Revue de presse ADCET n° 76 du 25 mai 2020

En bref

Pour vivre heureux, vivons masqué ! Les occidentaux l’avaient oublié, alors que l’usage des masques pour lutter contre une épidémie ne data pas d’hier. C’est ce que nous rappelle le blog Gallica (la bibliothèque numérique de a BnF et de ses partenaires). L’article intitulé « Sortez masqués ! Histoire médiatique du masque de protection » nous rappelle que le port du masque est « une recommendation de longue date »

Mobilité : Cette semaine, c’est la mobilité qui a fait l’objet de plusieurs articles dans cette revue de presse avec en arrière plan la crainte de la Covid-19. La Flandre investit 2,2 milliards d’euros dans ce domaine ; la RATP qui invente le « crowdsourcing affluence voyageurs » ; le réseau de bus de Saint Malo qui distribue des masques à ses abonnés ; Lyon qui mise sur des nouveaux tramways à grande capacité ; les salariés qui peuvent bénéficier d’une aide jusqu’à 400 euros pour utiliser des moyens de transports plus « propres »… Sans oublier les réflexions sur ce même thème dans le monde, portant sur un nouveau modèle de financement à construire pour les transports en commun.

RGPD : responsable, mais pas coupable ! C’est ce qu’estime le Parlement européen, affecté par une fuite de données de 16 000 personnes. Quand à l’avocat Etienne Drouard il estime : « qu’il faudrait s’interroger sur l’impossibilité de contester les mises en demeure publiques de la CNIL ».

Blockchain : la Banque de France a réussi ses premiers pas ana l’utilisation d’une « monnaie digitale » qui pourrait améliorer les règlements interbancaire et à terme un « euro digital ». Quant à l’émetteur Visa, il a déposé un brevet pour créer une monnaie numérique sur un ordinateur centralisé utilisant la blockchain.

A la semaine prochaine.

 

Les infos de la semaine

Rappel historique

Sortez masqués ! Histoire médiatique du masque de protection

JAMAIS SANS MON MASQUE

gallica.bnf.fr - Neujma Omari

Publié le 12 mai 2020

Depuis le début de la pandémie de COVID-19, la question du masque de protection fait débat en France : d’abord recommandé puis jugé inutile en l’absence de symptômes, il est finalement adopté et même imposé dans les transports publics. Devait-on aussi sortir masqué lors des précédentes épidémies ?

L’Écho de Paris, 17 février 1929, p. 1

Dès la déclaration de l’épidémie en France au mois de janvier 2020, de nombreux conseils sanitaires – plus ou moins vérifiés – sont diffusés afin d’aider les populations à lutter activement contre la maladie. Parmi les mesures hygiéniques préconisées dans la lutte contre le virus, le port du masque de protection est sujet à polémiques. Effectivement, alors qu’il figurait initialement au rang des gestes barrières indiqués par le Ministère des Solidarités et de la Santé pour enrayer l’épidémie à la fin du mois de janvier 2020, le masque protecteur tombe en disgrâce et disparaît des recommandations officielles. Tantôt réputé « inutile pour toute personne non contaminée », contre-productif voire dangereux du fait de sa complexité d’utilisation, tantôt encouragé comme complément logique aux mesures en vigueur, le masque finit par s’inviter expressément dans l’espace public et devient obligatoire dans les transports en commun à compter du 11 mai 2020. Si ces palinodies semblent en partie dictées par la gestion des stocks, elles font également écho aux débats sur l’efficacité des masques en temps d’épidémie que l’on peut retrouver dans les archives de presse des XIXe et XXe siècles.

Lire la suite :https://gallica.bnf.fr/blog/12052020/sortez-masques-histoire-mediatique-du-masque-de-protection?mode=desktop

 

• Mobilité

La Flandre investit 2,2 milliards d'euros dans la mobilité dont 180 millions d'euros pour le ring de Bruxelles

rtbf.be - Belga

Publié le 16 mai 2020

La Flandre veut maintenir un rythme élevé d’investissements au cours de la relance économique et va investir cette année 2,2 milliards d’euros dans la mobilité et les travaux publics, a annoncé samedi la ministre flamande en charge de ces matières, Lydia Peeters (Open Vld).

Ces 2,2 milliards d’euros concernent 924 projets. Ainsi, 180 millions d’euros sont par exemple prévus pour une série de travaux sur le ring de Bruxelles tandis que 165 millions d’euros le sont pour les travaux de la liaison Oosterweel à Anvers.

Des fonds sont également prévus pour des travaux de sécurisation de certains carrefours routiers dangereux, pour l’installation de radars tronçons ou encore pour les infrastructures cyclables (180 millions d’euros). Quant aux ports au nord du pays, ils bénéficieront de près de 520 millions d’euros d’investissements. Enfin, les transports publics pourront compter sur des enveloppes de 83,5 millions d’euros pour le matériel roulant, 60 millions pour l’entretien du réseau de tram et près de 10 millions d’euros pour les abords de points d’arrêt.

