Revue de Presse ADCET N°273 du 15 juillet 2024

Mobilité

L’Eurométropole de Metz acte la création d’une « police métropolitaine » 

tout-metz.com - Par Joscelyn LAPART

Publié le 8 juillet 2024

À l’occasion du conseil métropolitain du lundi 8 juillet 2024, les élus de l’Eurométropole ont voté la création d’un service intercommunal de police municipale, soit une « police métropolitaine » qui ne porte pas son nom pour des raisons juridiques.

Après la création d’un Centre de Supervision Urbain (CSU) métropolitain en 2023, la création de ce nouvel échelon sécuritaire doit répondre aux enjeux de sécurité publique sur l’ensemble des communes de la métropole. Elle aura comme compétence la sécurisation des transports publics, la protection de l’environnement et le soutien aux communes notamment lors des grandes manifestations.

La mise en place du service doit se faire au 1er janvier 2025

Ce nouveau service comptera 28 agents au lancement (12 policiers municipaux pour les missions de police des communes, 12 policiers municipaux pour les transports en commun, 3 gardes-champêtres pour l’environnement et 1 responsable), dont 22 nouvellement recrutés. Son siège devrait se situer à Augny, sur le plateau de Frescaty.

La création du service intercommunal nécessitera la mise en place d’une convention entre la métropole et l’État et d’une convention entre la métropole et les communes, mais elle ne nécessite pas de transfert de compétences des communes vers la métropole.

Les policiers se trouveront sous l’autorité du maire de la commune où ils se situeront dans le cadre de leur activité et seront armés sur toute l’Eurométropole pour « assurer une continuité territoriale cohérente et opérationnelle ».

La gauche dénonce une surenchère sécuritaire

Article original : L’Eurométropole de Metz acte la création d’une « police métropolitaine »  https://tout-metz.com/eurometropole-metz-acte-creation-une-police-metropolitaine-2024-613975.php

•••

Zone à trafic limité à Paris : le préfet de police rendra sa décision après les Jeux olympiques

leparisien.fr - Par Auguste Canier

Publié le 11 juillet 2024

Le Conseil de Paris a adopté ce jeudi la délibération déclarant d’intérêt général la mise en œuvre de la ZTL dans Paris Centre, prévue en octobre 2024. Le préfet de police, Laurent Nuñez, se prononcera pour ou contre ce projet après les JO, afin de tirer les enseignements des restrictions de circulation instaurés durant l’été.

La mise en œuvre de la Zone à trafic limité (ZTL) dans le centre de Paris dépendra de l’efficacité des restrictions de circulation mises en place pendant les Jeux olympiques de Paris 2024. C’est en substance ce qu’a fait comprendre le préfet de police Laurent Nuñez aux élus de la Ville, par la voix de sa directrice adjointe Élise Lavielle, ce jeudi soir au Conseil de Paris.

Au terme de plusieurs minutes de débats animés, les élus ont adopté une délibération déclarant la mise en œuvre de la ZTL comme étant « d’intérêt général », après l’avis favorable rendu par la commissaire enquêteur en charge de l’enquête publique. Mais la préfecture de police a indiqué qu’elle se prononcerait seulement après les JO, pour « tirer les enseignements des restrictions de circulation » mises en place durant la compétition, afin que « cette ZTL puisse fonctionner au mieux ».

Laurent Nuñez prévient en effet qu’il se veut « particulièrement attentif » aux modalités d’accès et de contrôle de cette ZTL. Or, à ses yeux, « les périmètres de restriction de circulation autour des sites olympiques sont par nature des zones à trafic limité », souligne Elise Lavielle. Reprenant la réglementation déployée durant les JO, Élise Lavielle a ainsi résumé : « La ZTL de Paris Centre est un mélange de zones bleues, pour limiter la circulation de transit, et de zones rouges, puisque seuls les ayants droit pourront y avoir accès. » Laurent Nuñez attend donc ce retour d’expérience pour se faire un avis sur la faisabilité de la ZTL.

