Mobilité
Un parking relais sur pilotis en chantier à la Boiseraie pour desservir la ligne 1 du tramway
madeinmarseille.net - Par la rédaction
Publié le 07 novembre 2024
La Métropole a lancé la construction du parking relais de la . (12e). Construit sur pilotis dans un bassin de rétention pour 12 millions d’euros, il sera connecté à la ligne 1 du tramway.
Faire des transports en commun, c’est bien. Mais pouvoir laisser sa voiture pour les utiliser, c’est mieux. Parking relais ou « pôles d’échanges multimodaux (PEM) », ces structures se multiplient à Marseille le long des lignes de tramways, métro et bus à haut niveau de service (BHNS).
Dernier en date, celui de la Fourragère dont la capacité a doublé fin 2023. Une stratégie pour tenter de convaincre les automobilistes de poser leur véhicule individuel à l’extérieur de la ville. Puis de poursuivre vers le centre en mobilité douce ou collective.
C’est l’objectif du futur parking-relais de la Boiseraie dont les travaux viennent de commencer à l’Est, dans le 12e arrondissement. « Il permettra notamment de réduire le trafic automobile et la pollution dans le centre de Marseille en favorisant l’usage des transports collectifs », espère la Métropole Aix-Marseille-Provence. L’intercommunalité mène ce chantier pour 12 millions d’euros, aidée par le Département des Bouches-du-Rhône.
Connecter la L2 et le tramway en 2026
Sur trois étages pour 185 mètres de long et 14 mètres de haut, l’ouvrage pourra accueillir jusqu’à 378 véhicules et 40 vélos.
Il se situera au 6, traverse de la Parette. Contre la station Boiseraie de la ligne 1 du tramway (Noailles – Les Caillols). Il offrira ainsi une liaison avec l’échangeur des Faïenciers de la L2, près de la sortie Saint-Jean-du-Désert.
Sa mise en service est prévue pour 2026, et il sera gratuit pour les abonnés aux transports publics.
Légende : un parking sur pilotis sur un bassin de rétention
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/170283-un-parking-relais-sur-pilotis-en-chantier-a-la-boiseraie-pour-desservir-la-ligne-1-du-tramway/
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Pam Francilien : Île de France Mobilités MET en demeure KISIO
presse.iledefrance-mobilites.fr - Communiqué
Publié le 04 Novembre 2024
En novembre 2023, Valérie Pécresse, présidente d’Île-de-France Mobilités et de la Région Île-de-France, avait demandé un plan de redressement du service PAM et appelait à effectuer un service « zéro défaut ». La Présidente estimait alors que la qualité de service n’était pas à la hauteur des investissements consentis par Île-de-France Mobilités, la Région Île-de-France et les départements lors de la régionalisation du PAM, soit 40 M€ par an.
Depuis, le volume de courses réalisées est en constante augmentation grâce au nouveau système régionalisé (passant de 7 000 courses par semaine fin 2023 à plus de 13 000 aujourd’hui) et le taux d’annulation de dernière minute par l’opérateur est en baisse depuis janvier 2024. L’opérateur du PAM, Kisio, a intégré dans son outil régionalisé en complément des Départements 75, 91, 94 les Départements 77, 78 et 92, avec un enjeu fort de récupération de dossiers administratifs parfois incomplets. Cette régionalisation a pour objectif d’apporter un service identique pour tous, de qualité, avec une tarification harmonisée et attractive et sans frontière dans toute la région.
Toutefois, des dysfonctionnements importants sont toujours constatés, notamment au niveau du centre d’appel et de services du PAM. Après plusieurs alertes sur le sujet, son opérateur, Kisio, est donc mis en demeure pour atteindre ses objectifs contractuels.
D’importantes difficultés persistent avec deux principales causes :
- la planification des courses, avec des taux de réponses négatives aux demandes des usagers trop importants (plus de 3% en heure de pointe, 10% en heure creuse), des modifications tardives des horaires par l’opérateur, et un non-respect des horaires de dépose et de prise en charge communiqués aux usagers ;
- la relation client, avec une absence régulière de prise en compte des demandes des usagers (y compris pour ajuster ou annuler une course), une fiabilité aléatoire des informations de suivi de l’horaire d’arrivée du conducteur transmises aux usagers, une défaillance de suivi des réclamations, des erreurs de facturation, et une accessibilité numérique qui n’a pas atteint les objectifs espérés (notamment l’application mobile, peu accessible pour les malvoyants et non-voyants).
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Le R&D UK Centre soutient les communautés rurales dans le développement de la mobilité électrique
edu.fr - Communiqué
Publié le 08 novembre 2024
Pendant 6 mois, la R&D d’EDF et ses partenaires ont exploré la mobilité électrique en milieu rural au Royaume-Uni, dans le cadre d'un projet de l’agence gouvernementale britannique « Innovate UK ».
Le Royaume-Uni a besoin de solutions innovantes pour construire un réseau de recharge de véhicules électriques à long terme et qui convienne au plus grand nombre.
Le projet « Rural Electric Mobility Enabler » (REME) auquel le centre de R&D d’EDF au Royaume-Uni a participé avec ses partenaires durant 6 mois, avait plusieurs objectifs :
- Promouvoir et soutenir la croissance de la mobilité électrique dans les zones rurales et identifier "quels sont les besoins et où ils se situent".
