Mobilité
Projet de métro à Bordeaux : un tracé privilégié pour un budget dépassant 2 milliards d’euros
bougerabordeaux.com - Par Yann
Publié le 20 avril 2024
Alors que Bordeaux dispose d’un réseau de tramway parmi les plus denses de France, le projet de métro franchit une nouvelle étape décisive. Jeudi 17 avril, les conclusions de la seconde phase d’études ont été présentées aux élus de Bordeaux Métropole, confirmant la préférence pour un tracé nord et un budget estimé entre 2,15 et 2,25 milliards d’euros.
Un projet qui avance pas à pas
Ce vieux serpent de mer bordelais poursuit ainsi son cheminement, même si la Métropole reste prudente quant à sa concrétisation. Après l’analyse comparative de deux tracés présentés en septembre 2023, c’est l’option nord qui a été retenue. Ce parcours, qui relierait Lormont à Pessac avec une vingtaine de stations, présente un potentiel de fréquentation estimé à 157.000 voyageurs quotidiens, contre 112.000 pour le tracé sud.
Selon Bordeaux Métropole, ce choix s’explique par « un meilleur impact en termes de fréquentation, de complémentarité avec le réseau existant et d’optimisation du service« . Le tracé nord aurait notamment l’avantage de desservir les principaux pôles d’attraction de l’agglomération : l’hôpital Pellegrin, la gare Saint-Jean, le campus universitaire, tout en assurant la liaison entre la rive droite et le quartier d’affaires Euratlantique.
Si le projet avance, plusieurs interrogations techniques persistent. Lire la suite : https://www.bougerabordeaux.com/actu/projet-de-metro-a-bordeaux-un-trace-privilegie-pour-un-budget-depassant-2-milliards-deuros/
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Elles arrivent en France : ces navettes autonomes sont-elles le futur des transports urbains ?
tf1info.fr - Par La rédaction de TF1info - Reportage : Pierre Gallacio, Erina Fourny
Publié le 22 avril 2025
Ses concepteurs décrivent l'Urbanloop comme le mode transport le plus écologique et le plus économique au monde.
Ce système de transport urbain innovant fait actuellement l'objet d'une expérimentation près de Paris.
Une première ligne devrait voir le jour à Nancy courant 2027.
La technologie peut aussi contribuer à limiter les méfaits du changement climatique. La preuve avec l'Urbanloop, un système de navettes autonomes mis au point par une startup tricolore et testé actuellement sur une piste de deux kilomètres qui a récemment été aménagée au sein de la base de loisirs de Saint-Quentin-en-Yvelines, non loin de Paris. Ce test grand public vise à recueillir les avis et les expériences des habitants, en vue de son futur déploiement à grande échelle.
Les curieux venus ce jour-là pour tester l'engin sont séduits. "Quand cela va vite, c'est super ! J'aime bien les manèges. Ce serait bien qu'ils le développent en ville !", s'amuse une femme dans la vidéo du JT de TF1 qui accompagne cet article. "Pour les familles qui ont des poussettes avec des jeunes enfants, c'est vraiment très utile", soutient une autre devant notre caméra. Circulant sur des rails électrifiés et pouvant atteindre la vitesse de 50 km/h, chaque capsule - semblable à une télécabine montée sur pneus - peut accueillir jusqu'à deux passagers.
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Mobilité solidaire : comment construire une stratégie locale ?
Publié le 25 avril 2025
La transition des territoires implique de travailler dans l'esprit d'une transition juste, en particulier pour les publics fragiles. Aussi, dans toutes les actions qu'il porte sur les mobilités au quotidien, le Cerema intègre à part entière les enjeux d'une mobilité "pour tous", et s'attache à prendre en compte les plus précaires et les publics éloignés pour permettre l'accès de tous à la mobilité. Il est par exemple présent auprès de collectivités pour les aider à déployer les mobilités solidaires.
Au-delà de ce travail d'intégration transversale, le Cerema développe également des missions spécifiques en faveur de l'organisation des mobilités solidaires. En 2021, le Cerema lançait, par exemple, un appel à projet avec la Fondation Macif pour soutenir des territoires dans la mise en place de services de mobilités solidaires comme le Transport d'utilité sociales (TUS) : 11 projets ont été accompagnés, travail qui a permis la sortie d'un rapport de synthèse pour contribuer à la montée en compétence des porteurs de projets.
Cependant, cet engagement du Cerema prend aujourd'hui une dimension plus importante en intégrant les dimensions de diagnostic, d'élaboration de stratégies locales et d'animation et de formation des acteurs.
Réaliser un diagnostic de la mobilité solidaire sur un territoire
Lire la suite : https://www.cerema.fr/fr/actualites/mobilite-solidaire-comment-construire-strategie-locale
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Fret ferroviaire : l’Alliance 4F pousse pour un engagement fort de l’État
constructioncayola.com - Par la rédaction
Publié le 24 avril 2025
À l’approche de la Conférence de financement des mobilités « Ambition France Transports » prévue le 5 mai, l’Alliance 4F a rencontré Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports, pour défendre une vision ambitieuse et structurante du fret ferroviaire en France.