Lire la suite : https://www.leparisien.fr/paris-75/zone-a-trafic-limite-a-paris-le-prefet-de-police-rendra-sa-decision-apres-les-jeux-olympiques-11-07-2024-XGXO3KXHP5GEXB33XEHRJUXF34.php

•••

Mobilité transfrontalière : la Région Grand Est lance un dispositif de soutien

lasemaine.fr - Par Arthur Cramier

Publié le 7 juillet 2024

Un appel à projets est lancé pour favoriser la mobilité des jeunes de la Région Grand Est.

Le Grand Est est une région transfrontalière et tournée vers l’Europe. Une ouverture dont les élus locaux veulent faire profiter au plus grand nombre.

À ce titre, « afin de permettre aux jeunes d’avoir une expérience de mobilité à l’étranger », la Région Grand Est a lancé un tout nouveau « dispositif de soutien au montage de projets de mobilité transfrontalière, européenne et internationale ».

Toutes les structures de la Région qui préparent des projets de mobilité peuvent bénéficier d’une aide allant jusqu’à 10 000 euros. Un appel est projet est ouvert jusqu’au 31 juillet 2024.

« Une attention particulière sera portée aux projets visant à donner à des jeunes venant de zones rurales ou de quartiers prioritaires de la politique de la ville une première expérience de mobilité », ajoute la Région.

Pour faire part de son projet et déposer une demande de subvention, rendez-vous sur la page du dispositif.

Lire la suite : https://www.lasemaine.fr/mobilite-transfrontaliere-la-region-grand-est-lance-un-dispositif-de-soutien/

•••

Des caméras capables de détecter les conducteurs alcoolisés

dolcissimo.fr - Par AFP Relaxnews

Publié le 07 juillet 2024

Une équipe de chercheurs australiens a développé un système intelligent capable de détecter, via les images fournies par une caméra, le niveau d'ébriété des automobilistes. Combiné à des caméras de surveillance, cela pourrait en faire un outil redoutable pour les autorités.

Des chercheurs de l'université Edith Cowan (ECU), en Australie, ont mis au point une technologie de suivi visuel capable de détecter à partir d'une simple caméra les conducteurs trop alcoolisés pour pouvoir prendre le volant en toute sécurité. Cette technologie se sert de l'apprentissage automatique pour analyser différents traits du visage, mais aussi la position de la tête et la direction du regard du conducteur pour déterminer son niveau d'intoxication. Il s'agit de la toute première solution utilisant une caméra RVB classique dans le but de détecter les niveaux d'intoxication alcoolique basés sur des signes d'altération sur le visage des conducteurs.

Pour entrainer leur outil, ces chercheurs se sont aidé de MiX by Powerfleet, une application de gestion de parc roulant permettant d'ordinaire de suivre le comportement des conducteurs. Les participants, répartis en trois niveaux d'intoxication alcoolique (sobre, légèrement intoxiqué et gravement intoxiqué) ont été enregistrés pendant qu'ils conduisaient sur un simulateur. Ce sont ces images qui ont ensuite nourri l'outil intelligent qu'ils ont développé.

Lire la suite : https://www.doctissimo.fr/sante/sante-au-quotidien/addictions/alcool-et-sante/des-cameras-capables-de-detecter-les-conducteurs-alcoolises/3e83d2_ar.html

•••

Avec 10 millions de paiements, le sans contact est devenu le titre de voyage le plus vendu à la STIB : "Utilisé surtout en déplacements ponctuels"

lalibre.be - Par La Rédaction de L'Avenir

Publié le 12 juillet 2024

Le sans contact est désormais le mode de payement majoritaire à la STIB. Le scan de votre carte bancaire pour payer votre voyage séduit spectaculairement lors des événements à Bruxelles. Pratique : le tarif journalier à 7,50 euros s'y enclenche automatiquement au-delà de 3 voyages.

9,9 millions de transactions : c'est le nombre de payements sans contact enregistré par la STIB en 2023. Ce qui fait de la technologie EMV (Europay Mastercard Visa) "le mode de paiement le plus utilisé pour voyager avec la STIB avec 57 % des titres de voyage vendus", relève celle-ci ce 11 juillet 2024.

La STIB a lancé le sans contact en juillet 2020. "Cette solution permet de s'acquitter d'un titre de transport en scannant une carte bancaire ou un dispositif connecté aux valideurs gris dans les véhicules ou aux portillons d'accès du métro", rappelle le gestionnaire du réseau bruxellois.

