Mobilité
Nouvelle ligne de tram à Nantes, une enquête publique du 12 au 20 novembre 2024
By Erwan
Publié le 18 novembre 2024
L’annonce de l’enquête publique parcellaire liée aux nouvelles lignes de tramway à Nantes et Rezé, prévue du 12 au 29 novembre 2024, marque une avancée significative dans ce projet de mobilité urbaine.
La métropole nantaise mise sur un réseau de transport en commun renforcé et durable. À l’horizon 2027, deux nouvelles lignes de tramway verront le jour :
- Ligne 6 : Elle reliera l’hôtel de ville de Rezé à La Chapelle-sur-Erdre (arrêt Babinière), en passant par la gare de Nantes. Un atout majeur : cette ligne n’impliquera aucune correspondance, offrant un gain de temps appréciable aux usagers.
- Ligne 7 : Elle assurera une liaison directe entre l’hôtel de ville de Rezé et Saint-Herblain (arrêt François-Mitterrand), desservant des secteurs stratégiques pour les habitants et les travailleurs.
En parallèle, une ligne de busway électrique (ligne 8) sera créée, reliant Bouguenais (Ville-au-Denis) à Nantes (boulevard de Doulon), via Rezé (hôtel de ville). Ce bus écologique complète une offre de transport résolument tournée vers un avenir durable.
Lire la suite : https://www.infos-nantes.fr/nouvelle-ligne-de-tram-a-nantes-une-enquete-publique-du-12-au-29-novembre-2024/
•••
Seuls les taxis électriques seront autorisés
news.day.fr.com - par Philippe Moureau
Publié le 22 Novembre 2024
L’actualité de la voiture électriqueOslo vient d’écrire l’histoire de la mobilité urbaine en devenant la première capitale européenne à interdire les taxis thermiques dans ses rues. Cette décision audacieuse, entrée en vigueur le 1er novembre 2024, s’inscrit dans la lignée des politiques avant-gardistes de la Norvège en matière d’électrification des transports. Examinons de plus près cette initiative pionnière et ses implications pour l’avenir de la mobilité urbaine.
La Norvège, leader incontesté de la transition électrique
La Norvège s’est imposée comme un leader mondial dans l’adoption de véhicules électriques. En 2023, le pays a atteint un record impressionnant avec 88% des ventes de voitures neuves représentés par des modèles électriques. Ce chiffre démontre l’engagement profond du pays nordique en faveur d’une mobilité plus propre et plus durable.
Cette transition rapide vers l’électrique n’est pas le fruit du hasard. C’est le résultat d’une politique volontariste mise en place depuis plusieurs années, combinant incitations fiscales, investissements dans les infrastructures de recharge et sensibilisation du public aux bénéfices environnementaux des voitures électriques.
Oslo, pionnier des taxis zéro émission
Lire la suite : https://news.dayfr.com/entreprise/3974329.html
•••
Postes de Commande Centralisés : une révolution technologique au coeur de la mobilité urbaine
usinenouvelle.com - La Rédaction n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.
Publi-rédactionnel -- DÉCOUVREZ L’INTELLIGENT INDUSTRY AVEC CAPGEMINI
Publié le 19 novembre 2024
Les Postes de Commande Centralisés (PCC) se transforment sous l’impulsion des technologies modernes comme l’intelligence artificielle, la 5G ou le cloud. Ces outils permettent non seulement d’améliorer la gestion des transports urbains en temps réel, mais aussi de poser les bases d’un système plus durable, sécurisé et adapté aux besoins des voyageurs.
Les PCC sont au cœur des systèmes de transport urbain depuis plusieurs décennies. Déployés pour la première fois dans les années 70, avec l’apparition des premiers métros automatiques, ils sont conçus pour superviser et réguler les flux de voyageurs.
Cependant, ils arrivent aujourd’hui à un tournant. Les infrastructures vieillissent et les technologies sur lesquelles reposent ces PCC d’ancienne génération ne répondent plus aux exigences actuelles. « Nous sommes à un moment charnière, avec une convergence d’éléments qui marque le début d’une nouvelle ère pour les PCC », analyse Farès Goucha, Directeur Rail Industry chez Capgemini Invent. Bien que souvent invisibles pour le public, ces technologies diffuses sont essentielles pour assurer une gestion fluide et optimisée des réseaux de transport. C’est dans ce contexte que des innovations comme l’intelligence artificielle (IA), le Big Data, la 5G ou encore le cloud computing viennent transformer les PCC, offrant un nouveau départ pour ces outils, véritables chefs d’orchestre de la mobilité urbaine.
En Île-de-France, dans un contexte de mise en concurrence des transports en commun les systèmes de commandes centralisées de demain doivent relever le défi de l’interopérabilité et de l’évolutivité. Pour répondre à ces nouveaux enjeux, la RATP a décidé de moderniser les systèmes d’aides à l’exploitation de ses tours de contrôle du RER, en les dotant d’outils d’aide à la décision et à la régulation performants, portés par le projet SAE+ (Système d’Aide à l’Exploitation de nouvelle génération).
Lire la suite : https://www.usinenouvelle.com/article/postes-de-commande-centralises-une-revolution-technologique-au-coeur-de-la-mobilite-urbaine.N2222370
•••
Ne faites surtout pas confiance à votre GPS sans connaître cette innovation
objetconnecté.com - Par Faniry R.
Publié le 19 novembre 2024
ThunderSoft et HERE Technologies annoncent une nouvelle alliance prometteuse. Ils visent à révolutionner la navigation intelligente et les cartes haute définition. Ce partenariat se veut stratégique, novateur et source de solutions globales pour le secteur automobile.
Les deux entreprises unissent leurs forces pour maximiser leurs compétences techniques. D'ailleurs, cette collaboration promet d'améliorer considérablement l'efficacité des systèmes de navigation modernes. La navigation intelligente est devenue une priorité essentielle pour des voitures plus connectées.