- Renforcer la confiance concernant l'accès aux points de charge, grâce à des solutions innovantes qui permettront aux résidents et aux visiteurs de disposer d'un plus grand choix de points de charge.
- Offrir/évaluer une gamme de services à valeur ajoutée pour les infrastructures existantes (telles que les parkings des autorités locales et des attractions touristiques) qui favorisent la création de nouveaux emplois locaux.
- Répondre à la fois à l'objectif de zéro émission et à celui de nivellement par le haut en développant des solutions aux problèmes de la demande de recharge variable et saisonnière qui soutient à la fois la population locale et l'économie touristique.
- L'équipe "Smart Customers" du R&D UK Centre a apporté deux contributions majeures :
- Elle a construit un outil permettant d'estimer les coûts des panneaux solaires et d'une batterie au lithium sur site pour alimenter un parking de véhicules électriques ;
- Elle a mené une enquête sur l'engagement et l'intérêt des consommateurs pour les véhicules électriques et la recharge, en ciblant spécifiquement les zones rurales.
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Le premier bus à hydrogène du territoire a embarqué ses passagers à Fos
madeinmarseeille.net - Par Loïs Elziere
Publié le 07 novembre 2024
Pour la première fois sur le territoire, un bus à hydrogène a embarqué des passagers et circulé en conditions réelles à Fos-sur-Mer. D’autres expérimentations doivent débuter l’année prochaine.
C’est une première sur le territoire. Fin octobre, un bus roulant à l’hydrogène a circulé 10 jours en conditions réelles. Il a tourné sur la ligne 4 à Fos-sur-Mer, entre la Grand-Plage et le centre-ville.
Le véhicule opéré par Transdev pour la Métropole mobilité a pu s’approvisionner en hydrogène sur le site Air Liquide de Fos Tonkin. La « première station d’avitaillement hydrogène bas-carbone haute pression d’Europe », rappelle la Métropole Aix-Marseille-Provence.
Durant cette expérimentation, « les voyageurs comme les conducteurs ont valorisé le confort accru du fait de l’absence de vibrations du moteur », indique l’intercommunalité.
Mais son principal argument reste que l’hydrogène est « une solution pour la décarbonation du transport public durable ». Cette molécule permet « une autonomie importante et un temps de recharge identique à celui d’un véhicule thermique ».
À lire aussi
Un bateau alimenté à l’hydrogène à Marseille, une première mondiale
Décarboner les transports du territoire d’ici 2030
Lire la suite : https://madeinmarseille.net/170433-le-premier-bus-a-hydrogene-du-territoire-a-embarque-ses-passagers-a-fos/
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L’abandon du «plan vélo» est «inacceptable», dénoncent des collectivités
lefigaro.fr - Par Le Figaro avec AFP
Publié le 6 novembre 2024
Des dizaines de collectivités ont appelé mercredi le gouvernement à maintenir le financement du «plan vélo», supprimé dans le budget 2024, sans quoi des centaines de projets risquent d'être stoppés net.
Des dizaines de collectivités ont appelé mercredi le gouvernement à maintenir le financement du «plan vélo», supprimé dans le budget 2024, sans quoi des centaines de projets risquent d'être stoppés net. «La suppression pure et simple d'une politique publique prometteuse, efficace et nécessaire est juste totalement inacceptable», lancent dans une lettre ouverte l'association Vélo et territoires et le Club des villes et territoires cyclables et marchables (CVTCM), qui réunissent des communes, départements et régions.
En 2023, Elisabeth Borne avait promis la poursuite de son plan vélo avec deux milliards d'euros jusqu'en 2027, avec une attention particulière aux zones rurales et périurbaines. Les 304 millions d'euros alloués au «Fonds mobilités actives» ont été supprimés dans le projet de budget 2024, parmi les mesures prises pour limiter le déficit. Les projets d'aménagements comme des pistes cyclables, préparés et déposés par plus de 400 territoires, risquent ainsi de rester lettre morte, dénoncent les associations de collectivités.
Ça va nous mettre un coup d'arrêt pour trois à quatre ans (François Cuillerier)
Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/l-abandon-du-plan-velo-est-inacceptable-denoncent-les-collectivites-20241106
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Ce n’est ni une voiture ni une hybride : Toyota investit 500 millions de dollars dans un autre type de véhicule électrique
greenworks.lu - Par Raphaël Dubois
Publié le 09 novembre 2024
Toyota fera très bientôt ses prochains pas dans le secteur des voitures électriques. Mais avant cela, la marque a investi massivement dans d'autres véhicules zéro émission.
Toyota, l’un des pionniers de l’électrification avec son célèbre modèle Prius, surprend une fois de plus en annonçant un investissement colossal de 500 millions de dollars dans un segment atypique des véhicules électriques. Cette fois-ci, la marque japonaise ne se concentre pas sur les voitures hybrides ou électriques classiques, mais explore un tout nouveau territoire de la mobilité électrique. Cet investissement souligne la volonté de Toyota de diversifier son portefeuille et de jouer un rôle clé dans la transformation de la mobilité mondiale.