3 avantages

Lire la suite : https://www.lalibre.be/belgique/mobilite/2024/07/12/avec-10-millions-de-payements-le-sans-contact-est-devenu-le-titre-de-voyage-le-plus-vendu-a-la-stib-utilise-surtout-en-deplacements-ponctuels-WMPSSP4KV5GZLGZVQ2A5AUF25Q/

•••

Cet entrepreneur de l'Essonne a créé un service innovant de mobilité partagée

acte.fr - Par Rédaction Essonne

Publié le 07 juillet 2024

Jean-Marie Madoré a créé à Savigny-sur-Orge, un service de mobilité partagée basé sur des véhicules ultra-sobres pour les associations, les groupe de voisins et les collectivités.

Une mobilité raisonnée, adaptée et engagée. Tel est le crédo de Jean-Marie Madoré. Ce dynamique entrepreneur a créé à Savigny-sur-Orge (EssonneMobility Partner, un service de mobilité partagée, basé sur des véhicules ultra-sobres, qu’il a présenté mercredi 3 juillet 2024 à l’espace de coworking Le Rooftop à Viry-Châtillon.

L’ambition de réduire l’empreinte carbone des déplacements de proximité

Partant du constat que les ressources planétaires sont limitées, notamment en ce qui concerne les métaux et que le contexte environnemental est alarmant, Jean-Marie Madoré, a recherché des solutions pour réduire l’empreinte carbone des déplacements de proximité.

En effet, selon une étude de Vinci Autoroutes, 87 % des déplacements domicile-travail s’effectuent dans une voiture avec un seul occupant alors que celle-ci est souvent conçue pour en transporter quatre ou cinq sur de longues distances.

Par ailleurs, en France, 95 % des émissions de gaz à effet de serre des transports terrestres proviennent de la mobilité routière. La moitié de ces émissions sont attribuables à la voiture individuelle.

Lire la suite : https://actu.fr/ile-de-france/savigny-sur-orge_91589/cet-entrepreneur-de-l-essonne-a-cree-un-service-innovant-de-mobilite-partagee_61313161.html 

Services Mobiles

Prédiction d’une adoption massive de l’eSIM par des analystes

servicesmobiles.fr - Par la rédaction

Publié le 8 juillet 2024

Préparez-vous à un changement technologique : des analystes prévoient une adoption massive de l’eSIM, bouleversant les habitudes des consommateurs ! D'ici 2030, près de 70% de tous les appareils cellulaires expédiés seront compatibles eSIM/iSIM, pilotés par des smartphones et des modules IoT cellulaires.

Une adoption massive des eSIM et technologies similaires d’ici 2030

L’industrie a dépassé un point d’inflexion après la sortie de l’iPhone exclusif à l’eSIM aux États-Unis en 2022 et entre maintenant dans une période d’hyper croissance. En effet, les prévisions de ce cabinet d’experts indiquent une adoption massive des eSIM et des technologies similaires, avec plus de neuf milliards d’appareils qui les intégreront entre 2024 et 2030. Cette progression spectaculaire est principalement portée par l’utilisation croissante de ces technologies dans les smartphones et les objets connectés (IoT). Plus de 400 opérateurs prennent désormais en charge les services eSIM à l’échelle mondiale, ce qui permet d’utiliser en moyenne plus de 50 appareils grand public (smartwatches, XR devices, routers, drones, PC…)

Lire la suite : https://www.servicesmobiles.fr/prediction-dune-adoption-massive-de-lesim-par-des-analystes-99110

5G

L'Allemagne décide de se débarrasser des Chinois Huawei et ZTE pour son réseau 5G

Par Alexandre Boero, journaliste-reporter, responsable de l'actu.

Publié le 12 juillet 2024

Première économie de l'Union européenne, l'Allemagne a décidé de bannir les composants chinois de son réseau 5G, et ce d'ici 2026. Cela exclut, de fait, les géants Huawei et ZTE.

Dans divers pays européens, comme la France, la vente d'équipements de plusieurs fournisseurs chinois est ou va être prochainement interdite, pour ce qui est des composants des réseaux 5G. L'Allemagne est le dernier sur la liste à avoir pris cette décision. Les technologies Huawei ou encore ZTE vont être définitivement écartées du pays au plus tard en 2029.