Un écosystème de mobilité plus connecté
Les technologies de localisation avancées de HERE vont s'intégrer aux systèmes ThunderSoft. De plus, le système d'exploitation Aqua Drive de ThunderSoft exploitera HERE SDK, HD Map, et bien d'autres solutions. Ce déploiement offre aux développeurs des outils efficaces pour innover.
Ainsi, les constructeurs automobiles bénéficieront d'une navigation de haute qualité. Ceci en intégrant des solutions personnalisées dans les véhicules. Ce soutien technologique rendra possible une navigation plus fluide. D'ailleurs, cela facilite des expériences de conduite enrichies. Les consommateurs en ressortiront gagnants.
Des solutions de cartographie immersive
Lire la suite : https://www.objetconnecte.com/navigation-intelligente-innovation-auto/
•••
EasyPark rachète Flowbird pour devenir le « premier fournisseur mondial de plateformes de mobilité »
auto-infos.fr - par Leslie Auzèmery
Publié le 20/11/2024
L'Autorité de la concurrence donne son feu vert au rachat de la société française Flowbird par le groupe suédois EasyPark.
Le 30 septembre dernier, EasyPark a notifié à l’Autorité de la concurrence son projet de prise de contrôle exclusif du groupe Flowbird. Par cette opération, le spécialiste des solutions de paiement pour le stationnement acquiert l’ensemble des activités du principal fournisseur d’horodateurs en France. Après un examen des effets de cette transaction sur les marchés concernés, l'opération a été autorisée sans conditions.
Un an après les premières annonces d'intention de rachat, le mastodonte du marché des horodateurs et de la billettique pour les transports publics, Flowbird, présent dans 80 pays, va passer sous pavillon suédois. La société française devient ainsi la propriété d'EasyPark, éditeur d’applications de stationnement (ParkMobile, RingGo, Park-line) déployées dans 4 000 villes réparties dans une vingtaine de pays, dont la France.
« Ensemble, nous voulons pleinement participer à la digitalisation de la mobilité urbaine et aspirons à devenir le premier fournisseur mondial de plateformes de mobilité », a déclaré le patron d’EasyPark. L'entreprise a déjà fait l'acquisition de Park Now en 2021.
Lire la suite : https://www.auto-infos.fr/article/easypark-rachete-flowbird-pour-devenir-le-1er-fournisseur-mondial-de-plateformes-de-mobilite.284780
•••
Barcelone teste des robots autonomes pour la livraison durable de colis
salirpoebarcelona.com - OCIO EN BARCELONA
La ville de Barcelone se positionne comme un laboratoire urbain de solutions innovantes en mettant en œuvre des tests avec le robot autonome Ona. Ce projet, mené par l’Universitat Politècnica de Catalunya (UPC) en collaboration avec CARNET et Vaivé Logistics, vise à réduire l’impact environnemental et acoustique de la livraison de marchandises dans les zones urbaines densément peuplées.
Les tests se déroulent dans les environs du Centre Cultural i de Memòria del Born, où le robot Ona effectue des tâches de livraison de colis. Ce projet fait partie de l’initiative Botnet, qui vise à réduire de 20 % le trafic et de 40 % les émissions générées par les transports traditionnels à Barcelone. Le robot électrique a la particularité d’être silencieux, non polluant et conçu pour interagir de manière conviviale avec les piétons. Outre l’optimisation de la logistique, l’acceptation de cette technologie par les citoyens est en cours d’évaluation, un aspect clé pour son intégration dans la vie urbaine.
Le modèle proposé comprend des centres de distribution proches, à partir desquels des robots pourraient remplacer les camionnettes traditionnelles.
L’innovation en action
Lire la suite : https://salirporbarcelona.com/fr/barcelone-teste-des-robots-autonomes-pour-la-livraison-durable-de-colis/
Congrès de l’AMF
Les propositions de l'AMF pour « un renouveau de l'action publique »
maire-info.com - Par Franck Lamard
Édition du vendredi 22 novembre 2024
André Laignel, en clôture du 106e congrès des maires, a exhorté le gouvernement à « ne pas affaiblir les communes », à consolider la décentralisation et « ouvrir enfin le temps des libertés locales ».
C’est toujours l’un des moments les plus solennels du Congrès : André Laignel a donné lecture, lors de la séance de clôture, de la résolution finale adoptée « à l’unanimité » par le Bureau de l’association, avant le discours de clôture du président de l’association David Lisnard.
« Spirale infernale »
« Rien ne serait possible en France sans l’engagement des communes », rappelle l’AMF au début de la résolution, dans un contexte de « fragilisation des institutions » et de « crises qui s’enchaînent ». « Pôles de stabilité », « socles de proximité », les communes sont « un repère pour les Français » . Elles sont pourtant « attaquées », ce qui a provoqué « la colère » des maires, exprimée pendant le congrès lors du rassemblement des « écharpes noires ». « Il n’est pas un maire qui ne se soit senti exaspéré car injustement mis en cause par la dénonciation calomnieuse de certains représentants de l’État nous accusant de mauvaise gestion », a martelé André Laignel. Pour l’AMF, cette situation n’est que le résultat d’un « long processus » venant d’un État qui a « perdu ses moyens d’agir, se veut omnipotent mais devient impotent » et a reculé partout sur le territoire.
En même temps que l’État « se retire » des territoires, « il se donne l’illusion de la puissance en corsetant l’action des collectivités » – comme en témoigne, par exemple, le ZAN, « caricature de la technocratie, dispositif descendant et souvent abscons ». Cette « impuissance » de l’État conduit à des « blocages », voire à la « colère populaire » … face à laquelle l’État fait appel aux collectivités pour tenter de recoudre le tissu social. Cette « spirale infernale » doit être brisée, martèle l’AMF, car « il n’est ni souhaitable ni responsable de laisser prospérer l’impuissance publique » – l’association redoute que le pays finisse par « être livré aux aventures que les crises portent en elles ».