Représentée par Raphaël Doutrebente (Europorte), Aurélien Barbé (GNTC), Frédéric Delorme (Rail Logistics Europe) et Florence Rodet, la délégation a rappelé les efforts de co-construction menés depuis 18 mois avec la DGITM et SNCF Réseau. Une trajectoire d’investissement 2023-2032, désormais techniquement finalisée, attend son inscription dans une loi de programmation avec des financements pérennes à hauteur de 4 milliards d’euros, conformément au programme Ulysse Fret.
Réorientation des fonds autoroutiers et rejet des méga-camions
Philippe Tabarot a confirmé son intention de flécher les produits issus des concessions autoroutières vers le rail. L’Alliance 4F salue cette décision, qui vise à moderniser les infrastructures, améliorer la desserte des zones industrielles et renforcer l’attractivité du mode ferroviaire.
Autre point d’accord : le ministre a réaffirmé son opposition aux méga-camions, dénonçant leur impact négatif sur les infrastructures et leur contradiction avec la politique de report modal vers le rail.
Un secteur mobilisé pour la souveraineté logistique
Lire la suite : https://www.constructioncayola.com/rail/article/2025/04/24/152546/fret-ferroviaire-alliance-4f-pousse-pour-engagement-fort-etat
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Conférence de financement des transports : les maires veulent avoir voix au chapitre
ville-rai-transports.com - par Par Nathalie Arensonas
Publié le 22 avril 2025
A deux semaines du lancement d’Ambition France Transports, la conférence nationale sur le financement des mobilités, à Marseille par le ministre des Transports, l’Association des maires de France (AMF) donnent de la voix. « En France, 90%, 80% en moyenne selon l’Observatoire des territoires] des déplacements se font en voiture, cette part n’a pas changé depuis 30 ans malgré tout le développement [en faveur] des transports collectifs. Parler du financement des mobilités, c’est parler des transports collectifs en site propre, du ferroviaire mais aussi de cette réalité automobile. Et donc, du réseau routier », interpelle David Lisnard, maire de Cannes et président de l’AMF qui représente les maires des 35 000 communes et du millier d’intercommunalités françaises.
Or, selon l’élu qui tenait une conférence de presse ce matin à Paris, l’essentiel de la charge des routes et des voiries (entretien, aménagements) repose sur ces collectivités locales qui se sont vu transférer par l’Etat 717 000 km de routes, soit 65,5% de réseau routier. Sans transfert de ressources, ni recettes dédiées, martèle l’élu. Les départements gèrent 32,5% du réseau routier, l’Etat 20 000 km, dont 10 000 km sont concédés au privé.
Lire la suite (réservée aux abonnés) : https://www.ville-rail-transports.com/politique-transports/conference-de-financement-des-transports-les-maires-veulent-avoir-voix-au-chapitre/
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Déplacements : la mobilité des métropolitains à la loupe
metropole.rennes.fr - par Arthur Barbier
Publié le Mardi 22 avril 2025
e plan de déplacements urbains 2020-2030 objective la mobilité des 500 000 habitants de la métropole à l'horizon 2030. À mi-parcours, les services de Rennes Métropole et de l'Agence d'urbanisme et de développement intercommunal de l'agglomération rennaise (AUDIAR) notent déjà des évolutions positives dans l'usage des transports en communs et du vélo et le recul de l'usage de la voiture.
Confinement, ouverture de la ligne b du métro, redéploiement du réseau de bus ont permis aux métropolitains de se déplacer différemment. Les signaux d'évolutions de pratiques sont encourageants sur les premières années du PDU 2020-2030 dont voici les premiers enseignements.
Le recul de l'usage de la voiture
L'enquête Fréquence+ (2023) montre une baisse notable de l'utilisation de la voiture. Un constat mesuré dans l'intra-rocade, mais aussi dans toute la métropole (-2% de trafic routier selon la DIRO/CD35 et Rennes Métropole). La part modale (proportion d'un mode de transport dans l'ensemble des déplacements effectués) baisse de 1 point par rapport à 2018 soit 47,2% "de voiture" pour les métropolitains contre 31% pour les Rennais faisant de la capitale bretonne l'une des villes françaises ou l'on utilise le moins la voiture.
Le grand "boum" des transports en commun
+96% pour le vélo en 6 ans
Lire la suite : https://metropole.rennes.fr/deplacements-la-mobilite-des-metropolitains-la-loupe
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Un bouton plutôt qu'un marteau : la petite révolution du brise-vitre dans les transports en commun
tf1info.fr - Par P. F.
Publié le 25 avril 2025
Ceux qui prennent les transports en commun le connaissent bien.
Un petit marteau se trouve dans chaque rame de métro ou bus afin de pouvoir briser la vitre en cas de problème.
Une entreprise française a inventé un tout nouveau système pour le remplacer.
