Revue de Presse ADCET N°272 du 8 juillet 2024

Mobilité

JO 2024 : on a testé le parcours SNCF dédié aux touristes pour rallier l'aéroport de Roissy à Paris

actu.fr - Par Dorine Goth

Publié le 30 juin 2024

Pour limiter au maximum les temps d'attente au départ de l'aéroport de Roissy, la SNCF a repensé la distribution de la billettique pour la vente des billets en direction de Paris.

C’est le trajet qui sépare les touristes de leur destination finale : le RER B. Un dernier moyen de transport pour enfin quitter l’atmosphère confinée de l’aéroport et rallier Paris, capitale touristique mondiale et ville hôte des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.

À cette occasion, des dizaines de milliers de voyageurs sont attendus du 26 juillet au 8 septembre à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Un défi logistique pour Île-de-France Mobilités et la SNCF qui devront acheminer tous ces passagers et leur faire préférer les transports en commun aux taxis.

Objectif : limiter l’attente

Pour l’occasion, l’accueil a été repensé et les effectifs renforcés. Objectif : passer le moins de temps possible en gare. Le temps d’une après-midi, actu Paris s’est mis dans la peau d’un touriste qui débarque dans le plus grand aéroport de France. 

Lire la suite : https://actu.fr/societe/jo-2024-on-a-teste-le-parcours-sncf-dedie-aux-touristes-pour-rallier-l-aeroport-de-roissy-a-paris_61266172.html

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Futurs RER métropolitains : dans l'attente de financement, les 15 premiers projets mis sur les rails

maire-info.com - Par A.W

Édition du mercredi 3 juillet 2024

Cette première vague de labellisation est une étape indispensable en vue d'obtenir des aides de l'Etat. Particulièrement épineuse, la question du financement des « services express régionaux métropolitains » reste toujours en suspens alors que le contexte politique se complique.

Après Paris, au tour des autres métropoles françaises de prétendre au développement de leurs réseaux de transports. Dans la foulée de la première réalisation du Grand Paris Express inaugurée la semaine dernière (le prolongement de la ligne 14), le ministère des Transports vient de mettre sur les rails les 15 premiers projets de services express régionaux métropolitains (Serm) du pays, auxquels il a décidé d’accorder son label. 

Imaginé sur le modèle du Grand Paris express lancé en 2009 par Nicolas Sarkozy, ces futurs « RER métropolitains »  - comme les avait initialement nommés Emmanuel Macron – devraient permettre de mieux desservir les liaisons entre les métropoles et leurs périphéries en associant ferroviaire, cars express, réseau cyclable, covoiturage...

Deuxième vague « dans les prochains jours »

Lire la suite : https://www.maire-info.com/transports/futurs-rer-metropolitains-dans-attente-financement-les-15-premiers-projets-mis-sur-les-rails-article-28776

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Zone à Trafic Limité dans le centre de Paris

paris.fr - Communiqué

Mise à jour le 03 juillet 2024

Favoriser les transports en commun, les mobilités douces et abaisser la pollution et le bruit : tels sont les objectifs de la Zone à Trafic Limité (ZTL) qui sera mise en place dans le centre de Paris à l'issue des Jeux de 2024. Une consultation publique était organisée du 11 avril au 13 mai pour recueillir l'avis des Parisiens. Les conclusions ont été rendues mi-juin.

Une Zone à Trafic Limité (ZTL), dispositif déjà utilisé par plusieurs grandes villes européennes comme Madrid, Milan ou Rome, consiste en la création d'une zone où le trafic dit de « transit », c'est-à-dire des véhicules ne faisant que traverser la zone sans s'y arrêter, est interdit.

Cette mesure a pour effet de diminuer massivement le flux de véhicules motorisés en centre-ville. Dans le centre de Paris, elle permettra de réduire substantiellement les niveaux de trafic sur certains axes majeurs.

La zone restera en revanche accessible au trafic de destination, c'est-à-dire pour les usagers en voiture qui s'y arrêtent : résidents, commerçants, livreurs, visiteurs, etc.

Une ZTL dans le centre de Paris

Le périmètre de la ZTL, travaillé en concertation avec la préfecture de police, correspondra au secteur de Paris Centre (les 1er, 2e, 3e et 4e arrondissements). Les discussions se poursuivent avec l'État concernant l'inclusion des îles et des quais hauts rive droite dans ce périmètre, souhaitée par la Ville de Paris mais dépendant de la décision de la préfecture de police.

Cette ZTL sera mise en place à l'automne 2024, à l'issue des Jeux olympiques et paralympiques.

Ce dispositif permettra de réorganiser le partage de l'espace public au profit des transports en commun, du vélo et de la marche, ainsi que de certaines catégories d'usagers (visiteurs, résidents, commerçants, artisans, taxis, services publics, personnes à mobilité réduite…). Il induira également une réduction de la pollution de l'air et du bruit.