Renouer avec la décentralisation
Lire la suite : https://www.maire-info.com/congres-amf/les-propositions-amf-pour-un-renouveau-action-publique--article-29145
Services Publics
IA dans les services publics : comment mieux protéger les droits des usagers ?
vie-publique.fr - Par : La Rédaction
Publié le 19 novembre 2024
Attribution de prestations sociales, calcul d’impôts, accès à l’enseignement supérieur : de plus de plus de démarches administratives sont désormais partiellement ou complètement automatiques. Que reste-t-il de l’intervention humaine dans la prise de décision ? Quels sont les effets de ces nouvelles pratiques sur les droits des usagers ?
Dans un rapport publié le 13 novembre 2024, le Défenseur des droits étudie l’usage croissant des algorithmes ou systèmes d’intelligence artificielle (IA) dans les services publics français, et notamment dans l’administration centrale. Malgré un gain d’efficacité dans la prise de décisions, le Défenseur des droits met en garde contre les atteintes aux droits fondamentaux des usagers et présente plusieurs recommandations.
Un recours croissant à l'IA dans les services publics
Le rapport fait état du recours croissant aux algorithmes et à des systèmes d'IA dans l'administration, dans le but d'automatiser, d'améliorer ou d'accélérer certaines procédures. De plus en plus de décisions administratives individuelles (comme l'attribution de prestations sociales, le calcul des impôts ou encore l'accès à l'enseignement supérieur) sont ainsi :
- partiellement automatisées, lorsqu'un agent public doit effectuer une action significative à partir
- ou à côté du résultat généré par l'algorithme ;
- ou entièrement automatisées, lorsque l'intervention humaine est inexistante.
Pour le Défenseur des droits, cette évolution est à la fois porteuse de progrès et de risques pour les droits fondamentaux des usagers.
Lire la suite : https://www.vie-publique.fr/en-bref/296127-ia-dans-les-services-publics-et-droits-des-usagers
Paiement électronique
Belgique
Le système de paiement européen Wero officiellement lancé en Belgique
Par la Rédaction Data News - Source Belga
Publié le 19 novembre 2024
Le nouveau système de paiement européen Wero, destiné à faciliter les paiements mobiles, a officiellement été lancé mardi en Belgique. Il est désormais accessible via les applications des quatre grandes banques belges, soit Belfius, BNP Paribas Fortis, ING et CBC, a annoncé mardi l’European Payments Initiative (EPI), la société chargée de son développement, lors d’une conférence de presse.
Les utilisateurs de Wero pourront transférer et recevoir de l’argent de manière instantanée, par l’intermédiaire d’un QR code. Pour les clients de Belfius et CBC, il sera également possible d’envoyer de l’argent vers des personnes présentes sur la liste de contacts de leur smartphone, également enregistrées sur Wero. Ces paiements pourront se faire directement depuis leur application bancaire habituelle, et ce de manière entièrement gratuite.
Avec Wero, EPI vise ainsi à créer “un portefeuille de paiement numérique unique et sécurisé, réunissant tous les cas d’usages possibles en une seule solution”.
EPI a également collaboré avec Bancontact Payconiq Company (BPC) dans le cadre du lancement de Wero en Belgique. Dans un premier temps, Wero et l’application de paiement déjà existante Payconiq continueront à coexister. Lorsque Wero sera bien intégrée dans les banques belges et que la phase de transition sera terminée, Payconiq sera remplacée par Wero. La date de son arrêt devrait être communiquée dans le courant 2025.
Intelligence artificielle
Mistral AI lâche une bombe du nom de Pixtral-Large, capable de battre Gemini 1.5 Pro et GPT-4o
usine-digitale.fr par Célia Séramour
Publié le 19 novembre 2024
Construit sur la base de Mistral Large 2, ce modèle multimodal est une attaque directe aux derniers modèles qui alimentent ChatGPT ainsi qu'aux LLM développés par Anthropic. Pour marquer le coup, la start-up française a par ailleurs intégré ce dernier modèle dans son interface conversationnelle "Le Chat", ajoutant des fonctions clés telles que canvas, génération d'images, recherche sur le web.
Mistral AI accélère la cadence. La start-up française la plus en vue dans le domaine de l'IA veut faire ses preuves. Et pour y parvenir, elle n'hésite pas à mettre le paquet sur le développement de ses modèles. Preuve en est avec son dernier modèle tout juste publié : Pixtral Large. Dans le détail, il s'agit d'un modèle multimodal à pondération ouverte de 124 milliards de paramètres (rien que ça) construit sur la base de Mistral Large 2.
Second modèle de la famille de modèles multimodaux, il démontre une compréhension d'images de "niveau frontier", affirme la start-up, insistant sur sa capacité à comprendre des documents, des graphiques et des images naturelles, tout en conservant la compréhension de texte de pointe de Mistral Large 2. Il possède par ailleurs une fenêtre de contexte de 128 000 jetons et peut contenir au moins 30 images haute résolution.
Mistral se mesure à Anthropic, Google et OpenAI
•••
La start-up xAI d'Elon Musk lève 5 milliards de dollars supplémentaires pour rivaliser avec OpenAI
usine-digitale.fr - par Jérôme Martin
Publié le 22 novembre 2024
Le milliardaire souhaite acheter 50 000 cartes graphiques H200 de Nvidia afin de doubler la puissance du supercalculateur Colossus, inauguré en septembre.