Et si le marteau pour casser les vitres dans les transports en commun laissait bientôt place à une nouvelle solution ? Brekky, un marteau électronique, innovation 100% française, est une révolution en matière de sécurité. "Le premier intérêt, c'est d'avoir un dispositif qui est très facilement activable", explique dans la vidéo en tête de cet article Hubert Forgeot, le créateur de l’instrument et PDG d’Aguila. Il pointe la rapidité de cette sorte de petit bouton à appliquer sur la vitre par rapport au marteau traditionnel : quand briser une vite avec le second prend environ une minute, "nous, on est à moins de 10 secondes, très largement". Bien souvent, en effet, en cas d'accident, le marteau manuel n'est pas ou est mal utilisé, car difficile à manier.
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Mobilité urbaine : vers une contribution du e-commerce pour financer le « RER à la lyonnaise » ?
lyon-entreprises.com - Par Lyon Enterprises
Alors que les projets de mobilités durables se multiplient dans la Métropole de Lyon, une proposition émerge avec force : faire contribuer les plateformes de e-commerce au financement des infrastructures, notamment les SERM, ces futurs trains express régionaux à la lyonnaise. Une idée portée par Christophe Geourjon, conseiller métropolitain et régional, qui souhaite rééquilibrer les efforts financiers entre acteurs locaux et géants du numérique.
Une proposition face à une réalité économique déséquilibrée
Le constat est partagé par nombre d’élus et de commerçants : les plateformes de e-commerce bénéficient largement des infrastructures sans y contribuer proportionnellement, tandis que les artisans, commerçants et TPE doivent assumer des charges multiples (loyers, taxes, coûts fixes).
En 2023, le chiffre d’affaires du e-commerce en France a atteint 160 milliards d’euros (source FEVAD), en hausse de 98,6 % depuis 2017. Dans le même temps, le nombre de colis livrés a bondi de 60 %, atteignant 1,7 milliard de livraisons en 2024, soit près de 6 millions par jour (source ARCEP).
Ces volumes colossaux mettent une pression considérable sur les réseaux de transport urbains, notamment dans les zones denses comme la Métropole de Lyon. Or, les coûts liés à la congestion, à l’entretien des voiries et au développement des infrastructures sont aujourd’hui principalement supportés par les collectivités… et indirectement par les contribuables locaux.
Une idée simple : un levier de financement sans créer de nouvelles charges pour les TPE/PME
Lire la suite : https://www.lyon-entreprises.com/actualites/article/mobilite-urbaine-vers-une-contribution-du-e-commerce-pour-financer-le-rer-a-la-lyonnaise
Services Publics
Crèches, tickets de bus... Une centaine de communes de l'Aisne affichent le coût réel des services publics
tf1info.fr - par Hamza HIZZIR - Reportage TF1 : Thibault PETIT, Guillaume VUITTON
Publié le 25 avril 2025
Près d'une centaine de communes autour de Château-Thierry (Aisne) ont décidé d'afficher dans les rues les coûts réels des services publics.
Un exercice pédagogique visant à justifier auprès de la population l'augmentation de certains tarifs.
Ce reportage du JT de TF1 montre des différences de prix parfois exorbitantes.
La communauté d'agglomération de la région de Château-Thierry (CARCT), regroupant 87 communes du sud du département de l’Aisne, a voté, début février, un budget de crise prévoyant notamment une augmentation des taux de fiscalité de 1,4% pour les ménages et les entreprises. Mais, soucieuse d’anticiper d’éventuels mécontentements, elle a lancé, en parallèle, une campagne d’information novatrice consacrée au coût réel des services publics, c’est-à-dire les dépenses qu’ils représentent pour la collectivité locale, en comparaison avec les prix payés par les usagers.
Quatre services en particulier sont ainsi mis en exergue sur des affiches placardées un peu partout dans les rues : les transports en commun, les écoles de musique, les centres de loisirs et les crèches. Concernant ces dernières, par exemple, quand les parents payent en moyenne 1,50 euro pour une heure de garde, l’agglomération débourse, elle, 13,53 euros, nous apprend cette campagne. "Du coup, je me dis qu’on a de la chance de ne payer qu’un euro et quelque", réagit, au micro de TF1, dans le reportage du JT visible en tête de cet article, une mère de famille concernée.
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IA et services publics : la Cnil tire les conclusions de son projet d’accompagnement « bac à sable »
archimag.com - Par Kaelig Alléaume
Publié le 22/04/2025
La Cnil vient de dévoiler les enseignements tirés de son troisième « bac à sable », dédié à l’intelligence artificielle dans les services publics. Trois projets concrets ont servi de terrain d’expérimentation pour affronter les défis de l’IA sous l’angle du RGPD.
Six mois d'expérimentation, trois projets publics autour de l’intelligence artificielle, un objectif : bâtir une IA conforme au RGPD et utile aux citoyens. Le 11 avril 2025, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) a publié les résultats de la troisième édition de son « bac à sable », cette fois dédiée à l’IA dans les services publics. Ce dispositif, lancé via un appel à projets à l’été 2023, offre un accompagnement approfondi à des porteurs de projets innovants pour résoudre les défis juridiques et techniques liés aux données personnelles dès la conception.