Reportage du JT sur l'important investissement de la Flandre pour le ring nord de Bruxelles (17/08/2018)

Lire la suite et voir le reportage video : https://www.rtbf.be/info/regions/detail_la-flandre-investit-2-2-milliards-d-euros-dans-la-mobilite-dont-180-millions-d-euros-pour-le-ring-de-bruxelles?id=10503324

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Une nouvelle fonctionnalité collaborative sur l’appli RATP pour un voyage plus serein

ratp.fr - Communiqué

Publié le 20 mai 2020

Pour améliorer le confort de tous et favoriser le respect des règles de distanciation, un nouveau service est disponible sur l’appli RATP depuis le 13 mai : le « crowdsourcing affluence voyageurs ». Où que vous vous trouviez sur le réseau, il est désormais possible d’indiquer le niveau d’affluence de votre rame de métro, de RER ou de tramway. Un service collaboratif anonyme, gratuit et très simple d’utilisation qui permet d’améliorer la sécurité sanitaire et le confort de chacun.

Qui mieux que les voyageurs eux-mêmes pour diffuser en temps réel des informations fiables concernant l’affluence constatée sur leur trajet ? Depuis le 13 mai ces derniers sont invités, via l’appli, à partager leur expérience. L’objectif est simple : fournir l'affluence en direct sur chaque rame afin de fluidifier au mieux les flux en gares et stations. Une nouvelle fonctionnalité qui vise à optimiser le respect des gestes barrières et notamment des distanciations physiques.

Comment ça marche ?

Pour accéder à ce nouveau service rien de plus simple, il suffit aux voyageurs d’être équipés de leur smartphone et d’y télécharger l’application RATP. Ils pourront, en quelques clics, indiquer ou consulter le niveau d’affluence sur leur trajet en métro, RER ou tramway.
Ce service est accessible depuis l’écran d’accueil de l’application sous la barre de recherche des itinéraires.

Lire la suite : https://www.ratp.fr/groupe-ratp/newsroom/innovation/une-nouvelle-fonctionnalite-collaborative-sur-lappli-ratp-pour-un

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Saint-Malo. Le réseau de bus offre des masques à ses abonnés

ouest-france.fr -

Publié le 17 mai 2020

Pour faciliter le transport de ses usagers réguliers, le réseau de transports MAT de Saint-Malo agglomération va distribuer 6 000 masques lavables à ses abonnés.

Les bus du réseau MAT transportent les voyageurs dans tout le territoire de Saint-Malo agglomération. « Pour faciliter les déplacements des abonnés », l’exploitant a décidé de leur distribuer gratuitement 6 000 masques lavables.

La distribution aura lieu cette semaine : lundi 18, mardi 19 et mercredi 20 mai, dans un kiosque installé sur le parvis de la gare routière, de 8 h 45 à 18 h sans interruption, et vendredi 22 et samedi 23 mai, au guichet de la gare TGV, de 10 h à 13 h et de 14 h à 18 h. Il faudra impérativement présenter sa carte Korrigo avec un abonnement à jour, une pièce d’identité ou le livret de famille.

Les transports scolaires reprennent

Lire la suite : https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400/saint-malo-le-reseau-de-bus-offre-des-masques-ses-abonnes-6837930

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Lyon mise sur de nouveaux tramways à grande capacité

ville-rail-transports.com - CF

Publié le 13 mai 2020

Le Sytral a profité de la période de déconfinement le 11 mai pour mettre en service les quatre premières rames des 15 rames de tramway nouvelle génération acquises pour répondre au développement de la fréquentation du réseau TCL. Dans le cas présent, ces rames grande capacité de 43 mètres et d’une capacité supplémentaire de 30% permettent surtout de faciliter le respect des mesures de distanciation physique. Ces premiers matériels sont en service sur la ligne T3 et onze nouvelles rames vont être déployées sur la ligne T4. Le Sytral a investi 76 millions d’euros dans cette modernisation des tramways.

Source : https://www.ville-rail-transports.com/lettre-confidentielle/lyon-mise-sur-de-nouveaux-tramways-grande-capacite/

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Mobilité : un forfait de 400 euros pour encourager l’usage des transports durables

actu.fr - Alexandra Segond

Publié le 18 Mai 2020

Depuis une semaine, les salariés peuvent bénéficier d'une aide jusqu'à 400 euros par an pour privilégier des moyens de déplacement plus propres entre leur domicile et leur travail.