Six milliards de dollars au printemps. Et cinq milliards de plus juste avant l’hiver. L'année 2024 aura permis à Elon Musk de remplir les coffres de sa nouvelle start-up xAI, avec laquelle il souhaite s'imposer sur le marché de l'intelligence artificielle générative. Et notamment face à OpenAI, avec qui le milliardaire est en conflit.
Cette nouvelle levée de fonds n’a pas encore été officialisée par la société. Mais elle a été confirmée par ses dirigeants aux autres investisseurs, rapporte le Wall Street Journal. Selon le quotidien américain, l'opération a été réalisée sur la base d’une valorisation de 50 milliards de dollars, soit deux fois plus qu’en mai.
50.000 H200
D'après des sources citées par CNBC, la plus grande partie de cette somme sera apportée par des fonds souverains du Moyen-Orient. Le Wall Street Journal explique ainsi que Qatar Investment Authority sera de la partie. Les fonds américains Sequoia et Andreessen Horowitz devraient aussi remettre au pot.
•••
La « charte IA » : un outil de contrôle et de conformité désormais incontournable
explicite.fr - par Marie-Laure Tredan, Avocate Counsel CMS Francis Lefebvre Avocats
Mûre Maestrati, Avocate, CMS Francis Lefebvre Avocats
Publié le 22 novembre 2024
Comment encadrer l’usage de l’IA par les salariés tout en améliorant la conformité juridique de l’employeur ?
L’intelligence artificielle (l’« IA ») a envahi le monde du travail.
Côté salarié, son utilisation a explosé. Côté employeur, on s’interroge sur les mesures à mettre en place pour se conformer au très récent Règlement sur l’IA (1).
La charte IA, dont la vocation est d’encadrer les usages de l’IA tout en s’inscrivant dans la stratégie de compliance de l’entreprise qui la porte, est à la croisée des chemins.
Encadrer les usages de l’IA par les salariés
Presque un salarié sur quatre (22%) a déjà utilisé un outil d’intelligence artificielle dans le cadre professionnel. Parmi eux, plus de la moitié (55 %) l’ont fait sans en informer leur responsable (Étude IFOP pour LearnThings du 21 décembre 2023 au 3 janvier 2024 (2)).
Cette situation est créatrice de risques importants pour l’employeur – aussi bien juridiques que commerciaux, réputationnels, financiers ou concurrentiels. Il est donc nécessaire de réglementer les usages de l’IA et d’anticiper les écueils qui y sont liés afin de les éviter autant que possible.
C’est précisément l’objectif de la charte IA. Cette dernière, rédigée par l’employeur à destination des salariés, a pour objectif de réglementer les usages par les salariés des divers systèmes et modèles d’IA qu’ils pourraient être amenés à utiliser, tout en définissant les bonnes pratiques à suivre pour limiter les risques liés à cette utilisation et prévoir les outils permettant de s’assurer du bon respect de celle-ci.
Lire la suite : https://www.lexplicite.fr/la-charte-ia-un-outil-de-controle-et-de-conformite-desormais-incontournable/
•••
Kyutai, le surdoué français de l'IA qui rêve de concurrencer OpenAI : "Leur rapidité est exceptionnelle"
express.fr - par Aurore Gayte
Publié le 17 novembre 2024
Tech. Le laboratoire français de recherche, qui souffle sa première bougie, compte déjà à son actif une IA générative vocale impressionnante. Kyutai ne manque pas non plus d’ambition pour la suite.
Lorsque Rodolphe Saadé (CMA-CGM), Xavier Niel (Iliad) et Eric Schmidt (ex-Google) montent sur la scène de Station F le 17 novembre 2023, le secteur français de l’intelligence artificielle retient son souffle. Le résultat est à la hauteur des espérances : les trois entrepreneurs annoncent la création de Kyutai, un laboratoire de recherche en IA à but non lucratif doté de 300 millions d'euros. Sa mission ? Devenir une référence du domaine. Un an plus tard, le directeur général de Kyutai, Patrick Pérez, est tout sourire lorsqu’il rencontre L’Express. A raison : en un an, le laboratoire a déjà signé quelques prouesses, dont la plus importante est sans conteste Moshi. Le chatbot vocal, dont une démo a été dévoilée en juillet et le code source publié en septembre, est impressionnant de rapidité.
Un acteur européen face à OpenAI
Dès le départ, Kyutai a cherché à révolutionner le domaine des assistants vocaux tristement connus jusque-là pour leur lenteur et leur rigidité verbale. "Quand ChatGPT est sorti, cela nous a tous impressionné de pouvoir parler à une IA.
lire la suite (réservé aux abonnés : https://www.lexpress.fr/economie/high-tech/kyutai-le-surdoue-francais-de-lia-qui-reve-de-concurrencer-openai-B7KQN6UV4BCYVD22X5Z43G44XM/
•••
Des agents : C’est quoi ces « encore plus puissantes que CHATGPT », attendues pour 2025 ?
Kesso Diallo
Publié le 23 novembre 2024
Plusieurs entreprises du secteur, notamment Google et OpenAI, travaillent sur des projets "d'agents IA", afin de proposer aux utilisateurs des IA capables de réaliser des tâches en leur nom.
Des IA plus intelligentes que ChatGPT dès 2025. L’année prochaine, plusieurs entreprises du secteur pourraient dévoiler un nouveau type d’intelligence artificielle que l’on appelle des "agents". Google, Anthropic, Microsoft et OpenAI travaillent actuellement sur de tels projets visant à aller plus loin qu’un chatbot capable de répondre à des questions.
"Ce qu’on entend par 'agent', c’est l’idée de ne pas juste avoir une IA qui répond à nos questions, mais une IA qui est capable d’être plus personnelle, qui est capable de prendre des actions pour nous, qui est capable d’anticiper nos besoins et qui est capable aussi de traiter des tâches bien plus complexes", a expliqué Romain Huet, directeur de l’expérience développeur chez OpenAI, auprès de Tech&Co.