La décision radicale prise par l'Allemagne pour son réseau 5G

L'Allemagne a tranché en annonçant, le jeudi 11 juillet, l'interdiction des composants et technologies des groupes chinois Huawei et ZTE, pour des raisons de sécurité. Plus précisément, le bannissement concerne l'ensemble des réseaux 5G outre-Rhin.

Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-532239-l-allemagne-decide-de-se-debarrasser-des-chinois-huawei-et-zte-pour-son-reseau-5g.html

Paiement électronique

Que va devenir Apple Pay en Europe, maintenant que les banques peuvent l’abandonner ?

numerama.com - Par Nicolas Lellouche

 Cet article existe grâce à Numerama+

Publié le 11 juillet 2024

La fin d'Apple Pay ?

Dans un communiqué de presse, la Commission européenne annonce avoir trouvé un accord avec Apple pour ouvrir la puce NFC de l’iPhone aux applications des banques. Dans les prochains jours, Apple Pay pourrait être concurrencé par d’autres applications, voire abandonné par certaines banques.

En 2016, deux ans après son lancement aux États-Unis, Apple Pay est arrivé en France. Cette technologie de paiement sans contact, qui remplace la carte bancaire par un iPhone, est devenue au fil du temps une solution de paiement comme une autre. 98 % des cartes françaises sont compatibles avec Apple Pay aujourd’hui, ce qui fait de la France un des pays leaders en matière de paiement mobile. Même certains Français initialement réticents ont fini par l’adopter et ne payent plus qu’avec leur smartphone aujourd’hui.

Une des clés du succès d’Apple Pay est sa simplicité. On scanne sa carte dans l’application Apple Cartes, on s’authentifie avec un code reçu par SMS et… voilà. Il suffit d’appuyer deux fois sur le bouton latéral de son iPhone pour payer, après un scan de son visage avec Face ID (qui remplace le code à quatre chiffres). Tous les propriétaires d’iPhone utilisent le même système, là où l’écosystème Android dispose très souvent d’une application par banque.

Justement, c’est cette fameuse simplicité qui pourrait cesser d’exister dans les prochains mois. Dans un communiqué publié le 11 juillet, la Commission européenne annonce avoir trouvé un accord avec Apple pour mettre fin à « l’abus de position dominante » d’Apple Pay. Au nom du droit à la concurrence, Apple doit maintenant autoriser les banques à lancer leurs propres applications de paiement sur iPhone, au risque de drastiquement détériorer l’expérience Apple Pay.

La puce NFC ouverte à tous : que change la Commission européenne ?

Lire la suite : https://www.numerama.com/tech/1774492-que-va-devenir-apple-pay-en-europe-maintenant-que-les-banques-peuvent-labandonner.html

Intelligence artificielle

L’intelligence artificielle, une technologie particulièrement énergivore

lepoint.fr - Par M.P. avec AFP

Publié le 06 juillet 2024

Les émissions carbone de Google ont grimpé de 48 % en cinq ans à cause de l’explosion de l’intelligence artificielle (IA), a indiqué le géant américain.

L’intelligence artificielle (IA) est particulièrement énergivore. Google a récemment confié que ses émissions carbone ont explosé de 48 % en cinq ans, mettant en avant un problème de l'IA qui évolue vite : sa voracité énergétique. Cela s'explique par les énormes capacités de calcul nécessaires pour s'entraîner sur des milliards de données pour utiliser les modèles de langage, exigeant de puissants serveurs. Chaque fois qu'un utilisateur envoie une requête à ChatGPT ou toute autre IA générative, cela fait fonctionner des serveurs situés dans un centre de données.

Ces serveurs consomment de l'électricité, chauffent et doivent être refroidis avec des systèmes qui nécessitent à leur tour de l'énergie. Selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), les centres de données utilisent en général près de 40 % de leur électricité pour alimenter les serveurs et 40 % pour les refroidir. Une requête à ChatGPT nécessite ainsi, en moyenne, dix fois plus d'énergie qu'une simple requête sur le moteur de recherche Google, ont montré plusieurs études.

