremblements de terre.

Selon une nouvelle étude de De Gruyter Journal de géodésie appliquéeles tremblements de terre peuvent trahir leur présence imminente beaucoup plus tôt qu’on ne le pensait grâce à diverses anomalies présentes dans le sol, l’atmosphère et l’ionosphère qui peuvent être détectées à l’aide de satellites.

Le développement de systèmes d’alerte précoce en cas de tremblements de terre pourrait s’avérer très utile pour prévenir les décès et les destructions. L'une de ces techniques proposées consiste à utiliser des satellites pour surveiller divers paramètres physiques et chimiques dans le sol, l'atmosphère et la couche de particules chargées qui existe au-dessus, appelée l'ionosphère.

Défis liés à la détection des précurseurs des tremblements de terre

Lire la suite : https://issues.fr/detection-spatiale-des-anomalies-terrestres-une-nouvelle-technique-revolutionnaire-devoile-les-premiers-signes-de-tremblement-de-terre/ 

RGPD

Une plainte contre la privacy sandbox de google pour non-respect du RGPD

cbnews.fr - Par Dhalia Girgis

Publié le 16 juin 2024

L’association noyb a déposé une plainte à l’encontre de la Privacy Sandbox de Google auprès de l'autorité autrichienne de protection des données le 13 juin. L’organisme spécialisé dans la défense de la protection de la vie privée et des données personnelles accuse le géant de la tech de ne pas informer clairement l’utilisateur du sort de ses données. Max Schems, président honoraire de noyb affirme : "Google a tout simplement menti à ses utilisateurs. Ceux-ci pensaient accepter une fonction de protection de la vie privée, mais ils ont été dupés et ont accepté le suivi des annonces publicitaires de Google”.

La Privacy Sandbox, qui devait être opérationnelle courant 2024, est présentée comme une alternative à la fin des cookies-tiers. Encore en phase de test, la nouvelle interface doit notamment permettre un pistage dans Chrome des cookies first-party tracking des utilisateurs à des fins de publicité ciblée. Dans sa plainte, noyb s’appuie sur l'article 4, paragraphe 11, du Règlement général sur la protection des données (RGPD) qui “stipule clairement que le consentement doit, entre autres, être une "indication spécifique, informée et non ambiguë des souhaits de la personne concernée"”.

Lire sur : https://www.cbnews.fr/digital/image-plainte-contre-privacy-sandbox-google-non-respect-du-rgpd-85369

Cybersécurité

Cybersécurité : Comment un simple chatbot a réussi à mystifier des centaines d’arnaqueurs

20minutes.fr - Par O.M

Publié le 17 juin 2024

TEL EST PRIS… Le programme a transmis les numéros de comptes bancaires des escrocs aux autorités compétentes

C’est un peu l’histoire de l’arroseur arrosé : une entreprise spécialisée en cybersécurité a récemment programmé un chatbot – un programme informatique qui simule une conversation humaine – afin qu’il réponde aux sollicitations d’escrocs numériques. Son but ? Récupérer les informations permettant de confondre ces criminels. Et ça a marché, rapporte Numerama.

Après que les ingénieurs de Netcraft ont ouvert plusieurs adresses mail temporaires, ils ont patiemment attendu de recevoir des messages d’arnaques en ligne. Immanquablement, ils en ont été inondés et ont chargé leur chatbot d’y répondre en jouant le rôle du « pigeon ».

Cryptos, usurpation bancaire, promesses d’héritage

Dans la grande majorité des cas, les escrocs tentaient de pousser leur potentielle victime à acheter des cartes-cadeaux ou des cryptomonnaies. Programmé pour donner l’impression d’être intéressé, le bot engageait donc un échange jusqu’à ce que les arnaqueurs lui communiquent un numéro de compte bancaire ou de portefeuille crypto.

Statistiquement, le chatbot est parvenu à conduire les cybercriminels à lui envoyer, en moyenne, 32 messages, précise Numerama. Les faux usagers de Netcraft ont ainsi fait l’objet de milliers d’arnaques en tout genre, de la vente de cryptomonnaies à l’usurpation bancaire, en passant par les promesses d’héritage.

Lire la suite : https://www.20minutes.fr/high-tech/by-the-web/4096575-20240617-cybersecurite-comment-simple-chatbot-reussi-mystifier-centaines-arnaqueurs

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Cybercriminalité : « Les attaques avec l’intelligence artificielle sont redoutables »

actu-juridique.fr - Par Nicolas Dendri

Publié le 19 juin 2024

Après la cyberattaque contre Almerys et Viamedis, 33 millions de Français ont vu leurs données personnelles volées. Un phénomène contre les services publics qui ne cesse d’augmenter ces dernières années. Entre 2020 et 2021, les administrations publiques en France ont connu une hausse des intrusions informatiques à hauteur de 37 % selon les données de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Des attaques qui touchent à plus de 80 % les collectivités locales et les hôpitaux. Avocates spécialisées dans la cybersécurité au sein du cabinet Advant Altana, Valérie Lafarge-Sarkozy et Laetitia Daage ont participé notamment à la rédaction du rapport du Club des juristes : « Le cyber-risque et l’assurance du cyber-risque » et à un autre rapport intitulé : « Le droit pénal à l’épreuve des cyberattaques ». Pour Actu-Juridique, elles reviennent et analysent l’ampleur de plus en plus importante que prennent les cyberattaques contre les administrations publiques. Rencontre.