Un pont entre ChatGPT et les agents
Après avoir lancé ChatGPT, qui a rencontré un succès fulgurant, ces agents sont la prochaine étape pour la société américaine. Capables de réaliser des tâches à la place des utilisateurs, ils sont destinés à être utiles dans la vie professionnelle comme personnelle. Ils pourraient par exemple parcourir le web à la place de l’internaute pour réserver un vol ou approuver les retours d’articles de clients dans une entreprise pour faire gagner du temps aux employés.
Lire la suite :
Lire la suite : https://webmail.viaduc.fr/?_task=mail&_mbox=ADCET%2FPablo%2FRP%20ADCET%20Novembre%202024
•••
Rencontres AGIR
Les Rencontres AGIR font la part belle à l’intelligence artificielle pour penser demain
actuia.com - par Pierre-yves Gerlat.
Publié le 22 novembre 2024,
Le 28 novembre 2024, la Gendarmerie Nationale organise à Station F, Paris, une nouvelle édition des Rencontres AGIR (Accompagnement pour la Gendarmerie en Innovation et Recherche), un événement incontournable pour explorer les synergies entre innovation technologique, intelligence artificielle et sécurité publique. Cet événement stratégique, inscrit dans le cadre du plan GEND 20-24, vise à renforcer la collaboration entre les acteurs publics, privés et académiques pour répondre aux défis contemporains et futurs de la sécurité.
Les Rencontres AGIR, initiées par la Gendarmerie nationale, visent à partager les besoins opérationnels pour permettre aux industriels de concevoir des solutions adaptées. Bien plus qu’un simple échange, cet événement a déjà généré plus de 2M€ de marchés avec des entreprises rencontrées lors des éditions précédentes. La 4ᵉ édition a pour objectifs de rassembler la communauté de l’innovation des administrations publiques, des entreprises et du monde de la recherche, tout en accélérant la capacité d’action des acteurs d’État. Un hackathon low tech, coorganisé avec l’Agence Innovation Défense et le programme Centurion, impliquera étudiants et futurs ingénieurs pour imaginer les solutions de demain.
Une mobilisation d’envergure
Identité numérique
AVIS D’EXPERT – Identité numérique : quelles tendances pour 2025 et au-delà ?
Publié le 19 novembre 2024
À l’aube de 2025, l’identité numérique s’apprête à connaître une évolution majeure en Europe. Le déploiement des portefeuilles d’identité numérique européens (EUDI), porté par le règlement eIDAS 2.0, vise à transformer en profondeur les démarches d’authentification traditionnelles.
Face aux défis émergents, notamment la menace de l’IA générative dans la fraude à l’identité, l’UE renforce son arsenal réglementaire, tandis que la blockchain s’impose comme une solution d’avenir. Cyril Patou, VP Sales France d’IDnow, un fournisseur de plateformes de vérification d’identité en Europe, dresse un état des lieux des grandes tendances qui façonneront notre identité numérique en 2025.
L’avènement des portefeuilles d’identité numérique se poursuit
Grâce au nouveau règlement eIDAS 2.0, le recours à l’identité numérique est sur le point de transformer radicalement la manière dont les citoyens européens stockent et partagent leurs documents d’identité. Selon Gartner, près de 500 millions d’utilisateurs de smartphones dans le monde disposeront d’un portefeuille d’identité numérique d’ici ) 2026, et parmi eux, les utilisateurs européens du portefeuille d’identité numérique européen, EUDI Wallet. Ce « EUDI Wallet » ne remplacera pas simplement les documents d’identité (carte d’identité, passeport…), mais s’imposera comme un véritable outil multifonctionnel qui permettra de conserver et envoyer une multitude de documents et d’informations
personnelles, allant du permis de conduire aux numéros fiscaux, en passant par les diplômes universitaires.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/avis-dexpert-identite-numerique-quelles-tendances-pour-2025-et-au-dela/
RGPD
75 % des sites web les plus visités aux États-Unis et en Europe ne sont pas conformes aux règles sur la protection de la vie privée et ne respectent pas le consentement explicite (opt-in) exigé par le RGPD
web.developpez.com - par Jade Emy
Publié le 19 novembre 2024
75 % des 100 sites web les plus visités aux États-Unis et en Europe ne sont pas conformes aux réglementations actuelles en matière de protection de la vie privée et ne respectent pas le consentement explicite (opt-in) exigé par le RGPD. Malgré l'augmentation des amendes pour atteinte à la vie privée des deux côtés de l'Atlantique, la plupart des sites web ne respectent pas les exigences en matière de consentement aux États-Unis ou en Europe.
Un nouveau rapport révèle que 75 % des 100 sites web les plus visités aux États-Unis et en Europe ne sont pas conformes aux réglementations actuelles en matière de protection de la vie privée. L'étude de Privado.ai, fournisseur de solutions de protection de la vie privée, montre qu'en dépit d'une application plus stricte de la législation sur la protection de la vie privée en Europe, un pourcentage surprenant de 74 % des sites web les plus visités ne respectent pas le consentement explicite (opt-in) exigé par le règlement général sur la protection des données (RGPD) de l'Europe.
•••
Aménagement numérique du territoire
Couverture numérique : pour les élus la priorité reste la fibre pour tous d'ici 2025
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Édition du vendredi 22 novembre 2024
A l'occasion du Forum sur la couverture numérique du territoire, les élus locaux ont fait entendre leurs inquiétudes alors qu'il reste quelques années pour opérer la bascule du cuivre vers la fibre.
Par Lucile Bonnin
L’arrivée de la fibre, l’arrêt de l’ADSL : ces chantiers ont bousculé au fil des années le quotidien des maires. Avoir une bonne connexion internet est aujourd’hui plus qu’essentiel. « Est-ce qu’on accepterait aujourd’hui que des citoyens soient sans eau courante ? » , interpelle dans la salle Mickael Audegond, maire de Wailly (62).