L’initiative s’inscrit dans une stratégie globale visant à développer des solutions de transport innovantes, qui ne se limitent plus uniquement à l’automobile. L’ambition de Toyota est de repousser les limites de la mobilité durable, en cherchant des voies alternatives pour réduire les émissions de carbone et proposer des solutions adaptées aux besoins du futur.
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Adoption d'une proposition de loi pour protéger davantage les mineurs, notamment dans les services de transport
maire-info.com - Par Lucile Bonnin
Édition du jeudi 7 novembre 2024
Mardi, le Sénat a adopté une proposition de loi tendant à renforcer les moyens de surveillance des individus condamnés pour des infractions sexuelles, violentes ou terroristes. Ce texte permettrait aux opérateurs de transport public de personnes de consulter les fichiers dans lesquels sont inscrits les auteurs d'infractions sexuelles et violentes.
La loi du 7 février 2022 relative à la protection des enfants a renforcé le contrôle des antécédents judiciaires de tous les professionnels et bénévoles intervenant auprès des jeunes, notamment dans les accueils collectifs de mineurs (ACM). Depuis, selon le ministère de l’Intérieur, ce sont 157 729 consultations du fichier judiciaire automatisé des auteurs d'infractions sexuelles ou violentes (Fijais) qui ont été réalisées en 2023 par les préfectures – à la demande des maires et/ou de présidents d'exécutifs locaux – représentant une hausse substantielle de 109,5 % par rapport à l'année 2022.
Pour « renforcer les moyens de surveillance des individus condamnés pour des infractions sexuelles, violentes ou terroristes » , la sénatrice de la Saône-et-Loire, Marie Mercier, a déposé une proposition de loi qui a été adoptée mardi au Sénat.
Consultation des fichiers judiciaires pour les conducteurs de transports
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Réduire la place de la voiture en ville est-il aussi impopulaire qu’on le pense ?
environnement-magazine.fr - par Mathieu Chassignet, Ingénieur transport et mobilité
Publié le 5 novembre 2024
Le drame de la mort de Paul, cycliste de 27 ans tué par un automobiliste sur une voie cyclable à Paris le 15 octobre dernier, est revenu questionner la place de la voiture en ville. Au nom de la transition écologique et de la santé publique, la tendance est déjà, depuis quelques années, à la limitation de la place de la voiture. Les maires, toutefois, se montrent souvent frileux, de crainte que la mesure soit considérée comme impopulaire par leur électorat. Cela tient pourtant de l’idée reçue.
Piétonnisation de l’espace public, limitation de vitesse à 30 km/h en ville, zones à faibles émissions, politiques de stationnement plus ou moins restrictives… les mesures visant à encadrer l’utilisation de la voiture sont à l’ordre du jour, tant dans les politiques locales que dans le débat médiatique.
Celles-ci répondent à différents objectifs politiques et sociaux : transition écologique, amélioration du cadre de vie, santé publique… Aujourd’hui, le défi n’est plus de convaincre les citoyens des raisons pour lesquelles nous devrions réduire la place de la voiture en ville, mais de savoir comment s’y prendre. Or, bien souvent, la crainte de mouvements de protestation très vifs tétanise les élus et se traduit par un recul sur la mise en place de telles mesures ou une diminution de leur niveau d’ambition.
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Pays de la Loire: Hausse importante de la fréquentation dans les transports urbains depuis un an.
hitwest.ouest.fr - Par Elouen Rouchy
Publié le 4 novembre 2024
Avec 220,5 millions de voyages relevés fin juillet 2024, la fréquentation des transports urbains est en hausse cette année par rapport à l'année précédente : +15% notamment à Angers et +4,8% à Nantes. Un phénomène qui prend de l'ampleur depuis ces trois dernières années. Explications avec la FNAUT.
C'est une augmentation de 15% à Angers, et de près de 5% à Nantes, la fréquentation des transports urbains est en hausse dans les grandes villes des Pays de la Loire sur l’année 2023/2024 par rapport à la précédente. Au total, plus de 220 millions de voyages ont été enregistrés dans la région. Le chiffre augmente mais reste inférieur à ceux de 2019, avant la période Covid.
"les emplois et les logements ne sont pas très près les uns des autres, et cela crée des flux."
Nous avons interrogé la FNAUT, pour expliquer cette hausse. Jean Bernard Lugadet est membre de la Fédération Nationale des Associations d’Usagers des Transports à Nantes, et pour lui la "métropole grandit soit par la croissance naturelle, soit par l'arrivée de personnes. Les emplois et les logements sont, comme toujours, pas très près les uns des autres et cela créé des flux. Ensuite, post Covid, le retour des fréquentations et des loisirs s'est développé et on le voit bien en week-end par exemple...
Lire la suite : https://hitwest.ouest-france.fr/pays-de-la-loire-hausse-de-frequentation-dans-les-transports-urbains
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Les propriétaire de véhicules électriques émettent plus de carbone que les autres : pourquoi ?
Techno-sicence.net - par Adrien - Source : PLOS Climate
Publié le 03 novembre 2024
Rouler en véhicule électrique ne signifie pas forcément être économe en émission de carbone. Ce constat émerge d'une étude menée en Finlande. En cause: le profil type des propriétaires de ces voitures, qui tendent à consommer plus que la moyenne.