Trois cas d’usage emblématiques ont été passés au banc d’essai : une IA d’aide à la formation des demandeurs d’emploi (France Travail), un système de sensibilisation à la consommation d’eau (Nantes Métropole) et une technologie de captation vidéo non intrusive (RATP). Pour chaque projet, la Cnil a ciblé des risques tels que l’automatisation aveugle, l’usage excessif ou biaisé des données, et a formulé des recommandations concrètes pour garantir une intervention humaine éclairée et une IA réellement sous contrôle.
Des recommandations ciblées pour des usages très concrets
A la RATP par exemple, les capteurs “temps de vol” ont été testés pour détecter des mouvements ou des anomalies sans capturer de visages reconnaissables. Mais dans un environnement couvert par la vidéoprotection, ces images peuvent être croisées avec d'autres sources et redevenir identifiantes. Lire la suite : https://www.archimag.com/univers-data/2025/04/22/ia-services-publics-cnil-conclusions-projet-accompagnement-bac-sable
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L’État cherche des IA qui répondent aux besoins du secteur public
francetvinfo.fr - Par Nicolas Arpagian Radio France
Publié le 19 avril 2025
Le sujet de l’Intelligence Artificielle s’est banalisé dans notre quotidien : au bureau, à la maison ou dans l’enseignement. Maintenant c’est au tour de l’État de lancer un appel pour identifier les solutions d’IA qui pourraient répondre aux besoins du secteur public.
Quand il a identifié un besoin pour une prestation précise ou un équipement particulier, l’acheteur public publie un cahier des charges très complet et sollicite les candidatures d’entreprises spécialisées. Quand le besoin est plus diffus, et les attentes plus incertaines en raison de la grande variété des options technologiques envisageables, l’État peut alors initier un Appel à Manifestation d’Intérêt.
Ce qui permet de faire émerger des propositions de toutes parts sans qu’un besoin précis ait été spécifiquement exprimé. C’est ce que vient de faire la Direction Interministérielle de l’État (DINUM) avec un appel lancé aux éditeurs d’IA Génératives pour qu’ils lui transmettent toutes les solutions qui pourraient utilement répondre aux besoins du secteur public.
Une consultation ouverte jusqu'au 15 mai 2025
Un site Internet sur la plateforme numerique.gouv (Nouvelle fenêtre) du gouvernement est accessible jusqu’au 15 mai 2025 à tous les concepteurs de solutions d’IA génératives. Ce sont les programmes qui permettent de produire des textes, des vidéos, des images ou des sons à partir de bases de données et de modèles algorithmiques ayant été entraînés.
Lire la suite : https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/nouveau-monde/l-etat-cherche-des-ia-qui-repondent-aux-besoins-du-secteur-public_7170972.html
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Services Publics + : renforcer la qualité et l’efficacité des services publics
ardeche.gouv.fr - Communiqué
Publié le 24 avril 2025
La qualité et l’efficacité des services rendus aux Français est une priorité du Gouvernement réaffirmée par la Première ministre à l’occasion du CITP du 9 mai 2023.
C’est le sens de Services Publics +, le programme d’amélioration continue de toutes les administrations en contact avec le public. Plus de 3,7 millions d’agents sont mobilisés pour déployer Services Publics + dans près de 50 grands réseaux de services publics et 14 ministères.
Ce programme fait des avis des Français la clé de la transformation des services publics, à travers une démarche portée par les agents publics, avec un objectif : des services publics plus proches, plus simples et plus efficaces.
8 engagements pour répondre aux attentes des Français
Les attentes prioritaires des Français portent notamment, selon le baromètre de la Complexité – Particuliers (BVA, 2022), sur l’amélioration des délais de traitement (35 %), l’accès à un interlocuteur compétent et à une relation personnalisée (32 %), la rationalisation des démarches (25 %), la simplification de la communication et des formulaires (20 %).
Lire la suite : https://www.ardeche.gouv.fr/Services-de-l-Etat/Prefecture-et-sous-prefectures/Services-Publics-renforcer-la-qualite-et-l-efficacite-des-services-publics
Intelligence artificielle
40 % des emplois menacés par l’IA
laminute.substack.com - Communiqué
Publié le 21 Avril 2025
Le rapport de la CNUCED publié le 7 avril 2025 alerte sur l’importance de l’IA pour l’économie mondiale : le marché de l’IA devrait atteindre 4 800 milliards $ d’ici 2033, soit à peu près la taille de l’économie allemande UN Trade and Development (UNCTAD). Dans ce contexte, jusqu’à 40 % des emplois mondiaux pourraient être impactés (remplacement partiel ou complémentarité), posant un défi inédit en termes d’inégalités et de préparation des travailleurs UN Trade and Development (UNCTAD). Cette redistribution des gains bénéficie largement au capital : 100 entreprises – principalement américaines et chinoises – concentrent 40 % des dépenses mondiales de R&D en IA, creusant un fossé technologique entre pays développés et pays en développement UN Trade and Development (UNCTAD). Rebeca Grynspan, Secrétaire générale de la CNUCED, insiste sur la nécessité de centrer l’action sur l’humain et de promouvoir une gouvernance inclusive pour « mettre les personnes au cœur du développement de l’IA » GMA Network | News and Entertainment. Pour éviter que l’IA ne creuse les inégalités, il est crucial d’investir massivement dans la montée en compétences, les filets de sécurité sociale et des cadres réglementaires adaptés IMF.