C’est donc sans surprise que les questions ont été nombreuses durant le Forum consacré à la couverture numérique du territoire au 106e Congrès des maires de France et des présidents d’intercommunalité, le 20 novembre. L’occasion de faire remonter « le ressenti des élus locaux sur le terrain pour nourrir la réflexion dans les échanges avec les partenaires des collectivités » , introduit Michel Sauvade, co-président de la commission numérique de l’AMF.
La priorité de la fibre pour tous
Cybersécurité
Une enquête ouverte après le piratage des comptes Telegram de plusieurs députés
Par B.A. avec AFP
Publié le 22 novembre 2024
Les services de sécurité informatique de l’Assemblée nationale ont alerté les élus sur le risque de compromission de comptes. L’Office anticybercriminalité a été saisi.
La section de lutte contre la cybercriminalité du parquet de Paris a ouvert une enquête après que des comptes Telegram de députés auraient été piratés, a indiqué vendredi le parquet. Sollicité par l'AFP, le parquet a confirmé avoir saisi l'Office anticybercriminalité (Ofac).
Le site d'information Politico a révélé que les élus de l'Assemblée nationale ont reçu mercredi un e-mail de mise en garde de la part des services de sécurité informatique de l'Assemblée nationale, alertant sur des « compromissions de comptes » sur la messagerie instantanée.
à lire aussi Application Telegram : que cache le mystérieux Pavel Durov ?
Ces e-mails les prévenait que s'ils cliquaient sur un lien frauduleux et tapaient leur numéro de téléphone leur compte Telegram pouvait être piraté et utilisé pour envoyer « du contenu malveillant ».
Lire la suite : https://www.lepoint.fr/politique/une-enquete-ouverte-apres-le-piratage-des-comptes-telegram-de-plusieurs-deputes-22-11-2024-2576051_20.php
•••
Alertes pour la détection des menaces de rançongiciel
Publié le 15 novembre 2024
IBM Storage Insights Pro peut alerter sur les attaques potentielles de ransomware sur différents produits IBM Storage Virtualize et IBM Storage FlashSystem. Dans IBM Storage Insights Pro, ces attaques potentielles sont transformées en alertes sur lesquelles les utilisateurs peuvent agir ou qu'ils peuvent transmettre à d'autres outils pour traitement ultérieur.
Quel que soit le IBM Storage Virtualize produit, vous pouvez activer les alertes pour la détection des menaces de ransomware dans IBM Storage Insights Pro en suivant les étapes détaillées dans Activation et désactivation des alertes pour la détection des menaces de ransomware.
Une fois les alertes de ransomware activées et configurées dans IBM Storage Insights Pro, un courriel est envoyé aux adresses électroniques prédéterminées lorsqu'une alerte de menace de ransomware est déclenchée. L'e-mail contient des détails sur l'attaque potentielle du ransomware, y compris un lien vers l'alerte enregistrée dans IBM Storage Insights Pro > Ressources > Block Storage Systèmes > [dispositif spécifique] > Général > Alertes.
Pour les menaces détectées à l'aide de la technologie IBM FlashCore Module 4, ces alertes contiennent le texte " Ransomware Threat Detected. Dans les alertes liées aux autres types de technologie, elles contiennent le texte "Anomalie de charge de travail". Dans tous les cas, la présence d'une menace est mise en évidence dans l'interface graphique et le ou les volumes associés à cette menace sont marqués commeCompromised, ainsi que toutes les copies protégées qui sont prises par la suite.
Les utilisateurs peuvent accuser réception de l'alerte pour indiquer qu'ils ont commencé à gérer la menace. Pour que les utilisateurs effacent complètement l'alerte, ils doivent effacer les volumes associés à la menace. Cela signifie que les futures copies protégées de ce volume effacé seront considérées comme étant à l'abri de toute menace et ne seront pas marquées comme étant compromises.
Lire la suite : https://www.ibm.com/docs/fr/storage-insights?topic=pro-alerts-ransomware-threat-detection
•••
Cybersécurité : le sentiment d'être peu exposées aux risques perdure chez les collectivités
maire-info.com - par Lucile Bonnin
Édition du jeudi 21 novembre 2024
Cybermalveillance.gouv.fr publie sa troisième étude sur la maturité cyber des collectivités à l'occasion du Congrès des maires. Elle met en lumière une prise en compte des risques cyber encore très insuffisante et des budgets dédiés à la sécurité informatique qui restent limités.
Le dispositif national Cybermalveillance.gouv.fr dévoile de nouveaux résultats à travers cette troisième étude menée sur les collectivités de moins de 25 000 habitants. Les communes de moins de 300 habitants représentent 38 % de cet échantillon. Par conséquent, dans la majorité de ces petites communes, la responsabilité informatique relève directement du maire et de son secrétariat.
Concrètement, les collectivités restent des cibles majeures pour les cybercriminels et ce peu importe leur taille. Cependant, la prise de conscience peine à se faire, notamment pour les plus petites communes et des freins à la mise en place d’un système de sécurité subsistent.
Une collectivité sur dix a été victime d’une cyberattaque en 2024
•••
77% des petites collectivités dépensent moins de 2000 euros par an pour leur sécurité informatique
usine-digitée.fr - par Yoann Bourgin
Publié le 19 novembre 2024
Plus de 1700 agents et élus travaillant dans des collectivités françaises de moins de 25 000 habitants ont été interrogés sur le rapport à la cybersécurité dans leur structure. Malgré la mise en place progressive de dispositifs de sécurité, les collectivités territoriales accusent un retard en matière de cyberprotection. En cause, un manque de budget et d'accompagnement, mais aussi une méconnaissance des enjeux.