Cette étude, publiée dans PLOS Climate, a analysé les réponses de 3 857 personnes ayant participé au questionnaire CLIMATE NUDGE. Ce sondage visait à comprendre les choix de vie des Finlandais et leurs opinions sur les véhicules électriques (VE). Il s'avère que les propriétaires de VE sont, en moyenne, plus riches et mieux éduqués.
L'une des conclusions les plus frappantes de cette étude est que malgré l'achat d'un véhicule moins polluant, ces propriétaires ne parviennent pas à réduire leur empreinte carbone. Pourquoi ? Parce que leurs modes de consommation global sont beaucoup plus énergivores que ceux des autres conducteurs.
L'étude souligne que ces personnes parcourent en moyenne plus de kilomètres par an, et ce n'est pas tout. Elles utilisent plus d'électricité, souvent issue de centrales à charbon, et achètent davantage de biens, dont la fabrication génère des émissions de gaz à effet de serre. Malgré les avantages indéniables des VE, les chercheurs concluent que cela ne suffit pas à compenser l'empreinte carbone plus large des classes aisées. Cela met en lumière une réalité souvent oubliée: la consommation d'énergie ne se limite pas à l'usage d'une voiture.
Lire la suite : https://www.techno-science.net/actualite/proprietaires-vehicules-electriques-emettent-plus-carbone-autres-pourquoi-N25907.html
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Mobilités : un nouveau réseau de transports en janvier 2025
Publié le 04 novembre 2024
A l’occasion du renouvellement de la délégation de service public relative à l’exploitation des services de mobilités de l’Agglomération, Quimper Bretagne Occidentale et son réseau QUB proposeront dès 2025 un service élargi en matière de transports pour répondre aux besoins des habitants.
L’ambition de Quimper Bretagne Occidentale pour son nouveau réseau
Il est avéré que l’absence de mobilité a des impacts majeurs sur la précarité, l’isolement, le sentiment de relégation, le temps consacré aux déplacements au détriment de la vie familiale, etc.
Ainsi, au travers du renouvellement de la DSP transport, l’Agglomération avait fixé un certain nombre de principes dans son cahier des charges, afin de donner une nouvelle impulsion au réseau QUB. L’objectif était notamment de travailler au « droit à la mobilité » des citoyens de l’Agglomération, quel que soit leur lieu d’habitation, leur lieu de travail, leur lieu d’études, etc. et contribuer à réduire la précarité liée à la mobilité sur le territoire communautaire.
Concrètement, le nouveau réseau de transport en commun va s’appuyer sur les quatre piliers suivants :
- Renforcer le service des lignes de bus régulières dans les quartiers de Quimper,
- Améliorer l’offre sur le Pays Glazik, tant en termes de niveau services qu’en termes de temps de parcours,
- Améliorer l’accessibilité aux zones d’emplois du territoire, y compris aux horaires atypiques,
- Proposer une solution de déplacement en journée dans les zones peu denses.
Lire la suite : https://www.quimper.bzh/actualite/42428/3-mobilites-un-nouveau-reseau-de-transports-en-janvier-2025.htm
Identité numérique
IDnow Trust Services AB obtient la certification de Prestataire de Services de Confiance Qualifié dans l'Union européenne USA - Français
prnewswire.com - provide by IDnow
Publié le 05 novembre 2024
IDnow s'associe à IDnow Trust Services AB pour fournir des signatures électroniques qualifiées, des horodatages et des sceaux électroniques à ses clients et partenaires.
MUNICH et RENNES, France, 5 novembre 2024 /PRNewswire/ -- IDnow, l'un des principaux fournisseurs de plateformes de vérification d'identité en Europe, annonce son partenariat avec la société récemment créée, IDnow Trust Services AB, Prestataire de Services de Confiance Qualifié (QTSP) certifié selon le règlement européen 910/2014 (eIDAS[1]). Créée en début d'année à Stockholm par IDnow et ESYSCO, intégrateur de systèmes et fournisseur de technologie, la joint-venture offre des services de confiance qualifiés, tels que des signatures électroniques, des horodatages et des sceaux électroniques, alliant sécurité, conformité et facilité d'utilisation.
Innovation et leadership sur le marché de la signature électronique
En tant que QTSP reconnu au sein de l'UE par l'autorité de surveillance suédoise Post-och telestyrelsen (PTS), IDnow Trust Services AB émet, valide et gère des certificats électroniques et des horodatages, capture des informations supplémentaires comme l'horodatage qualifié, conserve les données de preuve d'identification et effectue des révocations de certificats, tout en se conformant aux exigences d'une Autorité de Certification (AC). Le QTSP garantit l'existence de données électroniques spécifiques à un moment précis, comme la preuve que des documents ont été soumis pour traitement.
Une joint-venture pour garantir la confiance et simplifier la conformité
Intelligence artificielle
L’IA au ministère de l’Économie et des Finances : l’analyse et les recommandations de la Cour des Comptes
actuia.com - par Marie-Claude Benoit
Publié le 5 novembre 2024
Alors que le ministère de l’Économie et des Finances a recours à l’IA depuis 2015, la Cour des comptes a récemment publié le rapport “L’intelligence artificielle dans les politiques publiques : l’exemple du ministère de l’Économie et des Finances”. Elle y examine les gains apportés par la mise en œuvre de l’IA, soulignant la nécessité de structurer le pilotage de l’IA et proposant plusieurs recommandations pour évoluer vers une IA publique de confiance.