à lire aussi Que devient notre mémoire à l'heure de l'IA ?

Or le boom de l'IA depuis 2022 a conduit les géants d'Internet, comme Amazon, Google et Microsoft, à investir massivement dans la création de centres de données à travers le monde. Google met notamment en avant, dans son rapport environnemental, la hausse de la consommation d'énergie dans ses centres de données ainsi que le bond des émissions liées à la construction de nouveaux « data centers » et la modernisation de ceux existants.

Lire la suite : https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/l-intelligence-artificielle-une-technologie-particulierement-energivore-06-07-2024-2564963_47.php

Innovation

PERSEPHONE : Prophesée développe une IA neuromorphique pour les smartphones avec le soutien de Bpifrance

Actuia.com - Par Thomas Calvi.

Publié le 12 juillet 2024

Prophesee, start-up parisienne spécialisée dans les systèmes de vision artificielle basés sur l’ingénierie neuromorphique, annonce un investissement de 15 millions d’euros pour développer la prochaine génération d’IA neuromorphique dédiée aux téléphones mobiles. Ce projet, baptisé PERSEPHONE, cofinancé par Bpifrance dans le cadre de l’appel à projet “IA Embarquée” de France 2030, vise au développement d’une nouvelle génération de capteurs neuromorphiques, fabriqués en France.

La vision neuromorphique est une technologie inspirée du fonctionnement du système visuel humain, en particulier du couple œil-cerveau. Elle se base sur des capteurs et des algorithmes qui imitent la manière dont le cerveau humain traite les informations visuelles. Contrairement aux caméras traditionnelles, qui capturent des images à des intervalles de temps fixes (par exemple, 30 images par seconde), les capteurs neuromorphiques capturent les changements dans une scène de manière asynchrone, en se concentrant uniquement sur les variations locales de luminosité.

Elle est utilisée dans différents domaines comme les véhicules autonomes, la robotique, la surveillance et la sécurité, la santé et les appareils mobiles.

Appliquée aux téléphones mobiles, l’IA neuromorphique rend possible de nombreuses avancées technologiques significatives en termes de qualité d’image, de très basse consommation énergétique, de traitement beaucoup plus rapide et de confidentialité des données puisque le traitement embarqué ne nécessite pas l’utilisation et le stockage dans un cloud.

Le projet PERSEPHONE

Lire la suite : https://www.actuia.com/actualite/persephone-prophesee-developpe-une-ia-neuromorphique-pour-les-smartphones-avec-le-soutien-de-bpifrance/?mc_cid=578ec20590&mc_eid=1b5f52f4fd 

Metavers

Meta veut ressusciter le métavers… grâce à l’IA générative !

lebigdata.fr - Par Dina

Publié le 12 juillet 2024

Vous êtes un fan de Métavers ? Cette nouvelle va vous ravir ! Meta promet de proposer des expériences uniques grâce à son nouveau projet pour ses jeux de réalité virtuelle. Voici les détails.

Alors que Métavers semble être en déclin depuis un certain temps, Meta travaille actuellement sur l'intégration de l'IA générative dans les jeux. La société cherche d'ailleurs à redynamiser sa stratégie pour ressusciter ses jeux de réalité virtuelle.

Meta est à la recherche d'un nouveau dirigeant pour son nouveau projet

Lors du lancement de métavers, Mark Zuckerberg misait tout sur son projet. C'est probablement la raison pour laquelle il avait changé le nom de son entreprise Facebook à Meta. Ensuite, l'intelligence artificielle a émergé et il se consacrait entièrement à cette technologie.

D'après une récente offre d'emploi, la société souhaite réunir les deux technologies dans le but de « créer de nouvelles expériences qui ne sont même pas possibles aujourd'hui ».

Le candidat choisi va travailler en étroite collaboration avec l'équipe de contenu du métavers de la société. Il se charge également de diriger la stratégie AGI pour les jeux de réalité virtuelle. Le projet se porte principalement sur Horizon, le monde de jeu en réalité mixte de Meta, qui profite d'un support produit sur ses plateformes de réalité virtuelle et augmentée.