Lire la suite : https://www.paris.fr/pages/paris-cree-une-zone-apaisee-dans-le-centre-de-la-capitale-20426

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Hyundai révolutionne le stationnement avec son robot autonome

motorsactu.com - Par Faris Bouchaala

Publié le 30 juin 2024

Hyundai Motor Group franchit une nouvelle étape dans l’innovation technologique en déployant son robot de stationnement autonome au Factorial Seongsu, un immeuble de bureaux intelligent à Séoul. Cette première commerciale en Corée marque une avancée significative dans l’automatisation des parkings.

Développé par Hyundai WIA, ce robot compact et polyvalent peut gérer des véhicules pesant jusqu’à 2,2 tonnes. Sa conception ingénieuse lui permet de se déplacer dans toutes les directions à une vitesse maximale de 1,2 mètre par seconde, optimisant ainsi l’utilisation de l’espace de stationnement.

Le système se compose de deux robots plats qui se glissent sous le véhicule pour le soulever et le déplacer. Avec une hauteur de seulement 110 millimètres, ils sont compatibles avec la plupart des véhicules. Des caméras et des capteurs LiDAR assurent un positionnement précis et une sécurité optimale.

Un système de contrôle intelligent peut gérer jusqu’à 50 robots simultanément, optimisant les itinéraires et l’efficacité du stationnement. Hyundai prévoit d’étendre ses capacités pour inclure la gestion des véhicules stationnés manuellement.

Lire la suite : https://motorsactu.com/hyundai-revolutionne-le-stationnement-avec-son-robot-autonome/

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Trains, autocars, tramway... FAIRTIQ, une nouvelle application mobile pour circuler en Normandie

actu.fr - Par Jessie Leclerc

Publié le 2 juillet 2024

Vendredi 28 juin 2024, la nouvelle application FAIRTIQ a été inaugurée à la gare du Havre. Elle permet de faciliter la circulation en Normandie grâce à un titre unique.

C’est nouveau. Atoumod revisite la façon de circuler sur l’ensemble du territoire normandL’application FAIRTIQ déjà en place depuis plusieurs années, fait peau neuve et s’élargit au transport en trains. Elle a été lancée vendredi 28 juin à la gare du Havre (Seine-Maritime).

Une première en France

L’application FAIRTIQ existe depuis plusieurs années en Occitanie où elle ne s’applique qu’aux trains. Depuis plus d’un an, elle est en place en Normandie pour les transports urbains LIA (Le Havre) et Twisto (Caen) et les autocars.

L’élargissement de cette application aux trajets en train, c’est une nouveauté nationale. « C’est une solution nouvelle de multimodalité, une première en France » explique Jean-Baptiste Gastinne, vice-président de la Région Normandie.

Lire la suite : https://actu.fr/societe/trains-autocars-tramway-fairtiq-une-nouvelle-application-mobile-pour-circuler-en-normandie_61285728.html

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Keolis lance l’application Transit pour établir son trajet

mtaville.fr - Par Annie DUVAL-PÉTRIX

Publié le  02 juillet 2024

Transit, c’est le nom de cette nouvelle application digitale mise en place à partir du 8 juillet par le transporteur Keolis sur son réseau Linead.

Jean-François Beaurain, directeur de Keolis Dreux, et David Nikiema, chargé du marketing, ont présenté la nouvelle application digitale proposée par Keolis pour les transports urbains (réseaux Linead, transilien et TER), vendredi 28 juin. Elle est téléchargeable gratuitement sur tous les mobiles (Iphone et Android). « Cette application est simple et intuitive. Elle géolocalise l’utilisateur et propose l’arrêt de bus à proximité de la ligne de bus la plus appropriée pour aller d’un point A à un point B, calcule l’itinéraire, en prenant en compte les temps de trajet à pied et trace le trajet sur une carte. Les bus sont géolocalisés en temps réel grâce à une antenne, installée sur chacun des véhicules. Les usagers peuvent ainsi connaître en temps réel où se trouve leur bus, ce qui permet de limiter le mécontentement dû à l’attente », explique David Nikiema.

« De même, toutes les perturbations sur les lignes seront signalées : les travaux, les arrêts de bus non-desservis pendant une durée déterminée ou les arrêts de bus temporaires… Les usagers seront prévenus des perturbations grâce à des notifications (si l’usager souhaite les recevoir). Jusqu’à présent, l’usager devait aller sur le site internet Linead.fr », ajoute Jean-François Beaurain. L’usager peut épingler un trajet en favori et recevoir toutes les informations le concernant. L’application Transit concerne également les transports scolaires. Les parents pourront géolocaliser les bus de leurs enfants. Là-aussi, chacun peut choisir ou non de recevoir les notifications. « Auparavant, tout le monde recevait un SMS, ce qui peut être considéré par les personnes non concernées, comme intrusif », indiquait les professionnels.