1. Répartition géographique de l’impact
• Économies avancées : environ 60 % des emplois y sont exposés à l’IA, du fait de la prépondérance des tâches cognitives IMF.
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L'IA change les règles du jeu en cybersécurité : vers une accélération du phishing ciblé contre les opérations critiques des entreprises
Actuia.com - Par Marie-Claude Benoit
Publié le 25 avril 2025
Sommaire
Un paysage du phishing remodelé par la GenAI
Des réseaux sociaux à la cybersphère : les nouvelles frontières du risque
Les cybercriminels portent leur attention sur les marchés émergents
Le rapport 2025 de ThreatLabz, l'équipe de recherche en cybersécurité de Zscaler, révèle une métamorphose du paysage des cybermenaces. Si le volume global des attaques par phishing recule (-20 % au niveau mondial en 2024), leur nature devient plus sophistiquée, plus ciblée, et plus difficile à détecter. Ce glissement, loin d'être anecdotique, questionne en profondeur les stratégies de cybersécurité d'entreprise.
Un paysage du phishing remodelé par la GenAI
Là où les campagnes de phishing de masse misaient sur le volume, les nouvelles attaques, dopées à l'IA générative, ciblent les fonctions critiques de l'entreprise : finances, ressources humaines, paie, IT. Ces attaques chirurgicales exploitent les failles humaines avec une précision redoutable, en simulant des contenus professionnels quasi indiscernables des véritables échanges internes de l'entreprise. Grâce à une personnalisation extrême, l’IA déjoue les systèmes traditionnels de détection, qui reposent sur des signatures ou des heuristiques classiques.
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Grok : l’IA d’Elon Musk peut désormais voir en temps réel via la caméra de l’iPhone
lesnumeriques.com - Par Florent Lanne
Publié le 20 avril 2025
L'intelligence artificielle Grok peut désormais voir en temps réel. À ce stade, cette mise à jour est uniquement disponible sur les appareils iOS.
Le rythme de la course à l'intelligence artificielle ne faiblit pas. D'après une publication d'Elon Musk sur X, l'IA Grok vient de déployer une nouvelle fonctionnalité lui permettant de "voir" en temps réel. Cette mise à jour n'est pas sans rappeler les avancées de ses concurrents avec Gemini et ChatGPT Vision.
Grok déploie une fonctionnalité similaire à Gemini et ChatGPT Vision
À l'image des fonctionnalités proposées dans Gemini et ChatGPT, Grok peut désormais voir en temps réel par le biais de la caméra sur iOS. L'IA du milliardaire américain est capable d'identifier des objets, d'analyser l'environnement dans le champ de vision ou encore lire du texte à la volée.
Comme on le voit dans cette vidéo publiée sur X, Grok est en mesure de répondre vocalement lorsqu'on lui demande ce qui apparaît à l'objectif de la caméra. À ce stade, la vision en temps réel de l'entreprise xAI, maison mère de Grok, est uniquement accessible sur iOS. Il est impossible de l'utiliser en version ordinateur, comme Google le fait par le biais de sa plateforme Google AI Studio qui permet de partager l'écran du PC avec Gemini.
Identité
Attention à cette arnaque vous proposant d’obtenir une carte d’identité à 39 euros
acte-orange.fr - par LG, 6Medias
Publié le 22 avril 2025
Un site frauduleux propose de réaliser une pré-demande de carte d’identité contre 39 euros. C’est impossible : seule la plateforme officielle du gouvernement permet cette démarche.
Plusieurs internautes tombés dans le piège alertent sur une nouvelle forme d’arnaque en ligne, rapportait CNews, le 21 avril. Un site internet, "cni-fra.fr", propose en effet aux utilisateurs d’adresser une "pré-demande de carte d’identité" afin de procéder à sa création ou son renouvellement. Tarif : 39 euros pour les majeurs, 29 pour les mineurs. Mais il s’agit en tous points d’une fraude.
La page se joue de la méfiance des utilisateurs en assurant effectuer les demandes "par l'intermédiaire de l'ANTS (agence nationale des titres sécurisés)", agence gouvernementale et seule habilitée à effectuer ce type de démarches. C’est impossible : pour recourir aux services de la vraie plateforme, la seule voie possible est de se rendre directement sur son site officiel, ants.gouv.fr.
La carte d’identité numérique gratuite pour tous
L’arnaque en question est plus susceptible que jamais d’attraper plus d’un internaute aux tendances crédules. En effet, depuis le 31 mars, n’importe quelle personne majeure disposant de l’ancienne version de la carte d’identité (grand format) a le droit de faire une demande de renouvellement pour obtenir gratuitement la nouvelle version. Conçue au format carte bancaire, elle permet à son titulaire de générer un double numérique de sa pièce d’identité.
Lire la suite : https://actu.orange.fr/france/attention-a-cette-arnaque-vous-proposant-d-obtenir-une-carte-d-identite-a-39-euros-magic-CNT000002isR2v.html
Paiement électronique
Paiements dématérialisés en Europe : des appels à la souveraineté et à l’unité, dans un paysage très divisé
lemonde.fr - Par Marc Angrand
Publié le 22 avril 2025
L’opérateur du système de paiement mobile Wero prône la coopération entre acteurs européens du marché face aux poids lourds américains et chinois, après les dissonances récentes.