Actu-Juridique : Les acteurs du service public ont connu une hausse de 37 % des cyberattaques entre 2020 et 2021. Quel est votre regard concernant ce phénomène ?

Valérie Lafarge-Sarkozy : Il est probable que certains des acteurs du service public soient encore insuffisamment protégés. Par conséquent, les cybercriminels peuvent avoir plus de facilité pour rentrer dans leurs systèmes d’information, étant précisé que la cybersécurité représente un investissement important. J’ai aussi le sentiment que certains agents publics sont insuffisamment formés.

Laetitia Daage : Cependant, nous retrouvons les mêmes écueils et les mêmes problématiques dans les entreprises ou les grands groupes qui sont victimes de cyberattaques. Il y a des problèmes d’organisation et de procédures qui ne sont pas mises en œuvre ou encore des assurances qui ne sont pas contractualisées. Mais les attaques sur des ministères, des collectivités ou des hôpitaux sont plus retentissantes car les données concernent tout le monde. Nous le voyons notamment dans les établissements de santé. Les différents membres du personnel n’ont pas nécessairement les outils et conservent souvent des réflexes qui entraînent une vulnérabilité dans l’espace cyber. Par exemple, dans le monde hospitalier, il arrive encore qu’on laisse la session de l’ordinateur ouverte pour pouvoir travailler dans l’urgence. Et en même temps, il y a de plus en plus d’outils numériques à l’hôpital. Il y a donc encore vraiment un contraste important entre la cybersécurité, la sensibilité des données et les moyens à disposition du personnel hospitalier.

Valérie Lafarge-Sarkozy : Ce manque doit être comblé comme les entreprises françaises ont pu le faire ces dernières années en investissant dans des systèmes de cybersécurité ou dans la formation des collaborateurs. Les réflexes commencent à s’inscrire dans le quotidien des dirigeants et des salariés des TPE, PME et le sont majoritairement dans les grands groupes. Par exemple, les clés USB sont de moins en moins utilisées, les connexions sur les réseaux publics sont exclues, les ordinateurs sont éteints en quittant le bureau, des simulations d’attaques ont lieu régulièrement, etc. Ce sont des gestes qui deviennent de plus en plus des automatismes dans le quotidien des entreprises.

Lire la suite : https://www.actu-juridique.fr/ntic-medias-presse/cybercriminalite-les-attaques-avec-lintelligence-artificielle-sont-redoutables/

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L’Anssi alerte sur les cyberattaques de hackers russes contre la diplomatie française

usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin

Publié le 20 juin 2024 

L’autorité nationale de cybersécurité et de cyberdéfense a publié un nouveau rapport sur plusieurs campagnes de phishing ayant visé des entités diplomatiques françaises. Ces cyberattaques sont attribuées au groupe de hackers Nobelium, ou Midnight Blizzard, qui serait affilié au service de renseignement extérieur de l’État russe.

L’Agence nationale chargée de la sécurité et des systèmes d’information (Anssi) a publié le 19 juin un rapport sur les activités cybermalveillantes liées au groupe russe Nobelium, aussi connu sous les noms de Midnight Blizzard ou Cozy Bear. Ce gang utilise des codes, techniques et procédures qui lui sont propres pour viser des entités diplomatiques, mais aussi de grandes entreprises de la tech.

Les ministères de la Culture et des Affaires étrangères pris pour cible

Le rapport met l’accent sur les campagnes de phishing que le groupe de hackers effectue contre différentes entités diplomatiques, en utilisant de réels comptes de messagerie piratés appartenant au personnel. Nobelium cible les institutions diplomatiques, les ambassades et les consulats. L’Anssi note que depuis début 2021, de nombreuses institutions françaises ont été ciblées par les hackers de Nobelium, dont le ministère des Affaires étrangères.

Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/l-anssi-alerte-sur-les-cyberattaques-de-hackers-russes-contre-la-diplomatie-francaise.N2214875?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=info_ud-week-end&email=98870165&idbdd=56555

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IA et cybersécurité : deux mondes à rapprocher

incyber.org - Par Fabrice Deblock

Publié le 18 juin 2024

Thème principal de l’édition 2024 du Forum InCyber, l’imbrication de l’intelligence artificielle au cœur des enjeux de cybersécurité a suscité de très nombreux commentaires et analyses. Retour sur certaines prises de position exprimées lors de l’événement.