Avec le confinement, de nombreuses mains avaient applaudi une meilleure qualité de l’air, des routes moins congestionnées ou encore de la mer redevenue translucide à l’abord des côtes. Avec le déconfinement, beaucoup aimerait poursuivre cette lancée éco-responsable.

Et c’est une optique dans laquelle peuvent désormais s’inscrire les entreprises du privé comme du public depuis une semaine, grâce au « forfait mobilités durables » lancé par le gouvernement dans le cadre de la loi d’orientation des mobilités – aussi connue comme la loi LOM – adoptée en novembre 2019.

400 euros par an et par salarié

Pouvant atteindre 400 euros par an et par personne, ce forfait permet de rembourser aux salariés les trajets domicile-travail effectués en transports alternatifs à la voiture, de la même manière qu’un employeur peut rembourser une partie des transports en commun de ses employés.

Pour en bénéficier, rien de plus simple : le salarié doit prouver ses déplacements propres à son employeur.

Lire la suite : https://actu.fr/economie/mobilite-forfait-400-euros-encourager-lusage-transports-durables_33688961.html

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VIDEO. Avec le Covid-19, le monde entier repense la mobilité en ville

francetvinfo.fr - Brut

Publié le 18 mai 2020

En Colombie, en Nouvelle-Zélande, en France… Et si le grand gagnant, c'était le vélo ?

Depuis le début de l'épidémie de Covid-19, des pistes cyclables temporaires sont apparues dans le monde entier, alors que les mesures de distanciation sociale obligent à repenser la mobilité urbaine. En Colombie, 80 kilomètres de pistes cyclables temporaires ont été créées à Bogota au mois de mars. Le but est de désengorger les transports en commun, de réduire les embouteillages et de faciliter la distanciation sociale lors des déplacements. La capitale colombienne fait ainsi figure d'exemple dans l'urbanisme tactique en proposant rapidement des aménagements temporaires à moindre coût pour s'adapter aux besoins des habitants.

Une dynamique adoptée dans le monde entier

Lire la suite : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/video-avec-le-covid-19-le-monde-entier-repense-la-mobilite-en-ville_3969815.html

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Un nouveau modèle de financement à construire pour les transports en commun

lagazettedescommunes.com - Hugues Marcha, Manager du cabinet de conseil en stratégie PM,

Publié le 22 mai 2020

La crise sanitaire rebat les cartes de nos modèles de transports publics. Cela va avoir un effet structurel durable sur au moins deux aspects clés de la mobilité urbaine : le comportement des abonnés, et plus généralement le financement de la mobilité.

La restriction durable de notre mobilité, le recours encore massivement encouragé au télétravail, les initiatives diverses pour limiter la promiscuité et donc l’affluence dans les transports partagés, la peur tout simplement, vont nous faire entrer dans une période marquée par une part modale très réduite des transports en commun par rapport au « monde d’avant ».

Cela va avoir un effet structurel durable sur au moins deux aspects clés de la mobilité urbaine : le comportement des abonnés, et plus généralement le financement de la mobilité.

En effet, cette crise accélère un phénomène qui n’en était qu’à son commencement : la fin de l’abonnement prépayé. Et cette dynamique accompagne naturellement une caractéristique majeure de notre mobilité : elle est fluctuante.

Lire la suite : https://www.lagazettedescommunes.com/680162/un-nouveau-modele-de-financement-a-construire-pour-les-transports-en-commun/

 

RGPD

RGPD : Le Parlement européen a été touché par une fuite de données mais ne s'estime pas responsable

usine-digitale.fr - Alice Vitard

Publié le 18 mai 2020

L'entreprise spécialisée en cybersécurité Shadowmap affirme que les données de 16 000 personnes liées au Parlement européen ont été exposées. Mais l'institution estime ne pas en être responsable, car c'est le groupe PPE qui en avait la gestion. Pourtant, d'après le RGPD, le responsable de traitement peut être coupable d'une fuite de données en cas de manquement dans la sécurisation, même lorsque les données sont gérées par un sous-traitant.

La société de cybersécurité Shadowmap a annoncé le 16 mai 2020 avoir découvert des fichiers contenant des données telles des mots de passe, des descriptions de poste et d'autres informations personnelles via un portail Internet faisant partie du domaine du Parlement européen. Les données de plus de 16 000 personnes – incluant des journalistes, des membres de parti politique et du personnel administratif – ont été exposées. Des informations sur les membres de plusieurs institutions de l'Union européenne comme Europol, le Contrôleur européen de la protection des données, Frontex… seraient également concernées. Depuis, l'incident a été résolu.