Commerce, défense, investissement, marchés financiers… et paiements. Le discours sur la nécessité de renforcer la souveraineté européenne a trouvé une nouvelle déclinaison.
European Payments Initiative (EPI), le consortium de banques à l’origine du système de paiement par virement instantané Wero, lancé en 2024 en Allemagne, en Belgique et en France (où il se substitue progressivement au système français Paylib), a appelé, mardi 22 avril, « toutes les solutions de paiement numérique représentatives en Europe à unir leurs forces » afin de créer une solution « partagée par tous ».
Pour EPI, qui revendique plus de 40 millions de clients inscrits au service Wero, l’objectif doit être de favoriser l’interopérabilité entre des systèmes existants souvent incompatibles et concurrents, pour permettre aux Européens « d’effectuer des paiements transfrontaliers et d’obtenir une couverture complète européenne ».
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L’euro numérique permettra-t-il de reprendre le contrôle sur les paiements ?
solutions-numériques.com - Par la rédaction
Publié le 24 avril 2025
Une nouvelle réunion de préparation à l’euro numérique s’est tenue le 22 avril à la Banque centrale européenne. Cette dernière ainsi que les autres banques centrales soutiennent cette initiative visant à préserver la souveraineté européenne face aux États-Unis.
“Dans le contexte d’une forte dépendance aux solutions et réseaux de paiement américains, la Banque de France soutient ainsi et participe pleinement au projet d’euro numérique conduit par l’Eurosystème, qui constituera une alternative publique préservant la liberté de choix des moyens de paiement, la souveraineté et la concurrence en zone euro”, a réaffirmé Denis Beau, premier sous-gouverneur de la Banque de France, lors d’une présentation sur les paiements à Limoges.
Les positions récentes prises par la nouvelle administration américaine, et notamment l’adoption le 23 janvier dernier d’un décret présidentiel, sont de nature à amplifier des risques économiques et géopolitiques. Le texte interdit tous les travaux liés au développement d’une nouvelle forme de monnaie centrale adaptée aux évolutions technologiques. Il promeut le développement de stablecoins adossés au dollar. Il encourage les citoyens et les entreprises à utiliser des blockchains publiques. Il lie les monnaies au dollar et à l’économie américaine.
Lire la suite : https://www.solutions-numeriques.com/leuro-numerique-permettra-t-il-de-reprendre-le-controle-sur-les-paiements/
Désinformation
Des rumeurs sur Brigitte Macron au train de vie de Zelensky : comment la Russie infiltre les IA pour propager de la désinformation.
bfmtv.com - Par Théotim Raguet
Publié le 20 avril 2025
En diffusant une quantité massive de fausses informations via des articles sur internet ou sur les réseaux sociaux, la Russie parvient à influencer les réponses des chatbots les plus utilisés.
La Russie semble avoir trouvé son nouveau terrain de jeu pour diffuser de la désinformation. Les chatbots, comme ChatGPT, Perplexity ou Grok, commencent à devenir une source courante d'information pour de nombreuses personnes. Ils ne sont cependant pas imperméables à la désinformation malgré les garde-fous.
En disséminant de fausses informations dans les bases de données qui nourrissent les IA, certains groupes malintentionnés sont en mesure d'influencer les réponses des chatbots. Selon Newsguard, une organisation contre la désinformation, un tiers des réponses générés par les dix principales IA validaient les opinions relayées par les médias pro-russes.
La France est notamment dans la ligne de mire du Kremlin. En cause, un contexte international tendu où la France se place comme un des principaux alliés de l'Ukraine.
Saturer internet
Cybersécurité
Christophe Husson (ComCyber-MI) : « Nous sommes des lanceurs d’alerte »
itforbusiness.fr Par La rédaction
Publié le 25 avril 2025
À la tête des équipes de la Gendarmerie spécialisées dans la lutte contre la cybercriminalité, Christophe Husson revient ici sur les chiffres de cette délinquance en France, et spécifiquement sur les risques encourus par les PME et les plus petites entreprises. Et si le dispositif Diagonal, expérimenté par la Gendarmerie nationale depuis 2022 pour les aider à anticiper en faisant le point sur leur niveau de protection, va disparaître cette année, il a fortement inspiré l’ANSSI qui va proposer à la place « MonAideCyber ».
Entretien avec Christophe Husson, Général de division de gendarmerie, chef du COMCYBER-MI
Créé par décret en novembre 2023, entré en vigueur le 1er décembre suivant, le COMCYBER-MI (Commandement du ministère de l’Intérieur dans le cyberespace) est un service à compétence nationale en charge de la lutte contre la cybercriminalité. Il est composé de gendarmes, de policiers et de magistrats. Correspondant de l’ANSSI et d’Acyma sur le volet prévention, il a une compétence judiciaire nationale, est chargé de l’acculturation des forces de l’ordre à la cyber et dispense des actions de sensibilisation auprès des entreprises, des collectivités locales et des établissements de santé.