Lire la suite : https://mtaville.fr/28100/dreux/actualites/keolis-lance-leapplication-transit-pour-etablir-son-trajet-161474.php

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La Stas lance son titre de transport directement par carte bancaire

if-saint-etienne.fr - Par Xavier Alix

Publié le 4 juillet 2024

Pas le temps d’acheter un billet à une borne sur le quai ? L’usager peut désormais sortir sa carte bancaire et payer directement à l’intérieur d’un véhicule de transport en commun qu’il emprunte sur le réseau Stas. De payer et de justifier le paiement : ce nouveau service vous permet d’utiliser votre carte bancaire ou tout objet connecté (téléphone ou montre pour s’acquitter du prix aussi) comme titre de transport pour voyager sur le réseau. Il a été présenté hier au QG du délégataire de Saint-Etienne Métropole à Saint-Priest-en-Jarez. À chaque correspondance, le voyageur valide à nouveau avec sa carte bancaire. S’il valide dans le délai de 1 h 30 (ticket de base à 1,6 €) bien sûr, il ne sera pas prélevé de nouveau. En cas de contrôle, le voyageur présente simplement le support utilisé lors de la validation (carte bancaire, smartphone ou montre) à l’agent vérificateur.

Des valideurs spécifiques puis uniques

Pour assurer ce nouveau service, de nouveaux valideurs ont été installés à bord des bus, trolleybus et tramways du réseau. Ils s’ajoutent aux valideurs « historiques » conçus pour valider les titres individuels ou les cartes OùRA.

Lire la suite : https://www.if-saint-etienne.fr/breves/la-stas-lance-son-titre-de-transport-directement-par-carte-bancaire

RGPD

La Cnil alerte sur le manque de moyens alloués aux délégués à la protection des données dans les petites structures

maire-info.com - Par Lucile Bonnin

Édition du mercredi 3 juillet 2024

Cinq ans après l'entrée en application du RGPD, la Cnil a mené une enquête sur le métier de délégués à la protection des données (DPD). Si la fonction évolue, le développement de cette profession au sein des plus petites structures est souvent associé à moins de moyens.

Depuis le 25 mai 2018, le Règlement général sur la protection des données (RGPD) est entré en vigueur. A suivi, le 20 juin 2018, la publication au JO de la loi relative à la protection des données personnelles qui adapte le RGPD à la loi française.

Une des grandes nouveautés du RGPD par rapport à la loi Informatique et libertés : la responsabilisation des acteurs qui traitent les données à caractère personnel. Ces derniers doivent en effet prendre toutes les mesures en matière de protection des données personnelles et démontrer leur conformité.

En conséquence, le RGPD impose « à toute collectivité territoriale, quelle que soit sa taille, de désigner un délégué à la protection des données qui sera le pilote de sa mise en conformité »  (lire Maire info du 1er décembre 2021). 

Lundi, le ministère du Travail, de la santé et des solidarités, la CNIL et l’AFCDP ont publié une enquête menée en 2024 dans le cadre de l’observatoire dédié au métier de DPD. Cette dernière confirme que la taille de l’organisation pour lequel le DPD travaille a une influence sur son profil mais aussi sur ces capacités à évaluer les risques et à réaliser leurs missions. Les petites communes seraient donc de fait pénalisées alors même qu’elles sont de plus en plus victimes de cyberattaques.

Manque de formation 

Lire la suite : https://www.maire-info.com/num%C3%A9rique/la-cnil-alerte-sur-le-manque-de-moyens-alloues-aux-delegues-%C3%A0-la-protection-des-donnees-dans-les-petites-structures-article-28777

Détection

AudioSeal : un nouveau modèle de Meta pour détecter les voix générées par IA

leptidigital.fr - Par Fanny Castaldi

Découvrez AudioSeal de Meta : la solution pour ajouter des filigranes invisibles aux enregistrements audio et garantir leur authenticité.

Face à la montée des deepfakes et des imitations vocales, la question de l’authenticité des voix et fichiers audio se pose de plus en plus. AudioSeal, développé par Meta, propose une solution pour ajouter des filigranes invisibles aux enregistrements audio générés par IA. Voici ce qu’il faut savoir à son sujet.

Qu’est-ce que AudioSeal ?

AudioSeal est la première technique de filigrane audio spécifiquement conçue pour la détection de voix générées par l’IA et le watermarking de sons sans altération du son d’origine.

Contrairement aux méthodes traditionnelles, qui utilisent des algorithmes de décodage complexes, AudioSeal utilise la détection localisée.

Cette technique permet d’identifier les segments audio générés par l’IA dans un enregistrement plus long. Le modèle est également conçu pour pouvoir détecter si un enregistrement audio a été modifié ou édité en post production.

Quelles sont ses principales caractéristiques ?

Lire la suite : https://www.leptidigital.fr/actualites/audioseal-ia-detection-voix-generees-60444/

Transformation numérique

Programme “Pour une Europe numérique” : 210 millions pour renforcer la cybersécurité et les capacités numériques

actuia.com - Par Marie-Claude Benoit.

Publié le 5 juillet 2024

Dans le cadre de son engagement à promouvoir la résilience numérique et l’innovation technologique, la Commission européenne a lancé ce jeudi 4 juillet des appels à propositions totalisant plus de 210 millions d’euros. Ces financements, issus du programme “Pour une Europe numérique”, visent à renforcer la cybersécurité et à développer les compétences numériques à travers l’Union européenne.