Notons que dans le futur, les produits AGI pourraient se déployer aux plateformes mobiles et PC. Ce nouveau rôle était d'ailleurs confié à la division métavers de Meta connu sous le nom de Reality Labs. Mais elle s'est révélée être un gouffre financier, car elle a perdu jusqu'à 45 milliards de dollars depuis fin 2020.

Intégrer l'IA dans le Métavers pour offrir une meilleure expérience

Lire la suite : https://www.lebigdata.fr/meta-veut-ressusciter-le-metavers-grace-a-lia-generative 

Identité numérique

FranceConnect+ ajoute un nouveau service d'identification pour ses démarches en ligne.

Par Rémi Kumar

Publié le 12 juillet 2024

Depuis le 11 juillet, il est désormais possible de prouver son identité sur FranceConnect+ à l'aide de France Identité, facilitant les démarches exigeant nos données les plus sensibles.

Entamer des démarches en ligne plus ou moins sensibles, se connecter à différents services ou encore prouver son identité : toutes ces actions sont facilitées et permises grâce à deux portails de l'État, FranceConnect et FranceConnect+. La promesse d'accès à plus de 1 800 services couplée à une réduction drastique du nombre de comptes à créer par service en fait une plateforme incoutournable. Depuis 2016, on dénombre plus de 40 millions d'usagers pour les deux portails.

Une version "+" restreinte

Si le premier centralise les services en facilitant l'identification, le second est beaucoup plus restreint puisqu'il est consacré à toutes les démarches requérants votre identité numérique, données sensibles, donc. Il englobe alors les demandes d'accès à des dossiers médicaux, ouvertures de compte bancaire, MaPrimeRénov, etc.. Dans ce sens, FranceConnect+ souhaite s'ouvrir, en ajoutant cette fois FranceIdentité comme second service d'identification.

Lire la suite : https://www.lesnumeriques.com/appli-logiciel/franceconnect-ajoute-un-nouveau-service-d-identification-pour-ses-demarches-en-ligne-n224095.html

CNDH

Vidéosurveillance de l’espace public : alerte et recommandations de la CNCDH

IP/IT ET COMMUNICATION - Par Margot Musson, Docteure en droit, ATER Centre de droit de la famille, Équipe de recherche Louis Josserand Université Jean Moulin Lyon III

Publié le 12 juillet 2024

La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) a rendu, le 20 juin 2024, un avis sur la surveillance de l’espace public à l’aune notamment des Jeux olympiques et paralympiques. Elle y exprime ses craintes quant au respect des droits et libertés fondamentaux des individus et à la sauvegarde de l’ordre public et, à ce titre, émet des recommandations pour renforcer les garanties entourant l’usage de la vidéosurveillance, notamment algorithmique.

Importance de la vidéoprotection en France. La surveillance de l’espace public grâce aux nouvelles technologies est apparue en France grâce à la loi n° 95-74 du 21 janvier 1995 mais ce phénomène a, depuis, été amplifié, en particulier en prévision des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 qui imposent une sécurité renforcée. En effet, avec la loi n° 2023-380 du 19 mai 2023, la vidéosurveillance algorithmique sera notamment expérimentée et ce jusqu’au 31 mars 2025 : « les images collectées par des caméras de surveillance seront analysées par des logiciels programmés pour détecter, en temps réel, des événements susceptibles de présenter un risque pour la sécurité publique ». Depuis des années déjà, des technologies de surveillance sont massivement utilisées par les autorités publiques à des fins de sécurité, tels que les centres de supervision urbains. Par ailleurs, de nouvelles expérimentations avec les mêmes technologies sont envisagées par la proposition de loi n° 2223 adoptée par le Sénat le 15 février 2024, après engagement de la procédure accélérée, relative au renforcement de la sûreté dans les transports. Différents mécanismes sont à différencier (vidéosurveillance algorithmique, caméra thermique, caméra optique), lesquels ne représentent pas tous la même menace pour les droits et libertés comme le souligne la CNCDH qui tient à les distinguer.

Lire la suite : https://www.dalloz-actualite.fr/flash/videosurveillance-de-l-espace-public-alerte-et-recommandations-de-cncdh

Cybersécurité

Alerte sur iPhone : Apple révèle qu’un malware espion se propage dans 98 pays

01net.com - Par Florian Bayard

Publié le 12 juillet 2024

Apple a envoyé une notification à certains utilisateurs d’iPhone. Le message d’alerte indique qu’un malware espion chercherait à s’infiltrer sur le smartphone des utilisateurs. C’est la deuxième fois qu’Apple sonne l’alarme cette année.