Quel regard portez-vous, en tant qu’opérationnel, sur l’état de la cybermenace qui pèse sur la France ?
Cette menace ne cesse d’augmenter depuis plus d’une dizaine d’années. Pour 2025, je pense que la tendance sera assez similaire à celle dégagée précédemment. Dans notre premier rapport annuel sur la cybercriminalité (voir encadré), 278 770 infractions numériques (harcèlement, injures, discriminations, menaces, escroqueries, usurpations d’identité ou encore abus de confiance) ont été enregistrées, soit une hausse de 40 % en cinq ans. 59 % de ces infractions étaient des atteintes aux biens, commises à l’aide d’outils numériques. Et parmi elles, 80 % relevaient d’escroqueries.
Les cyber-délinquants ciblent-ils certaines entreprises plus particulièrement ?
Lire la suite : https://www.itforbusiness.fr/christophe-husson-comcyber-mi-nous-sommes-des-lanceurs-dalerte-90735
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Menaces hybrides : la cybercriminalité a frappé fort en 2024
La fraude numérique devient un outil stratégique de déstabilisation, notamment dans les secteurs clés de la défense.
armées.com - Par Laurène Meghe
Publié le 24 avril 2025
Aucune armée ne lève le camp. Aucun missile ne frappe. Pourtant, les pertes se chiffrent en milliards. Aux États-Unis, la cyberfraude ne se contente plus d’attaquer les individus : elle érode les infrastructures critiques et brouille les lignes de défense. Le FBI dresse un bilan glaçant dans son rapport 2024.
Cybercriminalité : une guerre sans uniforme, mais aux dégâts bien réels
Le 23 avril 2025, le FBI a publié son rapport annuel sur la cybercriminalité. Les chiffres sont à la hauteur de l’inquiétude : 16,6 milliards de dollars envolés en 2024, une augmentation de 33 % par rapport à 2023. Mais ce que ce rapport met en lumière dépasse les simples arnaques : la fraude numérique devient un outil stratégique de déstabilisation, notamment dans les secteurs clés de la défense.
Parmi les cibles privilégiées : les infrastructures critiques américaines, notamment celles liées à la santé, à l’énergie, aux communications, mais aussi aux organismes gouvernementaux. Des domaines tous classés comme prioritaires dans la stratégie de sécurité intérieure.
Lire la suite : https://armees.com/menaces-hybrides-la-cybercriminalite-a-frappe-fort-en-2024/
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Vol de données : les cyberattaques se multiplient - 7 façons de vous protéger et de protéger votre entreprise
zdnet.fr - Par Lance Whitney
Publié le 21 avril 2025
Le nombre d'infostealers envoyées par le biais de courriels de phishing a augmenté de 84 % l'année dernière. IBM X-Force propose des conseils pour se défendre contre toutes sortes de logiciels malveillants.
L'année 2024 a apporté son lot de bonnes et de mauvaises nouvelles dans le domaine de la cybercriminalité.
Les attaques de ransomware basées sur des logiciels malveillants ont diminué pour la troisième année consécutive.
En revanche, les cas de logiciels malveillants de type "infostealer" ont augmenté de façon spectaculaire. C'est ce qui ressort de l'indice 2025 de renseignement sur les menaces publié récemment par IBM X-Force.
Tassement des ransomware
Voyons d'abord les bonnes nouvelles. Au cours de l'année, les ransomwares n'ont représenté que 28 % des incidents liés aux logiciels malveillants.
Ce qui représente la troisième baisse annuelle consécutive. Cela signifie que le nombre de logiciels malveillants distribués avant les attaques par ransomware a diminué. Dans le même temps, les attaques de nombreux distributeurs de logiciels malveillants à grand volume, notamment Emotet, TrickBot, IcedID, Qakbot, Gozi et Pikabot, ont diminué.
La force de ne pas payer la rançon
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« Nos formations intègrent les dernières stratégies de cybersécurité » - Interview du pôle Cnam Sécurité Défense
studyrama.com - Propos recueillis par Julie Mleczko
Publié le 24 avril 2025
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam), à travers son pôle Sécurité Défense, propose plusieurs parcours de haut niveau, en phase avec les réalités du terrain et les attentes des employeurs. Dans cet entretien, Laurent Buchon, directeur opérationnel du pôle Cnam Sécurité Défense, nous éclaire sur les spécificités de deux formations phares : le Master Criminologie – Sécurité – Défense – Renseignement, et le Master Sécurité informatique et Cybermenaces.
Le Master en Criminologie – Sécurité – Défense – Renseignement est présenté comme une référence dans le domaine. Quels sont les débouchés concrets pour les diplômés ?
Ce Master prépare à diverses carrières dans les secteurs de la sécurité, de la défense et du renseignement. Les débouchés incluent des postes au sein des services de l’État, des entreprises internationales, ainsi que des fonctions telles que l’analyse du renseignement, la lutte contre la criminalité et le terrorisme, la défense des victimes. »
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“Cybercrime on Main Street 2025” : le rapport Sophos sur les menaces
Publié le 21 avril 2024
Les ransomwares restent la plus grande menace, mais les périphériques réseau anciens et mal configurés facilitent vraiment la vie des attaquants.