Approuvé le 16 mars 2021 par le Conseil de l’UE, le programme “Pour une Europe numérique” vise à stimuler la transformation numérique en finançant le déploiement de technologies de pointe dans des domaines cruciaux tels que l’IA, le calcul à haute performance (HPC), la cybersécurité et en développant les compétences numériques. Ce programme, le premier de l’UE à se concentrer sur l’apport de la technologie numérique aux entreprises et aux citoyens, dispose d’un budget de 7,5 milliards d’euros sur 7 ans (2021-2027). Son objectif premier était d’accélérer la reprise économique post-COVID en transformant numériquement la société et l’économie européennes, avec un accent particulier sur les petites et moyennes entreprises. Cette crise, tout comme la guerre lancée par la Russie contre l’Ukraine, a démontré l’importance pour l’Europe de ne pas dépendre de systèmes et solutions provenant d’autres régions du monde.

Sa mise en œuvre se fait à travers des programmes de travail pluriannuels. Les appels à propositions sont ouverts aux entreprises, aux organisations et aux administrations publiques des États membres de l’UE et des pays de l’AELE/EEE.

102,8 millions d’euros pour accroître la cybersécurité

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/programme-pour-une-europe-numerique-210-millions-pour-renforcer-la-cybersecurite-et-les-capacites-numeriques/

Intelligence artificielle

Intelligence artificielle : évolution et résultats. Confiance numérique, données et cloud

banque-france.fr - Par Denis Beau, Premier sous-gouverneur

Publié le 2 Juillet 2024

Point Zero Forum - Zurich

Mesdames, Messieurs,
C’est avec grand plaisir que j’ouvre cette table-ronde consacrée à l’intelligence artificielle (IA). L’IA constitue en effet une innovation de rupture, susceptible de conduire à de véritables bouleversements économiques. C’est particulièrement vrai dans le secteur financier, dont l’IA constitue, depuis quelques années déjà, le principal moteur de transformation. L’arrivée de l’IA générative devrait d’ailleurs encore accélérer cette tendance, non seulement en renforçant l’adoption des outils d’IA par les utilisateurs, mais également en accélérant structurellement le rythme de l’innovation (pensons par exemple à la capacité nouvelle de générer du code informatique à partir de requêtes en langage naturel).
Ces évolutions, marquantes, ne vont toutefois pas sans poser de questions, et notamment pour le banquier central et le superviseur financier que je suis. Je souhaite partager avec vous quelques-unes de ces interrogations, avant de vous faire part d’un certain nombre de convictions quant à la manière dont nous devons nous emparer du sujet.

1/ D’abord, malgré les progrès récents, la technologie sous-jacente ne paraît pas encore entièrement mûre, notamment s’agissant de l’IA générative. Sur ce sujet, un certain nombre de questions restent aujourd’hui sans réponse. J’en aborderai deux, qui pourront d’ailleurs ultérieurement stimuler les discussions du prestigieux panel réuni ici.
Premièrement, la question des modèles à usage général : quelle sera leur performance dans toute une série de tâches intéressant le secteur financier ? Cette question se pose en réalité à deux niveaux. Est-ce que les modèles généralistes vont devenir la norme pour tous les usages, au détriment des modèles spécialisés Les petits modèles bien entraînés – c’est-à-dire plus spécialisés – auront-ils la capacité à tirer leur épingle du jeu face aux gros modèles plus généralistes ? Ces questions de performance ont de nombreuses conséquences potentielles, notamment en matière de concurrence : si les gros modèles généralistes s’imposent dans tous les domaines, nous risquons fort de nous retrouver dans une situation de monopole ou d’oligopole naturel, qui viendrait d’ajouter au caractère déjà largement oligopolistique du marché du cloud.

Lire la suite : https://www.banque-france.fr/fr/interventions-gouverneur/artificial-intelligence-evolution-and-outcomes-digital-trust-data-and-cloud

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Cette intelligence artificielle identifie les signes du cancer

santemagazine.fr - Par Johanna Amselem

Publié le 2 juillet 2024

Des chercheurs suédois sont parvenus à élaborer un modèle d'intelligence artificielle destiné à accélérer la pose de diagnostic du cancer.

Aujourd’hui, 3,8 millions de personnes vivent en France avec un diagnostic de cancer. Cette maladie représente la première cause de mortalité prématurée devant les maladies cardiovasculaires. Selon l’Institut national du cancer (INCa), on estime à 433 136 le nombre de nouveaux cas de cancers pour l’année 2023 en France métropolitaine, 245 610 chez l’homme et 187 526 chez la femme. Au quotidien, la prévention et la lutte contre les facteurs de risque permettent de limiter l’incidence de certains cancers.

En Suède, des chercheurs de l’Université de Göteborg ont développé un modèle d’intelligence artificielle qui augmente le potentiel de détection du cancer grâce aux analyses de sucre. « Les glycanes, ou structures des molécules de sucre dans nos cellules, peuvent être mesurés par spectrométrie de masse. L’une de ses utilisations importantes est que ces structures peuvent indiquer différentes formes de cancer dans les cellules », explique le communiqué de l’étude. Comme l'explique le site du CNRS, derrière le nom commun de sucre se cachent des molécules complexes appelées "glycanes".