Apple tire la sonnette d’alarme. Le géant californien vient d’envoyer une notification à certains utilisateurs d’iPhone répartis dans 98 pays. Comme le rapportent nos confrères de TechCrunch, la notification indique que leur smartphone pourrait être la cible d’un malware espion.

« Apple a détecté que vous êtes la cible d’une attaque de logiciels espions mercenaires qui tente de compromettre à distance l’iPhone associé à votre identifiant Apple », explique Apple dans la notification.

Une cyberattaque ciblée

L’entreprise ajoute que les utilisateurs se retrouvent dans le collimateur du virus « en raison de qui vous êtes ou de ce que vous faites ». Il s’agit vraisemblablement d’une opération d’espionnage diligentée par un gouvernement et ciblant des journalistes, des activistes ou des responsables politiques. Sauf surprise, le nombre de cibles reste limité.

Lire la suite : https://www.01net.com/actualites/alerte-iphone-apple-revele-malware-espion-propage-98-pays.html

•••

Cybersécurité: les rançongiciels marquent le pas, après une année record en 2023

lessor.org - Par la Rédaction

Publié le 7 juillet 2024

Après une année 2023 record, tant en nombre d'attaques qu'en montants extorqués aux victimes, les rançongiciels sont en recul depuis début 2024, des opérations de police d'envergure ayant déstabilisé les réseaux cybercriminels, estiment plusieurs experts.

"Sur les quatre premiers mois de 2024, le nombre d'incidents signalés publiquement et liés à des +ransomwares+ (rançongiciels) a diminué par rapport aux quatre premiers mois de 2023", révèle à l'AFP Allan Liska, expert en cybersécurité chez Recorded Future.

Ce type de logiciel malveillant exploite des failles de sécurité d'une entreprise, d'un bâtiment public, d'une collectivité ou d'un individu, pour chiffrer et bloquer ses systèmes informatiques, exigeant une rançon pour les débloquer.

Particulièrement lucratives pour les pirates, ces attaques sont dévastatrices pour les victimes, qui, même lorsqu'elles finissent par payer, peuvent voir leurs données volées et revendues sur le dark web, dans les tréfonds d'internet.

Dans son rapport du premier trimestre 2024 sur la sécurité d'internet, le spécialiste américain de la défense informatique WatchGuard observe également une diminution de 23 % des attaques par rançongiciel par rapport à fin 2023.

Nettoyage

Lire la suite : https://lessor.org/societe/cybersecurite-les-rancongiciels-marquent-le-pas-ap

•••

L'IA facilite la manipulation par les cyber-adversaires à l'heure des élections de 2024

journaldunet.com - Chronique de Shawn Henry,  CrowdStrike

Publié le 11 juillet 2024

L'utilisation malveillante et la prolifération de l'IA générative en 2024 présentent l'un des défis les plus importants que nous devrons affronter lors d'une année électorale.

Depuis des années, les adversaires étrangers tentent de perturber les systèmes électoraux mondiaux par divers moyens – la menace des groupes cyber sophistiqués est réelle et d’actualité. Par ailleurs, l'IA générative modifie le champ des attaques, dans un écosystème où la désinformation et la mésinformation peuvent se répandre rapidement, impactant jusqu’à notre géopolitique.

S’il n’est pas rare de rencontrer des adversaires techniquement sophistiqués tentant de semer la confusion et de paralyser les réseaux, les acteurs de cybermenaces développent aujourd’hui des outils et des tactiques pour perturber les entreprises, les gouvernements, et plus encore. L'utilisation malveillante et la prolifération de l'IA générative en 2024 présentent l'un des défis les plus importants que nous devrons affronter lors d'une année électorale.