Pour le Général Watin-Augouard, fondateur du Forum InCyber, une vraie rupture est intervenue depuis novembre 2022 (date de la sortie de ChatGPT par OpenAI) dans le domaine de l’IA générative. « Cette IA nous subjugue et nous inquiète en même temps. Son immense potentiel n’est pas encore pleinement exploré, dans sa dimension, sa puissance, son impact. Elle nous transporte dans l’inconnu, vers un futur imprévisible, laissant la voie ouverte à toutes les hypothèses ».

Plus que toute autre technologie, l’IA appelle une réponse à la question : « Pourquoi ? ». « Le ‘pourquoi’ renvoie à la recherche de la finalité et d’un encadrement qui préserve notre liberté, en ne portant jamais atteinte à ce qui fait l’essence même de l’être humain : son identité, son unicité, son intimité, sa liberté de penser, de s’exprimer, de décider et même, sa confiance. Cette interrogation quasi-existentielle appelle le développement d’une IA responsable, encadrée, mais non limitée dans sa capacité novatrice par un droit inspiré par l’éthique », complète-t-il.

Comment dès lors concevoir le développement conjoint de l’IA et de la cybersécurité ? « Le développement de l’IA ne peut être envisagé sans une cybersécurité garante de la confiance. La cybersécurité doit être au service de l’IA et inversement. Les systèmes d’IA doivent être sécurisés tout au long de leur cycle de vie afin d’être résistants face aux cyberattaques. Par ailleurs, l’IA rebat les cartes entre la capacité offensive des cybercriminels et la capacité de défense des organisations. La course aux armements est asymétrique, car les pirates n’ont guère de scrupules au regard des contraintes juridiques et éthiques que nous nous imposons », note le Général Watin-Augouard.

Lire la suite : https://incyber.org/article/ia-cybersecurite-deux-mondes-a-rapprocher/ 

THALES

THALES et le CEA signent un partenariat sur l’intelligence artificielle générative de confiance appliquée à la défense et à la sécurité

Le CEA et Thales annoncent la signature de leur nouveau partenariat dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) générative.

Rassemblées au sein de l’accélérateur d’IA de Thales dans les systèmes critiques, les équipes de recherche en IA du Groupe collaboreront avec celles du CEA pour fournir des solutions d’IA souveraines, maîtrisées et de confiance.

À travers ce partenariat, d'une durée initiale de 3 ans et renouvelable, Thales apporte son expertise en IA et sa connaissance approfondie des métiers de la défense et de la sécurité, et le CEA son savoir-faire dans les IA génératives multimodales (fondées sur les textes, les images, l’audio, les signaux électromagnétiques, les données structurées…). L'ambition commune est d’accélérer l’intégration de l’IA dans les solutions proposées aux clients de Thales, dont les missions sont ultra-critiques.

Alexandre Bounouh, Directeur de l’institut CEA-List, spécialiste des systèmes numériques intelligents, et Bertrand Tavernier, Directeur technique de l’activité Systèmes d’Information et Communication Sécurisés de Thales, lors de la signature du partenariat le 30 avril 2024 à Palaiseau.

Pour créer des solutions d’IA générative de confiance, AI Lab (Thales), le plus puissant laboratoire intégré d’IA critique en Europe, et le CEA, organisme de recherche français parmi les plus innovants au monde figurant avec Thales dans le Top 100 mondial de Clarivate Analytics1, unissent aujourd’hui leurs forces autour de nombreux cas d’usage de l’IA générative, notamment pour le renseignement ou le commandement.

Bertrand Tavernier, Directeur technique de l’activité Systèmes d’Information et Communication Sécurisés de Thales : « Ce partenariat avec les équipes d’intelligence artificielle du CEA permettra de combiner la puissance de leur recherche et celle de l’accélérateur d’IA de Thales, qui associe l’expertise technologique du Groupe et sa connaissance approfondie des métiers de la défense et de la sécurité. Nos clients, forces armées, Etats, opérateurs d’infrastructures critiques, ont besoin de solutions d’IA générative souveraines et de confiance qui répondent à leurs usages critiques. »

Alexandre Bounouh, Directeur de l’institut List du CEA, spécialiste des systèmes numériques intelligents : « S’appuyant sur une collaboration pérenne entre le CEA et Thales, ce partenariat permet de la prolonger et l’étendre sur le sujet sensible de l’IA générative, en combinant l’expertise et l’excellence des équipes de recherche du CEA en sûreté et sécurité de l’IA avec la force de l’accélérateur d’IA de Thales pour le domaine stratégique de la défense et la sécurité. Il appuiera la mission du CEA dans les domaines de la sûreté, la sécurité et l’intelligence artificielle auprès de nos partenaires et de l’ensembles des acteurs institutionnels et industriels du domaine. »

Des cas d’usages au service des forces armées

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/defence-and-security/press_release/thales-et-le-cea-signent-partenariat-lintelligence