Accélérer le diagnostic

Lire la suite : https://www.santemagazine.fr/actualites/actualites-sante/cette-intelligence-artificielle-identifie-les-signes-du-cancer-1093764

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L’IA à la rescousse des infirmières : l’expérience pionnière d’UW Health

zataz.com - Par Damien Bancal

Publié le 02 juillet 2024

Dans le cadre d’un programme pilote conjoint d’intelligence artificielle lancé en 2023 avec Microsoft et Epic, UW Health explore comment un grand modèle linguistique (LLM) peut aider les infirmières à rédiger des réponses aux questions des patients.

Retrouver toutes les actualités Intelligence Artificielle dans les NEWS ZATAZ IA

Face à une pénurie de main-d’œuvre et à une demande croissante de soins de santé, une initiative vise à alléger la charge de travail des infirmières tout en maintenant un haut niveau de soins. Mission, permettre de répondre à des questions envoyées via le portail patient du système de santé. « Il est essentiel que nous, les infirmières, participions à la conversation lorsqu’il s’agit d’utiliser cette technologie pour soigner les patients », a déclaré Rudy Jackson, directeur général des soins infirmiers à UW Health.

Depuis septembre, plus de 75 infirmières d’UW Health ont utilisé l’IA générative pour créer plus de 3 000 messages aux patients dans plus de 30 services. Ces messages, bien que générés par l’IA, sont toujours révisés et édités par les infirmières avant d’être envoyés, garantissant ainsi que la qualité des réponses est maintenue.

Lire la suite : https://www.zataz.com/lia-a-la-rescousse-des-infirmieres-lexperience-pionniere-duw-health/#google_vignette

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Crédit Mutuel Alliance Fédérale et IBM renforcent leur collaboration pour accélérer le déploiement de l’IA générative

actuia.com - par Thomas Calvi

Publié le 3 juillet 2024

Crédit Mutuel Alliance Fédérale, bancassureur de premier plan en France pionnier dans l’adoption de l’IA, intensifie ses efforts pour intégrer les technologies de pointe dans ses opérations quotidiennes. En collaboration avec IBM, la banque mutualiste se prépare à déployer des solutions d’IA générative innovantes qui transformeront les services offerts à ses clients et sociétaires.

Crédit Mutuel Alliance Fédérale regroupe 14 fédérations du Crédit Mutuel qui est partenaire d’IBM depuis plus de 50 ans. Leur collaboration autour de l’intelligence artificielle a débuté il y a environ huit ans avec la création par sa filiale technologique, Euro-Information, et IBM, d’un centre de compétences dédié au développement de solutions d’IA à Strasbourg : “Cognitive Factory”. En 2021, les deux partenaires annonçaient le lancement d’AmbitionS, un nouveau pôle d’excellence technologique permettant d’accélérer l’offre de services et technologies comme l’IA ou le cloud privé, en synergie avec la plateforme IBM Z, pour les clients et adhérents, partenaires et salariés de toutes les fédérations de Crédit Mutuel, et leurs filiales.

Une nouvelle étape dans la collaboration avec IBM

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/credit-mutuel-alliance-federale-et-ibm-renforcent-leur-collaboration-pour-accelerer-le-deploiement-de-lia-generative/?mc_cid=e18c062e5b&mc_eid=1b5f52f4fd

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Programme “Pour une Europe numérique” : 210 millions pour renforcer la cybersécurité et les capacités numériques

actuia.com - Par Marie-Claude Benoit

Publié le 5 juillet 2024

Dans le cadre de son engagement à promouvoir la résilience numérique et l’innovation technologique, la Commission européenne a lancé ce jeudi 4 juillet des appels à propositions totalisant plus de 210 millions d’euros. Ces financements, issus du programme “Pour une Europe numérique”, visent à renforcer la cybersécurité et à développer les compétences numériques à travers l’Union européenne.

Approuvé le 16 mars 2021 par le Conseil de l’UE, le programme “Pour une Europe numérique” vise à stimuler la transformation numérique en finançant le déploiement de technologies de pointe dans des domaines cruciaux tels que l’IA, le calcul à haute performance (HPC), la cybersécurité et en développant les compétences numériques. Ce programme, le premier de l’UE à se concentrer sur l’apport de la technologie numérique aux entreprises et aux citoyens, dispose d’un budget de 7,5 milliards d’euros sur 7 ans (2021-2027). Son objectif premier était d’accélérer la reprise économique post-COVID en transformant numériquement la société et l’économie européennes, avec un accent particulier sur les petites et moyennes entreprises. Cette crise, tout comme la guerre lancée par la Russie contre l’Ukraine, a démontré l’importance pour l’Europe de ne pas dépendre de systèmes et solutions provenant d’autres régions du monde.

Sa mise en œuvre se fait à travers des programmes de travail pluriannuels. Les appels à propositions sont ouverts aux entreprises, aux organisations et aux administrations publiques des États membres de l’UE et des pays de l’AELE/EEE.