45% : c'est la part des petites collectivités françaises ayant subi une cyberattaque au cours des 12 derniers mois sans en connaître la cause. Un chiffre qui ressort du troisième baromètre OpinionWay sur la maturité cyber des collectivités françaises, réalisé pour la plateforme Cybermalveillance.gouv.fr auprès de 1700 élus et agents territoriaux de structures de moins de 25 000 habitants.
Les collectivités s'estiment en majorité bien protégées…
Au total, une collectivité sur dix a déclaré avoir été victime d'une cyberattaque depuis l'année dernière (20% pour les collectivités de plus de 5000 habitants). Des incidents de cybersécurité s'étant essentiellement produits suite à des campagnes de phishing (30%), en raison du téléchargement d'un virus (12%) ou après avoir consulté un site infecté (12%). Près de 4 collectivités sur 10 ont subi une interruption de l'activité et/ou du service après une cyberattaque, loin devant la destruction (15%) et le vol de données (12%). À noter que seulement 10% des répondants ont signalé des pertes financières, un chiffre deux fois moins élevé qu'en 2023.
•••
Usurpation d'identité en ligne : une menace croissante MAIS des solutions pour les entreprises et les particuliers
journaldunet.com - Chronique de Jessye Boyer Signaturit Group
L'usurpation d'identité en ligne est devenue l'un des fléaux majeurs de l'ère numérique.
Avec l'essor du digital et la transformation des interactions, les individus et les entreprises sont de plus en plus vulnérables aux cyberattaques, notamment celles impliquant le vol d'identité. En France, 34% (source PWC) des citoyens ont déjà été victimes de ce type de fraude, souvent sans même s'en rendre compte. Les conséquences sont multiples : pertes financières, détérioration de la réputation des entreprises, et impacts sur la vie privée des particuliers. Pourtant, des solutions existent pour se prémunir contre ces risques croissants. Il est essentiel de comprendre les mécanismes de l'usurpation d'identité et d'explorer les solutions technologiques qui peuvent y répondre efficacement.
Quels risques et conséquences pour ce phénomène en forte progression ?
Entre 2020 et 2021, les fraudes à l'identité en ligne ont bondi de 112% en France (source : PWC), un phénomène largement amplifié par la digitalisation accélérée des entreprises pendant la crise du Covid-19. À l’échelle mondiale, les pertes financières dues à l’usurpation d’identité pourraient atteindre 206 milliards de dollars d’ici 2025 (source : Juniper). L'absence de renforcement adéquat des systèmes de sécurité pendant cette période a ainsi offert aux fraudeurs des opportunités sans précédent.
Aujourd’hui, les cybercriminels utilisent des techniques de plus en plus variées pour voler des identités, parmi lesquelles figurent le vol de documents, la falsification de données et le « morphing », une technique permettant de combiner des images pour créer de fausses identités. Certains de ces documents sont même obtenus via des réseaux de vente spécialisés accessibles depuis le dark web.
•••
Cyberattaque : la moitié des collectivités n’en connait pas la cause
solutions-numeriques.com - p r Juliette Paoli
Publié le 19 novembre 2024
1 collectivité sur 10 déclare avoir été victime d’une ou de plusieurs cyberattaques au cours des 12 derniers mois selon une enquête de cybermalveillance.gouv.fr et d’OpinionWay.
L’hameçonnage reste la cause principale dans 30 % des cas. Arrivent en deuxième place le téléchargement d’un virus ainsi que la consultation d’un site infecté, tous deux à 12 %. La faille de sécurité prend la troisième place (10 %). Mais 45 % des collectivités attaquées n’en connaissent pas la cause.
En ce qui concerne les conséquence, les collectivités touchées ont principalement déploré :
- une interruption d’activité et de services (37 %)
- une destruction ou un vol de données (24 %)
- une perte financière (10 %)
- une atteinte à leur réputation (10%)
De façon générale, la considération des risques reste limitée, car les collectivités, et en particulier les plus petites, pensent ne pas être vulnérables.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/cyberattaque-la-moitie-des-collectivites-nen-connait-pas-la-cause/
Détection
Orange révolutionne la détection précoce sous-marine de séismes et tsunamis avec la technologie « Fiber Sensing »
universfreebox.com - Source Ouest France par Maxime Raby
Publié le 21 novembre 2024
Une nouvelle innovation d’Orange s’annonce très prometteuse. Grâce aux câbles sous-marins de fibre optique et l’IA, il va être possible de détecter des signes précurseurs d’un tsunami ou de mouvements sismiques mais aussi d’identifier très rapidement des ruptures et interférences sur ces infrastructures.
Orange a présenté cette semaine lors de l’European Cyber Week à Rennes, une innovation prometteuse dans le domaine des câbles sous-marins : la technologie Fiber Sensing. Associant fibre optique et intelligence artificielle, cette avancée ouvre de nouvelles perspectives pour la surveillance des fonds marins et la détection précoce de phénomènes naturels ou d’anomalies humaines.
Concrètement, la Fiber Sensing repose sur un principe simple mais ingénieux : les impuretés présentes dans une fibre optique renvoient des échos lorsqu’un signal y circule. En analysant ces échos via l’intelligence artificielle, il devient possible de détecter des événements proches des câbles, comme un séisme sous-marin, un glissement de terrain, ou encore la présence d’animaux marins.
Cependant, la portée de cette technologie reste limitée : elle est actuellement fonctionnelle jusqu’à environ 80 kilomètres des côtes, soit la distance moyenne où se trouvent les répéteurs des câbles. Cela couvre les eaux territoriales et une partie des zones économiques exclusives.