Les observations de la Cour des comptes portent sur la période 2015-2023.
Fin 2023, les directions et services du ministère de l’Économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique (MEFSIN) étudiaient, développaient ou exploitaient au total 35 systèmes d’IA : treize étaient déployés et exploités, huit en cours de développement et 14 envisagés ou étant l’objet d’une étude de faisabilité.
Selon le bilan de la Cour des comptes, les projets d’IA ont généré plus de 20 millions d’euros d’économies annuelles en 2022, un montant nettement inférieur aux 46,6 millions € attendus.
Un déploiement diversifié, dominé par la gestion fiscale et la détection des fraudes.
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Automatisation documentaire chez LCL : l’IA classique tient mieux la route que l’IA générative
larevuedudigital.com - par Alain Clapaud dans fil d'actualité
Publié le 03 novembre 2024
Les cas d’usage de l’IA classique sont infinis, comme le démontre LCL. La banque a ainsi automatisé le traitement des documents liés aux successions, depuis l’acte de décès jusqu’au paiement de la facture des pompes funèbres. Un domaine où l’IA générative Gemini de Google – partenaire de la banque – testée par LCL doit encore faire ses preuves.
Axel Cypel, responsable des projets d’IA chez LCL, le reconnaît : l’ambition des métiers de la banque vis-à-vis des capacités d’automatisation est très élevée. De fait, l’IA a permis des avancées significatives en matière de reconnaissance des documents et d’extraction intelligente d’informations, si bien que l’automatisation de processus bancaires entiers devient possible, jusqu’à la mise en place du paiement automatique.
En l’occurrence, c’est le service de back office en charge des successions chez LCL qui s’est tourné vers Axel Cypel afin de mettre en œuvre l’IA dans ses processus internes. La banque traite de l’ordre de 60 000 dossiers de décès chaque année. « Lors d’un décès, le back office succession collecte de nombreux documents dans un contexte difficile pour les familles » explique le responsable.
Des contraintes réglementaires importantes à respecter
Lire la suite : https://www.larevuedudigital.com/automatisation-documentaire-chez-lcl-lia-classique-tient-mieux-la-route-que-lia-generative/
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Le plan de Trump et Musk pour une intelligence artificielle sans limites
futurs-sciences.com - par Sylvain Biget
Publié le 8 novembre 2024
AU SOMMAIRE
Elon Musk parle à l’oreille du président
Des IA débridées pour accélérer leur développement et aussi les empêcher de devenir « woke ». C'est le souhait du futur président américain Trump. Sans aucun doute sous l'influence de son contributeur de campagne Elon Musk, il a promis d'abroger les réglementations existantes sur l'IA, mises en place par le président actuel Joe Biden. Des dispositions adoptées en octobre 2023 et qui, de toute façon, avaient une portée déjà assez limitée sur les freins apportées aux IA en matière de sécurité.
Des IA trop « woke », qui sont l’expression des idées radicales de la gauche et des freins éthiques qui ralentissent l’innovation. Voici ce que pense le futur président des États-Unis, Donald Trump. Il compte abroger un décret qu'avaient promulgué les Démocrates pour sécuriser leur développement.
C'est le souhait du futur président américain Trump. Sans aucun doute sous l'influence de son contributeur de campagne Elon Musk, il a promis d'abroger les réglementations existantes sur l'IA, mises en place par le président actuel Joe Biden. Des dispositions adoptées en octobre 2023 et qui, de toute façon, avaient une portée déjà assez limitée sur les freins apportées aux IA en matière de sécurité.
Pour Trump, ce décret est considéré comme « dangereux » et entravant pour l'innovation en matière d'IA. Mais ce n'est pas tout, puisqu'il voit dans ce décret un acte politique des Démocrates qui « impose des idées radicales de gauche au développement de cette technologie ». Il souhaite une IA « enracinée dans la liberté d'expression et l'épanouissement humain ». Des mots qui semblent sortir tout droit de la bouche d'Elon Musk qui prône cette philosophie depuis son rachat de Twitter et sa transformation en X.
Lire la suite : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/intelligence-artificielle-plan-trump-musk-intelligence-artificielle-limites-117382/
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Comment les cartes linguistiques de l’IA peuvent protéger de la désinformation avant la présidentielle américaine
ledevoir.com - par Rana Ali Adeeb, doctorante et chercheuse publique
Publié le 04 novembre 2024
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi des outils d’intelligence artificielle (IA), comme ChatGPT, fournissaient parfois des réponses différentes à des questions presque identiques ? La réponse réside dans leur façon d’interpréter le langage, non pas par les mots eux-mêmes, mais par une transformation mathématique appelée vectorisation. Ce processus permet à l’IA de transformer des contenus — comme des titres, des articles d’actualité ou des publications sur les réseaux sociaux — en « vecteurs » numériques qui représentent leur sens, leur ton et leur contexte au sein d’une vaste « carte » linguistique invisible. Les mots aux significations ou aux sentiments similaires tendent à se regrouper dans cet espace, ce qui crée un réseau de connexions qui révèle des nuances plus profondes que de simples recherches par mots-clés.