102,8 millions d’euros pour accroître la cybersécurité

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/programme-pour-une-europe-numerique-210-millions-pour-renforcer-la-cybersecurite-et-les-capacites-numeriques/

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L'IA consomme trop de (mauvaises) données : comment obtenir un meilleur rendement ?

zdnet.fr - Par joe mckendrick

Publié le 04 juillet 2024

La qualité des données est au cœur des préoccupations depuis des années. Mais désormais, l'identification des données essentielles pour l'IA et les modèles d'entraînement constitue un autre défi.

Peut-on maîtriser la surabondance de données inadéquates ou douteuses qui circulent dans les modèles d'intelligence artificielle ? L'efficacité de l'IA est entravée par des biais, des données polluées et, en fin de compte, par l'incertitude.

Certains spécialistes de l'IT ont quelques idées pour mettre de l'ordre dans ces données.

Si les données sont le nouveau pétrole, alors l'IA, "qui a besoin de beaucoup de données, est un gaspilleur de données", explique à ZDNET Andy Thurai, analyste principal chez Constellation Research. La consommation de gros volumes de données risque d'entraîner une perte de qualité dans le processus. Ce qui crée des problèmes de confiance envers l'IA.

Une perte de confiance envers l'IA

Une enquête menée par Salesforce auprès de 6 000 employés révèle que les trois quarts d'entre eux n'ont pas confiance dans les données qui servent à former l'IA avec laquelle ils travaillent.

Une autre enquête menée récemment par Fivetran auprès de 550 dirigeants de grandes entreprises estime que les entreprises perdent en moyenne 6 % de leur chiffre d'affaires annuel, soit 406 millions de dollars, en raison de modèles d'IA peu performants (construits à partir de données inexactes ou de mauvaise qualité). Ce qui se traduit par des prises de décisions incorrectes.

Lire la suite : https://www.zdnet.fr/actualites/lia-consomme-trop-de-mauvaises-donnees-comment-obtenir-un-meilleur-rendement-394100.htm

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Intelligence artificielle : un nouveau référentiel pour tendre vers la frugalité

acte-environnement.com - Par E. Gouty

Publié le 1 juillet 2024

« De plus en plus de clients d'intelligence artificielle, à commencer par la puissance publique, ont des attentes basées sur l'impact environnemental de l'IA, a attesté le ministère de la Transition écologique, le 28 juin. Pour y répondre et réduire globalement cet impact dans toutes les organisations, il est primordial de disposer d'un référentiel pour outiller les acteurs à l'évaluation de ces impacts. » Et non seulement, c'est chose faite, mais toujours d'après le ministère, il s'agit d'une « première au niveau international ». L'Association française de normalisation (Afnor) et l'Écolab, l'aile innovation du Commissariat général du développement durable (CGDD) attaché au ministère, l'ont élaboré en réponse à la Stratégie nationale sur l'IA, présentée en novembre 2022.

Ce référentiel général (1) , qui ne constitue pas une norme mais une série de lignes directrices volontaires, consiste principalement en trois choses. En premier lieu, il donne une définition à ce qui peut être considéré comme un « service frugal d'IA ». À savoir, une technologie dont la performance reste meilleure qu'une « autre solution moins consommatrice », et dont le développement et l'usage s'attachent à l'adoption de « bonnes pratiques » pour en diminuer les impacts environnementaux tout en « restant dans les limites planétaires ». Pour préciser tout cela, le référentiel établit ensuite les indicateurs et les champs d'évaluation de l'empreinte environnementale de ce service, sur l'ensemble de son cycle de vie.

1. Accéder au référentiel sur le site de l'Afnor

https://telechargement.afnor.info/normalisation-afnor-spec-ia-frugale

Lire la suite : https://www.actu-environnement.com/ae/news/intelligence-artificielle-referentiel-frugalite-44349.php4 

Internet des Objets

Nouvelle génération d'IoT : Pourquoi la gestion des mises à jour est devenue un impératif

journaldunet.com

Chronique de Fred Simon

Publié le 02 juillet 2024

Les objets connectés sont devenus bien plus puissants qu'avant, et leurs logiciels complexes, nécessitant un vrai contrôle sur le cycle de vie pour garantir le succès de ces projets. Explications.

L’Internet des Objets (IoT) a considérablement évolué depuis sa création dans le but de connecter des équipements physiques à Internet. Ses premiers cas d’usage se focalisent sur la collecte de données environnementales (température, humidité, vibrations, débit, pression et mouvements), et leur transmission vers un serveur centralisé à des fins de traitement et d’analyse. Les objectifs principaux sont alors d’obtenir une meilleure visibilité en temps réel sur les données, d’éliminer le besoin de supervision humaine et d’automatiser la détection des anomalies grâce à des politiques et des seuils prédéfinis.

Les systèmes de comptage d’eau intelligents permettent ainsi aux services publics d’assurer un suivi à distance de l’utilisation, des débits et de la pression de l’eau. Ils peuvent identifier des anomalies telles que la présence d’air dans la tuyauterie, des fuites, ainsi que des altérations au niveau du système d’approvisionnement en eau. Surtout, avec des compteurs intelligents, plus besoin de relevés et de supervision manuels. Les services publics bénéficient ainsi d’une meilleure visibilité en temps réel sur leurs données, ce qui peut aider à réaliser des économies d’eau, à réduire leurs coûts, à augmenter leurs revenus et à accroître la satisfaction des clients.