Texte écrit par Sean Gallagher
Les petites entreprises sont une cible privilégiée pour les cybercriminels, comme nous l’avons souligné dans notre dernier rapport annuel. Bon nombre des menaces cybercriminelles que nous avons abordées dans ce rapport sont restées un problème majeur en 2024, notamment les ransomwares, qui restent une véritable cybermenace pour les petites et moyennes entreprises.
Les cas de ransomware représentaient 70% des cas Sophos Incident Response pour les petites entreprises clientes en 2024, et plus de 90% des cas pour les entreprises de taille moyenne (de 500 à 5 000 employés). Les tentatives d’attaque de ransomware et de vol de données ont représenté près de 30% de tous les incidents suivis par Sophos MDR (Managed Detection and Response), (dans lesquels une activité malveillante avait été détectée, et ce quelle qu’elle soit) pour les petites et moyennes entreprises.
Bien que les attaques de ransomware aient globalement légèrement diminué d’une année sur l’autre, le coût global de ces attaques a augmenté, selon les données du rapport sur l’état des ransomwares (State of Ransomware) de Sophos. Bien que de nombreuses menaces observées en 2024 soient familières dans leur forme, d’autres menaces axées sur les données continuent de croître et de nouvelles tactiques et pratiques ont émergé et évolué :
Lire la suite : https://news.sophos.com/fr-fr/2025/04/21/cybercrime-on-main-street-2025-rapport-sophos-sur-les-menaces/
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L'Anssi piste les menaces sur les transports urbains
lemondeinformatique- Dominique Filippone
Publié le 22 Avril 2025
LIVRES BLANCS
- Les grands défis de la cybersécurité 2023-2024
- Perte de données : 5 conseils pour y faire face
- Guide de reprise d'activité après une attaque ransomware
L'Anssi a publié un dernier rapport sur l'état de la menace concernant les transports urbains incluant les routes, les voies ferrées et maritimes. Les risques vont de l'extorsion, à la déstabilisation en passant par l'espionnage et les vecteurs d'attaques des ransomwares, au vol et à la revente de données.
Les SI des acteurs de transports urbains constituent une cible des cyberattaquants aussi bien à des fins d'extorsion, de déstabilisation que d'espionnage. (crédit : mwanasimba/wikipedia)
Après les télécoms ou la santé, l'agence nationale de la sécurité des systèmes d'information se penche cette fois-ci sur les transports urbains. Les entités du secteur "sont caractérisées par une forte criticité. Les attaques informatiques à leur encontre peuvent avoir des conséquences significatives et parfois de long terme affectant la continuité des services de transport, mais également l’intégrité, la disponibilité et la confidentialité des données qu’ils hébergent", explique l'ANSSI qui a publié son rapport d'activité 2024 faisant état d'exercices de crise menés pour les derniers JO concernant notamment les transports en commun.
Lire la suite : https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-l-anssi-piste-les-menaces-sur-les-transports-urbains-96663.html
Thales
THALES ET DELOITTE FORMENT UNE ALLIANCE STRATÉGIQUE POUR AMÉLIORER LA PROTECTION DES DONNÉES ET LEUR GOUVERNANCE
thalesgroup.com - Communiqué
Publié le 25 avril 2025
Améliorer la protection et la gouvernance des données
Cette alliance aura pour effet de combiner les technologies avancées de chiffrement et de gestion des clés de Thales avec l’expertise de Deloitte dans la protection des données, le conseil en sécurité et la mise en œuvre. Il ressortira de cette collaboration une gamme complète de services et de solutions sur mesure, parfaitement adaptés aux environnements hybrides et multi-cloud, qui permettront aux clients de répondre à l’ensemble de leurs besoins en matière de sécurité dans le cloud.
Répondre à l’évolution des exigences en matière de sécurité des données et de conformité
Le paysage de la sécurité des données connaît une mutation rapide, portée par des avancées majeures comme l’IA générative, qui font peser de nouvelles menaces sur la confidentialité et l’intégrité des données. Dans ce contexte, les organisations doivent composer avec une réglementation de plus en plus stricte et avec l’accélération de la transformation numérique, ce qui les oblige à repenser leurs stratégies de cybersécurité pour pallier les incohérences ou les insuffisances des politiques de contrôle d’accès.
Selon l’édition 2024 du rapport Thales sur les menaces informatiques, les organisations qui se sont maintenues en conformité avec les normes réglementaires ont été nettement moins exposées au risque de subir des violations de données. Avec l’évolution constante des réglementations, nos clients seront pleinement armés pour faire face aux nouveaux enjeux et prospérer en toute sécurité.
Fortes de l’expertise de Thales et de la vaste expérience de Deloitte en stratégie de gouvernance et protection des données, les organisations auront accès à une gamme complète de services et solutions, qui permettront à leurs clients de naviguer dans la complexité des enjeux actuels en matière de cybersécurité et de conformité.
Lire la suite : https://www.thalesgroup.com/fr/monde/identite-et-securite-numeriques/press_release/thales-et-deloitte-forment-une-alliance