Confirmation de la fuite

Lire la suite : https://www.usine-digitale.fr/article/rgpd-le-parlement-europeen-a-ete-touche-par-une-fuite-de-donnees-mais-ne-s-estime-pas-responsable.N965841

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Me Etienne Drouard : « il faudrait s'interroger sur l’impossibilité de contester les mises en demeure publiques de la CNIL »

ecranmobile.fr -

Publié le Mardi 19 Mai 2020

A l’occasion des deux ans du RGPD, entré en vigueur le 25 mai 2018, Me Etienne Drouard, partenaire au sein du cabinet Hogan Lovells, revient sur l’articulation entre ce texte et la directive E-privacy, sur les questions qui nécessitent encore une clarification, et sur l’action de la CNIL, une autorité administratitive indépendante dont le rôle dépasse de plus en plus celui de simple régulateur.

Dans les années 2010, l’interprofession surveillait l’évolution de la directive E-privacy mais est-ce finalement le RGPD qui est devenu le texte de référence pour la gestion des données électroniques ?

ED - Non, le RGPD est l’un des deux textes de référence, avec la directive E-Privacy, mais nous souffrons encore d’un flou d’articulation entre eux, par manque de recul sur les questions concrètes à faire trancher par les régulateurs.

Il n’existe pas de hiérarchie théorique entre les deux textes. Selon la question qu'on se pose, la réponse se trouve dans le RGPD (principes, définitions, bases légales,) ou dans ePrivacy (activités poursuivies, données concernées, information des personnes et nature du droit garanti aux personnes). La volonté du législateur se trouve à l’article 95 du RGPD, qui prévoit clairement que le RGPD ne change rien à l'application de la Directive e-Privacy tant qu'elle ne sera pas réformée.

Lire la suite : https://www.ecranmobile.fr/Me-Etienne-Drouard-il-faudrait-s-interroger-sur-l-impossibilite-de-contester-les-mises-en-demeure-publiques-de-la-CNIL_a67865.html

 

Blockchain

Blockchain : la Banque de France avance dans ses tests d'«euro digital»

lefigaro.fr - Le Figaro avec AFP

Publié le 20 mai 2020

La Banque de France a annoncé mercredi avoir réussi son premier test d'utilisation de «monnaie digitale de banque centrale» via la blockchain, cette expérimentation visant à améliorer les règlements interbancaires et à terme à lancer un « euro digital ».

À lire aussi : Au fait, c'est quoi la blockchain ?

La Banque de France vient «de tester le 14 mai avec succès le recours à une blockchain développée par ses équipes pour expérimenter l'utilisation d'une monnaie digitale de banque centrale», se félicite l'institution financière dans un communiqué. L'opération menée a permis de «régler une émission de titres financiers numériques effectuée par Société Générale Forge», est-il précisé.

La Banque de France poursuivra ces expérimentations, entamées depuis le début de l'année, «en coopération avec d'autres acteurs», sur la base des dossiers d'un appel à candidatures lancé fin mars, cette fois pour tester «l'usage d'un euro digital de banque centrale dans les règlements interbancaires».

L'institution indique avoir reçu un «nombre élevé» de candidatures témoignant «de l'intérêt de l'industrie bancaire et financière pour ces expérimentations et du dynamisme de la Place de Paris en matière d'innovations technologiques dans le secteur financier». Les résultats de ces expérimentations contribueront «à la réflexion plus globale conduite par l'Eurosystème sur l'intérêt» d'une monnaie numérique de banque centrale.

Lire la suite : https://www.lefigaro.fr/flash-eco/blockchain-la-banque-de-france-avance-dans-ses-tests-d-euro-digital-20200520

 

Crypto monnaie

Visa Applies For Digital Dollar Blockchain Patent

forbes.com - Jason Brett Contributor

Publié le 14 mai 2020

L'US Patent and Trademark Office (USPTO) a publié aujourd'hui que Visa V a déposé une demande de brevet pour créer une monnaie numérique sur un ordinateur centralisé utilisant la technologie blockchain. Ce brevet s'applique aux dollars numériques ainsi qu'aux autres monnaies numériques des banques centrales telles que les livres, le yen et les euros, de sorte que la monnaie physique d'une banque centrale partout dans le monde pourrait être numérisée. Décrit comme «monnaie Fiat numérique», le brevet a été initialement déposé par Visa le 8 novembre 2019, l'USPTO commentant aujourd'hui «il faut un certain temps ...» pour publier le dépôt d'un brevet. Le brevet de Visa est décrit comme un ordinateur central qui reçoit des demandes comprenant le numéro de série et la dénomination d'une devise physique. La création de la monnaie numérique et la suppression de la monnaie physique de la circulation dans un système de monnaie fiduciaire sont enregistrées sur une blockchain.

Lire la suite (en anglais) : https://www.forbes.com/sites/jasonbrett/2020/05/14/visa-submits-patent-application-for-digital-dollar-using-blockchain/#8b214115b637