On peut se demander pourquoi cela est important dans le contexte de la désinformation, l’un des plus grands défis en ligne aujourd’hui. Tout comme ChatGPT peut donner des réponses différentes selon le ton ou la formulation des demandes, la vectorisation permet à l’IA de détecter quand un contenu est conçu pour manipuler plutôt que pour informer. En effet, la vectorisation, autrefois principalement utilisée dans le domaine technologique pour améliorer les réponses de l’IA, joue maintenant un rôle essentiel dans le repérage de contenus qui pourraient déformer la réalité ou être conçus pour manipuler les émotions.
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Intelligence artificielle (IA): le Conseil approuve des conclusions visant à renforcer les ambitions de l'UE
consilium.europa.eu - Conseil de l'Union européenne - Communiqué de presse
Publié le 5 novembre 2024
Le Conseil a approuvé aujourd'hui des conclusions sur un rapport de la Cour des comptes européenne (CCE) qui visent à rehausser le niveau d'ambition de l'UE en matière d'IA, notamment en renforçant la gouvernance et en veillant à ce que les investissements soient plus importants et mieux ciblés pour aller de l'avant dans ce domaine.
Le Conseil souscrit à la conclusion de la Cour selon laquelle l'UE doit accroître les investissements dans l'IA et faciliter l'accès aux infrastructures numériques, afin d'être un acteur compétitif à l'échelle mondiale ayant une incidence sur le monde, de jouer un rôle de premier plan dans le développement et le déploiement de l'IA, de stimuler les talents et de créer un écosystème fondé sur l'excellence et la confiance.
En outre, le Conseil souligne que l'incidence environnementale des systèmes d'IA, le calcul à haute performance et les solutions possibles pour accroître l'efficacité énergétique ainsi que la garantie d'une chaîne d'approvisionnement fiable en matériels sont des facteurs importants qui devraient également être pris en compte dans les politiques en matière d'IA.
Le Conseil partage également l'avis de la Cour selon lequel une coopération et une collaboration étroites avec les États membres et les organisations internationales, en vue d'optimiser les retombées des investissements au niveau de l'UE et au niveau national, tout en tirant parti des synergies, constituent un élément essentiel pour permettre à l'UE d'occuper un rôle de premier plan au niveau mondial dans le domaine de l'IA et de se positionner en tant que point de référence pour la gouvernance de l'IA.
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Avocats et juristes préoccupés par la GenAI
lemondeinformatique.fr - Par Emmanuelle Delsol
Publié le 07 novembre 2024
Une enquête réalisée pour l'éditeur Wolters Kluwer Legal & Regulatory identifie 3 préoccupations des avocats et juristes liées aux technologies. L'intelligence artificielle générative, sans surprise, mais aussi le volume croissant d'informations à gérer et la protection de ces dernières.
Sans surprise, 3 des 5 tendances qui devraient influencer le secteur juridique dans les 3 prochaines années sont liées à l'IT : l'IA générative, bien sûr, la sécurité de l'information et le volume croissant de données à traiter. C'est ce qu'indique une enquête auprès de plus de 700 professionnels aux États-Unis et en Europe, commandée en mai 2024 par l'éditeur de solutions juridiques Wolters Kluwer Legal & Regulatory.
76% des directions juridiques et 68% des cabinets d'avocat interrogés déclarent déjà utiliser la GenAI au moins une fois par semaine. Près d'un tiers y ont même recours quotidiennement. Les pratiques et organisations, mais aussi le niveau de l'utilisation de la GenAI variant d'un pays à l'autre, et en particulier entre les États-Unis et l'Europe, il est difficile de généraliser. Les États-Unis arrivent ainsi en tête des plus importants utilisateurs quotidiens de l'IA générative (44% des répondants) devant les Pays-Bas (42%) et l'Allemagne (38%). L'étude donne cependant une indication sur la maturité et l'état d'esprit des avocats et des juristes vis-à-vis des technologies et de leurs conséquences.
La GenAI pour la recherche documentaire
Catastrophes naturelles
En cas d'urgence, Paris ne pourrait survivre que quelques jours sans nourriture
geo.fr - Avec AFP
Publié le
En cas de catastrophe naturelle du type inondation, ou de blocus, Paris disposerait de denrées pour nourrir ses habitants pendant cinq à sept jours seulement, faute de capacités de stockage suffisantes, selon une étude de l'Atelier parisien d'urbanisme (Apur) parue mardi.
Une nouvelle étude, la première du genre en France, a été initiée par la mairie de Paris dans le cadre de sa "stratégie de résilience" lancée en 2022 pour anticiper, avec la préfecture, divers scénarios de crise, tels que des catastrophes naturelles ou des blocus.
"La rupture d'approvisionnement a été identifiée comme un risque majeur" que la crise sanitaire du Covid et les menaces de blocage d'agriculteurs en 2023 ont mis en lumière, a expliqué à l'AFP Pénélope Komitès, adjointe à la maire de Paris en charge de la résilience et de la prospective.
Mais les autorités ne disposaient d'aucune donnée fiable sur la résilience alimentaire. "On parlait de trois jours d'autonomie, sans savoir d'où venait ce chiffre", développe-t-elle.
Selon les travaux de l'Apur, révélés par Le Parisien, cette autonomie serait de "cinq à sept jours", ce que l'élue juge finalement "plutôt rassurant".