Les adversaires poursuivent leur chemin vers la désorganisation et le démantèlement 

es adversaires États-nations affiliés à des gouvernements étrangers et liés aux motivations de ces derniers disposent des ressources nécessaires pour étendre leurs opérations et constituent une menace constante pour nos normes démocratiques. Depuis 2022, les tensions entre l'UE et la Russie, la Chine et l'Iran se sont accrues. Ces adversaires poursuivent leurs efforts pour influencer la perception des électeurs européens sur les questions géopolitiques et les politiques de l'UE autour du cycle électoral de 2024, y compris le soutien à l'Ukraine, la coopération économique et la guerre entre Israël et le Hamas.  

Lire la suite : https://www.journaldunet.com/cybersecurite/1531713-l-ia-facilite-la-manipulation-par-les-cyber-adversaires-a-l-heure-des-elections-de-2024/ 

Cybercriminalité

Des hackers chinois dérobent des données de reconnaissance faciale pour infiltrer les applis bancaires

Une première campagne en Asie

numerama.com - Par Bogdan Bodnar

Un groupe de pirates chinois a développé des applications clones de services bancaires ou de plateformes de crypto-monnaies. Elles sont capables de récupérer les images de reconnaissance faciale.

Un groupe de hackers chinois a trouvé une technique pour récupérer des données de reconnaissance faciale. Le rapport mi-annuel des menaces cyber, rédigé par la société ESET et publié le 1er juillet, analyse une campagne de vol de données en Asie et en Amérique latine, menée durant l’hiver 2023 et le printemps 2024.

Un logiciel malveillant, baptisé GoldPickaxe (Pioche d’or), a d’abord été repéré par la société Group-IB. Il cible les détenteurs de portefeuilles de crypto-monnaies ainsi que les clients de services financiers en Asie.

De nombreuses applications bancaires ou d’échanges de crypto-monnaies demandent aujourd’hui de certifier l’identité de l’utilisateur en prenant des photos ou une vidéo de son visage.

Les cybercriminels vont copier ce procédé avec un long cheminement qui part le plus souvent d’un message et qui se termine par un vol de données sensibles.

Une fausse application de reconnaissance faciale

Lire la suite : https://www.numerama.com/cyberguerre/1770306-des-hackers-chinois-derobent-des-donnees-de-reconnaissance-faciale-pour-infiltrer-les-applis-bancaires.html 

THALES

THALES ET LE COMITÉ STRATÉGIQUE DE FILIÈRE INDUSTRIE ET TECHNOLOGIES DE SANTÉ INAUGURENT AXEL, LE PREMIER ACCÉLÉRATEUR INDUSTRIEL D’IMAGERIE MÉDICALE EN FRANCE.

thalesgroup.com - Communiqué

Publié le 12 juillet 2024

- Lors de l’Assemblée Générale constitutive du 12 juillet 2024, tenue sur le site de Thales à Moirans, le CSF et Thales, leader des technologies d’imagerie par rayons X, ont acté la création d’Axel. Sa vocation est d’aider les PME et les start-ups de la Medtech française à relever les défis de l’industrialisation et de leur développement économique grâce à un accès direct à la filière.

  • - Cet accélérateur sera propice à la collaboration étroite entre grandes entreprises, PME/startups, acteurs de la recherche, institutions de santé, collectivités locales et partenaires sociaux, dans le but de renforcer la filière d’imagerie médicale française et de garantir ainsi la souveraineté de la France dans ce domaine.
  • - Thales accueillera l’accélérateur Axel sur son site de Moirans, lui facilitant ainsi l’accès aux équipements industriels de Trixell, joint-venture Thales, Philips Healthcare et Siemens Healthineers, leader mondial des détecteurs digitaux à rayons X.

Evalué à 40 milliards de dollars, le marché mondial de l’imagerie médicale a connu une croissance annuelle de 4,5% en moyenne entre 2021 et 2024, face à l’élargissement continu du champ d’application de ce domaine et au vieillissement de la population. Dans ce secteur, la France possède de nombreux atouts, tels qu’une recherche académique et technologique d’excellence et un tissu d’entreprises expertes. Néanmoins, afin de renforcer son autonomie dans le secteur médical depuis la crise Covid, l’industrie nationale a besoin de s'affirmer face à des entreprises internationales, notamment européennes, qui détiennent les deux tiers du marché mondial.

Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/groupe/press_release/thales-et-le-comite-strategique-filiere-industrie-et-technologies-sante