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/iot/1531441-nouvelle-generation-d-iot-pourquoi-la-gestion-des-mises-a-jour-est-devenue-un-imperatif/

Réseau Radio du Futur

Réseau radio du futur : une transition qui risque de coûter cher aux collectivités

maire-info.com - par Lucile Bonnin

Édition du jeudi 4 juillet 2024

Incendie et Secours

Un arrêté publié hier au Journal officiel vise à assurer dans les établissements recevant du public (ERP) la disponibilité d'une couverture radioélectrique très haut débit nécessaire à l'usage du Réseau radio du futur (RRF) par les services de sécurité et de secours. Une disposition qui risque de peser dans le budget des collectivités.

Par Lucile Bonnin

C’est en octobre 2022 que le ministère de l’intérieur a annoncé le remplacement du réseau radio Infrastructure nationale partageable des transmissions (INPT), par le Réseau Radio du Futur (RRF). 

Cette évolution répond à un besoin impérieux de renouveler les technologies : « Aujourd'hui, les policiers, les gendarmes, les sapeurs-pompiers, les médecins du SAMU utilisent des équipements radio conçus au début des années 1990 (…) qui ne permettent pas la transmission d'importantes quantités de données ou d'images en temps réel depuis le terrain, peut-on lire sur le site du ministère de l'Intérieur. Avec le RRF, la France va se doter d'un réseau de communication très haut débit (4G puis 5G) commun à l'ensemble des acteurs de la sécurité et du secours, leur permettant de communiquer instantanément les uns avec les autres en bénéficiant de nouvelles fonctionnalités : appels vidéo, partage de position en direct, envoi d'électrocardiogrammes etc. »  Le lancement du RRF est prévu pour avril 2025.

L’enjeu est donc désormais de réussir cette transition et d’assurer la continuité des communications radioélectriques. C’est dans ce contexte qu’a été publié hier un arrêté « modifiant l'arrêté du 25 juin 1980 modifié portant approbation des dispositions générales du règlement de sécurité contre les risques d'incendie et de panique dans les établissements recevant du public (ERP)

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Cybercriminalité

Interpol vient de faire l'arrestation du siècle en coffrant 4000 cybercriminels à travers 61 pays !

jeuxvideo.com - Par - nicoln - Journaliste jeuxvideo.com

Publié le 01 juillet 2024

Coup de tonnerre dans le monde de la cybercriminalité : l'opération "First Light 2024" d'Interpol a démantelé des réseaux d'escrocs opérant dans 61 pays. Près de 4 000 arrestations et 257 millions de dollars saisis témoignent de l'ampleur de cette victoire contre les escroqueries en ligne.

Interpol frappe fort

L'opération "First Light 2024", orchestrée par Interpol, a fait un coup de filet historique dans le monde de la cybercriminalité. Cette vaste offensive, menée simultanément dans 61 pays, a permis de démanteler de vastes réseaux d'escroquerie en ligne et de coffrer près de 4 000 cybercriminels. Les forces de l'ordre ont également saisi la somme faramineuse de 257 millions de dollars.

Phishing, arnaques sentimentales, faux sites marchands, fraudes à l'investissement... Aucune forme d'escroquerie en ligne n'a échappé à la vigilance des enquêteurs d'Interpol. Les criminels, qui profitaient de l'anonymat du web pour piéger leurs victimes, ont été traqués pendant des mois pour démanteler leurs réseaux.

Parmi les affaires les plus marquantes, on peut citer le démantèlement d'un réseau international d'escroquerie en Namibie, qui exploitait 88 jeunes forcés à mener des arnaques en ligne. Les autorités ont saisi 163 ordinateurs et 350 téléphones portables, dont les données ont été transmises à Interpol pour analyse.

À Singapour, la coopération entre le centre anti-escroquerie de la police et les banques locales a permis d'éviter une arnaque au faux support technique, sauvant ainsi les économies d'un septuagénaire qui risquait de perdre 280 000 dollars.

Lire la suite : https://www.jeuxvideo.com/news/1900657/interpol-vient-de-faire-l-arrestation-du-siecle-en-coffrant-4000-cybercriminels-a-travers-61-pays.htm 

Cybersécurité

Cybersécurité : Les hackers russes, forte menace lors des Jeux Olympiques

usine-digitale.fr - Par Yoann Bourgin

Publié le 01 juillet 2024 

La société de cybersécurité WithSecure a publié un rapport sur les cybermenaces susceptibles de se produire lors des Jeux Olympiques. Elle estime qu’il existe une menace “modérée à élevée” provenant de groupes soutenus par l’État russe, qui peuvent nuire à la fois à la France et au Comité international olympique.