Remplir les greniers
Le besoin a été estimé à 3 090 tonnes de denrées pour nourrir les 2 146 000 Parisiens et proposer 6,5 millions de repas chaque jour.
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375 communes reconnues en état de catastrophe naturelle après les inondations du 16 au 20 octobre
maire-info.com © L'Avenir - Par Franck Lemarc
Édition du mardi 5 novembre 2024
Les pluies diluviennes qui ont touché le pays entre le 16 et le 20 octobre dernier ont occasionné de graves inondations dans 11 départements, notamment l'Ardèche et la Loire. L'arrêté de reconnaissance en état de catastrophe naturelle est paru ce matin au Journal officiel.
Comme il l’avait promis, le gouvernement a fait diligence : une quinzaine de jours seulement après la catastrophe – au lieu de plusieurs mois habituellement – l’arrêté portant reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle a été publié ce matin pour 375 communes situées dans 11 départements.
Des précipitations « inédites »
Rappelons que ces inondations ont été causées par de violents orages survenus entre le mardi 15 et le jeudi 17 octobre. Pendant ces quelques jours se sont cumulés un épisode cévenol sur le Gard, l’Ardèche et la Lozère, et une perturbation pluvieuse particulièrement active qui a traversé le pays du nord-ouest vers le sud-ouest. Certaines zones des Alpes-Maritimes et de la Lozère reçoivent alors près de 100 mm de pluie en trois heures. Dans la nuit du mercredi au jeudi, l’Ardèche reçoit 300 mm de pluie. Puis, jeudi, les fortes pluies s’étendent sur tout le quart sud-ouest avant de remonter vers le nord jusqu’à atteindre l’Île-de-France. L’épisode se poursuivra jusqu’au vendredi dans le centre du pays.
Numérique
Inclusion numérique : les associations d'élus demandent à ce que « l'État honore sa parole »
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Édition du mardi 5 novembre 2024
Dans le cadre des débats sur le plan de loi de finances 2025, treize associations d'élus engagées en faveur de l'inclusion numérique dénonce une « situation catastrophique » due aux coupes budgétaires annoncées pour le portage de cette politique. La pérennisation des conseillers numériques est en jeu.
Jeudi dernier, les associations d’élus, dont l’AMF, réunies au sein de « La Belle Alliance » ont diffusé un communiqué de presse pour dire « non au démantèlement de la politique d’inclusion numérique dans les territoires ».
« Aujourd’hui, au moment même où se signent les feuilles de route "France Numérique Ensemble" instaurées en 2023 afin de généraliser le plan d’autonomie numérique des Français sur l’ensemble du territoire, le projet de loi de finances 2025 porte un coup d’arrêt à cette politique partenariale pour l’inclusion numérique », alertent les associations d’élus.
Concrètement, le projet de loi de finances pour 2025 prévoit une réduction drastique du budget consacré aux conseillers numériques France services (CNFS). Ce dernier passerait en effet de 62 millions à 27 millions d'euros pour l'année 2025. Selon les acteurs, « la situation est catastrophique ».
Les conseillers numériques en danger
Lire la suite : https://www.maire-info.com/numerique/inclusion-numerique-les-associations-delus-demandent-ce-que-etat-honore-sa-parole--article-29081
Détection
Le dispositif de détection des incendies fait figure d'exemple pour les départements du Loiret, du Loir-et-Cher et du Cher
Sarthe.fr - Communiqué
Publié le 11 août 2024
Le dispositif de détection des incendies mis en place par le Service Départemental d'Incendie et de Secours de la Sarthe (SDIS) fait figure de modèle pour les départements du Loiret, du Loir-et-Cher et du Cher.
Dominique Le Mèner, Président du Conseil départemental de la Sarthe et du Service départemental d'Incendie et de Secours de la Sarthe, a accueilli, ce jeudi 8 août, au SDIS de Coulaines, Philippe Sartori, Président du SDIS 41 et vice-président du Conseil départemental du Loir-et-Cher en charge de la sécurité, de la protection de la population et du service départemental d'incendie et de secours.
Au programme de cette rencontre, la présentation du dispositif de détection des incendies. Il comprend 16 points hauts maillant tout le territoire et qui peuvent détecter à 360° les départs de feux.
Les SDIS du Loiret, Loir-et-Cher et Cher, vont installer le même dispositif novateur que celui des sapeurs-pompiers sarthois.
Lire la suite : https://www.sarthe.fr/actualites/le-dispositif-de-detection-des-incendies-fait-figure-dexemple-pour-les-departements-du
RGPD
QSPTAG #314
Publié le 9 novembre 2024
laquadrature.net - Communiqué
Campagne anti-GAFAM : LinkedIn enfin condamné à une grosse amende
Nous avions lancé notre campagne anti-GAFAM au moment de l’entrée en vigueur du RGPD, en mai 2018… Sur la base du tout nouveau règlement européen sur la protection des données personnelles, nous avions décidé d’attaquer les pratiques illégales des cinq plus grandes sociétés du numérique mondial : Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft. C’était la première action collective en Europe — une nouveauté permise par le RGPD — contre les entreprises privées qui exploitent délibérément et en toute illégalité les données personnelles des internautes sans leur consentement. Pour cette action collective, nous avions reçu le soutien de 12 000 personnes qui avaient décidé de nous donner leur mandat pour porter la plainte devant la CNIL. C’était chose faite le 18 mai 2018. Il y a six ans.