Atos
Salon des Maires et des collectivités locales 2024 : la Software République lance la commercialisation de son concept « U1st Vision », une première dans les services mobiles centrés sur le citoyen et sur la santé, avec des premières livraisons prévues fin 2025
mots.net - Communiqué
Publié le 21 novembre 2024
- Le démonstrateur technologique « U1st Vision » de la Software République annonce une nouvelle ère, passant des « services de mobilité » aux « services en mobilité ».
- Le concept de véhicule modulaire « U1st Vision » et les solutions associées de planification et de suivi ont été conçus pour aider les acteurs publics et les prestataires de services privés à fournir de nouveaux services de proximité.
- La Software République, EssilorLuxottica, Praesens, Withings et 12 autres contributeurs révèlent un premier cas d’usage de cette plateforme de prestation de services avec le module « Health Pop-Up » qui déploie des services de santé décentralisés, humanisés et sécurisés là et lorsque cela est nécessaire.
Salon des Maires et des collectivités locales, Paris, France – 19 novembre 2024
La Software République, un écosystème d’innovation ouverte pour une mobilité intelligente, sécurisée et durable, dévoile aujourd’hui le concept « U1st Vision » (You First Vision). Ce démonstrateur technologique innovant met en scène sa vision de services « plus proches du citoyen », en lui offrant un accès facilité à une gamme de services de proximité variés, personnalisés et sécurisés.
Le démonstrateur « U1st Vision » est composé de 2 parties : un module autonome multiservices (« pop-up »), sur une plateforme de véhicule utilitaire électrique (FlexEVan), qui rassemble les innovations des 7 membres de la Software République et de ses partenaires impliqués sur ce concept.
Le cas d’usage « Health Pop-up »
•••
ATOS : Contrat pour un supercalculateur en Finlande
mercredi 20 novembre 2024 à 09h18
(CercleFinance.com) - Atos annonce un contrat cadre d'un montant allant jusqu'à 60 millions d'euros pour sa division Eviden, avec CSC - IT Center for Science en Finlande pour le développement de 'Roihu', le tout nouveau supercalculateur national de Finlande.
Grâce à Roihu, le CSC triplera la capacité de calcul des systèmes existants 'Mahti' et 'Puhti', et augmentera également de manière significative ses performances en l'intelligence artificielle', explique le groupe de services informatiques.
Construit à partir de sa plateforme hybride BullSequana XH3000, le nouveau système couvrira un large éventail de cas d'usage, notamment l'analyse d'enregistrements et les simulations telles que la dynamique des fluides ou encore la modélisation du climat.
Lire la suite : https://www.tradingsat.com/atos-FR0000051732/actualites/atos-atos-contrat-pour-un-supercalculateur-en-finlande-1127526.html
Thales
Thales présente GenAI4SOC, son IA générative pour accélérer la détection des cyberattaques
usine-digitale.fr par Alice Vitard
Publié le21 novembre 2024
Thales lance un nouvel outil dédié aux analystes en sécurité informatique. Alimenté par l’IA générative, GenAI4SOC leur propose une règle à appliquer, issue de la compréhension en langage naturel des rapports de renseignement de Thales. Le but : accélérer la détection des menaces et s’adapter aux évolutions extrêmement rapides du paysage cyber.
A l’occasion de la European Cyber Week qui se tient à Rennes du 19 au 21 novembre 2024, un événement dédié à la cybersécurité, Thales annonce le lancement d’une innovation dédiée aux SOC (Security Operations Center), le centre de gestion de la sécurité informatique qui veille à la surveillance, à la détection, à l'analyse et à la réponse aux incidents de sécurité.
Son petit nom : "GenAI4SOC". Développé par les équipes de cortAIx, l’accélérateur d’IA de Thales, il utilise l’apport de l’intelligence artificielle générative pour accélérer la détection des cybermenaces. Il repose sur "une base de connaissances de cybersécurité souveraine". Elle est alimentée par différentes sources de Thales (Cyber Threat Intelligence ou renseignement d’intérêt cyber, bibliothèque de règles de détection, veille de vulnérabilités), en particulier centrées sur les activités civiles critiques (finances, assurances, automobile, industrie, énergie), les activités de défense, aéronautiques et spatiales.
Industrialiser les règles de détection
Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/thales-presente-genai4soc-son-ia-generative-pour-accelerer-la-detection-des-cyberattaques.N2222953
•••
Dans le sud de la France, la R&D de Thales prépare le passeport du futur
usinenouvelle.com - par Pauline Bandelier
Publié le 23 novembre 2024
Sur ses sites de Gémenos et de La Ciotat (Bouches-du-Rhône), Thales fabrique plusieurs centaines de millions de cartes bancaires et se prépare à un marché de plus en plus numérisé. Alors qu'un passeport dématérialisé doit voir le jour en 2026 en Europe, le groupe électronique français commercialise déjà des solutions d'identité comparables aux États-Unis et en Australie.
Comme les Américains du Queensland et de plusieurs États d'Outre-Atlantique, les Français pourraient bientôt se contenter de tendre leur smartphone pour justifier de leur identité. Ce «passeport électronique», qui doit voir le jour d'ici à 2026, selon un règlement européen, Thales, qui produit dans le berceau historique de la carte à puce à Gémenos (Bouches-du-Rhône), est prêt à le diffuser largement. Les cartes à puce du spécialiste de la sécurité permettent déjà d'intégrer son permis de conduire sur son téléphone. Pour le futur passeport, «la carte à puce du téléphone contiendra un élément intégré de vérification d'identité, une clé secrète. Pour les téléphones plus anciens, nous avons développé une solution 100 % logicielle, que nous faisons régulièrement tester par des hackeurs éthiques», détaille David Jencel, le chef produit documents numériques de Thales.
Lire la suite : https://www.usinenouvelle.com/article/dans-le-sud-de-la-france-la-r-d-de-thales-prepare-le-passeport-du-futur.N2220155