WithSecure, société finlandaise proposant des solutions de cybersécurité à destination des entreprises, a publié un rapport sur l’état de la cybermenace à l’occasion des Jeux Olympiques cet été. Elle considère avec un degré de confiance élevé qu’en raison des tensions géopolitiques avec la Russie, les JO, qui s’ouvrent dans moins d’un mois, seront exposés à un “risque accru de cyberactivité malveillante”.

La Russie pourrait mener des campagnes de discréditation des JO

Plus précisément, WithSecure estime qu’il existe une menace “modérée à élevée” provenant de groupes soutenus par l’État russe, à la fois contre les infrastructures nationales et locales et contre le Comité international olympique (CIO). La Russie pourrait tout d’abord discréditer la France sur la scène internationale, en cas de raté dans l’organisation.
Elle pourrait également faire perdre le CIO en notoriété, après avoir annoncé le lancement en

Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/cybersecurite-les-hackers-russes-forte-menace-lors-des-jeux-olympiques.N2215329

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Cybersécurité et protection des données : dernières recommandations avant les JO

banquedesterritoires.fr - Par Olivier Devillers, pour Laçais

Publié le 2 juillet 2024

À l'approche des JO, le risque cyber est plus que jamais d'actualité. Les centres de réponse aux incidents cyber (C-Sirt) ont aidé les collectivités à colmater des failles de sécurité sur leurs sites web. Des fiches de remédiation aux incidents ont également été diffusées. La Cnil a pour sa part publié une foire aux questions sur le volet numérique des JO.

Depuis plusieurs mois, l'Agence nationale pour la sécurité des systèmes d'information (Anssi) alerte sur le risque d'une multiplication des cyberattaques à l'occasion des Jeux olympiques. Et si les 500 entités accompagnées par l'agence figurent en tête des cibles potentielles (voir ci-dessous), l'étendue des attaques pourrait être beaucoup plus vaste. La sensibilisation des pouvoirs publics aux risques se doit donc d'être la plus large possible.

Repérage massif de failles de sécurité

Toute entité symbolisant la France – notamment avec un domaine en .fr - est potentiellement menacée. Dans cet esprit, on signalera la mobilisation des centres de réponse aux incidents cyber (C-Sirt) régionaux pour aider les collectivités à remédier aux failles de sécurité de leurs services en ligne en amont des JO. Initiée par Breizh Cyber, en partenariat avec les C-Sirt métropolitains, ultramarins et la société Onyphe, cette campagne a eu lieu en avril 2024. L'objectif était de scanner via internet les vulnérabilités des sites et messageries de 25.334 entités publiques françaises, incluant 67% des communes (le reste n'ayant pas de site), 99% des intercommunalités et centres de gestion ainsi que la totalité des départements et régions.

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Cybersécurité : Une nouvelle technique permet de contourner les restrictions éthiques des LLM

usine-digitale - Par Yoann Bourgin

Publié le 04 juillet 2024

Microsoft alerte sur le fonctionnement de “Skeleton Key”, une technique de "jailbreak" permettant d'outrepasser les protections de n’importe quel agent conversationnel pour la génération de contenus préjudiciables ou interdits. Une technique peu sophistiquée, mais à laquelle n’échappent pas les modèles les plus avancés d’IA générative, comme ceux d’OpenAI, Google ou Anthropic.

Avant chaque mise en service d’un modèle d’IA générative, les développeurs mettent en place des garde-fous, afin d’éviter que les chatbots ne génèrent du contenu discriminant ou illégal. Ces mesures de protection peuvent toutefois être contournées : l’équipe de sécurité de Microsoft a décrit sur son site le fonctionnement de “Skeleton Key”, qui se présente sous la forme d’une attaque par jailbreak. Elle permet à n’importe quel utilisateur de donner une instruction particulière à un agent conversationnel qui, en retour, générera du contenu interdit.

Neutralisation des garde-fous

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Découvrez les nouvelles menaces en cybersécurité en 2024 !

Par Eléonore Dupont De la Rivière

Publié le 06 juillet 2024

Nous vivons à une époque où notre dépendance à l'égard de la technologie ne cesse de croître, et avec elle, les risques liés à la cybersécurité. En cette année 2024, ces menaces ont pris de nouvelles formes et sont plus sophistiquées que jamais. Cet article vise à vous informer des dernières tendances en matière de cybermenaces, des vulnérabilités des entreprises et des moyens pour y faire face.

Évolution des cybermenaces en 2024 : quelles sont les tendances ?

Cyberattaques : un phénomène en constante progression

Les cyberattaques sont devenues légion : selon une étude récente, leur nombre a augmenté de 300% par rapport à l'année précédente.

Nouvelles formes d'attaques : sophistication et ingéniosité

ette année, on observe une augmentation significative des ransomwares et des attaques par hameçonnage qui exploitent la crédulité humaine.

Type d’attaque Pourcentage d’augmentation

Ransomware 250%

Phishing 200%

Avant de nous pencher sur les vulnérabilités spécifiques auxquelles doivent faire face les entreprises, il est essentiel de comprendre comment ces nouvelles menaces se manifestent.

Les principales vulnérabilités des entreprises face aux nouvelles attaques

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