Le RGPD donne à la CNIL le pouvoir d’instruire les plaintes concernant les entreprises dont le siège européen est en France, ou n’ayant pas de siège social dans un autre pays de l’Union européenne. C’était le cas de Google à l’époque. La CNIL a donc traité d’abord la plainte contre Google, sans donner signe de son travail avant mai 2021, où elle a soudain rendu une décision bancale et insatisfaisante, assortie d’une amende minime de 50 millions de dollars, avant de transmettre le dossier à son homologue irlandais, la DPC, Google ayant entre temps créé un siège européen en Irlande (plus de détails dans cet article, dans le paragraphe « Google perdu au rebond »).
Lire la suite : https://www.laquadrature.net/2024/11/08/qsptag-314-8-novembre-2024/
Cybersécurité
Cybercriminalité en France : une menace en constante évolution selon ce rapport
- madeinperpignan.com - Par Maïté Torres
- Publié le 11 août 2024
En 2023, la cybercriminalité a continué de croître en France, posant des défis majeurs aux institutions, entreprises et citoyens. Ce rapport annuel, le premier du genre du ministère de l’Intérieur sur la cybercriminalité en 2024 dresse un tableau complet des menaces et des réponses apportées par les autorités françaises.
Une augmentation constante des infractions numériques
Le rapport révèle que 278 770 atteintes numériques ont été enregistrées en 2023, soit une augmentation de 40% par rapport aux cinq dernières années. Parmi ces infractions, les atteintes aux biens représentent la majorité, avec 130 000 escroqueries répertoriées, représentant 59% des infractions numériques. Les atteintes aux personnes et aux institutions suivent, constituant respectivement 34,5% et 6% des infractions.
Les femmes âgées de 18 à 44 ans sont particulièrement ciblées, représentant 50% des victimes d’atteintes numériques à la personne. Les cyberdélinquants exploitent diverses méthodes pour atteindre leurs objectifs, notamment les rançongiciels, les escroqueries en ligne et les attaques par déni de service distribué (DDoS).
Les rançongiciels : une menace croissante
Lire la suite : https://madeinperpignan.com/cybercriminalite-le-rapport-du-ministere-de-linterieur-montre-une-menace-en-constante-evolution/
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5 techniques de malware qui redéfinissent la cybercriminalité en 2024
clubs.com - Par Chloé Claessens, spécialiste cybersécurité.
Publié le 09 novembre 2024
Les choses bougent côté cybermenaces et modalités d’attaques en cette fin d’année. Gare aux infostealers, aux loaders, aux RAT et aux ransomwares, mais surtout à la manière dont ils s’infiltrent sur les systèmes.
Comme chaque trimestre, ANY.RUN a dévoilé cette semaine son rapport Q3 sur les dernières tendances des cybermenaces. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il traduit un virage significatif dans le paysage de la cybersécurité, tant concernant l’évolution des familles de malwares les plus actives, que vis-à-vis de l’intensification des attaques et de la sophistication des techniques employées par les hackers.
Des familles et types de malwares plus résilients
C’est un constat sans appel : les malwares gagnent en agressivité et en capacité d'adaptation, alors que l’on observe une diversification assumée des familles actives et une intensification des attaques.
D’après ANY.RUN, les utilisateurs et utilisatrices de la plateforme ont lancé plus d’un million de sessions de détection, un chiffre record en hausse de 23,7 % par rapport au trimestre précédent. Si ce nombre semble témoigner de pratiques de sécurité renforcées, les résultats restent préoccupants : 19,4 % des analyses révèlent des activités malveillantes confirmées, et plus de 4 % des cas restent suspects. En comparaison, le deuxième trimestre 2024 affichait un taux d'activités malveillantes de 18,4 % sur 880 000 analyses, tandis que le premier trimestre cumulait 877 000 analyses pour un taux de détection de 17,2%. En clair, la menace se renforce, trimestre après trimestre.
Lire la suite : https://www.clubic.com/actualite-543083-techniques-de-malware-qui-redefinissent-la-cybercriminalite-en-2024.html
Atos
Atos lance une augmentation de capital de 233 millions d'euros
Par AGEFI - Dow Jones
Publié le 8 nov. 2024 à 08:26
PARIS (Agefi-Dow Jones)--Le groupe de services informatiques en difficulté Atos a annoncé vendredi le lancement d'une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription ("DPS") d'un montant brut, prime d'émission incluse, de 233,33 millions d'euros.
Cette augmentation de capital s'inscrit dans le cadre de la restructuration en cours de l'entreprise et fait suite à l'approbation par le tribunal de commerce de Nanterre de son plan de sauvegarde accélérée, a expliqué Atos dans un communiqué.
"Le produit de l'émission sera affecté au financement des besoins généraux du groupe, et notamment le financement de son business plan, tel que mis à jour par la société le 2 septembre 2024, en vue d'atteindre une cible de profil de notation de crédit 'BB' d'ici 2027 et d'obtenir une réduction de la dette brute de 3,2 milliards d'euros", a ajouté Atos.
Lire la suite : https://investir.lesechos.fr/actu-des-valeurs/la-vie-des-actions/atos-lance-une-augmentation-de-capital-de-233-millions-deuros-2130518